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mercredi, 01 octobre 2008

Les déterminants sociaux de la santé

Extrait de "PasseportSante.net", voici un article important sur les déterminant de la santé. Il y est question de l'importance des conditions de vie dans la qualité de notre santé.

Le 8 novembre, la revue médicale The Lancet publiera un numéro spécial sur le même thème. La semaine suivante, à Québec, les Journées annuelles de santé publique (JASP) consacreront deux journées aux inégalités sociales en santé.

L’inégalité en santé se manifeste par le fait que, dans l’ensemble, nous sommes malades et nous mourrons selon notre position dans la hiérarchie sociale. Cette inégalité de sort est l’effet des déterminants de la santé dans nos vies. Certains de ces déterminants dépendent directement de nous, mais la plupart sont liés, directement ou indirectement, à l'organisation sociale.

D’une certaine manière, l'état des déterminants de la santé reflète le développement d’une société et les libertés réelles dont jouissent ses membres. Par exemple, la liberté de ne pas mourir d’une maladie qu’on peut prévenir, la liberté de se nourrir convenablement, la liberté de se loger convenablement, la liberté de pouvoir lire et écrire, la liberté de voyager, de se reposer, de faire du jogging, etc.

Disposons-nous toujours réellement de ces libertés? Par exemple, on a calculé qu’en Irlande, un pays comparable au Canada, une personne disposant du revenu moyen et élevant seule un enfant, devrait consacrer 80 % de son revenu hebdomadaire pour se nourrir, selon le guide alimentaire national. Dans ces conditions, a-t-on vraiment la liberté de manger cinq portions de fruits et de légumes chaque jour?

C’est pour cette raison que les politiques publiques touchant les déterminants de la santé – que ce soit l’éducation, le travail, la santé, les transports, l’environnement – visent à diminuer les inégalités en santé en agissant sur leurs causes. Ces inégalités en santé sont parfois abyssales. Elles se comptent en dizaines d’années de vie en moins, en taux de mortalité multiplié par 100 et même 200 entre une collectivité et une autre. Il n’est pas obligé d’en être ainsi.

Cela semble loin de la vie quotidienne, mais si vous évaluez votre santé (est-elle excellente, bonne, moyenne, mauvaise, très mauvaise?) et l'état des déterminants de la santé dans votre vie, vous pourrez probablement faire un lien entre les deux. Il est bien connu que chacun de nous est un assez bon juge de son état de santé et que notre évaluation a une forte valeur prédictive.

Les blogues que je consacre aux déterminants de la santé commencent ou se terminent toujours par une question. À la fin de cette série, si vous avez répondu aux questions, vous aurez un portrait assez clair de l’état des déterminants de santé dans votre vie. Ainsi, vous pourrez mieux comprendre pourquoi vous évaluez votre santé comme vous le faites et à quoi vous devriez accorder un peu plus d’attention.


Christian Lamontagne – PasseportSanté.net
Le 2 septembre 2008


Pour aller plus loin

1. Ethics of the social determinants of health, Dre Jennifer Prah Ruger PhD, The Lancet 2004; 364:1092-1097. Cet excellent article permet de comprendre d’où vient la perspective de la Commission sur les déterminants sociaux de la santé. On y voit pourquoi la santé possède vraiment une dimension globale.

2. Interim Statement of the Commission on Social Determinants of Health (2007). Avant le rapport final, cette déclaration intérimaire de la Commission sur les déterminants sociaux de la santé trace un portrait d’ensemble de l’effet des déterminants sociaux de la santé. Très éclairant.

3. What is our focus? Une entrevue avec Sir Michael Marmot, président de la Commission sur les déterminants sociaux de la santé. Au cas où vous douteriez de la pertinence du sujet.

Respirer et gérer son stress

Tiré du blog de Bernard Casavant:http://www.relaxmedit.com/index.php?main_page=document_ge...

L'ALCHIMIE DE LA RESPIRATION
De toutes les fonctions physiologiques, la respiration est la seule qui soit volontaire ou involontaire à volonté. Ingrédient fondamental de la santé physique et mentale, la respiration soutient toutes les fonctions vitales.

Quand la respiration est superficielle et irrégulière, le mental est instable; quand la respiration est calme et profonde, le mental est calme et paisible.
Existe une étroite relation entre la respiration et l’état mental :
- avoir le souffle coupé devant une scène spectaculaire;
- retenir sa respiration dans la crainte de quelque chose;
- reprendre son souffle après une période d’épuisement;
- exprimer un soupir de soulagement…

La respiration est la pierre philosophale de l’énergie vitale, elle permet la restauration et le maintien de la santé.
Son activation contrôlée enclenche les principes de transformation physique, de transmutation psychique et d’élévation spirituelle.
20 000 respirations par jour, 7 millions par an, 500 millions la vie durant !
En modifiant notre respiration, on modifie notre état émotionnel et mental.
La maîtrise des techniques de la respiration nous donne accès à son pouvoir curatif.


La respiration volontaire

Il existe cinq manières de contrôler volontairement la respiration : la fréquence, le rythme, l’amplitude, la suspension et la localisation.
1. Fréquence :
- au repos, de 6 à 12 respirations par minutes (de 5 à 10 secondes/respiration),
- normale, de 12 à 16 respirations par minutes (3,75 à 5 sec.)
- lors d’exercices physiques, de 16 à 60 respirations par minutes (de 1 à 3,75 sec.).

2. Rythme :
- rapport entre inspiration (2 temps) et expiration (3 temps),
- au repos, un arrêt de 1 à 2 secondes entre les inspirations et expirations.

3. Amplitude :
- quantité d’air impliquée dans la respiration ;
- air résiduel (air alvéolaire jamais expulsé) 1 litre d’air,
- air de réserve (expiration forcée) 1,5 litres,
- air courant (respiration autonome) 0,5 litre,
- air complémentaire (inspiration profonde maximale) 1,5 litres,
=> capacité vitale de respiration de 3,5 litres.

4. Suspension :
- arrêt en apnée – après inspiration
- arrêt en dispnée – après expiration complète.

5. Localisation :
abdominale (diaphragmatique) => calme et détend (méditation, aïkido, taï-chi),
- développe la vitalité grâce à l’apport d’énergie (ki),
- maintien la santé, masse les viscères, facilite la digestion;
costale => afflux de sang, favorise l’apport en oxygène et la combustion cellulaire,
- combinée à l’abdominale => circulation et maîtrise des émotions
=> sang-froid et calme (examens, parler en public...);
haute-thoracique (claviculaire) => action tonique, activation du mental,
- oxygénation importante pour la femme enceinte,
- combinée à la costale => prépare à l’effort intense, à l’entrer en action;
complète (trois zones) – inspiration abdominale, puis costale et claviculaire,
- expiration abdominale, puis costale et claviculaire,
=> meilleur oxygénation et effet stimulant,
=> effet de détente et de récupération, évacuation de la fatigue.


Échanges chimiques dans la respiration
Inspiration : Azote 79,03%; Oxygène 20,94%; Acide carbonique 0,03%
Expiration : Azote 79,6%; Oxygène 16,5%; Acide carbonique 3,9% + vapeurs d'eau

• L’échange respiratoire s’effectue entre l’apport d’oxygène et l’expulsion de gaz carbonique alors que le taux d’azote demeure stable.
• La pollution et les particules en suspension dans l’air remplacent l’oxygène.
• Les cils vibratiles qui brassent l’air pour une meilleur captation de l’oxygène ralentissent en cas de pollution trop élevée : l’oxygénation est alors réduite à 80%, 60%, voire 40% de son rendement.
• L’air alvéolaire contient 8% d’acide carbonique c'est le taux baromètre du système respiratoire. Si le taux d’acide carbonique augmente, s’enclenche alors accélération et amplification de la respiration. Les troubles respiratoires apparaissent quand ce taux atteint 10% d’acide carbonique.
• Il y a plus de gaz carbonique dans l’air du soir et les endroits obscurs que dans l’air matinal et les endroits ensoleillés.
• À l’expiration, l’air expulsé au début contient moins d’acide carbonique qu'à la fin. Le souffle court dégage de 2 à 3% d’acide carbonique d’un volume de 0,25 litres : la capacité vitale de respiration dégage de 4% à 5% d’acide carbonique de 3,5 litres.
Le rapport d’expulsion entre le souffle court et la capacité vitale de respiration passe à plus de 25 fois le volume d’acide carbonique.
• La respiration superficielle thoracique ne produit pas la désintoxication générée par une respiration abdominale, car les alvéoles responsables de l’échange gazeux sont situées dans le fond des poumons.
• Une profonde inspiration suivie d’un arrêt en apnée ralentit les battements cardiaques.
• Les exercices musculaires multiplient par 3 ou 4 l’échange respiratoire.


Une bonne respiration permet
• Favoriser le calme et la paix.
• Combattre la fatigue, dissiper le stress et l’anxiété.
• Gérer la douleur et les difficultés émotionnelles.
• Améliorer la concentration.
• Augmenter l’énergie et la vigueur.


Une respiration qui calme
o Inspirer lentement par le nez, suivre l’oxygène jusque dans le bas du ventre.
o Expirer par la bouche, sentir et visualiser le stress et les tensions sortir par la bouche.
o Effectuer des arrêts (apnées et dispnées) entre les inspirations et les expirations.
o Amener la respiration abdominale à devenir souple, lente et profonde.
o Prendre conscience de la vague respiratoire, de son rythme et de ses effets bénéfiques.
o La visualisation permet de multiplier les effets bénéfiques.

SANTÉ versus STRESS
La santé, état d’équilibre physique, émotionnel et mental, donne à l’être humain accès au bien-être, à l’harmonie et au plaisir de vivre. En santé, le corps s’acquitte aisément de ses fonctions, la pensée est claire, l’esprit calme et le cœur léger. Elle est, avant tout, un état d’esprit qu’il nous faut entretenir, un privilège à protéger contre les méfaits du stress.

Lorsque cet équilibre est rompu par l’accumulation de stress – tensions physiques, émotionnelles ou mentales -, alors, là, l’être humain perd son plaisir de vivre et glisse lentement mais inexorablement vers les malaises pour ensuite aboutir aux maladies liées au stress : anxiété, angoisse, troubles panique, dépression, affections cutanées, maladies cardiaques, désordres mentaux… Selon l’OMS (Organisation Mondiale pour la Santé), le stress est présent dans 90 % des pathologies soit comme facteur déclencheur, soit comme facteur aggravant. Selon des études cliniques, les méfaits du stress, plus fréquents que le rhume, constitueraient, en terme de mortalité, un facteur de risque plus élevé que le tabac.

La gestion du stress est non seulement une manière d’agir face à des situations stressantes, mais aussi un mode de vie qui permet de maintenir un équilibre fonctionnel et un niveau d’énergie optimal pour notre mieux-être.

La relaxation, méthode thérapeutique de détente et de maîtrise des fonctions corporelles, permet de retrouver l’état d’équilibre essentiel à la santé. Il ne s’agit pas, dans ce cas, de seulement se détendre par des activités agréables – sport, activités artistiques, repos, musique… -, mais bien de retrouver l’équilibre initial de l’être. Si la détente est innée, la relaxation est acquise ; elle doit être apprise par la pratique jusqu’à en acquérir la maîtrise.

La méditation, quant à elle, apporte de plus grands bienfaits que la relaxation, à condition de prendre appui sur l’équilibre initial de l’être. Elle est donc nécessairement précédée d’une relaxation. La méditation, en plus de renforcer la résilience de l’être – capacité de résister aux chocs et agressions et de retrouver son équilibre fonctionnel -, améliore l’état de santé général, les compétences psychologiques(identification et gestion des émotions, écoute, empathie, communication), les capacités intellectuelles et mentales (mémorisation, analyse, synthèse, résolution de problème, décision) ainsi que les aptitudes spirituelles de compréhension, d’acceptation, d’harmonisation, d’amour et de créativité.

Nous vous conseillons les CD d'exercices:
http://www.relaxmedit.com/index.php?main_page=product_inf...

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mercredi, 03 septembre 2008

Un nouveau monde à découvrir

Nous vous invitons à découvrir l'étonnante Anastasia de Sibérie. Une jeune femme hors du commun dont les écrits de son conjoint sont aptes à enrichir totalement nos conceptions du monde et de la vie. http://anastasiasgardenfoundation.org/

Anastasia.jpgAnastasia, une jeune ermite aux pouvoirs étonnants, vivant seule en osmose totale avec la nature au fin fond de la taïga sibérienne, est restée inconnue jusqu'en 1994, date de sa rencontre avec Wladimir Megre, entrepreneur russe en voyage d'affaires. Il en vit sa vie profondément et durablement transformée, lui qui fut choisi par Anastasia pour consigner le plus exactement possible les expériences tout d'abord incompréhensibles dont il fut témoin et les publier.

L'écho chez le lecteur russe fut si grand qu'il existe actuellement d'innombrables associations s'intéressant à la mise en pratique des enseignements d'Anastasia.
Un cheminement salutaire vers la santé physique et spirituelle.
Un immense succès en Russie : 6 millions d'exemplaires vendus! Plus de 400 000 en langues étrangères!

Vous pouvez en savoir d'avantage sur le site web suivant: http://www.siberian-anastasia.net/ et http://ringingcedars.com/, http://www.anastasiasgarden.com/library/vladimirmegre/ ou encore un forum: http://51230.aceboard.net/ et enfin un distributeur canadien de produits liés aux ouvrages sur Anastasia: http://www.energyoflife.ca/. Au Canada: http://www.anastasia.ca/. Autre: http://www.ringingcedarsofrussia.org/Main/English/index.php, http://www.bunkahle.com/Aktuelles/Gesundheit/Anastasia_Me.... Sur Vladimir Mégré: http://www.vladimirmegre.com/news.php, http://www.loveforlife.com.au/node/5661






Extrait du site http://www.siberian-anastasia.net/:
Dans la taïga sibérienne en Russie vit dans un coin perdu une jeune femme extraordinaire, loin de tout contact avec la société moderne. Elle possède des connaissances de l'Univers, pourtant elle n'a ni livres, ni télé, ni radio. Tout ce qu'elle a c'est une clairière entourée de cèdres, un petit lac et des animaux sauvages qui lui obéissent au doit et à l’œil et prennent soin d’elle.

Anastasia - ainsi s'appelle cette ermite sibérienne, ne gèle pas à une température de moins trente degrés. Elle est une énigme pour plusieurs savants. Anastasia parle facilement dans toutes les langues du monde, ainsi elle connaît l'histoire de différents peuples et cultures, possède des connaissances étonnantes étroitement liées au cosmos et à la nature..

En 1994 elle croise le chemin de Vladimir Megré, un jeune homme ordinaire, entrepreneur dans le domaine du commerce fluvial en Sibérie. Cette rencontre bouleverse la vie de Vladimir et sous l’inspiration et l’encouragement de Anastasia il décrit dans huit livres leur rencontre, leur vécu ensemble, leurs discussions et les événements survenus après les premières publications.

Ces publications connaissent un succès immédiat et fulgurant d’abord en Russie, en suite dans les pays de l’Europe de l’Est, en Europe occidentale, aux États-Unis et au Canada. Son message va droit au cœur, éclaire l’esprit et illumine l’âme.

Anastasia parle à travers ces livres comment organiser sa vie sur un hectare de terre, travailler et créer pour ses propres besoins et non pas pour vendre et s’enrichir, comment vivre de son propre travail et de sa propre terre, en paix et en harmonie avec la nature, sans stress et maladies.

Des milliers de gens se rassemblent autour de l’espoir d’une vie meilleure, qu’inspire Anastasia à travers ces livres – d’une vie à trois – Dieu, la Nature et l’Homme – sans intermédiaires. Les gens se réveillent, prennent conscience de la vie avec une force nouvelle, se rappellent des vrais valeurs et priorités dans la vie humaine.

Des clubs se créent partout, les gens s’organisent, cherchent leur bout "d'hectare de patrie", ou commencer une nouvelle vie, ou renouer leurs liens avec la nature et les valeurs essentiels de la vie. Et pourtant cela n’a rien à voir avec une révolution, ni d’une découverte extraordinaire, car on retrouve les mêmes principes d’Amour, de Bonté, de Foi et de respect pour la Nature dans les plus grandes religions et courants spirituels dans le monde. Tout simplement son message vient au bon moment, quand les consciences s’éveillent, sont particulièrement réceptives, sensibles à ces idées et atteignent la masse critique. Ainsi Anastasia nous décrit d’une façon claire et explicite, presque comme dans un manuel d’utilisation, une alternative de vie meilleure que notre société hiérarchisée, matérielle et injuste, au bout de ses limites, ne veut pas et ne peut pas nous offrir.

Ainsi, pour le peu de temps qui me reste de vivre en ville, j’ai décidé de combler le vide qui représente le manque d’un site francophone dédié à cette merveilleuse Anastasia et de traduire une partie du contenu de chaque livre en français. Soyez indulgents envers mon style d’écriture pas tout à fait français ou pour les petites fautes éventuelles, car je ne suis pas de langue maternelle française. J’espère toutefois que mon enthousiasme et mes connaissances en langue française seront suffisants pour réussir à vous transmettre la flamme à travers ces humbles efforts.

N.B. Ma traduction étant un travail bénévole et non lucratif, les textes traduits ne doivent pas être copies pour une utilisation lucrative. Merci.


L'identité d'Anastasia est mystérieuse. La rumeur que scientifiques, journalistes et curieux seraient allés témoigner de son existence court dans le monde pour donner de la valeur aux écrits si raffraîchissant et pleins d'espoir d'un renouveau humain.
Cependant, voici une réflexion tirée du Journal vert sur l'identité présumée d'Anastasia:

LE MYSTÈRE DE LA DÉESSE RUSSE
Un phénomène inusité rayonne sur le monde du coeur de la taïga
par Mado Sauvée - publié dans Le Journal Vert du printemps 2007
Anastasia existe-t-elle? Vit-elle vraiment dans la taïga sibérienne ou est-elle née de l'imagination d'un habile entrepreneur? Même après avoir lu les quatre premiers de la série de dix livres écrits par Vladimir Megré, dont plus de onze millions ont été vendus et traduits en plus de 20 langues
dans le monde entier, il est encore difficile de répondre à cette question. Anastasia la déesse fait rêver les gens. En 1994, lors d'un de ses voyages d'affaires en Sibérie, l'auteur Vladimir Megré dit avoir rencontré deux vieillards, pères et fils en excellente forme physique, qui lui ont parlé de «cèdres chantants» (un espèce de pin de Sibérie) possédant de puissantes vertus médicinales lorsqu'ils deviennent très vieux. Intéressé par la possibilité de faire un peu d'argent, Megré part en expédition dans le but de trouver ces arbres et il découvre plutôt la petite-fille du plus jeune des
deux vieillards, Anastasia, qui vit seule dans la taïga et accepte de lui servir de guide. Sa façon de vivre et ses explications sur l'univers marquent tellement Megré qu'il abandonne tout - famille et affaires -et déménage à Moscou pour se dédier à l'écriture d'un livre sur ce qu'elle lui a appris. Un
premier livre paraît, suivi de neuf autres qui tous se répandent à la vitesse de la lumière dans les pays de l'Est, en Europe, aux Etats-Unis, au Canada et un peu partout dans le monde, sans publicité!

RETOUR À LA NATURE
Des millions de personnes, autant en Russie que dans les pays adjacents, inspirées par les idées que Megré apprend de cette mystérieuse Anastasia, changent de vie du tout au tout: ils plantent des arbres, fondent des écovillages et disent vouloir se reconnecter à la Terre. Ils vivent dans de
petites maisons appelées «datcha» et font pousser leur nourriture selon une méthode hybride entre la permaculture spirituelle et le jardinage selon la méthode Perelandra. Anastasia inspire autant des agriculteurs que des poètes, des peintres, des musiciens, des philosophes puis des
scientifiques. Elle prône une vie en harmonie avec la Terre, parle de soins des enfants, de jardinage, d'agriculture, de santé, spiritualité, sexualité, allaitement, éducation, sciences naturelles, etc. Même si elle est de toute apparence illettrée et élevée en autarcie, elle semble posséder des
connaissances dans des domaines variés alors que son traducteur, Megré, n'est lui-même de toute évidence pas un intellectuel et n'a que peu de notions en spiritualité. Des phrases comme: «La pureté de pensée rend l'Humain omnipuissant et omniscient», «La pensée humaine est capable de
créer d'autres mondes ou de changer ce qui a été créé»; «La pensée est l'origine de toutes choses» ou: «Toute la sagesse de l'Univers est incluse pour toujours dans chaque âme, dès sa création», surprennent les lecteurs. D'autres passages font référence au côté noir de la réalité:
«D'un siècle à l'autre, divers systèmes furent mis en place dans un seul but - pour tuer l'être humain, ce sage et souverain créateur, afin de le transformer en esclave sans âme». Il faut savoir que Megré était auparavant un homme d'affaires russe qui possédait une flotte de bateaux
sillonnant le grand fleuve sibérien Ob, chargés de marchandises. Depuis sa rencontre avec Anastasia, Megré habite près de Moscou et se voue à l'écriture des livres, dont il termine actuellement le dixième. Il dit avoir eu plusieurs fois l'occasion de visiter Anastasia et lui aurait
fait un enfant. Il est souvent l'invité d'honneur lors de symposiums autant en Russie et en Europe, et il s'occupe de la Fondation Anastasia.

ENTITÉ SPIRITUELLE?
John Woodsworth, qui a traduit les livres de Megré en anglais et enseigné le russe à l'Université d'Ottawa de 1982 à 2000, où il est toujours traducteur et rédacteur des Recherches en Études slaves, avoue, ne pas être certain de l'existence de la déesse. Voici quelques propos recueillis lors
d’une entrevue avec lui: «Je crois qu'Anastasia existe certainement sous une forme quelconque, mais pas nécessairement dans un corps de chair visible à nos yeux matériels, bien que cela ne soit pas exclu. Dans mon esprit, il n'y a pas de doute qu'elle existe en tant qu'idée très puissante et
qu'elle est une force d'inspiration. Elle existe dans les mots, dans les pensées riches de sens et de promesses, qui ont été transcrites par Megré». Cela est d'autant plus vraisemblable qu'Anastasia dit elle-même, lorsqu'elle dicte les livres à Megré, qu'elle «existe pour ceux pour qui elle existe».
Bref, voilà une histoire bien mystérieuse, dit Woodsworth, qui ajoute avoir constaté sur place l'effet de ces livres, qui sont en train de réaliser autant en Russie que dans les pays avoisinants, une véritable révolution culturelle, écologique et spirituelle.
Anastasia, un nom très commun dans les pays slaves et qui veut dire «résurrection» en grec, serait née en 1969 dans la taïga sibérienne, non loin de la ville de Surgut, sur le fleuve Ob, qui se jette dans l'océan Arctique. Ses parents seraient morts alors qu'elle était bébé et ce serait son
grand-père ainsi que son arrière-grand-père, deux chamanes, qui l'auraient élevée, et auraient fait en sorte qu'elle puisse développer des pouvoirs qui sont, dit-elle, disponibles à tous les êtres humains. Elle aurait vécu habillée d'une robe légère, parfois nue dans la taïga sibérienne. Elle y
vivrait confortablement même si elle n'a pas de maison, survivant aux rigoureux hivers sibériens et se nourrissant de baies, de noix, de graines et de feuilles. Elle pourrait converser avec les animaux, lesquels lui rendraient de multiples services. Megré dit avoir été témoin de cette habileté, ainsi
que de ses grands pouvoirs énergétiques et de ses connaissances dans une multitude de domaines.
Rares seraient les êtres humains qui l'auraient aperçue, puisqu'elle se cache depuis que des inconnus auraient orchestré une tentative d'enlèvement avec armes et hélicoptère. Certains croient que ces livres sont devenus populaires parce que la Russie manque de littérature spirituelle et que
ces écrits ne font que combler un vide, les russes n'ayant eu que le matérialisme communiste qui a prévalu durant 75 années. D'autant plus que ces écrits s'inspirent des racines traditionnelles russes associées au shamanisme, au druidisme, aux médecines douces, ainsi qu'aux petites
communautés rurales où entraide, nutrition frugale et style de vie saine prédominent. On dit qu'Anastasia inciterait à la restauration de sites sacrés millénaires, incluant des dolmens utilisés dans les anciennes traditions. Certains avancent que l'auteur, Megré, a puisé dans les anales
akashiques, d'autres évoquent l'apparition d'un personnage d'origine extra-terrestre alors que d'autres encore croient qu'elle est une entité spirituelle. Qui sait? •

Pour en savoir plus: www.ringingcedars.com
Quelques livres ont été traduits en français. Un site suisse donne des informations en français:
www.alternature.com


The Ringing Cedars Series

"Basically, these books make all the books that I've read to date look like a complete waste of paper! ... I think that going through life without this knowledge is a waste of time, and not passing it on to children is a crime. I can say with confidence that nothing like these books exists in the world today."
-- Rafal F., Australia (from an unsolicited letter to NEXUS magazine Feb - March 2006)

"After reading this series I have recommended that [my daughters] give away all their other reading materials."
-- John, Melbourne, Australia

"There has been a very significant change taking place within me since reading the Series. It has been a casting off of the selfish elements within me and walking into a vast chasm of blessings. What is possible I do not yet know, only that an awareness and a consciousness is possible in this life. My life is hopeful now."
-- Allan, Wisconsin, USA

"At last! Truth that has not been distorted by dogma or someone's ego! I might explode from emotion if I read any more! I had a hard time getting myself to just stand still."
-- Ana, Portugal

"What a blast that Anastasia is! I couldn't sleep after reading it. I have been dreaming about this for years!"
-- Bruce, Sydney, Australia

In 1994 a Siberian elder told the entrepreneur Vladimir Megre a fascinating story about the "ringing cedars" - trees respected from Biblical times for their curative powers and the capacity to re-connect human beings with the Divine. The elder told him where such a ringing cedar was growing in the Siberian backwoods. Vladimir Megre set out on an expedition to find the tree. But his encounter with the elder's granddaughter Anastasia transformed him so deeply that he abandoned his commercial plans and, penniless, went to Moscow to write a book about the spiritual insights she shared with him. What happened next thrilled and inspired millions!

With no advertisement other than word of mouth the Ringing Cedars Series has become an international bestseller. Having sold over 10 million copies in Russian alone and translated into 20 languages, it has made Vladimir Megre into one of Russia's most widely read authors.

The books, which read like a fascinating novel, have an authenticity of a documentary account and present spiritual insights of incredible depth, are believed to be a most significant masterpiece of Russian literature and one of the most important revelations in the history of humanity.

These highly unusual books provide extraordinary insights into dozens of subjects - from natural child rearing to the production of high-energy, healing foods, from the meaning of human life to the amazing potential that awaits every one of us, from ancient megalithic science to the vital importance of breast-feeding, and from sacred sexuality to the hidden history of world religions.

Megre presents Anastasia's deep understanding of Mankind's innate spiritual connection to Nature and provides practical solutions to the problems currently facing humanity. He reveals her brilliant vision for the future of this planet, one full of hope and possibility. Her words of wisdom inspire and uplift in a way that has an immediate and profound impact on the reader.

"I cannot even begin to describe the depth of the effect Anastasia has had on me and I have only read Book 1. For the first time in my life I feel affirmed on a very deep level and feel free to be me. I am so excited to have discovered these books and am fully committed to doing what I can to help spread their message."
-- Mary Dwen, New Zealand

Ringing Cedars Press makes these books available to the English reader in a superb translation that preserves all the energy of the original.
The first book of the series, Anastasia, was released in February 2005.
Book 2, The Ringing Cedars of Russia, was released in June 2005.
Book 3, The Space of Love, was released in September 2005.
Book 4, Co-creation, was released in April 2006.
Book 5, Who are We?, was released in November 2006.
Book 6, The Book of Kin, was released in April 2007.
Book 7, The Energy of Life, was released in October 2007.
Book 8, The New Civilisation, is being prepared for release.

NOTE: These Books are NOT yet available in mainstream bookshops!

However you can CLICK on this link to Order your own copy of Anastasia now DIRECT from the PUBLISHER and start reading! Find out for yourself why everyone is getting so excited by these books!

The Ringing Cedars Series are changing the lives of millions of people, and they can change yours, too!

"If you read one book in your life, read Anastasia."
-- Duncan Roads, Publisher Editor NEXUS magazine

Autres liens: http://www.alternature.com/accueil.php?no_boucle=1&new_la...

samedi, 30 août 2008

Décoder les messages de son mode de vie et de ses dents

Nous vous recommandons chaudement les "Ateliers consultations Méthode Vilma Mazzolini" (http://www.acoeuracorps.net) au Canada : du18 mai au 31 mai 2009 et juillet 2009 :
. Montréal : Rens. Melle Abelly au (514) 962 9941 ou emmanuelle.abelly@hotmail.com
. Québec : Rens. Melle Isabel Simard (418) 529-0322 ou isabel@scene-sante.com

Journée & Soirée de découverte de la Psycho-généalogie Méthode Vilma Mazzolini®
Lors de cette journée, Vilma Mazzolini vous présente ses outils, et proposera un tirage au sort pour que l’un des participants puisse vivre un accompagnement en direct… L’heureux gagnant choisira de quelle manière il souhaitera voir aborder ses conflits… C'est une journée de découverte, donc moins approfondie qu’un atelier et à laquelle on reste soit le matin, soit toute la journée.
. Montréal : Du 18 au 31 mai 2009 - Juillet 2009 - Rens. Melle Abelly au (514) 962 9941 ou emmanuelle.abelly@hotmail.com

Ainsi que le formidable travail de Christian Beyer sur le décodage dentaire (www.dentsvivantes.net). Après le succès du séminaire au Mexique, une réédition est programmée du 12 au 24 septembre 2009 sur les sites du Yucatan …

vendredi, 29 août 2008

Gérard Athias et Jean-Philippe Brébion

Nous vous recommandons un stage formidable avec Gérard Athisa et Jean-Philippe Brébion au Sahara du 21 au 28 février 2009. http://jeanphilippebrebion.com

Rencontrer Son Unique Au cœur du Sahara

Six jours et sept nuits pour retrouver dans sa fonction minérale l’essence même de notre âme.

Ce séjour sera une alternance de marche, d’enseignement, de réflexion, de découverte et de partage.

LINA AUDY vous invite à participer à un voyage initiatique avec JEAN-PHILIPPE BREBION

Rien n'est dans le physique qui ne soit en même temps dans le métaphysique. C’est une grande vérité qui de tous les temps et tous les enseignements nous a été transmise. Analogiquement, c’est comme si le monde spirituel est l’ordinateur central, le monde physique la page imprimée, et les « décisions » sont faites avec un logiciel déjà installé en nous !
Ceci signifie que les toutes nos décisions sont prises dans le spirituel et que nous choisissons d’en faire l’expérience soit en conscience soit en biologie. Tous les dérèglements qu’ils soient émotifs, psychologiques ou physiques résultent donc de notre niveau de conscience.
Qu’est-ce qui vous passe par l’esprit ? Êtes-vous envahi de cynisme et de doutes ?
Ou bien encore dans quelque autre cul de sac de pattern de pensées ?
Aimeriez-vous vous faire la preuve de ce qui est avancé ici avec les évènements de votre vie et ce, sans vous dévoiler devant les autres ni souffrir ?
C’est ce que je vous propose.
Un voyage hautement initiatique en compagnie de Jean-Philippe Brebion qui, depuis toujours, œuvre à faire cette preuve et qui est maintenant prêt à partager ses découvertes avec nous. Au cours de ce voyage au cœur du désert, et dans des périodes spécialement réservées à cet effet, Jean-Philippe répondra à vos questions afin que vous fassiez par vous-même la lumière sur votre vie et que vous constatiez que, au-delà des apparences, Tout est Juste et Parfait !
Nous vous sommes reconnaissants de bien vouloir réserver dès maintenant car les places sont limitées.
C’est pour tout le monde !
Nous avons choisi un circuit
où le terrain est facile à fouler. La marche de deux heures par jour se fait avant midi afin de profiter de la fraicheur du matin.
C’est le grand confort !
Et pour ceux qui ont besoin
d’un petit répit, il y a
nos amis les dromadaires pour les porter !

jeudi, 14 août 2008

Urgences

RHUMES & OTITES:
Mettre de l'eau oxygénée (péroxyde) à 3% dans votre oreille ou celle de votre enfant en l'occupant pour qu'elle reste dans son oreille 1minute 30 à 2 minutes (il y aura des bruits de pétillement normaux au bout de 15 à 30 secondes). Puis changer d'oreilles et refaire 2 à 3 fois par jours selon l'efficacité obtenue. (Si l'enfant est trop petit ou bouge trop, vous pouvez mettre du coton remplis de péroxide dans l'oreille).

COUPURE OU PIQÛRE AVEC DU MÉTAL OU AVEC DE LA TERRE DANS LA PLAIE (contre le tétanos):
badigeonnez la plaie de chlorure de magnésium et faire prendre du chlorure de magnésium par voie orale 3 fois par jours sur 3 jours. (aucun virus du tétanos ne peut y résister, même si vous n'êtes pas vacciné!)

mardi, 01 juillet 2008

Symposium: "Transmission de la santé à travers les générations"

Nous avons le regret de vous annoncer que le symposium du 17 et 18 octobre 2008 a du être annulé pour cause de désistement de 3 de nos conférenciers pour des causes gouvernementales ou personnelles indépendantes de notre volonté.
Nous vous proposons de reporter ce symposium au printemps 2009 et vous aviserons des modifications éventuelles.
Cordialement, l'équipe de l'APN


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46d894f6b7c5926bcba45012511dc9f7.jpg4ième Symposium International en Santé et Périnatalité de Montréal
fin avril début mai 2009


But:

Rassemblement multidisciplinaire de chercheurs en santé, périnatalite, éducation et environnement pour actualiser les découvertes les plus récentes.


Objectifs:

. Offrir des outils pratiques aux professionnels de la santé et de la périnatalité.
. Offrir une formation essentielle au public, particulièrement aux parents et futurs parents pour préparer au mieux la conception d'un enfant, la grossesse, l'accouchement et le suivit de la petite enfance.



1) Thème pour 2008: " Transmission de la santé à travers les générations"

2) Programme: "printemps 2009, JOUR 1"

f64bfc4c672055ee5bacf4da73e3647a.jpg9h00 "Les sciences du début de la vie"

Par le Dr Eleanor Luzes, psychiatre, analyste Jungienne dédiée à la périnatalite "humaniste" au Brésil, traduite par Laura Uplinger








b62d41d1b1aa9c92d786800d64117230.jpg11h00 "L'art de la préconception et de l'accouchement vertical"

Par le Dr Eva Gundberg obstétricienne Venezuelienne se spécialisant dans les accouchements naturel avec 3 a 5 % de césarienne sur une population de très jeunes femmes sous stress prouvant que l'approche responsable, humaine et saine de la naissance peut permettre aux plus "stressées" d'accoucher "normalement" et sainement !



468126793122d852ec2fdecc2a3ca84e.jpg14h00 "Neurologie fonctionnelle et ostéopathie dans la consultation et les traitements des bébés en périnatalité"

Par Jean-Pierre Amigues, ostéopathe français, chercheur en neurologie et en ostéopathie, organisateur de symposium en ostéopathie et périnatalité, conférencier, enseignant international, auteur de nombreux ouvrages.
Il nous présente comment déceler et interpreter des troubles fonctionnels chez le bébé, l’enfant, l’adolescent et l’adulte. Pathologies fonctionnelles qui se mettent en place au cours de la vie fœtale, embryonnaire, au moment de l’accouchement et dans la période post natale.



• 16h00 "Table ronde"


"JOUR 2"

c1823bb41c6919ee98d88b5968525a56.jpg 9h00 "Héritage familial et prénatal"

Par Vilma Manzolini, psycho généalogiste francaise, animatrice de séminaires et conférencière internationale.









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482ba10aa39eaa722c28ca382a2b78e2.jpg11h00 "Et toi, comment as-tu été porté(e)?

Par le Dr Eduard Van den Bogaert, homéopathe belge de renom, auteur du grand dictionnaire collégial de décodage biologique des maladies, animateur de séminaires et conférencier international en décodage biologique, fondateur d'une méthode originale de libération de l'impact pathologique de certaines mémoires héréditaires.




bbc5d559efd6f98a87c05ae1764acdcb.jpg 14h00 "Conditionnement et liberté avant et après la naissance"

Par le Dr Natacha Kolesar, philosophe et directrice de l'Institut de Développement en Education Art et Loisir - ONG promouvant un écovillage dédiée à la famille en Colombie Britannique.





• 16h00 "Table ronde"



3) Porte parole (à venir)

4) Lieux: centre ville de Montreal, au relais montroyal, 500 avenue Mont-Royal Est à Montréal (accès par le Métro station "Mont-Royal")

5) Horaires: Vendredi et samedi, de 9h à 17h
Veuillez arriver à partir de 8h30 pour les inscriptions sur place

6) Modalités:
chaque conference sera précédée de magnifiques chants classique pour ouvrir nos oreilles aux messages des conférenciers.
Chaque conference durera 1h15, suivit d'une période de questions-réponses de 15 minutes avec l'assemblée.

7) Tarifs:
Pour les 2 jours: 120 $ sur réception du chèque avant le 20 septembre 2008 ou 150 $ après le 20 septembre
Pour une journée: 60 $ sur réception du chèque avant le 20 septembre 2008 ou 75 $ après le 20 septembre
Pour une demi-journée: 30 $ sur réception du chèque avant le 20 septembre 2008 ou 37,5 $ après le 20 septembre

Toute inscription sera validée par un chèque du montant correspondant, à l'ordre de "APN" et adressé au 1150 Boul. St Joseph Est # 208, Montréal, QC, H2J 1L5, (avant le 20 septembre pour bénéficier de réductions) par chèque ou en cash à l'entrée.

8)Commanditaires:
. Rose ou Bleu, http://www.roseoubleu.com/, magnifique magasin pour enfant au 3520 boulevard St Joseph a Montreal. Merci à vous pour être notre commanditaire depuis 2005!

9) Promotion:
(1) Émissions radiophoniques
(2) Émissions télévisées
(3) Publicité
(a) Universités et écoles des professions de santé
(b) Maisons de naissance
(c) Hopitaux et maternités
(d) Magasins d’articles pour les femmes enceintes et les nouveaux-nés
(e) Parution dans les quotidiens et dans les journaux spécialisés
(f) Liste ciblee de 14000 courriels

HISTORIQUE et témoignages

1) Symposium 2001

2) Symposium 2003

3) Symposium 2005: «Bien naître pour bien être» :

Cette année, le symposium qui s'est tenu à Montréal fin avril 2005, nous a offert une dimension nouvelle par l'emphase mis sur cette toute nouvelle science : la neurologie cognitive.
Dernière née des universités européennes, elle est à la croisé des chemins des neurosciences, de la biologie moléculaire, de la physique quantique, de la cognition sous toutes ses formes, de la phylogenèse, de l'ontologie, de la genèse humaine, ainsi que de l'embryologie. Ses effets concernent directement la santé globale de l'individu, de la famille et des générations entières, par l'émergence non seulement d'un révolution totale dans les lectures de la maladie, mais surtout par la mise en évidence de véritables principes novateurs en santé pure!

« Bien naître pour bien être » est la devise des symposiums de périnatalité qu’organise depuis 3 ans l’Institut en Santé et Périnatalité de Montréal. Cette année encore, cette rencontre réunissait de nombreux chercheurs internationaux qui nous offraient un véritable voyage initiatique dans le monde des couples, des parents et des enfants. Qu’ils oeuvrent sur de la matière physique ou sur des concepts psychologiques, qu’ils accompagnent des femmes enceintes ou des « enfants malades de leurs parents » tous ont compris que pour préserver la vie, quelle qu’elle soit, il faut agir au début de la vie et poser sur la santé un regard évolutif. Dans les années 90, le Dr DODSON affirmait que tout se joue avant 6 ans ; le passage au 21ème siècle nous a propulsé vers l’importance de la vie in utero que l’on peut suivre grâce aux ultrasons et qui nous montre que le fœtus est une personne. Dans un futur proche la science nous emmènera encore plus près du passé, c’est à dire aux premiers instants de création d’un être humain.

Le Pr. BRUCE LIPTON fait partie de ces chercheurs qui voient l’univers dans les cellules qu’ils observent. Enseignant universitaire aux États-Unis, il a orienté son travail sur les cellules souches qui représentent le potentiel de création de tout être vivant. La question qui se pose face à ces cellules originelles est de savoir qu’est-ce qui leur permet un jour de se spécialiser (donner une cellule osseuse, tandis qu’une autre va donner une cellule nerveuse, etc.). Ses conclusions viennent renverser les vieux schémas de la toute puissance génétique.

Dans la science classique, tout est contrôlé par les gènes et le mental n’a aucune influence sur le comportement du vivant. Le darwinisme privilégie l’hérédité comme source de nos caractères et L’ADN, comme le moteur de transmission de ce déterminisme. Cette conception a l’avantage de considérer l’être vivant comme une machine dont on pourrait remplacer les gênes défectueux grâce aux manipulations génétiques. Ce qui sous-entend que l’aide serait toujours extérieure et que nous aurions toujours besoin de notre garagiste génétique.

Les gènes servent à programmer les protéines, substances de construction de notre organisme. Selon cette théorie, ils seraient les architectes qui décident de la taille, des matériaux, du nombre de pièces de la maison qu’est notre corps.
En vertu de cette comparaison, on peut imaginer que plus l’immeuble est grand et complexe, plus il y aura d’employés dans le bureau de l’architecte pour travailler à ce projet. Or, les découvertes du génome, sur lequel le monde scientifique avait investi beaucoup d’espoir ces dernières années, sont décevantes. Le corps humain, ensemble harmonieux de trillions de cellules, a besoin de 25.000 gènes pour s’organiser tandis qu’un nématode, ce petit ver composé d’un millier de cellules à peine, possède 24.000 gènes.
Il semble donc que les gènes ne soient pas ce qui permet de définir la complexité et la suprématie de l’espèce humaine.

Le Pr. LIPTON s’est ensuite intéressé à ces protéines qui sont l’assemblage de quatre acides aminés basiques contenus dans l’ADN et qui sont l’équivalent des briques nécessaires à la construction de l’immeuble de notre organisme.
Dans cette optique, on peut garder la métaphore de l’architecte pour les gènes qui décident bien de la couleur des yeux, de la taille, etc., mais sans nous dire qui décide de cela. Les gènes seraient donc bien le programme mais, en aucun cas, le programmeur de cet agencement protéinique qui bouge et évolue pour donner les fonctions vitales. Certaines protéines régulatrices forment un manchon autour de l’ADN, ce qui empêche de lire les gènes. Elles sont une sorte de protection des informations primordiales (comme on préserverait un vieux parchemin du contact de la lumière ou de l’air pour éviter qu’il ne se désagrège). Lorsqu’il est nécessaire d’avoir une information, ces protéines libèrent l’accès à l’ADN pour faire une photocopie du gène adéquat qui va permettre, par le biais de l’ARN (sorte de lecteur du gène) de coder pour une nouvelle protéine mieux adaptée à la situation.


Mais comment savoir quelle protéine est la mieux adaptée ?

Dans notre comparaison avec la maison, comment l’architecte peut-il décider d’utiliser du bois ou des façades métalliques pour réaliser le bâtiment ? Il va le savoir en vous écoutant, en percevant vos besoins, vos désirs, vos goûts afin de pouvoir réaliser ce qui vous sera le plus adapté, à ce moment-ci de votre existence. Il se peut que vous adoriez les maisons en briques à 30 ans et que vous préfériez la chaleur du bois à 50. Il devra s’adapter à vos besoins.

Bruce LIPTON a mis en évidence que les protéines sont, en fait, ce qui va moduler les choix de réaction cellulaire. Oui. Elles sont sensibles à un signal extérieur. Ce sont elles qui écoutent nos besoins et lorsqu’elles perçoivent une modification du milieu extérieur, par exemple besoin de sucre ou besoin d’oxygène ou sensation de plaisir ou de douleur, elles vont décider d’aller lire le gène adéquat pour obtenir la meilleure réaction chimique face au besoin entendu. L’ADN serait dans ce cas passif, il n’est là que pour être lu, comme le vieux parchemin ; il est une source de référence, sorte de mémoire originelle de l’univers qui ne détermine rien mais qui offre la possibilité du tout. Cela s’appelle « un contrôle cellulaire épi génétique » c'est-à-dire au dessus de la génétique, qui est la base même de la nouvelle science.
Cette vision d’une matrice animée par un signal extérieur vient rejoindre les dernières données de la physique quantique dont la notion principale est que rien n’existe en soi sans la participation de l’observateur. Inné et acquis peuvent donc avancer main dans la main sur le chemin de l’évolution. « L’acquis peut être changé et l’inné réécrit par la prise de conscience ».

Qu’est ce qui influence notre perception de l’environnement ?

Toujours selon le Pr. LIPTON, il existe trois choses qui peuvent influencer le signal reçu par la cellule. La première est de l’ordre traumatique, physique, la seconde d’ordre toxique, chimique et la troisième purement mentale.
« L’esprit influence la matière » est un postulat bien connu des traditions spirituelles ; les travaux de Bruce LIPTON ont fait le chemin inverse pour montrer la réaction de la matière à l’esprit. Le développement des sciences cognitives et du fonctionnement du cerveau ont permis d’affiner les origines de la pensée. Ainsi, 85 à 95 % de notre fonctionnement se fait en pilotage automatique grâce au cerveau archaïque, qui permet de réguler les fonctions vitales sans avoir à y réfléchir. Les programmes de ce cerveau qui nous laisse libre de parler du dernier film tout en conduisant ou en faisant la cuisine, viennent de l’apprentissage des générations précédentes, autant humaines qu’animales. C’est un programme performant, mais qui ne conduit qu’à des habitudes bien confortables et instinctives mises en place par observation de notre environnement. Nous savons maintenant que le nouveau-né, et aussi le fœtus, sont de véritables récepteurs de sensations. Leur cerveau fonctionne en ondes delta, comme si le bébé n’était qu’un observateur derrière une vitre, sans possibilité d’agir sur le monde qu’il perçoit.

Tout l’environnement psychologique autour de la grossesse laisse une empreinte que le cerveau archaïque va ensuite relire sans cesse, telle une disquette efficace. Si la mère a une réaction de peur en voyant une araignée, l’enfant enregistre cette réaction comme LA réaction appropriée, puisqu’elle vient de sa mère.

On sait que la stimulation sensorielle est primordiale pour le développement psycho moteur de l’enfant. Mais il apparaît désormais certain que cela commence bien avant de pouvoir concrètement toucher ou embrasser ou regarder bébé. Puisque nos cellules réagissent à des perceptions extérieures, nos comportements seraient issus de situations vécues dans les premières années de notre vie.
Ce concept a été largement élaboré par Marc FRÉCHET, psycho clinicien français aujourd’hui décédé, dont les travaux ont été repris par le Dr Claude SABBAH sous la forme du Projet Sens. Cette notion met en évidence l’importance des pensées lors de la conception d’un enfant, le pourquoi nous faisons un enfant, consciemment, mais surtout inconsciemment, l’importance du vécu et du ressenti des parents et de l’entourage pendant la grossesse et bien sûr de ce qui se passe et se vit à l’accouchement. Cette période s’étend jusqu’à la première année de vie pour certains, pour d’autres elle peut aller jusqu’à 18 mois voire 2 ans, toujours du fait de cette plasticité cérébrale du nouveau-né. Toutes les disquettes mises en place à cette période sont comme nos programmes par défaut. Tant qu’ils fonctionnent, nous ne sentons pas le besoin de changer la taille des caractères ou la police pour écrire notre vie. Mais quand la maladie ou des troubles comportementaux apparaissent, ou que nous en sommes à notre nième divorce ou licenciement, c’est que nous fonctionnons avec un Windows 98 à l’heure du XP. Cela ne veut pas dire qu’il faille se moderniser, mais cela signifie qu’il y a discordance entre le hardware et le software. Le travail sur le Projet Sens met en évidence une intime relation entre les troubles d’apprentissage scolaire et les stress ressentis par les parents durant la période périnatale. Le nouveau-né et le fœtus apprennent par perception et plus tard, l’enfant apprend en relisant les disquettes initiales et non pas selon ce que lui dit le professeur. L’étude du Projet Sens montre également l’importance de l’inconscient parental sur nos choix professionnels et amoureux. Nous pouvons donc souhaiter comme le propose Claude SABBAH, que
« l’homme du troisième millénaire nettoie les programmes pour passer de l’ignorance à la connaissance.»

Nous sommes ce que nous pensons.
Tous ces chercheurs parlent de la même chose, chacun utilisant son expertise qu’elle soit au niveau de l’infiniment petit cellulaire ou de la psychologie, pour montrer que nous sommes ce que nous pensons. La physique quantique valide de telles notions car elle nous apprend aujourd’hui que rien n’existe en soi, que tout est modulé au niveau subatomique par le regard de l’observateur. Nous participons donc à la création de la vie.

Au niveau de la grossesse, cela veut dire que nous ne sommes pas uniquement actifs pour qu’un ovule et un spermatozoïde se rencontrent. Toutes nos attitudes, joies et peurs vont influencer le bébé non seulement dans sa psyché, mais bel et bien aussi dans son corps. Beaucoup de ses réactions seront modulées et apaisées par un environnement favorable au couple parental. Parfois, lorsque les événements sont trop durs à vivre, il se peut que les parents basculent en pilotage automatique et qu’ils envoient des messages dysfonctionnels. Ils ne sont pas responsables des maladies transmises à leur enfant et il est primordial de le répéter à tous ceux qui ont donné vie à des enfants ayant des maladies congénitales. Aucun parent au monde ne veut que son enfant soit malade. Tous les messages dits « maladisants » étant gérés par le cerveau archaïque, ils peuvent être reformulés par le néo cortex en les ramenant à la conscience.

Le Dr SABBAH a cité des cas de malformations in utero repérées à l’échographie et qui avait disparu à la naissance suite au travail de reprogrammation biologique. Les recherches de ces innovateurs nous amènent ainsi à conclure que les maladies génétiques n’existent pas. Elles sont de simples erreurs de fonctionnement ponctuel, donc reprogrammables, sans déterminisme absolu. « Nous avons plus de pouvoir que ce qu’on nous a dit » affirme Bruce LIPTON. Cette vision pourrait être bien dérangeante, certes, mais elle est aussi source d’une nouvelle idée de notre « bien naître. » Ce que confirme Le Dr David CHAMBERLAIN, psychologue américain en disant « de toutes façons le bébé sait tout et tout le temps.» Cette révélation sera une évidence pour les générations futures mais demande que nous, parents et grands parents, éducateurs et personnels de la périnatalité et ex-enfants arrêtions de nous mentir !



Isabelle BURNIER
www.consciencecellulaire.com

références:
www.brucelipton.com
www.biologie-totale.org


(F.A.)

vendredi, 30 mai 2008

Harmoniser son habitat: des solutions pratiques!

La Maison-Miroir ou le Feng shui à l’Occidentale

par Thierry Seurre


Le Feng Shui, tel que nous le connaissons dans notre société occidentale, est un art de la Chine ancienne qui signifie « vent et eau » et qui date d’environ 2500 ans.

Utilisé à son origine dans les cimetières pour la disposition des tombes, il s’est étendu par la suite aux demeures des vivants, abordant la maison sous l’angle de l’énergie vitale.

Cette notion d’énergie vitale est importante quand on sait que la qualité de l’énergie qui circule dans une maison peut affecter notre bien-être en tant qu’habitant. Mais encore faut-il adapter cette discipline à l’être humain de notre époque et surtout à notre mode de vie et de pensée occidentales.


C’est ce que propose la Maison-Miroir ou le Feng shui à l’Occidentale qui est un prolongement et une réactualisation du Feng Shui traditionnel. Son principe de base consiste à harmoniser la circulation de l’énergie dans une maison (un logement ou un bureau) et à équilibrer les polarités (Yin/Yang ou Féminin/Masculin). Son originalité réside dans le fait que la Maison-Miroir considère notre maison comme étant un moyen de mieux se connaître et ce, grâce à l’image-miroir qu’elle nous renvoie de nous-mêmes (voir à ce sujet le livre de Luc Antoine La Maison-Miroir ou le Feng Shui à l’Occidentale paru aux Eds De Mortagne).


Le phénomène miroir part du principe qu’on ne peut être « touché » que par quelque chose qu’on porte en soi, et que toutes les personnes que nous rencontrons – et situations que nous vivons – ne sont pas le fruit du hasard. Qu’elles soient agréables ou désagréables, elles nous reflètent, comme un miroir, les bonnes et les moins bonnes parties de nous-mêmes.

Ainsi, une personne qui nous émerveillera par une qualité, nous reflètera que cette même qualité est en train de se réveiller en nous et qu’il est temps de la cultiver. De même, une personne qui nous énervera au plus haut point nous montrera qu’il est urgent de transformer le défaut qu’elle nous reflète.

(pour en savoir plus sur le phénomène miroir, voir le livre de Pierre Lassalle : Astrologie et relations humaines aux Eds De Mortagne)


En ce qui concerne la maison, c’est la même chose. Notre maison est porteuse de « qualités » et de « défauts » dont nous sommes également porteurs intérieurement.


Pour mieux comprendre ce principe, nous nous appuierons sur la polarité et prendrons comme exemple le cas d’une maison « ouverte » et d’une maison « fermée ».

Une maison « ouverte » pourra être caractérisée par les éléments suivants : maison à 1 niveau, grandes fenêtres, absence de clôture entourant le terrain, pas ou peu de séparation entre les pièces de vie, pas d’entrée, salon donnant directement sur la rue, etc.

En positif, ce type de maison renverra à ses occupants des qualités d’ouverture, d’écoute et d’accueil envers les autres. En négatif, ils pourront avoir tendance à se disperser et avoir des problèmes de concentration.

Une maison « fermée » pourra être caractérisée par les éléments suivants : maison à plusieurs niveaux, petites fenêtres, clôture importante entourant la maison, présence d’une entrée, pièces de vie séparées les unes des autres, etc.

En positif, ce type de maison renverra à ses occupants des qualités de concentration et une capacité à ne pas se laisser influencer par les autres et à délimiter leur propre espace. En négatif, ils pourront avoir tendance à se refermer sur eux-mêmes et à rejeter les autres.


Mais l’image-miroir ne s’arrête pas là puisqu’elle prend également en compte tous les « incidents » qui peuvent arriver dans une maison ou un logement : Coupure de courant, problèmes de ventilation, inondations, humidité, égouts bouchés, fissurations, etc. et qui sont reliés aux quatre éléments que sont le feu (qui représente le potentiel créateur dont chaque être humain dispose), l’air et l’eau (qui correspondent à la façon dont l’énergie circule en nous) et enfin la terre (qui symbolise la manifestation de l’énergie dans la matière).


Par exemple, un court-circuit symbolisera une colère refoulée ou un refus d’utiliser son énergie (feu); un problème de téléphone révèlera un problème de communication (air), un égout bouché pourra traduire une difficulté à laisser l’énergie circuler librement en soi (eau); la présence de fissures dans la structure pourra indiquer un refus de changer certaines choses en soi ou une difficulté à manifester un projet qui nous tient à cœur (terre); etc.


La Maison-Miroir prend également en compte la symbolique des pièces dans la maison : L’entrée, par exemple, représente le lien entre l’intérieur et l’extérieur et symbolise la façon dont nous gérons nos relations sociales. Vaste et lumineuse, elle reflètera pour ses habitants une qualité d’ouverture et d’accueil vis à vis des autres. Petite et sombre, elle pourra refléter un besoin de se protéger de l’extérieur.


S’ouvrir à l’image-miroir que nous renvoie notre lieu de vie, permet d’établir une relation consciente avec notre environnement. Elle invite à se questionner afin de découvrir pourquoi nous vivons dans telle type de maison plutôt qu’une autre.

En apprenant ainsi à « communiquer » avec elle et à en décoder les messages, nous pourrons alors découvrir quelles qualités nous devons développer pour rééquilibrer notre énergie et celle de la maison. Il ne restera plus alors qu’à passer à l’action en toute conscience en faisant les transformations souhaitées (peinture, réaménagement de l’espace, agrandissements,etc.)

Dans notre exemple de la maison « ouverte », il pourra s’agir simplement de déplacer quelques meubles pour canaliser l’énergie ou repeindre telle pièce d’une couleur chaude. Dans le cas de la maison « fermée », il suffira d’améliorer l’éclairage de l’entrée ou de la repeindre d’une couleur claire pour qu’elle soit plus accueillante.


Dans le cas d’une construction neuve, il sera intéressant de faire un bilan des « qualités » et « défauts » de l’ancien lieu d’habitation afin de pouvoir en tenir compte lorsqu’il s’agira de faire la conception et l’implantation de la nouvelle maison.


Aucune maison n’est parfaite et pour qui s’intéresse à ses messages, elle devient alors un terrain de jeu riche en prises de conscience. Seul notre désir de nous améliorer et de comprendre l’image-miroir qu’elle nous renvoie fera naître en nous une créativité insoupçonnée. Celle-ci nous permettra alors de transformer notre maison en un lieu vivant qui nous ressemble en profondeur.




Thierry Seurre est technologue professionnel en architecture et consultant en Feng Shui à l’Occidentale. Pour toute information, vous pouvez le joindre au (450) 670-3573 ou par courriel :

tseu @delasagesse.qc.ca (www.delasagesse.qc.ca/fengshui.htm)

jeudi, 22 mai 2008

URGENCES GRAVES

. Cellulaire In Case of Emergency:

Les ambulanciers ont remarqué que très souvent lors d'accidents de la route, les blessés ont un téléphone portable sur eux. Toutefois, lors des interventions, on ne sait jamais qui contacter dans ces listes interminables de contacts.
Les ambulanciers ont donc lancé l'idée que chacun d'entre nous rentre dans son répertoire, la personne à contacter en cas d'urgence sous le même pseudonyme. Le pseudonyme international connu est « ICE » (= In Case of Emergency).
C'est sous ce nom qu'il faut entrer le numéro de la personne à contacter, utilisable par les ambulanciers, la police, les pompiers ou les premiers secours.
Lorsque plusieurs personnes doivent être contactées on peut utiliser ICE1, ICE2, ICE3, etc. Facile à faire, ne coûte rien et peut apporter beaucoup. Si vous croyez en l'utilité de cette convention, faites passer le message afin que cela rentre dans les mœurs.

. Accident Vasculaire Cérébral

Un neurologiste a dit que s'il pouvait soigner une personne victime d'une attaque cérébrale à l'intérieur de 3 heures, il pouvait renverser totalement les dommages.... totalement !
Il a dit qu'il est assez difficile de reconnaitre une attaque cérébrale, la diagnostiquer et emmener le patient à l'hôpital à l'intérieur de 3 heures.
RECONNAITRE UNE ATTAQUE CÉRÉBRALE :

Reconnaître les symptômes d'un AVC : Poser trois questions très simples à la personne en crise :
1. * Lui demander de SOURIRE. S * (smile)
2. * Lui demander de lever LES DEUX BRAS. R* (raise both arms)
3. * Lui demander de PRONONCER UNE PHRASE TRES SIMPLE , avec cohérence. T * (Talk) (ex. Le soleil est magnifique aujourd'hui).
4. * Tirer la langue ! Demandez à la personne de tirer la langue. Si la langue est croche, si elle va plus d'un côté que de l'autre, c'est aussi une indication d'une attaque cérébrale.

Si la personne a de la difficulté à exécuter l'une ou l'autre de ces tâches, appelez immédiatement le 911 et décrivez les symptômes à la personne au bout de la ligne.


Cela peut servir ! Prenez quelques minutes pour lire ceci et peut-être sauver une vie et contribuer à faire connaître le danger que représente l'Accident Vasculaire Cérébral.
Lors d'un barbecue, Julie trébuche et fait une chute. Elle affirme aux autres invités qu'elle va bien et qu'elle s'est accrochée les pieds à cause de ses nouveaux souliers. Les amis l'aident à s'asseoir et lui apportent une nouvelle assiette.
Même si elle a l'air un peu secouée, Julie profite joyeusement du reste de l'après-midi...
Plus tard le mari de Julie téléphone à tous leurs amis pour dire que sa femme a été transportée à l'hôpital.....Julie meurt à 18h. Elle avait eu un Accident Vasculaire Cérébral lors du barbecue. Si les personnes présentes avaient été en mesure d'identifier les signes d'un tel accident, Julie aurait pu être sauvée. Un neurologue dit que s'il peut atteindre une victime d'AVC dans les trois heures, il peut renverser entièrement les effets de la crise. Il affirme que le plus difficile est que l'AVC soit identifié, diagnostiqué et que le patient soit vu en moins de trois heures par un médecin.

dimanche, 04 mai 2008

Préserver l'essentiel!

8 MINUTES (Auteur inconnu - merci a Sonia Pasqualetto)

Une femme pauvre avec un enfant dans les bras, passe devant une caverne. Une voix mystérieuse lui dit: Entre et prend tout ce que tu désires, mais n'oublies pas le principal. Après que tu sois sortie, la porte se fermera à tout jamais, profite de l'opportunité, mais n'oublie pas le principal.

La femme entra dans la caverne et y trouva beaucoup richesses. Fascinée par l'or et les bijoux, elle déposa l’enfant par terre et commença à amasser tout ce quelle pouvait dans son tablier. La voix lui rappela : " Tu as seulement huit minutes "

Les huit minutes épuisées, la femme chargée d'or et de pierres précieuses, courut hors de la caverne. L’enfant était resté à l’intérieur et la porte était fermée à tout jamais.

La richesse dure peu et le désespoir, toujours.
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La même chose, parfois nous arrive. Nous avons quelques 80 ans pour vivre en ce monde, et toujours une voix nous rappelle: " N’oublie le principal!"

Quel est le Principal pour toi ?

Les valeurs spirituelles, la foi, la vigilance, la famille, les amis, la vie, l’appât du gain, la réussite sociale. Les plaisirs matériels nous fascinent tellement que le principal reste toujours de côté.

Ainsi nous épuisons notre temps ici bas et nous laissons de côté l'essentiel: "Les trésors de l'âme"

Nous ne devons jamais oublier que la vie en ce monde passe rapidement et que la mort arrive de façon inattendue. Lorsque la porte de cette vie se fermera pour nous, les lamentations ne serviront plus à rien.

Nous vivons dans un monde rempli de problèmes, d’angoisses, de corruption, d’injustices où à chaque jour meurent des innocents, tout cela arrive parce que nous avons oublié le principal...

L’Amour, La Paix, L’Humilité, La Sincérité, La Pureté et l’Innocence de l’enfant etc ….


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« Sois heureux à chaque moment de ta vie, éprends-toi d’Elle. La vie est la façon que Dieu a pris pour se manifester sur terre. L’Amour en est le moteur »

jeudi, 01 mai 2008

Une enfant a la rescousse de l'humanite

Discours d’une jeune canadienne de 13 ans à une rencontre de l’ONU en Amérique du sud (Sous-titrage en français) par Severn Cullis-Suzuki (fille du célèbre David Suzuki) s’adresse à l’ONU en 1992.



1762b134d8e4b921c9166b036858a1bc.jpg Severn Cullis-Suzuki est une activiste écologique, conférencière et présentatrice de télévision.
Elle est née en 1979. Elle est la fille de l'écrivain et ancien professeur à l'université de Harvard, Tara Elizabeth Cullis et du généticien canadien David Suzuki. En 2002, Severn Cullis-Suzuki obtient un B. Sc. en Ecologie et Biologie Evolutionnaire à l'université Yale.
Elle a tenu plusieurs conférences de part le monde sur les questions environnementales. Pendant ces conférences, elle incite ses auditeurs à définir leurs valeurs, agir en pensant au futur de la planète et les invite à prendre leurs responsabilités sur le sujet.
En 1992, alors âgée de 12 ans, Severn Cullis-Suzuki et ses camarades de classe ont réuni des fonds pour assister au Sommet de la Terre à Rio De Janeiro. Lors de celui-ci, elle fut ovationnée par les participants à la suite de son discours1 lors d'une session plénière.
Au printemps 2002, Severn Cullis-Suzuki a participé au lancement d'un Think tank nommé The Skyfish Project. Elle est membre du Special Advisory Panel de Kofi Annan lors du Sommet de la Terre de Johannesburg en août 2002. A cette occasion, les membres du Skyfish Project ont proposé un projet nommé "Recognition of Responsibility".
En 1993, elle a publié aux éditions Doubleday un fascicule2 décrivant des étapes simples pour la protection de l'environnement dans les familles.
Severn Cullis-Suzuki a présenté plusieurs émissions de télévision dont le Suzuki's Nature Quest, un programme destiné aux enfants et diffusé sur la chaîne Discovery Channel en 2002.

samedi, 26 avril 2008

De 6 à 9 mois de grossesse

C'est le temps du raffinement des organes des sens, du développement fin du système nerveux, de la mise en place des poumons et du développement du cerveau.
Pour la maman, c'est le temps de l'expression!
Tout les arts sont de la fête et les maman sont invité à un rendez-vous avec le meilleur de leur céativité: album photo, peinture, décoration, cuisine, jardinage, couture, tricots, tous les arts et artisanats sont les meilleurs stimulant de leur propre système nerveux et par conséquent sont des stimulateurs harmonieux du développement du système nerveux de l'enfant. Le chant prénatal recommandé avant même la conception est particulièrement recommandé en fin de grossesse seule, avec le père, la famille et les amis... à tout moment!
De plus, une insistance sur la consommation d'oméga 3 dont les meilleurs sont dans les sardines et les petits poissons gras des mers du nord est très favorable au bon développement du cerveau.
Les lectures inspirantes, les échanges intellectuels, artistiques, culturels, spirituels sont les plus recommandé pour créer la meilleure ambiance pour finir d'habiller de belles vertus cet amour de bébé qui finit de se vêtir du corps que lui tisse sa maman!

De 3 à 6 mois de grossesse

C'est l'ébauche des organes des sens et du système locomoteur. C'est donc le temps de la mise en place de tout le système de relation! Le 2ième feuillet embryonnaire appelé mésoderme ancien et nouveau de développe pour permettre d'interagir avec l'univers, sa maman, 1ier de tout ses univers et son papa, puis l'ambiance "épi génétique" qui va commencer à influencer sérieusement son développement et la prise de caractères qui lui permettrons de s'harmoniser au mieux avec sa famille, son époque et son milieu de vie.
C'est le temps de développer sa vie relationnelle dans la grossesse en sortant le plus souvent possible rencontrer la nature, les arbres, les fleurs, les rivières, le vents, le soleil! Mais aussi, le meilleurs de sa culture (musique harmonisante (voir "l'effet Mozart"), beaux tableau, spectacle de danse harmonieuses traditionnelles des pays ou classique, la poésie, la belle architecture, le théâtre élevant...) mais aussi ses amis, sa familles en leur demandant de prendre soin de vous, de vous faire rire, de vous enchanter comme cela est la tradition dans nombres de cultures anciennes!

De la conception à 3 mois de grossesse

L'embryon se développe avec une force toute puissante, in influençable par rien au monde sauf la modification de certaines protéines (IGF 1 et 2) qui annulent la grossesse ou laisse le processus se continuer. L'embryon répond à la loi du tout ou rien: ça marche ou ça arrête.
L'intensité de "l'explosion" cellulaire augmente considérablement l'intensité de vie dans le ventre des maman qui le subissent le plus souvent comme un tourbillon occasionnant les mêmes nausées qu'un manège.
C'est le moment d'intensifier sa vie par plus de marche, de mouvements, d'intensité de vie en qualité.
D'autre part, le principal besoin de l'embryon est une nourriture liquidienne abondante et de bonne qualité. Tout en différenciant ces principaux tissus, c'est surtout le temps de la mise en place des tissus d'absorption, de digestion et d'élimination qui se développent et se raffinent pendant la vie embryonnaire.
Ainsi il faut par mimétisme et pour soutenir son enfant lui offrir une qualité nutritionnelle sur 3 niveau: alimentaire et physique (mouvement, marche, natation...) émotionnelle (en se nourrissant de beau films, musiques, arts et tut ce qui est beau et structurant (voir les travaux de Masaru Émoto sur l'eau)) et psychique (en développant des idées d'accueil, de respect, d'attentions, de liberté et toutes les qualités les meilleurs dont on souhaite revêtir son enfant).

C'est la phase du plus grand contact avec la vie, le souffle de vie comme l'appellent les ostéopathes traditionnels! La vie embryonnaire est le temps de renouer avec les forces les plus intenses et primordiales e l'univers qui nourrissent, soutiennent inconditionnellement et engendre l'univers au complet!

Ostéopathiquement c'est le temps de dgager son système digestif et lymphatique encore très accessible pour bien nourrir l'enfant en bourgeonnement.

La période des coliques, adieu l'impuissance!

Le 4ieme trimestre de la grossesse: la vie du nourrisson!

Article sur les colique et leurs solutions pratiques issue de Carrefour Famille (http://www.carrefourfamilles.com/index.php?action=rechercher&option=recherche&affichage=true&AffUnArtc=true&noArticle=6902):

Vous êtes assis dans une salle de spectacle et l’humoriste arrive en scène. « Vous voulez avoir du fun? » qu’il demande. Toute la salle répond « Oui! ». « Voulez-vous rire? » . Vous répondez tous encore « Oui! ». « Bien, sortez d’ici, c’est pas la bonne place». Classique. Et pourtant, ce n’est pas drôle.

Reprenons vous et moi l’exercice, ça va être meilleur, je vous le promets. « Voulez-vous avoir le bébé le plus heureux du monde? » Oui! « Voulez-vous arrêter de vous sentir impuissant devant ses pleurs incessants? » Oui! Alors gardez bien ce texte entre vos mains et poursuivez la lecture.

En Amérique du Nord, tout le monde connait les coliques et se trouve chanceux si son bébé n’en souffre pas. Mais saviez-vous que les coliques n’existent pas chez plusieurs cultures autour du globe? Notre culture si évoluée sur de nombreux plans est plutôt arriéré en ce qui concerne les besoins des bébés.

En tant que parent, votre principale tâche consiste à aimer votre bébé de toutes vos forces. Une fois que vous aurez manifesté votre affection, deux autres devoirs importants vous attendent : nourrir votre bébé et le consoler quand il pleure. Heureusement, nourrir un bébé est généralement assez simple. La plupart des nourrissons semblent naître dotés d’un doctorat en succion! Par contre, consoler un bébé qui pleure peut s’avérer une mission redoutable.

QU’EST-CE QUE LES COLIQUES?
Selon les estimations, un bébé sur cinq manifeste à répétition un caractère difficile sans raison apparente. Ainsi, chaque année, 100 0001 magnifiques bébés canadiens crient à en avoir le visage tout rouge et les yeux tout ridés.

En 1982, le Dr T. Berry Brazelton a demandé à quatre-vingt-deux femmes de noter le nombre d’heures que leur nourrisson normal et en bonne santé passait à pleurer chaque jour, durant les trois premiers mois de sa vie. Dr Brazelton a découvert qu’à deux semaines, 25% des bébés pleuraient pendant plus de deux heures par jour.
Vers six semaines, 25% pleuraient pendant plus de trois heures quotidiennement.
De façon rassurante, il s’est aperçu que vers trois mois, la plupart des bébés avaient terminé leur période difficile et peu d’entre eux pleuraient plus d’une heure par jour. C’est la raison pour laquelle depuis ce temps certains médecins appellent cette période les « coliques de trois mois ».

On parle aussi de la « Règle de trois » c’est-à-dire qu’on considère qu’un bébé a des coliques s’il pleure au moins trois heures par jour, trois jours par semaines et trois nsemaines d’affilée. Mais plusieurs parents ne sont pas d’accord avec cette règle, et pour eux la vraie définition est la suivante : un bébé a des coliques s’il pleure tellement que sa pauvre maman a besoin de trois bonnes d’enfants, de trois vodkas et de trois paires.

POURQUOI LE BÉBÉ A-T-IL DES COLIQUES ?
D’abord, les bébés naissent trois mois trop tôt. Contrairement aux bébés chevaux dont la survie dépend d’un corps solide et fort, la survie du bébé humain repose sur un gros cerveau intelligent. Le bébé humain naît à 9mois car attendre plus serait une mission impossible à l’accouchement pour laisser passer une tête qui a continué de grossir. Au moment de la naissance et durant les trois mois suivants, les bébés ne voudront pratiquement rien de plus que d’être transportés et cajolés et de retrouver les sensations de l’utérus. La plupart des bébés ont besoin d’un supplément de trois mois afin de «s’éveiller» et de devenir des partenaires actifs dans la relation qu’ils entretiennent avec vous. C’est ce qu’on appelle le quatrième trimestre.

Donc, sur bien des plans, votre bébé est davantage un foetus qu’un nouveau-né. Il lui faudrait la possibilité de retourner dans l’utérus dès qu’il est dérouté. Mais puisque nous ne sommes pas des kangourous, vous pouvezau moins offrir à votre bébé les sensations confortables dont il profitait vingt-quatre heures par jour dans l’utérus. Dans votre utérus, votre bébé était enveloppé par les chaudes parois de l’utérus, recroquevillé dans la position foetale, et presque toute la journée, il se faisait bercer doucement. Il entendait continuellement le son « shhhhhh », juste un peu plus fort que l’aspirateur. Depuis des milliers d’années, les parents savent qu’ils peuvent réconforter leur nouveau-né en reproduisant les conditions de l’utérus. Reprenons chacun
de ces éléments.

L’EMMAILLOTEMENT : LES CHAUDES PAROIS DE L’UTÉRUS
Un emmaillotement qui épouse parfaitement son corps est la première étape essentielle pour calmer votre bébé et le maintenir dans un état paisible. Son désir d’être constamment touché est satisfait et il retrouve la sensation de votre utérus qui épousait parfaitement son corps. L’emmaillotement met fin aux acrobaties incontrôlées des membres inférieurs et supérieurs de votre petit, pouvant mener à une crise de larmes.

Quelques trucs : utilisez une grande, grande couverture carrée, l’ajustement doit être serré, les bras de votre bébé doivent être dépliés, pas de couverture qui touche la joue.

Demandez à une grand-maman de vous montrer comment faire.

SUR LE CÔTÉ OU SUR LE VENTRE : LA POSITION FOETALE
La position ventrale ou latérale interrompt une stimulation tout aussi contrariante qu’imperceptible : l’impression terrifiante de tomber. Cette impression est en fait un réflexe, le réflexe de Moro. Il peut aussi se déclencher chez un adulte quand, par exemple, celui-ci s’endort dans un fauteuil et que sa tête retombe soudainement en arrière. Il s’en suivra le réflexe de Moro, un réflexe de sursaut.

En interrompant le réflexe de Moro par la position ventrale ou latérale, votre bébé se sentira mieux. Par contre, lorsqu’ilest temps de mettre au lit votre poupon, la position dorsale est préférable car c’est la plus sécuritaire pour tous les bébés.

Dans certaines régions du monde, les mères attentionnées ne laissent jamais leur bébé dans une position où il est complètement étiré. Dans leur culture, c’est la position associée aux morts. Les nouveau-nés sont plutôt pelotonnés de manière bien compacte en position assise et suspendus au plafond; ils dorment comme de petits Bouddhas flottants.

Ailleurs, d’autres cultures n’aiment pas que leur bébé quitte leur bras même un seul instant. Leurs petits sont heureux blottis toute la journée dans les bras de leurs parents, en position debout ou repliée, même quand ils dorment.Nous aurions avantage à regarder comment les mères et les pères s’en tirent ailleurs. Nous pourrions alors nous inspirer de cultures qui ont su garder les connaissances ancestrales pour prendre soin des bébés.

LE MOUVEMENT : SE FAIRE BERCER DOUCEMENT DANS L’UTÉRUS
La plupart des bébés aiment bien la position dorsale quand ils sont de bonne humeur. Toutefois, quand votre bébé pleure, dans cette position, il pourrait avoir l’impression d’être en chute libre et en conséquence, le réflexe de Moro pourrait être déclenché, se manifestant d’abord par l’agitation et les pleurs.

Les nouveau-nés sont comme des marins qui arrivent au port après neuf mois passés en mer. Le calme soudain peut les déstabiliser. Ainsi, les parents recourent souvent à un mouvement rythmé et répétitif (bercement) pour calmer leur bébé. Pour faire cesser les cris du bébé, le bercement doit d’abord être vigoureux pour se transformer ensuite en un mouvement plus doux qui l’aidera à rester calme.

LE SON « SHHHHHH »
Croyez-le ou non, un chuintement fort et persistant constitue une véritable mélodie à l’oreille de votre bébé. Le son shhhhhh le réconforte puisque c’est le bruit que fait votre sang circulant dans vos artères. Le niveau sonore atteignait entre quatre-vingt et quatre-vingt-dix décibels dans votre utérus, soit davantage qu’un aspirateur en marche! Votre bébé a entendu ce ronronnement assez puissant à tout instant pendant les neuf mois qu’il a passé dans votre ventre. C’est la raison pour laquelle de nombreux ouvrages recommandent de faire fonctionner des appareils électriques qui émettent un ronron pour apaiser les nouveau-nés qui pleurent.

Les parents ont su trouver le bruit blanc correspondant à leur enfant: sèche-cheveux, ventilateur de chambre, radio réglée entre deux stations de diffusion pour obtenir un bruit atmosphérique, système hydraulique d’un aquarium, aspirateur, de l’eau qui s’écoule, sécheuse enmarche avec des espadrilles à l’intérieur, lave-vaisselle.
Soyez inventifs!

De nombreux bébés dorment mieux et plus longtemps quand un bruit blanc est diffusé toute la nuit. Douze heures par jour de bruits blancs représentent pour le nouveau-né une réduction de cinquante pour cent du temps par rapport au milieu utérin. Vous n’avez pas à craindre que votre bébé ne devienne dépendant du bruit puisque il l’est déjà! Pourquoi? Parce que dans votre utérus, pendant neuf mois, il a entendu un chuintement continuel intense.

LA SUCCION : LA CRÈME SUR LE GÂTEAU
Quand les quatre premières étapes commencent à produire leur effet votre bébé est prêt pour le traitement ultime : la succion. La succion augmente l’efficacité des quatre étapes précédentes. Le bébé, qui a commencé à se calmer, atteint alors un stade de profonde tranquillité. La succion agit au niveau du système nerveux de votre bébé. Elle déclenche un réflexe calmant et relâche des agents chimiques dans son cerveau, l’amenant en quelques minutes à un profond degré de relaxation très agréable.

Le sein de la mère constitue le meilleur objet de succion au monde. Vous ne retrouverez rien en pharmacie qui y ressemble de près ou de loin.Ne comptez surtout pas le nombre de fois que vous offrez le sein à votre bébé. Si çamarche et qu’il s’apaise, c’est ce qui compte.Votre bébé évoluera et la situation ne restera pas si intense tout le temps.

LA CONCLUSION
En résumé, les deux premières étapes – l’emmaillotement et la position latérale ou ventrale – mettent en marche le processus calmant en limitant les mouvements du bébé, en interrompant le réflexe de Moro et en attirant son attention sur ce que vous faites au moment où vous commencez à activer le réflexe calmant.

Le troisième et le quatrième moyen – le son shhhhh et le bercement – mettent fin à la crise de larmes en provoquant vivement le réflexe calmant et en apaisant le système nerveux du bébé. Le cinquième moyen – la succion – maintient l’effet de ce réflexe et amène le bébé à un degré profond de relaxation.

Ces cinq moyens sont fantastiques. Et plus vous les utiliserez, plus vous deviendrez habile.Votre bébé aussi s’améliorera avec la pratique. Vous formerez bientôt une équipe unie et efficace. Adieu l’impuissance, bonjour la compétence!

LES DIX MEILLEURES FAÇONS D’IMITER L’UTÉRUS
Tenir le bébé dans vos bras;
Danser avec le bébé;
Bercer le bébé;
Emmailloter le bébé;
Émettre des bruits ou chanter;
Faire une balade en voiture;
Faire une promenade dehors;
Allaiter le bébé;
Utiliser une suce;
Faire sautiller le bébé.

Je vous souhaite l’allaitement que vous désirez

ODILE LAPOINTE,
Consultante en lactation diplômée
allaiterbb@yahoo.ca

RÉFÉRENCES
« Le plus heureux des bébés » par
Dr Harvey Karp Éditions AdA, 2003

2008-03-26

vendredi, 25 avril 2008

Sortir de l'esclavage des corporations

Les autorités censées nous protéger comme citoyens ont été achetées progressivement par les corporations mondiales dans les 30 dernières années.
Nous sommes donc arrivé à ce stade de maturité où plus aucune institution légale est en mesure de nous protéger vraiment, de nous "parenter"!
Sommes-nous rendus à cette étape adulte où nous devons décider de prendre en main notre vie nous-même?

Devenir responsable de notre consommation, de nos droits et devoirs réels et envisager un nouveau partage de nos richesse est le programme qui attend chaque citoyens du monde maintenant que chaque gouvernement cesse d'exercer sa fonction légitime sur nous.

Plus encore les "gouvernements" dans leur partenariat aux mafias des multinationales nous agressent, nous polluent, bafouent nos droits, nous désinforment et abusent de leur pouvoir, comme des parents cherchant à pousser leurs adolescents dans la vie active pour que nous nous mettions à prendre en charge nous même le monde!

Changer notre consommation, prôner la simplicité volontaire, recycler en profondeur, tisser des réseaux de partages et de soutients, de services des écovillages urbains et ruraux, retourner à la terre, développer des énergies renouvelables, modifier ses modes de transports, partager des informations responsabilisantes, renoncer à entretenir les guerres, soutenir les pays et les personnes en détresse, prendre soin de la nature, de nos aînés, de nos femme enceintes, de nos enfants avec de nouvelles valeurs d'avenir... autant d'avenus qui s'ouvrent devant nous pour faire nos premiers pas adultes dans un monde qui l'exige de nous.

Nous vous invitons vivement à visionner cet extrait d'un film de 20 minutes qui se télécharge en 30 secondes sur le site: http://www.storyofstuff.com/


Ici se trouvent des explications sur la crise mondiale sans précédent que le culte de la consommation a généré au delà de tout nos besoins... et surtout apporte des réponses, des solutions pour restaurer au plus vite un équilibre planétaire.

vendredi, 18 avril 2008

Pardonner: un remède universel et absolu!

Lorsque l'on se penche sur la vie des grands guérisseurs de l'histoire, tous ont en commun la science du pardon!

les recherches les plus avancées en physique quantique et en neurologie cognitive viennent à peine de découvrir cet anti-poison naturel curatif de toute maladie fonctionnelle: le Pardon!

Si la science lève à peine le voile de ce secret, de cette panacé universelle, il est alors temps de reconnaître à ceux qui maîtrise cette "science" leur vrai valeur.
Pour les grand maître de la guérison comme Hyppocrate, Paracelse, Philippe de Lyon ou plus récemment Sergueï Lazarev en Russie et Jean de Dieu au Brézil, la science du pardon s'apprend selon 3 étapes essentielles:

1. L'agent agresseur
L'étude de ce et/ou ceux qui sont la cause directe ou indirecte de notre maladie: le climat, une épidémie, notre hérédité, les conflits familiaux, conjugaux, parentaux, professionnels... Cette étude de "l'agent agresseur" a pour finalité de les innocenter en tant que bourreau pour comprendre que leur arrivée brutale dans notre vie, ou leur racine dans le cas de l'hérédité, ne sont pas consciemment de porter atteinte à notre personne, mais que ces agents agresseur agissent selon des lois inconscientes nous exposant aux rages, aux violences et toutes sortes de variantes de "grandes limitations" climatiques, épidémiologiques, caractérielles, pulsionnelles... lorsqu'ils croisent nos vies

2. La destiné
Une fois la rencontre de nos agents agresseurs comprise et pardonnée, l'étude de notre destinée s'impose et reste la plus importante et la clé de notre guérison.
Destiné! Elle nous entraîne dans tout un processus d'écoute, de perception, de compréhension subtile dans le seul but de sentir et de comprendre la présence d'une intelligence transcendante qui gouverne nos vies! Young l'appelait le "Soi", les anciens "l'Âme"!
Une fois cette puissance de vie identifiée, il reste à apprendre à reconnaître son intelligence et sa bienveillance dans le passage très douloureux qu'elle nous occasionne par la traversée de tant d'agents agressants dont la seule réalité n'a d'autre but que nous renforcer et nous faire développer les qualités du Soi et faire apparaître les vertus de l'âme.
Cette compréhension est essentielle à atteindre le plus haut niveau du pardon: le pardon à Soi-même, à son Âme, à la vie elle même. Alors les plus grandes blessures et offenses de notre destinée peuvent enfin s'apaiser.
Dès que l'on comprend que la vie est l'école où l'âme nous enseigne chacun et progressivement l'immensité de sa beauté à travers de nombreuses épreuves, défi ou jeu selon notre participation ou nos résistances, alors les plus grandes inflammations et violences de la vie sont neutralisables en soi.
Plus les êtres relèvent des défis importants plus ils semblent rencontre des résistances, des épreuves, des défis élevés. il est important alors de ne pas mal se juger par la taille des maladies, des malheurs que l'on est obligé de traverser ou que nous avons librement choisit de relever, mais de voir plutôt là la possibilité de grandes transformations pour s'alléger des carapaces qui empêche notre âme de rayonner sa beauté et son amour.

3. La participation
Une fois les "plans de l'âme" accueillie, acceptée et respectés comme dirait Young, il reste à tirer la leçon des épreuves subites ou recherchées.
C'est le moment de chercher sincèrement ce que cette épreuve de long terme ou passagère viens chercher comme ressource en nous. C'est le moment important du triage du subtil et de l'épais avec grande industrie comme le dirait Hermès Trismégistre. Triage des pleurs, des grincements de dents, des écoeurements, des révoltes, des violences, des dégoûts, des bassesses, des mépris subit ou donnés pour laisser émerger de la gangue nécessaire à l'expérience le parfum, l'essence, la valeur! Ici la douceur, ici la bonté, la concentration, l'organisation, la volonté, la persévérance, la patience, la compréhension, la compassion, l'écoute, la fermeté, le dynamisme, la vitesse, l'humour, la pureté, la hiérarchie des valeur, le rythme, la souplesse, l'adaptabilité... autant de fleurs de l'âme qui attendent la traversée des nuages qui nous correspondent pour s'épanouir au soleil de son amour.

Alors le pardon deviens réel, véritable et se reconnaît à l'oubli des vielles blessures pour la conservation et l'activation des ressources découvertes en soi permettant d'ouvrir notre vie à de nouvelles aventures et de créer de nouvelles oeuvres toujours plus riches!

mercredi, 09 avril 2008

Sortir de la guerre, mais comment ?

La guerre en chiffre:+ de 100 millions de victimes de la guerre depuis 100 ans + des MM de réfugiés partout (Bilan au 16 sept 2007!)
. Révolution Mexicaine 1910-20: 1MM de victimes
. 1ière guerre mondiale: 1914-18, 10 353 813 victimes
. Guerre civile de Rusie: 1917-22, 9 MM de victimes
. Guerre civile d'Espagne: 1936-39, 500M victimes
. 2ième guerre mondiale: 1939-45. 72155800 victimes
. Guerre froide (sans affrontement direct): 1947-91= 8MM de victimes:
- guerre civile de grèce: 1944-49, 47M
- guerre d'Indochine: 1946-54, 394581
- guerre de Corée: 1950-53, 2825788
- guerre du Vietnam: 1959-75, 2100M
- débarquement de la baie des Cochons: 1961, 2115
- Victimes du mur de Berlin: 1961-89: 192
- Guerre de Yom Kippour: 1973: 12656
- Guerre Cambodgienne-Vietnamienne: 1975-89: 60M
- Guerre civile d'Angola: 1972-2002: 500M
- guerre civile de Mozambique: 1977-92: 900M
- guerre Sino-Vietnamienne: 1979: 40M
- guerre Sovietique en Afghanistan 1979-89: 1014453
Voir le si bouleversant film : "the kite runner ou les cervolants de Kaboul"


. Guerre civile du Nigéria: 1967-70: 1200M victimes
. Guerre Iran-Irak: 1980-88: 875M victimes
. Guerre civile du Soudan: 1983-2005: 1900M victimes
. Guerre civile de Somalie: 550M victimes
. Guerre du golfe: 1990-91: 50240 victimes
. Guerre civile du Rouanda: 1990-93: 900M victimes
. 1ière et 2ième guerre civile du Congo: 1991-2004: 4600M victimes
. Guerre D'Algérie: 1991-2002: 300M victimes
. Guerre du Kosovo: 1996-99: 12078 victimes
. Guerre contre le terrorisme depuis le 11 sept 2001: 552582 victimes
. Conflit au Darfour: 2003: 400M victimes
. Tchétchénie: 1994-?: 150M Bilan au 16 sept 2007! + des MM de réfugiés partout
Voir le magnifique film "Persepolis"


Pour mémoire, du 17ième au 19 siècle, la guerre contre les amérindiens fut le plus grand massacre de l'humanité avec plus de 500 MM de victimes

Quelles solutions à cette hégémonie si désolante?
Cette dernière centurie a vu l'apparitions d'immenses guerres conséquentes seulement de la consommation! "Donner des jeux et du pains au peuple pour les dominer" à été "engraissé" de "CONSOMMEZ pour exister!"

1. Notre première arme anti-militaire est celle de la simplicité volontaire! Nouvelle tendance signifiant "d'apprendre à exister sans consommer" ou en ne consommant que le strict minimum. Très simple dans le concept, c'est très difficile à mettre en oeuvre tellement la sollicitation des média, des parents, des amis... bref de tout côté et si puissamment ancré comme mode de vie. Dès que l'on a le courage de s'extraire de ce mode de pensée, sa vie s'allège et on sent véritablement que l'on est en train de cesser d'alimenter les intérêts économiques qui sont devenus les seules raisons des guerres encore maladroitement déguisées par quelques raisons religieuses qui ne convainc plus personne.

2. Découvrir le concept d'économie durable, de véritable recyclage (et non pas d'exporter notre recyclage vers la Chine gaspillant tellement plus de mazout que cela prendrit ici pour recycler nos déchets!!!).

3. Penser à s'inscrire dans la naissance d'écovillages urbains et ruraux basés sur un partage des services et des ressources entre les consomateur pour réduire les coûts et les dépenses.
Le centre Ideal en Colombie -Britannique arrive à 1, 5 $ / jours / personne pour nourrir les 80 membres de l'écovillage!!!
Bien sûr ce principe va de la simple mise en commun d'auto comme "communauto" à Montréal à la création de micro-société visant l'autonomie agricole, électrique et même des services et loisirs en travaillant chacun les uns pour les autres comme le font les cellules de l'organisme les sociétés animale évolués comme les abeille et comme le bon sens le voudrait pour le moindre village et la moindre ville!
Le poid économique a eu raison de nos décideurs sociaux et ce n'est que par une révolte de non consommation nécessitant des création de micro-sociétés tendant à l'autonomisation que la population retrouvera sa dignité de ne plus se sentir complice implicite des immenses tueries mondiales, tout en réapprenant cette socialisation, amitiés et épanouissement basé sur le partage, la créativité synergique et l'attention aux autres. Partout émerge de telles regoupements et associations avec plus ou moins de philosophie et d'éthique, mais le mouvement est en train de s'entendre sur l'urgence de rendre ces nouveaux village accessibles à tous.

3. Découvrir l'économie énergétique, émotionnelle et mentale!
Des revus les plus scientifiques aux magasines les plus populaires, nul n'est sans ignorer maintenant l'impact de la vie psychique et du gaspillage de ses énergie sur notre vie personnelle mais aussi collective.
Le Dr Len, médecin hawaïen, a développer une méthode de responsabilisation des ses pensées capable de guérir des groupes entiers d'aliéné (voir article sur la méthode Ho'oponopono dans la rubrique "cultiver sa santé"). Le coaching en pleine émergence mondiale ne fait que promouvoir l'orientation de ses pensées et émotions pour réussir ses entreprises à tous les niveaux. Le livre "le secret", record des ventes en amérique du Nord n'est basé que sur la gestion de sa vie intérieure.
Dans l'application de quoi s'agit'il?
. Tout d'abord, il est important d'apprendre à sélectionner les informations qui influences, voire orientent nos pensées et nos sentiments. Les films, les vidéos, les lectures, les échanges doivent commencer à être filtrés en soi pour voir dans quel état cela nous met. Notre plexus solaire fait il une boule dans le ventre face à un film d'horreur, du hard rock ou au contraire se dilate t'il à la vue d'un film élevant, dynamisant, ennoblissant ou d'une musique harmonieuse et joyeuse? Cet indicateur est si bon qu'ami, Daniel Miron, l'a appelé le GPS émotionnel! Si il se ferme: on arrête, si il s'ouvre, on continu!
. Il faut connaître des remède efficace aux états émotionnel terribles qui diffusent en nous et autour de nous des ondes nocives provoquant subtilement des catastrophes ou contaminant l'humeur de nos proches. Les effets boules de neige font perdre le contrôle à tout un groupe de personne autour de nous ou n'importe où dans le monde qui entre en résonance avec les basses fréquences des émotions perturbées. Ainsi, on aliment souvent, sans s'en rendre compte des conflits, heurts, batailles, voir de la violence même physique par simple effet d'onde telle que l'on démontré de nombreuses études sur les animaux et sur des groupes humains mis en tension.
Un de ces remède est la simple "reconnaissance", la gratitude en d'autre mot pour ce que l'on a (la vie, la jeunesse, l'éducation, la santé, la vitalité, la connaissance, la douceur, la bonté, la patience...), est (humain, homme, femme, natif de tel endroit et culture..) et ce que l'on est capable de faire (marcher, parler, écouter, voir...).
Loin d'être un discours religieux, l'habitude de cette simple attitude est capable de réduire en quelques instant le niveaux des hormones du stress dans notre corps et donc notre humeur!
Un autre remède est celui de ce dr Len qui guérit en disant "je regrette, pardonne-moi, je t'aime" à la cause de notre état déplorable. Et ce qui est incroyable, que la cause de notre souffrance soit une personne aimée ou détestée, un parent, un évènement, un animal agresseur, certains organes malades dans notre corps ... et même un objet! C'est édifiant et je vous invite à en faire l'expérience.
. Enfin, la gestion de nos dépenses énergétiques et physique a des effets sur notre santé bien sûr, mais aussi, par le jeu des vibrations physiques sur l'état des plantes, des minéraux, et bien sûr sur les réseaux d'énergies "électriques" qui parcourent le corps de nos proches ou de ceux avec qui on entre en fréquence dans le monde.
Sous l'effet de vibrations violentes ou exacerbées dans n'importe quel type d'abus physique: sportif (de plus en plus les limites sont repoussées vers des surhommes et surfemmes hyper-entraînés!), sexuel (là aussi les limites de la tendresse et de l'esthétique sont repoussées vers une frénésie sans limite), sonore (un bruit maladroit ou violent génère des crises de nerfs et de fortes violences chez nombres de malades psychiatrique et chez la plupart des animaux)... En fait toute violence donnée à nos corps ou aux objets crée des forces physiques irradiant à distance pour construire ou détruire la matière environnante selon la loi des ondes. Le problème est que ces ondes agissent à bas bruit, elle fissurent, minent, et longtemps après seulement tout s'effondre.
En d'autre terme, le culte du plaisir extrême émousse les sens et demande l'application de plus en plus de forces stimulantes pour provoquer des sensations perceptibles tout en créant des dépendances aux fortes décharges de plaisirs que ce soit sonore, sexuel, mécanique de tout ordre... et ces dernière détruisent en nous et à distance!
Plus les plaisirs sont légers et plus les sens se développent, s'affinent et donne des joies de plus en plus intense avec le moins de force mécanique à appliquer. Cette loi simple est aussi à re-découvrir comme le fait le randonneur qui se réjouis d'une gorgé d'eau quand habituellement il n'éprouve plus rien au 3ième verre de vin.
Loin de prôner une vie triste, au contraire, il s'agit de re-découvrir les lois des joies les plus intenses basées sur le raffinement des stimulations sous la présence de l'attention pour assouvir ses besoins.
Chacun sait combien un pétale reçu de la personne qui nous émeu peut nous transporter au 7ième ciel pendant des jours. De même l'attention dans les regards échangés, l'intonation de la voix, le choix du vocabulaire, la beauté de la posture, la grâce dans la marche et le déplacement des objets, des couverts, la tendresses des gestes, l'esthétique dans les caresses, la fraîcheur dan les baisés sont la clé de radiations constructives, saines et épanouissante pour l'environnement même à distance!

mardi, 01 avril 2008

Des progrés capitaux en médecine congnitive

Voici des nouvelles étonnantes en médecine moderne:

Bonjour!

J'aimerais tout d'abord remercier Pierre-André, un participant de cette liste de distribution, qui vous offre "Le langage de la guérison : histoire d'une révolution scientifique dans le domaine de la médecine" écrit par Jean-Jacques Crevecoeur : http://www.erichamel.com/custom18.html

Saviez-vous que le docteur Hamer avec son approche sur le cancer a un taux de survie de 95% sur plus de 5 ans comparé à la moyenne nationale en Allemagne qui est de 30%?!

Ce reportage vous apportera une vision différente des maladies, qui se rapproche énormément des informations que je vous offre : à savoir que la maladie (Le mal-a-dit) est un signe qu'il faut décoder et comprendre, et que ça s'inscrit tout à fait dans l'apprentissage de l'amour de soi.

Jean-Jacques Crevecoeur y présente quelques approches de la Médecine Nouvelle du docteur Hamer ainsi que de la Biologie Total du docteur Claude Sabbah.

WOW! Quelle belle vulgarisation de la part de Crevecoeur!

Puisque nous parlons de cancer, j'aimerais ajouter que le Docteur Simoncini en Italie a fait des découvertes très intéressantes. Il est en mesure d'éliminer le cancer à l'aide d'un traitement des plus simples en seulement 4 jours! Avec du bicarbonate de soude, et oui... de la petite vache!

Le Docteur Simoncini dit que tous les types de cancers sont en fait, une seule et même chose : un fongus appelé le Candidat et il est toujours blanc.

Pour le site web du Docteur Simoncini :
http://www.cancerfungus.com/simoncini-cancer-champignon.php#

Pour voir le vidéo avec le sous-titrage en français :
http://www.cancer-fungus.com/sub-v1fr/sub-fr.html

Vous pouvez voir aussi son site en anglais qui contient beaucoup plus d'information :
http://www.curenaturalicancro.com/

En sachant qu'un fongus est un champignon, et en lisant le reportage de Crevecoeur plus haut, vous serez en mesure de faire des liens entre ces deux informations.

En terminant, j'aimerais remercier également Dany Papineau pour m'avoir transmis une page web sur l'utilisation de citron et de bicarbonate de soude comme cure dans le cas de cancer.

La page est en anglais :
http://people.tribe.net/heatherlsalmon/blog?topicid=6c1243de-589a-4b32-8cf3-e2fb172ce7b0

Amour et Lumière!

Eric Hamel 514.905.6160

Le langage de la guérison : histoire d’une révolution scientifique dans le domaine de la médecine ©

de Jean-Jacques CREVECOEUR



"Il a obtenu le prix du meilleur mémoire belge de physique, en 1984, ainsi qu’une bourse de recherche pour accomplir un doctorat en physique quantique. Il est également philosophe et s’est spécialisé dans l’étude critique du fonctionnement des sciences, en particulier l’épistémologie de la médecine.
Grand connaisseur des principes de l’homéopathie, de l’ostéopathie, de l’acupuncture, de la médecine chinoise,
de la Médecine Nouvelle de Hamer et de la Biologie Totale de Claude Sabbah, (...)"
(« La physique quantique serait-elle l'avenir de la médecine ? »)


Jean-Jacques Crèvecoeur a fait parvenir, le 22 décembre 2000 sur le forum de pansémiotique-psychosomatique (sur Yahoo Groupes) la première version, plus courte, de l’article qui suit. Il l’avait rédigé pour en faire la communication au colloque « Science et Conscience » à Annecy (mai 2000).

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" « Il est plus facile de désintégrer un atome que de changer une croyance » disait Einstein. En effet, tout individu a tendance à consacrer plus ou moins d’énergie à résister au changement et à la nouveauté, on le sait depuis longtemps. C’est valable pour les individus. Ce l’est encore davantage pour le monde scientifique, qui ne pourra jamais accueillir les nouvelles théories, car celles-ci représenteront toujours une perte de pouvoir, d’argent et de prestige pour ceux qui s’y sont installés.

Quand j’ai entamé mes études en sciences physiques, j’étais convaincu que j’allais rejoindre la cohorte glorieuse de ces hommes et ces femmes qui consacrent toute leur vie à la recherche désintéressée de la vérité et de la connaissance, dans le but d’apporter le bien-être à l’Humanité toute entière. Je pensais, à l’époque, que la démarche scientifique se fondait uniquement sur des faits objectifs et recherchait inlassablement à établir des liens observables de cause à effet entre différents facteurs. Je croyais aussi que l’attitude des chercheurs se caractériserait par l’ouverture, le dialogue, la remise en question permanente des hypothèses, l’acceptation de la confrontation des opinions. Après y avoir consacré 5 ans de ma vie, je décidai de quitter ce monde. Heureux d’avoir été formé de manière rigoureuse et critique par des enseignants exceptionnels. Déçu de l’intolérance, de la fermeture, des fraudes, de la course aux publications, de l’asservissement des scientifiques à l’égard de leurs pourvoyeurs de fonds. Je ne me doutais pas, alors, que la bagarre était encore plus impitoyable et violente dans le monde médical, censé être au service de la vie et de la santé.

J’ai entamé alors un cursus de formation en philosophie générale (après l’interruption de mon doctorat en sciences), tout en étant chercheur en pédagogie pendant deux ans. À cette époque, en 1984, j’ai commencé à m’intéresser à l’épistémologie de la médecine, c’est-à-dire à l’étude critique du fonctionnement de la médecine, de ses postulats, de ses modes de raisonnement. C’est ainsi que progressivement, je me suis familiarisé à toute sorte de pensées médicales, depuis la médecine scientifique jusqu’à la médecine chinoise, en passant par toute une série de thérapies qualifiées très injustement de « parallèles ».

En tant que scientifique, philosophe et pédagogue, j’ai utilisé les outils qui m’avaient été transmis pour faire des liens, pour vérifier la cohérence des démarches et des discours, mais surtout, j’en ai testé pas mal sur moi-même, devenant ainsi à la fois le cobaye observé et le chercheur-observateur. Ma conclusion : nous sommes en train de vivre en médecine une révolution de la même ampleur que celle qu’a connue la physique avec Copernic, Kepler et Galilée, au XVIème siècle. Et à l’instar de ces astronomes et mathématiciens, les pionniers de cette nouvelle approche de la santé et de la maladie connaissent, eux aussi, les pires ennuis, les pires accusations et les pires menaces.


Pourquoi la médecine est-elle dans une impasse ?

Au début des années 1980, mes conversations privées avec des collègues chercheurs dans le domaine de la médecine et de la biologie m’avaient déjà mis la puce à l’oreille. « En médecine, nous sommes dans une impasse. Nous le savons depuis quelques années, et nous ne savons pas dans quel sens orienter nos recherches. » Ces propos concernaient l’ensemble de la recherche médicale, et pas un seul petit secteur isolé, malheureusement. Ces confidences « off record », personne n’osait les faire en public, ni dans les congrès scientifiques, de peur de se voir immédiatement privé des subventions indispensables pour poursuivre les travaux du laboratoire.

Ainsi, à l’époque, je disposais d’informations très parcellaires à propos du désarroi dans lequel se trouvaient les chercheurs en médecine et en biologie. Mais je ne comprenais pas pourquoi ils se trouvaient dans une impasse. Je découvrais aussi, par la même occasion, l’absence quasi totale de liberté de penser, de chercher et de parler à laquelle la plupart des scientifiques étaient (et sont) soumis. Ainsi, ceux qui étaient censés incarner tous les espoirs de l’Humanité m’apparaissaient subitement comme les prolétaires soumis et apeurés à la solde et à la merci d’un complexe industriel médico-pharmaceutique qui décidait non pas de ce qui était vrai ou bon pour la santé des individus, mais de ce qui devait être produit et légitimé scientifiquement pour accroître leurs bénéfices colossaux.

Entre-temps, de nombreuses statistiques venaient prouver ce que mes collègues chercheurs m’annonçaient déjà. Entre 1970 et 1990, on a observé qu’on contracte des maladies graves (cardio-vasculaires, cancéreuses, dégénératives, auto-immunes, etc.) cinq ans plus jeune qu’avant (statistiquement). L’incidence (le taux annuel d’apparition) de certaines maladies a été multipliée par un facteur compris entre 3 et 10, sur la même période. Aucun véritable remède n’a été trouvé contre le cancer, le SIDA, la sclérose en plaques. Les allergies ont littéralement explosé en 20 ans. La plupart des antibiotiques deviennent inefficaces face à une résistance accrue des bactéries qui se seraient adaptées ! Les vaccins sont de plus en plus controversés, non seulement à cause de leurs effets secondaires, mais surtout à cause d’une efficacité de plus en plus hypothétique (au vu des statistiques malheureusement dissimulées aux yeux du grand public). Malgré des dépenses de santé en nette croissance, la qualité de vie et de santé des individus s’est détériorée dans les pays occidentaux.

Depuis cette époque, mes nombreuses lectures, mes conversations avec toutes sortes de thérapeutes, mes expériences personnelles m’ont fait comprendre pourquoi la médecine, telle qu’elle est conçue aujourd’hui, est non seulement dans l’impasse, mais aussi dans l’erreur. J’ai même compris que c’est la méthode utilisée par la médecine qui est à l’origine de cette aggravation collective de la situation sanitaire sur la planète. Nous sommes donc loin du conseil que donnait Hippocrate à ses disciples : « Primum, non nocere (Avant tout, ne pas nuire) »…

Pour comprendre cela, examinons quels pourraient être les fondements de la pensée médicale moderne ? On pourrait les résumer ainsi :
1. la maladie existe, c’est une fatalité qu’il faut éradiquer ;
2. la maladie est caractérisée par des symptômes morbides (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.) ;
3. guérir une maladie consiste à supprimer, le plus rapidement possible, tous ces symptômes morbides, au moyen d’un arsenal de médicaments ;
4. la maladie est essentiellement une réalité physique qui affecte un organe particulier du corps physique, considéré comme une mécanique bio-physico-chimique qui peut se dérégler ;
5. beaucoup de maladies sont provoquées par des agents pathogènes (microbes, champignons, bactéries, virus), des agents cancérigènes ou des agents allergènes. Il faut donc éviter tout contact avec ces agents (dans ce cas, on fait de la prévention). Si ça n’a pas été possible, on tentera d’écarter ou de supprimer ces agents (on fait alors du curatif) ;
6. certaines autres maladies ont une origine génétique et se transmettent de génération en génération. On appelle cela l’hérédité ;
7. si tout l’arsenal curatif se révèle impuissant ou inefficace, il conviendra alors de supprimer l’organe atteint par la maladie, pour permettre au patient de survivre.

Les épistémologues appellent ce genre d’énumération les postulats de base d’une théorie ou d’une pratique. Tout au long de cet article, je confronterai ceux-ci à une vérification de cohérence interne ainsi qu’aux observations existantes mais souvent niées par les chercheurs…

La maladie n’est plus ce qu’elle était

Et si la réalité était toute différente ? Et si les apparences étaient trompeuses ? Et si on inversait les postulats, serait-il possible de mieux expliquer les résultats des nombreuses approches « parallèles » dont bénéficient des millions de patients, mais sans être reconnues par la Médecine scientifique officielle ?

Je vous invite à explorer avec moi ce retournement de perspective et à l’accepter comme une hypothèse de travail, de réflexion et de recherche, non comme une vérité définitive. Et si certaines de mes intuitions met quelque chose en résonance chez vous, je vous inviterai à approfondir votre recherche à la suite de cet article. Amusons-nous, donc, à réécrire les postulats classiques de ma médecine…

Nouveau postulat n° 1 : La maladie n’existe pas, ce n’est pas une fatalité et il ne faut pas nécessairement l’éradiquer.

Selon de nombreuses conceptions traditionnelles, la maladie n’existe pas. Seul le malade existe et doit faire l’objet d’une attention de la part du médecin, du guérisseur ou du thérapeute. De plus, nous le prouverons plus loin, la « maladie » est le signe d’un déséquilibre qui résulte, la plupart du temps, de comportements conscients ou inconscients de la part du malade ; ce n’est donc pas une fatalité (sauf si l’on considère que l’inconscience est une fatalité).

Par ailleurs, selon ces conceptions, les symptômes sont les indicateurs visibles d’un déséquilibre physique ou psychique, qui lui, est invisible. Les symptômes ne sont donc pas ce déséquilibre lui-même. Pour comprendre cela, prenons une première métaphore. Comparons notre corps (véhicule physique) avec une voiture (véhicule automobile). Quand il manque de l’eau dans le radiateur ou de l’huile dans le moteur, cela ne se voit pas immédiatement. Pourtant, le déséquilibre est déjà bien là, mais silencieux, invisible. C’est ce que nous appellerons la vraie maladie. Au moment où la surchauffe du moteur devient trop grande, certaines pièces (prévues pour cela), vont casser (soupape, durit, etc.), libérant instantanément beaucoup de vapeur ! C’est à ce moment-là que les choses se manifestent, deviennent visibles. Ça, ce sont les symptômes. Ainsi, cette évacuation de vapeur n’est en aucun cas la maladie de la voiture : il s’agit du processus mis en place (selon les lois de la physique) pour permettre à la sur-pression de disparaître, pour revenir à l’équilibre et à la normalité.

Pour éviter d’en arriver là, les constructeurs automobiles ont inventé un autre dispositif : ce sont les voyants lumineux placés sur le tableau de bord. Dès qu’un besoin fondamental risque de ne plus être assuré, respecté ou satisfait, l’ampoule s’allume invitant le conducteur à s’interroger sur la situation et à y remédier. Quand cela se passe, que diriez-vous d’un garagiste qui vous conseillerait de dévisser — ou de casser — l’ampoule allumée ?

C’est pourtant ce que fait la médecine scientifique, depuis des décennies : par définition, les symptômes sont mauvais et doivent être supprimés. Mais pourquoi faudrait-il donc systématiquement les éradiquer, alors que si l’on parvient à s’interroger sur le sens du message envoyé, si l’on identifie ce qui a causé ce déséquilibre et si on rétablit l’harmonie initiale, l’indicateur devrait s’éteindre de lui-même ?

Ainsi, si vous changez votre regard sur les symptômes, si vous les voyez comme des alliés qui vous apportent des informations précieuses (à décoder), vous ne confondrez plus jamais la maladie (déséquilibre silencieux) et son processus de guérison (les symptômes qui se manifestent parfois bruyamment).


Nouveau postulat n° 2 : Lorsque des symptômes apparaissent (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.), c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

J’ai retrouvé cette conception aussi bien dans l’homéopathie, dans l’acupuncture, dans l’ostéopathie, mais aussi dans la Médecine Nouvelle du docteur Ryke Geerd Hamer (Allemagne), dans la Biologie Totale des Êtres Vivants du docteur Claude Sabbah (France) et dans d’autres approches encore.

Pour comprendre cela, prenons une deuxième métaphore toute simple. Comparons notre corps (vivant) à une maison (habitée). La vie domestique produit normalement son lot de déchets quotidiens. Imaginons qu’une loi municipale vous interdise de sortir vos poubelles sur le trottoir jusqu’à nouvel ordre. Vous décidez alors de les stocker dans un local. Après quelques semaines, l’interdiction n’étant toujours pas levée, un deuxième, puis un troisième local sont affectés par les détritus, provoquant une odeur de plus en plus insupportable à l’intérieur de la maison. À ce stade, on peut dire que votre maison a perdu son équilibre, son harmonie : elle est infectée et empoisonnée.

N’y tenant plus, imaginons que vous décidiez de sortir vos poubelles, malgré l’interdiction. En faisant cela, vous manifestez votre volonté de rétablir et de retrouver un équilibre domestique à plus ou moins brève échéance. Vous vous rapprochez donc d’une maison à nouveau saine, en santé… Mais vos voisins ou la police municipale ne le verront pas du tout de cet œil : rapidement, des personnes interviendront pour non seulement refouler les poubelles à l’intérieur, mais en plus, pour clouer quelques planches sur les portes et les fenêtres du rez-de-chaussée, pour vous décourager d’une éventuelle récidive.

Ainsi, pour revenir au corps, lorsque le déséquilibre s’installe progressivement à l’intérieur de nous-mêmes (incubation de l’infection, accumulation de toxines, développement d’une tumeur, dégénérescence d’un organe, d’un muscle ou du sang, etc.), la maladie est silencieuse, indolore, asymptomatique. Les chinois parlent de maladie froide…

En revanche, lorsque le corps « décide » (nous verrons pourquoi plus loin) de rétablir son équilibre, il va chercher à se débarrasser de l’infection ou des toxines, à désagréger la tumeur ou à réparer l’organe, le muscle ou le sang atteints. Dans ce cas, le corps sort ses poubelles (fièvre, boutons, éruptions, etc.). La maladie se met à parler, les douleurs apparaissent, les symptômes se manifestent. Les chinois parlent de maladie chaude… Ainsi, lorsque les symptômes apparaissent, c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

Ce qui est surprenant et déroutant dans cette vision des choses, c’est que ce que nous appelons « être malade » devrait être presque toujours interprété comme le début de la guérison. Or, nous faisons l’inverse.


Nouveau postulat n° 3 : Guérir une maladie consiste à écouter les symptômes morbides comme les indicateurs du chemin à suivre pour guérir.

Aussi bizarre qu’il puisse paraître, vous pouvez comprendre que ce postulat est tout à fait la conséquence logique de la vision développée dans le postulat n° 2. Si les symptômes sont les poubelles que le corps s’efforce d’évacuer régulièrement pour retrouver son équilibre, ils nous indiquent en même temps ce que nous pouvons et devons faire pour aider l’organisme à atteindre jusqu’au bout cet équilibre.

Car, si nous n’avions aucun stress, si nous avions un niveau élevé d’énergie vitale, probablement que le corps aurait suffisamment de ressources pour sortir seul toutes ses poubelles, chaque fois que nécessaire. Mais souvent, celui-ci est fatigué… Il commence donc le travail, sort les premières poubelles, mais ne va pas assez vite pour tout évacuer. Dans ce cas, tout se passe comme si la vitesse à laquelle l’évacuation se fait était trop faible par rapport à la vitesse de remplissage par de nouvelles poubelles. Nous sommes alors dans une maladie chronique, qui n’en finit pas de s’exprimer et de rechercher un équilibre jamais atteint.

Le thérapeute ou le malade qui comprend cela se mettra alors à l’écoute des symptômes, et mettra en œuvre un processus visant à apporter à l’organisme une énergie supplémentaire pour accélérer et augmenter l’expression des symptômes (c’est-à-dire l’évacuation des poubelles). C’est ce que font l’homéopathie uniciste (en prescrivant un remède qui provoque chez l’individu les mêmes symptômes que ceux que l’on cherche à évacuer), l’acupuncture (en débloquant des circuits énergétiques permettant d’accélérer les processus de rééquilibrage), l’ostéopathie (en libérant des blocages fonctionnels ou organiques), le jeûne et le repos (en mettant plus d’énergie à disposition du corps pour se nettoyer), etc.

En cherchant à supprimer au plus vite les symptômes, non seulement la médecine se prive d’informations essentielles pour une guérison naturelle et profonde de l’individu malade, mais en plus s’éloigne de plus en plus d’une sagesse fondée sur l’écoute de la nature pour se tourner vers l’orgueil et l’arrogance d’un savoir rationalisant déconnecté du Réel.

Nouveau postulat n° 4 : La maladie est une réalité multi-dimensionnelle qui touche une réalité complexe et systémique d’éléments en interaction permanente les uns avec les autres.

La médecine est fondée sur un double postulat de séparation. D’une part, elle considère que si un phénomène se manifeste sur le plan physique, c’est qu’il est de nature physique. D’autre part, elle pense également que si un organe particulier est touché, il faut chercher la cause dans le dérèglement de cet organe.

Or, nous en faisons l’expérience quotidiennement. Un mal-être psychologique, un conflit inter-personnel mal vécu, la perte du sens de la vie, un dilemme philosophique, le stress du quotidien, tout cela influence fortement notre santé physique. Inversement, des troubles physiques peuvent nous empêcher de nous sentir bien dans notre tête, peuvent nous faire perdre la foi ou nous précipiter dans une crise profonde. Essayer de soigner en cloisonnant les dimensions physique, psychique, relationnelle et spirituelle me paraît relever d’un aveuglement dommageable et inefficace. Ainsi, le physique influence le psychique comme le psychique influence le physique.

De plus, même si l’on se limite à la sphère strictement physique, la médecine chinoise, l’homéopathie, l’ostéopathie mais aussi d’autres disciplines comme l’orthodontie, l’étiopathie, la médecine holistique nous ont montré que le déséquilibre d’un organe particulier était souvent provoqué par le déséquilibre d’un autre organe. Il n’est pas rare que des sinusites soient soignées en libérant le foie de ses toxines, qu’un mal de dos soit soulagé par un déblocage des intestins, que des maux de tête soient éliminés par une remise en place du coccyx ou que des problèmes de genoux soient réglés par un réajustement de l’occlusion des mâchoires… De nouveau, ce n’est pas en s’acharnant sur l’organe lui-même que l’on trouve la solution au problème. C’est ici qu’il conviendrait de réintroduire dans la médecine une vision globale et systémique pour agir plus efficacement.

Nouveau postulat n° 5 : Les agents pathogènes ne sont pas des ennemis de la santé, mais ses alliés. Les agents cancérigènes ne sont pas responsables du cancer (sauf dans 1 % des cas). Les agents allergènes n’existent pas.

Pour démontrer cela de manière scientifique et détaillée, beaucoup plus d’espace me serait nécessaire. Lorsque j’aborderai les travaux du docteur Hamer et du docteur Sabbah, dans la suite de cet article, vous comprendrez mieux en quoi ce postulat est logique et cohérent, dans cette vision de la santé et de la maladie.

Pour l’instant, prenons juste une troisième métaphore. Lorsque, sur la route, survient un accident grave, on observe souvent la présence de policiers, de gendarmes, voire d’ambulanciers, de pompiers ou de médecins. C’est un fait. Dans ces cas-là, les journalistes sont souvent prévenus, pour couvrir l’événement. En général, à moins qu’ils ne disposent de moyens d’information particuliers, les reporters arrivent après l’accident et après les forces de police et les secouristes. S’ils ne connaissaient pas la réalité telle qu’elle est, à force de répéter toujours les mêmes observations, les journalistes pourraient conclure, en toute bonne foi, que les policiers, les gendarmes, les ambulanciers, les pompiers et les médecins sont à l’origine de tous les accidents de la route ! Et statistiquement, en se basant uniquement sur leurs observations a posteriori, ils auraient pratiquement toujours raison !

Bien entendu, vous me direz que c’est une faute grossière de logique, puisque l’accident a précédé l’arrivée des secours, et non l’inverse. Imaginez un instant que ce soit la même chose pour ce qu’on appelle les maladies. Nous savons déjà que lorsque quelque chose se manifeste, ce que l’on croit être le début d’une maladie est en réalité le début du processus de nettoyage, de rééquilibrage et de guérison (une des raisons pour lesquelles on meurt de la « maladie » est que le corps ne dispose pas assez d’énergie pour retrouver complètement son équilibre : il s’épuise alors dans cette quête jamais accomplie).

Ce qui veut dire que lorsqu’on commence à voir quelque chose se manifester (dans la métaphore de la maison, la sortie des poubelles), c’est que beaucoup de choses invisibles se sont déjà passées auparavant (l’accumulation des poubelles à l’intérieur). Quelques chercheurs reconnus pour leur efficacité thérapeutique, ont démontré que les virus, les bactéries et les champignons étaient mobilisés par le corps (sur l’ordre du cerveau) au moment où se déclenchait le rééquilibrage, pour aider le processus à s’accomplir. Soit pour apporter des matériaux pour reconstruire les cellules endommagées, soit pour évacuer les cellules devenues inutiles.

Évidemment, si le déséquilibre initial (phase de la maladie froide, invisible) a été trop profond, trop long et/ou trop intense, le nettoyage sera si brutal et si intense que cela peut rompre l’équilibre vital de l’organisme et provoquer sa mort. Mais, fondamentalement, comme les maladies ne sont pas des maladies, et comme les agents dits infectieux viennent au moment du processus de guérison, toute la vision de Pasteur s’effondre au profit d’une vision beaucoup plus dynamique qui vise le renforcement du terrain et de l’équilibre plutôt que la destruction pure et simple des agents nettoyeurs (virus) ou reconstructeurs (champignons et bactéries).

En ce qui concerne les agents cancérigènes, différentes recherches ont montré que seulement dans 1 % des cas, les cancers étaient provoqués par ces agents. C’est le cas de l’exposition à la radioactivité ou à certaines substances très toxiques à forte dose. en revanche, 99 % des autres cancers sont déclenchés par des facteurs de stress intense (des chocs psychologiques brutaux vécus dans l’isolement, traduits dans la biologie), liés souvent à des conflits humains intenses et dont on ne trouve pas de solution. Le Docteur Hamer a été le premier à mettre cela en évidence de manière scientifique, sur plus de 8.000 cas de cancers. Son mérite est d’avoir pu mettre en évidence que le développement du cancer se faisait selon certaines lois très précises et immuables, nous verrons cela plus loin.

Enfin, les agents allergènes sont une aussi pure fiction que ne l’est la croyance qui veut que ce soient les policiers et les autres qui provoquent des accidents. Toutes les allergies, sans exception, sont en réalité le processus de guérison (puisque c’est le moment où quelque chose se manifeste : boutons, éruptions cutanées, difficultés respiratoires) d’un énorme conflit de séparation. Je l’explique dans mon livre « Le langage de la guérison ».

Nouveau postulat n° 6 : C’est la génétique qui est le reflet de l’état de santé du corps, et non la santé qui est le reflet du déterminisme génétique.

Ici encore, nous pourrions reprendre notre métaphore des accidents de voiture provoqués par les policiers et leurs complices. En effet, des généticiens dissidents ont découvert que notre carte génétique mutait en permanence, en fonction des stress positifs et négatifs que nous étions amenés à vivre tout au long de notre histoire.

Ainsi, selon le même principe que dans le postulat précédent, c’est le stress qui est premier. Celui-ci provoque un déséquilibre plus ou moins profond et durable dans l’organisme et chez l’individu. À ce moment-là, il va s’opérer une mutation génétique pour refléter dans notre structure d’ADN les nouvelles données de notre état. Un peu comme si notre patrimoine génétique avait reçu comme mission de consigner, de mémoriser toute notre histoire pour en transmettre l’information dans le futur de l’individu et de son espèce.

Croire donc que tel chromosome est responsable de telle maladie, c’est une fois de plus lire la chaîne temporelle des événements à l’envers. Et en déduire donc qu’en injectant un chromosome « sain » en lieu et place du chromosome « pathogène » revient à dire que c’est en détruisant les photos (la mémoire) d’un accident que l’on parviendra à annuler cet accident, ou à réparer les dégâts. Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’avec pareil raisonnement, les généticiens qui nous promettent monts et merveilles (comme d’autres l’ont fait pour le cancer quarante ans plus tôt) s’engagent dans une nouvelle forme de révisionnisme, mais cellulaire cette fois : « Si j’efface la mémoire d’un événement, j’efface l’événement. » Voilà sur quoi reposent aujourd’hui les milliards d’investissement consentis dans le génie génétique…

Nouveau postulat n° 7 : Ce n’est pas en supprimant l’organe qu’on permettra au patient de survivre.

Dans ce dernier postulat, vous aurez compris de tout ce qui précède que ce qu’on appelle couramment une maladie n’est que l’expression d’un déséquilibre (processus invisible) qui cherche à revenir vers l’équilibre (processus visible). Dans ce contexte, l’organe ne doit être considéré que comme le lieu de manifestation par lequel le processus de guérison cherche à s’exprimer. En aucun cas, il n’est la cause première ! La cause, nous l’avons vu, c’est le conflit, le stress intense, qui une fois résolu, permet la guérison.

En supprimant l’organe, on ne fait que supprimer un lieu de manifestation. Et si le conflit reste encore actif, l’organisme se trouvera d’autres lieux, souvent contigus, pour continuer à manifester ce qui est nécessaire. C’est ainsi que certaines femmes ayant subi une ablation totale du sein produisent des ganglions alors que d’autres pas. Là où les premières n’ont pas encore résolu le stress à la base de leur cancer, il faudra qu’une manifestation persiste.

Ces sept nouveaux postulats que je propose à votre réflexion sont issus de ma synthèse personnelle, après 15 ans de fréquentation approfondie des médecines traditionnelles, globales ou holistiques. Elle s’inspire également des découvertes effectuées par des scientifiques qui ont eu le courage de sortir des sentiers battus de la pensée unique dominante et totalitaire répandue dans la communauté scientifique. Je pourrais présenter les travaux de nombreux chercheurs, mais je me limiterai, dans le cadre de cet article à ceux du docteur Hamer (Allemagne) et du docteur Sabbah (France).

La Médecine Nouvelle du docteur Hamer

Le docteur Ryke Geerd Hamer a été chef de service dans une clinique allemande, pendant de nombreuses années. Sa position privilégiée lui a permis de croiser la route de nombreuses personnes atteintes du cancer. Par des concours de circonstances, des hasards et une observation et une écoute minutieuses, Hamer a découvert des lois fondamentales expliquant le mécanisme d’apparition de tous les cancers et de toutes les maladies. Dans le cas de ce médecin, on peut réellement parler de lois, puisque les vérifications opérées par lui et par d’autres chercheurs et thérapeutes ont toutes montré qu’elles étaient vraies dans 100 % des cas, ce qui ne s’était jamais vu jusqu’alors dans l’histoire de la médecine.

La loi d’airain du cancer énoncée par Ryke Geerd Hamer se formule comme suit : « Tous les cancers sont provoqués et déclenchés par des conflits intenses et brutaux vécus dans l’isolement. C’est la nature du conflit qui déterminera la zone du cerveau qui sera touchée et l’organe où se localisera la maladie. » Il a donc observé que tous les patients qui avaient le cancer des os, par exemple, avaient tous vécu un choc, un stress, un conflit intense et brutal (soudain) dans lequel ils s’étaient sentis dévalorisés. De plus, il a observé que chez tous les patients atteints du même cancer, on pouvait voir une cible dans une même région précise du cerveau. Ainsi, il a découvert qu’à chaque type de stress correspondait une même zone spécifique du cerveau et un organe particulier, toujours le même.

Le cancer des os correspond au conflit de dévalorisation. Le cancer des poumons au conflit intense de peur de mourir. Le cancer du sein gauche chez une femme droitière au conflit intense par rapport à un enfant (réel, virtuel, imaginaire ou symbolique). Le cancer du sein droit chez une femme droitière au conflit humain en général avec le conjoint (chez une femme gauchère, les latéralités sont inversées). Le cancer de la prostate correspond au conflit sexuel (réel ou symbolique) en relation avec les enfants ou la descendance (ou la capacité à créer). Et ainsi de suite, pour tous les cancers.

Cette loi a été vérifiée depuis près de 20 ans par des centaines de thérapeutes (formés par Hamer ou ses successeurs), sur des dizaines de milliers de patients, sans exception. Ce qui est fabuleux dans cette découverte, c’est que le mécanisme : « conflit -> cerveau -> organe » marche dans les deux sens. Autrement dit, tant que le conflit est actif, la zone du cerveau activée donne l’ordre à la biologie de produire les cellules cancéreuses dans l’organe choisi pour exprimer le déséquilibre. Inversement, lorsque l’individu résout son conflit (de quelque manière que ce soit) et met fin à son stress intense, la même zone du cerveau inverse le programme et donne instantanément l’ordre à la biologie d’arrêter la production des cellules cancéreuses et de détruire la tumeur localisée dans l’organe…

C’est ainsi qu’aujourd’hui, plusieurs milliers de dossiers médicaux de guérison ont été constitués et rassemblés par le Docteur Hamer et ses successeurs. Dans ces dossiers, on dénombre beaucoup de guérisons que la médecine officielle qualifie de « spontanées, inexplicables ou miraculeuses » : ainsi, scanners, analyses sanguines, radiographies, rapports émanant des hôpitaux prouvent que des patients ont guéri complètement de cancers, de leucémies, de scléroses en plaques, de myopathies, de dégénérescences diverses, de surdités, de troubles graves de la vue, de psoriasis, d’allergies, etc. sans recours ni à la chimiothérapie, à la radiothérapie, à la chirurgie ou aux autres traitements classiques prescrits par la médecine. Pourtant, un grand pourcentage d’entre eux avait été condamnés à brève échéance par la médecine officielle qui les déclarait incurables. Lors d’un énième procès intenté par l’ordre des médecins contre le Docteur Hamer, l’avocat de ce dernier a demandé à la justice de comparer le pourcentage de survivants du cancer à l’échelle nationale avec le pourcentage de survivants du cancer parmi les patients de son client (sachant que nombre d’entre eux s’étaient adressés à lui en désespoir de cause, parfois en phase terminale, après avoir tout essayé). Cette comparaison démontra de manière éclatante la supériorité de son approche par rapport à celle de la médecine scientifique et de tout son arsenal guerrier pour terrasser la maladie : 95 % de survie sur plus de 5 ans pour Hamer, contre 30 % pour la moyenne nationale en Allemagne. Sans commentaire.

La maladie, la solution parfaite du cerveau face à un conflit

Si j’arrêtais ici ma présentation, je vous laisserais probablement dans le doute, la perplexité, tant les guérisons peuvent apparaître magiques, si on ne comprend pas à quoi sert la maladie, fondamentalement, d’un point de vue biologique. Pour le comprendre, le Docteur Hamer donne un exemple tiré tout d’abord de la biologie animale : celui d’un renard en situation de grand stress lié à sa survie.

Depuis trois jours, imaginons qu’un renard n’ait plus attrapé la moindre proie. Il se trouve dans un grand stress lié à sa survie physique, quand, enfin, il parvient à capturer un petit lapin qui passait par là. Au moment où il s’apprête à le croquer, à le déchiqueter, à le broyer, le renard entend s’approcher un de ses prédateurs les plus terribles : le chasseur. Et voilà notre renard tiraillé entre deux menaces : s’il mange son repas, pour satisfaire son besoin de nourriture, il risque d’être tué le ventre plein ; s’il déguerpit en laissant sa proie, il risque peut-être de mourir de faim, un peu plus tard. Pour sortir de ce dilemme cornélien, il décide d’avaler toute entière une patte du lapin et de s’enfuir bien loin.

À cet instant, un autre danger menace le renard : celui de mourir d’une occlusion intestinale, car cette patte entière ne peut ni remonter de l’estomac, ni poursuivre son parcours dans l’intestin. On se trouve, dit Hamer, dans un conflit intense et brutal lié à la nécessité de digérer quelque chose. Pour résoudre cette situation, le cerveau met en œuvre alors la solution parfaite pour assurer la survie individuelle : il déclenche un programme de production de super-cellules digestives sur la paroi de l’estomac. L’objectif : digérer cinq fois plus vite et cinq fois mieux cette patte de lapin coincée. Tant que l’objectif n’est pas atteint, le cerveau maintient son ordre de produire ces super-cellules digestives aux performances nettement supérieures à la normale. Mais dès que la patte est complètement digérée, un processus de bio-feed-back informe le cerveau que l’objectif est atteint. Instantanément, le cerveau met fin au programme de production et donne l’ordre d’éliminer ces super-cellules qui seraient dangereuses si elles étaient maintenues dans l’estomac. Quelques jours plus tard, si l’on endort le renard et que l’on examine sa paroi stomacale, on pourra observer des cicatrices, témoins de cette élimination encore récente des super-cellules. Conclusion : grâce à ce programme inscrit dans la biologie depuis des millions d’années, le cerveau a choisi la meilleure solution parmi toutes pour assurer la survie du renard. La seule chose que je ne vous ai pas encore dite, c’est que ces super-cellules digestives sont ce qu’on appelle couramment, des cellules cancéreuses de l’estomac ! Ainsi, selon Hamer et Sabbah, sur base de vérifications faites en laboratoire, ce que nous appelons une cellule cancéreuse a les mêmes fonctions qu’une cellule normale, mais de façon démultipliée. Une cellule cancéreuse de l’estomac digère beaucoup plus fort et vite qu’une cellule normale. Une cellule cancéreuse du pancréas produit bien plus d’insuline, une cellule cancéreuse du sein produit bien plus de lait, une cellule cancéreuse du poumon a une capacité d’échange oxygène-sang nettement supérieure, une cellule cancéreuse du rein filtre nettement plus, etc.

Notons au passage que le Docteur Claude Sabbah a généralisé les découvertes de Hamer en montrant que toutes les maladies, quelqu’elles soient (de la plus bénigne à la plus grave), résultaient d’un choc ou d’un stress vécu dans l’isolement et étaient déclenchées par le cerveau comme solution parfaite pour assurer la survie.

Pourquoi meurt-on de nos maladies ?

Alors, me direz-vous, si cela est vrai, pourquoi meurt-on du cancer ou d’autres maladies, si les maladies sont les solutions parfaites inscrites dans la biologie pour assurer la survie individuelle ? Pour répondre à cette question, il faut comprendre comment notre cerveau traite les informations qui lui parviennent. En fait, il faut savoir qu’il ne fait aucune distinction entre une information réelle, imaginaire, virtuelle ou symbolique. Pour le prouver, prenons un exemple simple.
— Si, tout à coup, vous vous retrouvez debout, au bord du toit d’un immeuble de 20 étages, sans garde-fou, votre cerveau va interpréter cette situation comme un danger réel : il va déclencher toute une série de réactions physiologiques et de réflexes comportementaux (montée du taux d’adrénaline, accélération du rythme cardiaque, angoisse, vertige, etc.). Ici, il a traité une information réelle ;
— Si, en lisant l’exemple ci-dessus, vous vous êtes imaginé dans cette situation, probablement que votre cerveau aura déclenché les mêmes réactions. Pourtant, vous n’étiez pas réellement en danger, puisque vous étiez assis en train de lire. Le cerveau a pourtant traité une information imaginaire, comme si elle était réelle ;
— Si, maintenant, au cours d’un jeu vidéo ou d’une séance de cinéma, le scénario vous projette sur le bord du toit, avec le vide en dessous, filmé du point de vue du héros, et si vous êtes suffisamment plongé dans l’image, votre cerveau va de nouveau réagir de la même manière. Ici, il a traité une information virtuelle comme si elle était réelle ;
— Enfin, si l’on vous annonce brusquement que l’entreprise qui vous emploie est déclarée en faillite, juste au moment où vous venez de contracter un gros emprunt à la banque, vous allez peut-être sentir la terre s’ouvrir sous vos pieds. Le cerveau va de nouveau déclencher les mêmes réactions, alors que le précipice face auquel vous vous retrouvez n’est que symbolique. Ainsi, il traitera une information symbolique comme si elle était réelle.

Si vous comprenez cela, vous comprendrez alors aisément que tout ce que nous disons, tout ce que nous pensons est pris par notre cerveau comme des informations réelles qu’il a le devoir de traiter, en tant que super-computer. Ainsi, si vous dites à propos d’un ami : « ce coup-là, je ne lui pardonnerai jamais. Je ne pourrai jamais le digérer », et que cette phrase est réellement le reflet de ce que vous ressentez intensément, votre cerveau va recevoir cette information symbolique et la traiter comme si elle était réelle. Si le conflit relationnel que vous vivez est très intense, et que vous ne parvenez pas à exprimer tout le mal-être que vous ressentez, il est fort probable que le cerveau va déclencher son programme de production des super-cellules digestives (c’est-à-dire des cellules cancéreuses) pour digérer ce coup que vous ne pouvez pas digérer…

Mais à la différence de la patte du lapin coincée dans l’estomac du renard, si une réconciliation avec votre ami n’intervient pas, si vous restez sur votre position, si vous ne pardonnez pas, ce coup-là, vous ne le digérerez effectivement jamais. Par conséquent, votre cerveau continuera à recevoir le message l’informant que le coup n’est pas encore digéré. Et très docilement, il maintiendra son programme de production des cellules cancéreuses. Vous devinez la suite : tôt au tard, à force de disposer d’une capacité digestive anormalement élevée, vous commencerez à ressentir des douleurs, les aliments n’étant pas digérés correctement. On vous diagnostiquera alors un cancer de l’estomac que les médecins tenteront de faire disparaître, par divers moyens à leur disposition…

Mais vous commencez à deviner ce qui risque de suivre. Car même si on vous pratiquait une ablation totale de l’estomac, votre cerveau lui, continuerait à ordonner la production de cellules cancéreuses dans la zone du corps où se situait l’estomac. Ainsi, quelques mois plus tard, on découvrirait ce qu’on croira être une « récidive » ou des « métastases », alors que cette manifestation ne serait que la continuation d’un programme lancé un jour par le cerveau sur base d’une information symbolique à propos d’un conflit avec un ami.

Pour aller plus loin dans le processus, si vous recevez le diagnostic pessimiste de votre cancérologue comme un choc brutal, et que vous traduisez cette information comme un grand stress lié à la peur de mourir, votre cerveau, toujours aussi docilement, lancera un nouveau programme de production de super-cellules pulmonaires, ce qu’on traduira classiquement un peu plus tard comme le cancer du poumon. Et ainsi de suite, jusqu’à ce que mort s’ensuive.


Comment prévenir les maladies et comment les guérir ?

J’ai décrit en détail dans mon dernier livre « Le langage de la guérison » les processus qui déterminent ou provoquent nos maladies physiques, à partir de chocs psychiques intenses ou de grands stress. Dans le cadre de cet article, cela me paraît inutile d’aller plus loin dans les explications, car le raisonnement est le même pour toutes les maladies, quelque soit leur degré d’intensité et de gravité.

Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que d’une part, le cerveau ne se trompe jamais et que d’autre part, c’est lui qui déclenche toutes les « maladies » pour garantir à l’individu les meilleures chances de survie. L’intérêt d’une telle vision est énorme, vous le devinez. En effet, pour la première fois dans l’histoire de la médecine, rien, dans nos affections et nos déséquilibres n’est dû au hasard. Tout se manifeste en accord avec des lois immuables inscrites dans la biologie des êtres vivants, comme le dit le Docteur Claude Sabbah.

Cela signifie, concrètement, que si vous apprenez les lois de la Médecine Nouvelle de Ryke Geerd Hamer ou de la Biologie Totale de Claude Sabbah, lois aussi immuables que celles de la physique ou de la chimie, vous pouvez non seulement comprendre d’où viennent toutes vos maladies, mais surtout vous pouvez les prévenir et les guérir. Comment ? En apprenant ces compétences relationnelles de base que tout être humain devrait acquérir : exprimer ses besoins et ses émotions, oser les confrontations respectueuses, reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est, poser des actes adaptés à la réalité, boucler les affaires non terminées, pardonner. Reprenons-les une à une, pour examiner en quoi ces compétences pourraient nous éviter d’être malades ou nous permettre de nous guérir…

— exprimer nos besoins : beaucoup de frustrations, beaucoup de stress proviennent du fait que d’une part, rares sont les êtres humains conscients de leurs véritables besoins et d’autre part, encore plus rares sont ceux capables de les exprimer de manière adaptée. Par conséquent, nous accumulons des rancœurs, des ressentiments, nous restons bloqués dans des impasses, sentant bien que quelque chose ne nous convient pas, mais sans savoir comment en sortir. Les choses qui nous arrivent sont souvent inacceptables, mais nous les acceptons quand même, parce que nous ne connaissons même pas les limites de ce que nous sommes prêts à vivre ou pas.
Réapprendre à identifier nos besoins et les limites de ce que nous ne voulons plus, être capable de les formuler à nos interlocuteurs, sans avoir peur des conséquences est une des voies possibles pour prévenir et pour guérir les maladies provoquées par les conflits humains et les frustrations.

— exprimer nos émotions : une émotion, c’est comme un symptôme. C’est l’indicateur de l’état de satisfaction et d’insatisfaction de nos besoins. Un besoin est frustré ? Nous en serons averti par une émotion désagréable (colère, tristesse, peur, etc.). Un besoin est satisfait ? C’est une émotion agréable qui nous avertira (joie, plaisir, etc.). Malheureusement, notre éducation nous a enseigné la même attitude à l’égard de nos émotions que la médecine à l’égard des symptômes : les nier, les rejeter, les supprimer. En agissant de la sorte, nous nous privons des meilleurs indicateurs à notre disposition pour connaître avec certitude ce qui est bon pour nous, et ce qui ne l’est pas. Et c’est cette ignorance qui nous précipite dans la frustration, puisque n’ayant plus de voyants lumineux sur notre tableau de bord, nous ne sommes même plus averti qu’un ou plusieurs de nos besoins sont frustrés. Et c’est là que le cerveau est obligé de prendre le relais, pour inscrire dans la biologie des organes les mêmes renseignements dont nous disposions avec les émotions (souvenez-vous : dans la métaphore de la voiture, si les voyants du tableau de bord ne fonctionnent plus ou ne sont pas pris en compte (les émotions), c’est au niveau des organes du moteur que la rupture se manifestera (les organes)).
Réapprendre à écouter nos émotions, les reconnaître et les accepter, les remercier même pour le travail de vigilance qu’elles opèrent pour nous est une première étape pour sombrer moins souvent dans des conflits et des stress destructeurs. Si, en plus, nous pouvons exprimer nos émotions de manière adaptée, en en prenant toute la responsabilité, sans en rendre les autres responsables, alors, très vite, nous pourrons retrouver notre équilibre (j’en ai fait très souvent l’expérience avec de nombreuses personnes).

— oser les confrontations respectueuses : combien de fois, dans des situations difficiles, tendues, désagréables, nous n’osons pas dire les choses à l’autre, respectueusement, mais fermement ? Combien de fois ne ravalons-nous pas notre salive, de peur de créer un conflit ? Nous craignons souvent que les choses désagréables soient dites, parce que nous pensons qu’il est préférable de conserver la paix entre les êtres. Mais cette paix n’est qu’illusoire, puisqu’à l’intérieur peut sourdre une violence énorme. Remarquez même que le calcul est illusoire : en voulant éviter le conflit, on ne dit pas ce qui devrait être dit. Mais en ne disant rien, on augmente notre frustration et notre rancœur, jusqu’à ce qu’elle devienne insupportable. Alors, soit nous explosons contre l’autre, et c’est le conflit et la rupture qu’on avait justement tenté d’éviter ; soit nous implosons, et c’est le cancer ou la maladie fulgurante qui vient nous inviter à regarder de plus près le déséquilibre que nous avons créé…
Oser les confrontations, c’est apprendre à dire les choses qui nous dérangent, calmement, mais sans faux-fuyants. C’est se dire aussi que la meilleure façon de prendre soin de la relation que nous avons avec les autres est encore d’exprimer honnêtement ce qui se passe pour nous dans l’interaction avec l’autre.

— reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est : je l’ai souvent observé, beaucoup de maladies se déclenchent lorsque nous refusons de voir une situation, lorsque nous y résistons, lorsque nous n’acceptons pas ce qui nous arrive. Ainsi, nous pouvons entrer dans des conflits de résistance, de répugnance, de dévalorisation, de perte d’image ou de territoire. Et plus nous luttons contre la réalité, plus nous renforçons son emprise et sa force contre nous, jusqu’à en être épuisé.
Loin d’être fataliste (il ne s’agit pas d’être une loque humaine qui encaisse tout sans rien dire, au contraire), cette attitude consiste à oser regarder la réalité en face, objectivement, sans la juger. Il s’agit aussi de changer son regard sur les événements, en ne les considérant ni comme bons, ni comme mauvais : je conseille plutôt de considérer tout ce qui nous arrive comme des opportunités offertes pour apprendre quelque chose de nouveau.

— poser des actes adaptés à la réalité : Jung insistait beaucoup sur ce point. Il n’y a, en effet, pas de guérison si nous ne posons pas des actes dans le Principe de Réalité. Souvent, nous restons bloqués dans des conflits ou dans des stress parce que nous n’osons pas poser un acte. Ou pire : parce que nous croyons qu’il suffit d’avoir pris conscience de l’origine de son cancer pour guérir. C’est faux, et tous ceux qui l’ont cru sont morts aujourd’hui. L’acte est la seule manière de donner au cerveau l’information de fin de programme conflictuel. Sinon, nous l’avons vu, l’activation de la maladie ne s’arrêtera jamais.

— boucler les affaires non terminées : cette notion a été mise en lumière la première fois par Elisabeth Kübler-Ross, ce médecin suisse émigrée aux États-Unis, à l’origine de la pratique des soins palliatifs répandus aujourd’hui dans le monde entier. Elle disait que beaucoup de patients, en fin de vie, éprouvaient le besoin absolu de faire la paix avec ceux avec qui ils avaient connu des ruptures qui s’étaient mal passées. Elle a observé des milliers de fois que dès que les affaires non terminées avaient été bouclées, les patients mouraient la nuit même, apaisés et sereins.
Pour agir de la sorte, je pense que nous ne devons pas attendre la fin de notre vie, en phase terminale d’une maladie longue et douloureuse. Je fais l’expérience régulièrement que boucler les affaires non terminées me permet de maintenir mon équilibre et de ne pas créer des sources de stress aussi inutiles que préjudiciables.

— pardonner : enfin, last, but not least, pardonner. Non pas, pardonner l’autre pour le mal qu’il pourrait nous avoir fait, mais nous pardonner à nous-même pour la souffrance que nous avons accepté de vivre si longtemps avant de lâcher prise, avant d’exprimer à l’autre nos besoins ou nos émotions, avant d’avoir oser les confrontations respectueuses, avant d’avoir enfin reconnu et accepté la réalité, avant d’avoir posé des actes dans la réalité, avant d’avoir bouclé les affaires non terminées.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce ne sont jamais les autres ni les événements qui sont responsables de nos chocs, de nos conflits, de nos stress. C’est toujours la manière dont nous avons reçu l’événement, dont nous l’avons perçu, interprété, filtré qui engendrera notre souffrance ou notre plaisir. Donc, en fin de compte, avec beaucoup d’amour, d’humour et d’humilité, nous nous remercierons d’avoir été aussi stupide et nous nous pardonnerons tout ce mal que nous nous sommes fait.

Conclusions

Au terme de cet article, je tiens à tirer rapidement quelques conclusions. Tout d’abord, mon objectif n’a pas été de vous convaincre que vos croyances étaient erronées à propos de la santé et de la maladie. Je ne sais que trop bien qu’il faudrait bien plus pour vous faire changer. Mon objectif était de vous proposer une vision de ce que sera probablement demain, la compréhension de la maladie et de la guérison. Si l’une ou l’autre idée a fait résonance en vous, je vous invite à approfondir votre recherche, à vous informer, à lire les livres qui commencent à sortir sur le sujet… Et surtout, à expérimenter par vous-même et sur vous-même, comme je le fais depuis 18 ans.

Ensuite, cette vision de la maladie est porteuse d’une immense bonne nouvelle : la maladie n’est pas une fatalité, elle n’arrive jamais par hasard. Ce qui veut dire qu’en changeant nos habitudes comportementales, nos schémas de pensée, notre vie émotionnelle, nous pouvons éliminer définitivement l’emprise des maladies sur nous. De plus, même si nous tombons encore malades de temps en temps, nous ne serons plus dépendants des thérapeutes qui se placent dans une position de pouvoir par rapport à nous. Nous retrouvons, enfin, notre autonomie, notre liberté, notre souveraineté.

Enfin, en tant que patients et en tant que citoyens, nous avons tous un devoir d’informer notre entourage, le plus largement possible, sur ces nouvelles recherches, pour que la folie qui s’est emparée du pouvoir médical, politique et économique à l’égard de tout ce qui est alternatif soit discréditée, rendue non pertinente, obsolète. Quand je vois les persécutions dont font l’objet de nombreux thérapeutes qui ont choisi de se mettre réellement au service de la santé et du malade (et donc de ne plus servir les intérêts des grands groupes pharmaceutiques), je sais que cette nouvelle forme d’inquisition ne cessera que lorsque nous serons assez nombreux pour dire en face, à nos médecins traditionnels, ce qui nous a vraiment guéris. Sinon, la maladie restera encore pour longtemps aux mains de ceux qui ont pris le pouvoir sur notre vie et sur notre corps. Nous avons le Monde que nous méritons. Aurons-nous le Monde auquel nous avons légitimement droit ? Cela ne dépendra que de nous."

Jean-Jacques Crèvecœur


Là où la Médecine Nouvelle et la psychobiologie rentrent en résonance avec les médecines primitives :
On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers"




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vendredi, 28 mars 2008

Urgence Alimentaire!

Une vidéo capitale à diffuser pour réagir et redresser le gouffre alimentaire dans lequel l'humanité se dirige!

jeudi, 27 mars 2008

Hooponopono: aux racines de la santé, de nos responsabilités et du soin

Vous trouverez ci-après 3 articles sur les formidables découvertes du Dr Len qui ramène aux source de la simplicité le meilleur moyen de cultiver sa santé et de se guérir!
Je vous conseille particulièrement le 3ième article.
Vous trouverez des vidéos très parlantes issues de youtube, particulièrement à la toute fin de ces articles.


HO'OPONOPONO * (Par Joe Vitale)

Il y a deux ans, j'ai entendu parler d'un thérapeute d'Hawaii qui a guéri une salle complète de patients aliénés criminels - sans jamais voir aucun d'eux.
Le psychologue étudiait le dossier d'un interné et ensuite regardait en lui-même pour voir comment il avait créé la maladie de cette personne. À mesure qu'il s'améliorait lui-même, le patient s'améliorait.

Quand j'ai entendu cette histoire pour la première fois, j'ai pensé que c'était une légende urbaine. Comment quelqu'un pouvait- il guérir quelqu'un d'autre en se guérissant lui même ?
Comment même le meilleur maître de l'autoamélioration pouvait-il guérir l'aliéné criminel ?
Ça n'avait pas de sens. Ce n'était pas logique.
J'ai donc rejeté cette histoire. Cependant, je l'ai entendue de nouveau un an plus tard. J'ai entendu dire que le
thérapeute avait utilisé un procédé de guérison hawaïen appelé« ho'oponopono ». Je n'en avais jamais entendu
parler, pourtant je ne pouvais laisser cela me sortir de l'esprit. Sil'histoire était vraie, je devais en savoir davantage.

J'avais toujours compris que « responsabilité totale » signifiait que j'étais responsable de ce que je pensais et de ce que je faisais. Au-delà de ça, je n'y étais pour rien. Je croisque la plupart des gens considèrent la responsabilité totale de cette façon-là. Noussommes responsables de ce que nousfaisons, pas de ce que n'importe qui d'autre fait - mais cela est faux.

Le thérapeute hawaïen qui a guéri ces personnes malades mentales allait m'enseigner une nouvelle perspective
avancée sur la responsabilité totale.

Il s'appelle Dr Ihaleakala Hew Len. Nous avons probablement passé une heure à parler lors de notre premier appel téléphonique. Je lui ai demandé de me raconter toute l'histoire de son travail en tant que thérapeute.
Il a expliqué qu'il avait travaillé quatre ans à l'hôpital de l'État d'Hawaii. Cette salle où ils gardaient les malades mentaux criminels était dangereuse. Des psychologues la quittaient chaque mois. Le personnel prenait beaucoup de congés de maladie ou s'en allait, tout simplement. Les gens marchaient dans cette salle en gardant le dos contre le mur, craignant d'être attaqués par les patients. Ce n'était pas un endroit agréable où vivre, travailler ou venir en visite.

Le Dr Len m'a dit qu'il ne voyait jamais ses patients. Il accepta d'avoir un bureau et de voir les dossiers.
Pendant qu'il regardait les dossiers, il travaillait sur lui-même. A mesure qu'il travaillait sur lui-même, les
patients commençaient à guérir.

« Après quelques mois, des patients à qui l'on avait dû mettre des entraves furent autorisés à marcher
librement, m'a-t-il dit. D'autres, qui avaient dû être lourdement médicamentés commencèrent à
abandonner leurs médicaments. Et ceux qui n'avaient aucune chance d'être relâchés furent libérés. » J'étais stupéfait.
« Pas seulement cela, poursuivit-il, le personnel commença à se plaire à venir travailler. L'absentéisme et le roulement du personnel prirent fin. Nous avons fini par avoir plus de personnel que nous en avions besoin parce que les patients étaient relâchés et que tout le personnel se présentait pour
travailler. Aujourd'hui, cette salle est fermée. »

C'est là que je devais poser la question à un million de dollars: « Qu'est-ce que vous faisiez en vous-même qui amenait ces gens à changer ? » « Tout simplement, je guérissais la partie de moi qui les avait créés », a-t-il dit. Je ne comprenais pas. Le Dr Len a expliqué que la responsabilité totale pour votre vie signifie que tout dans votre vie - simplement parce que c'est dans votre vie - est de votre responsabilité. En un sens littéral, le monde entier
est votre création.

Ouais. Cela est difficile à avaler. Être responsable de ce que j'ai dit ou fait est une chose. Être responsable de ce que chacun dans ma vie dit ou fait est une tout autre chose.

Pourtant, la vérité, c'est que si vous assumez la complète responsabilité de votre vie, alors tout ce que vous voyez, entendez, goûtez, touchez ou expérimentez de quelque façon est de votre responsabilité parce que c'est dans votre vie.

Cela signifie que les activités terroristes, le président, l'économie - quoi que ce soit que vous expérimentiez et que vous n'aimiez pas, c'est à vous qu'il revient de les guérir. Ils n'existent, pour ainsi dire, que comme des
projections venant de l'intérieur de vous. Le problème n'est pas leur, il est vôtre et pour les changer, vous avez à vous changer.

Je sais que cela est difficile à saisir, sans parler que c'est difficile à accepter et à vivre pour de vrai. Le blâme est beaucoup plus facile que la responsabilité totale, mais à mesure que je parlais avec le Dr Len j'ai commencé à réaliser que la guérison pour lui et dans le « ho'oponopono » signifie s'aimer soi-même.

Si vous voulez améliorer votre vie, vous devez guérir votre vie. Si vous voulez guérir quelqu'un - même un criminel malade mental vous le ferez en vous guérissant.

J'ai demandé au Dr Len comment il s'y prenait pour se guérir lui-même. Qu'est-ce qu'il faisait, exactement, quand il regardait les dossiers de ces patients ?

« Je faisais juste répéter "Excusez-moi" et "Je vous aime" encore et encore », a-t-il expliqué.
« C'est tout ? »
« C'est tout. »

Il se trouve que vous aimer vous-même est la plus merveilleuse façon de vous améliorer, et à mesure que vous vous améliorez, vous améliorez votre monde.

Laissez-moi vous donner un exemple rapide de la façon dont ça marche: un jour, quelqu'un m'a envoyé un courriel qui m'a contrarié. Auparavant, j'aurais traité la situation en travaillant sur mes points faibles émotionnels ou en essayant de raisonner avec la personne qui avait envoyé le message désagréable.
Cette fois-là, j'ai décidé d'essayer la méthode du Dr Len. Je répétais en silence « Excusez-moi » et « Je vous aime », je ne le disais à personne en particulier.
J'évoquais simplement l'esprit d'amour pour guérir en moi ce qui avait créé la circonstance extérieure. En moins d'une heure j'ai reçu un courriel de la même personne. Il s'excusait pour son message précédent. Rappelez-vous que je n'avais pris aucune mesure extérieure pour obtenir ces excuses. Je ne lui avais même pas répondu.

Pourtant, en disant « Je t'aime », j'avais en quelque sorte guéri en moi ce qui le créait.

J'ai par la suite participé à un atelier de « ho'oponopono » animé par le Dr Len. Il a maintenant 70 ans, il est considéré comme un grand-père chaman et il est quelque peu solitaire. Il a louangé mon livre The Attractor Factor. Il m'a dit qu'à mesure que je m'améliorerai la vibration de mon livre augmentera et que chacun le sentira
quand il le lira. Bref, dans la mesure où je m'améliorerai, mes lecteurs s'amélioreront.
« Qu'en est-il des livres qui sont déjà vendus et qui se trouvent un peu partout ? », ai-je demandé. « Il ne sont pas "un peu partout" », a-t-il expliqué, m'étonnant encore une fois avec sa sagesse mystique. « Ils sont encore en vous. » En résumé, il n'y a pas d'un peu partout.

Cela prendrait un livre entier pour expliquer cette technique avancée avec la profondeur qu'elle mérite. Qu'il suffise de dire que chaque fois que vous voulez améliorer quelque chose dans votre vie, il n'y a qu'une seule place où regarder: en vous. Et quand vous regardez, faites-le avec amour.

Par Joe Vitale



* Ho'oponopono signifie rendre droit, rectifier, corriger. (NDT)

Texte traduit de l'américain par Andrée Thouin.
Texte original : http://www.freewebs.com/shamanism/articles.htm

Conséquences pratique sur la méthode de "non vouloir" de Joe Vitale:


Pour en savoir davantage sur la méthode ho'oponopono,
on peut consulter le site en langue anglaise : http://www.hooponopono.org/

Description synthétique de la méthode:



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ho’oponopono d’harmonie à la maison - (extrait du site: http://www.googleville.org/hooponopono-dharmonie-a-la-maison)

Une des histoires les plus intéressantes que j’ai entendues au cours de la dernière année a été au sujet d’un thérapeute qui provoque le changement des vies des hommes durcis dans une aile de prison en se reliant au divin. Tandis que restant dans son bureau au service, sans égal ayant le contact avec chacun de ses patients, Dr. Len, tout en aimant le divin et se concentrant sur aimer les hommes dans son soin, changé l’expérience tout autour de lui. Il a employé la pratique oponopono de Ho’ de prendre la responsabilité de toute la pensée, sentiment, action, réaction, douleur, la colère, violence autour de lui et a permis au divin de le changer de sorte que toute la celle ait absorbé de son expérience.

Dr. Joe Vitale a écrit un livre appelé les limites zéro au sujet de cette pratique oponopono de Ho’. En raison du miracle exprimé en histoire de Dr. Len’s, j’ai commencé il y a un certain nombre de mois à employer l’incantation suggérés dans le livre, toutes les fois qu’il vient à l’esprit. Cette pratique simple que je peux attribuer à créer plus d’harmonie à la maison, un de mes principes plus évalués pour vivre près.

Oponopono de Ho le’ prie d’une manière simple, mémorise quelques mots et les indique répétitivement au divin :
* Je suis désolé,
* Veuillez me pardonner,
* Merci,
* Je t’aime.
Pour l’expliquer simplement, cette pratique me prouve que je suis responsable de toutes les choses qui apparaissent dans le monde. En se reliant au divin, je me permets d’être `nettoyé’ de toutes choses qui limitent mon amour pour et aiment du divin. En effet, aujourd’hui je suis responsable de tout dans ma vie, que ce soit considéré bon ou le mauvais aux yeux du monde.

J’ai noté que cette petite expression et l’amour que je me sens en conséquence, a souvent changé les résultats des situations dans mes rapports avec ceux près de moi. Ils ont également affecté les circonstances qui je me suis senti étais hors de ma commande, de communications avec tels qui étaient un défi à moi, et de l’effet des erreurs que j’ai faites.

Quand j’agis d’une manière consciente de se relier au divin en dedans de façon régulière, je me rappelle d’agir d’une manière dont est plus près de qui je vraiment AM que des manières qui sont des distractions en mon monde journalier comme le souci, le mécontentement, l’impatience ou l’apathie.

L’harmonie est à la maison l’une de mes valeurs plus élevées et quand je la trouvaille moi-même au milieu du désaccord, se rappelant cette expression est tellement plus facile qu’essayant de figurer dehors ce qui tourne mal ! Quand je dis,
* Je suis désolé,
* Veuillez me pardonner,
* Merci
* Je t’aime,
Je la dis, non seulement à Dieu, mais également à moi, à mon mari, à mon fils, au monde.

Quand la violence du monde me frappe de l’écran de TV, je dis cette expression et la réalise que je peux changer pour contribuer à la paix. Quand je vois des actes de haine dans le monde, je dis cette expression et sais que j’ai également la haine en dedans ou il y aurait seulement harmonie parmi des personnes. Par conséquent, je dis cette expression, aimer le divin, constatent que ma haine est nettoyée hors de moi, et dans ce processus, créent des expériences de l’amour pour et dans d’autres tout autour de moi.

Cette pratique est la finale en prenant la responsabilité des actions et des rapports à un, particulièrement à la maison. Je vois comment je contribue au manque d’harmonie entre mon mari et fils parfois. Je vois comment je défie le divin chez mon mari en discutant avec lui. Je vois comment je limite le rapport de mon fils avec le divin par mes espérances.

Il seul est dans le nettoyage de `’ de ces interactions chez moi, cette notre maison devient sain, harmonieux, et hospitalier. Pour ce processus, je suis reconnaissant au divin.

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Du Dr Cat Saunders, ce formidable article traduit de l'anglais (traduit "artisanalement") et suivit de la version originale en anglais (que je vous conseille si vous le comprenez, issus de son site web: http://www.drcat.org/articles_interviews/html/hotfudge.html):

100% responsabilité et la promesse d'un Hot Fudge Sundae
Une entrevue avec Len Ihaleakala Hew


Par Cat Saunders

100% Responsabilité et la possibilité d'un sundae au chocolat chaud

"Soit nous nous tuons nous-même, soit nous nous nourrissont. Il n'y a pas d'entre deux"
-Haleakala Hew Len, Ph.D.

Comment remercier quelqu'un qui nous a aidé à nous libérer? Comment remercier un homme, qui par ses énoncés et son esprit, a pour toujours changé la direction de notre vie? Haleakala Hew Len est un tel homme pour moi. Tel un frère d'âme qui apparaît, imprévue, en heure de besoin. Haleakala est entré dans ma vie en mars 1985, dans un temps de grand changement pour moi. Je l'ai rencontré dans un séminaire s'intitulant "Self I-dentity through Ho'oponopono" - "auto-dentité" qu'il a animé avec le regretter Morrnah Nalamaku Simeona, un 'kahuna' natif de Hawaii ("gardien du secret").

Pour moi, Haleakala et Morrnah font partie du rythme de la vie. Quoique je les aime tous les deux beaucoup, je ne m'appuie pas sur l’idée que je me fais d'eux en tant qu'être humain, bien que leurs influence soit toujours présente pour moi comme en battement régulier comme des tambours africain au milieu de la nuit. Récemment j'ai eu l'honneur d'avoir été demandé, par The Foundation of I, Inc., (Freedom of the Cosmos) fondée par Morrnah, pour interviewer Haleakala. C'était un encore plus grand honneur d'apprendre qu'il venait me rencontrer personnellement depuis son pays natal, Hawaii, pour l'interview.

Dr. Haleakala S. Hew Len est le Président et L'administrateur de la Fondation. Ensemble avec Morrnah, Haleakala a travailler avec des milliers de gens pendant des années : avec des groupes des Nations Unies, de L'UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organisation), l'International Human Unity Conference on Peace, World Peace conference, Traditional Indian Medicine Conférence, Healers for Peace in Europe, et l'Association des Professeurs de L'Etat de Hawaii. Il a aussi beaucoup d'expérience dans de travail avec gens en difficulté de développement, les malades mentaux criminels et leurs familles. Dans son travail en tant qu'Educateur, le processus Ho'oponopono soutient et transpire chaque souffle de ses efforts.

Simplement dit, Ho'oponopono veut dire, "de faire correctement" ou "rectifier une erreur." Selon les anciens Hawaiiens, l'erreur survient de pensés, teintées de mémoires douloureuses du passé. Ho'oponopono offre une façon de laisser aller l'énergie de ces pensés douloureuses, ou des erreurs qui causent le déséquilibre et la maladie.
Avec le processus mis a jour de Ho'oponopono, Morrnah a été guider pour définir les trois parties du soi, qui sont la clé pour la Self I-dentity- (auto i-dentité). Ces trois parties existant dans chaque molécule de la réalité sont appelées « Unihipili » (enfant/subconscient), « Uhane » (mère/conscient), et « Aumakua » (père/superconscient).
Quand cette "famille intérieure" est alignée, la personne est en rythme avec la Divinité. Avec cet équilibre, la vie commence à couler. De cette façon, Ho'oponopono aide a rétablir l'équilibre dans l'individu tout d'abord, et ensuite dans toute la création.

En m'apprenant ce système en trois parties, en plus du processus le plus puissant du « pardon », Haleakala et Morrnah m'ont aussi appris ceci: la meilleure façon d'apporter la guérison dans toutes les facettes de ma vie et dans tout l'univers est de se rendre responsable à 100% et de travailler sur soi-même.
Par surcroît, ils nous ont appris le savoir simple du 'soins de soi-même total'. Comme Haleakala l'a exprimé lui-même dans un mémo de remerciement après son interview: "Prends bien soin de toi! Si tu le fais, tous en seront les bénéficiaires".

Une fois, Haleakala a quitté le séminaire que je suivais avec lui, pour tout en après-midi parce que son « Unihipili (enfant/subconscient) » lui a dit de retourner a son hôtel et de faire une longue sieste. Bien sûr tout en étant responsable, et Morrnah était là pour enseigné. Même a ça, son absence a laissé une marque en moi qui avait été éduqué à mettre les autres avant moi-même. L'action de Haleakala m'a épaté et réjouie; il a eu sa sieste et moi, une leçon inoubliable d'auto soins.

Cat: Haleakala, quand je vous ai rencontré en 1985, je venais tout juste d'ouvrir ma pratique privé, après avoir travaillé comme conseillère auprès d'agences durant 4 ans. Je me rappelle que vous aviez dit: "Toutes thérapies sont des formes de manipulations," et j'ai pensé "Ohlala! qu'est-ce que je devrais faire maintenant?". Je savais que vous aviez raison et je me suis presque résigné! Evidemment je ne l'ai pas fais, mais cette phrase a complètement changé ma façon de travailler avec les gens.

Haleakala: La manipulation se passe quand moi, en tant que thérapeute, j’arrive avec l'idée que tu est malade et que je vais travailler sur toi. D'un autre coté, ce n'est pas de la manipulation si je prends conscience que tu viens vers moi pour me donner une possibilité de regarder ce qu’il se passe en moi. Il y a une grande différence!

Si la thérapie est basée sur le croyance que tu es là pour sauver l'autre personne, guérir l'autre ou dirigé l'autre personne, à ce moment là, l'information proposée sortira de ton intellect, de la pensé consciente. Mais l'intellect n’a pas une vraie compréhension des problèmes et comment les aborder. Il n'est pas donné à l'intellect de comprendre que quand un problème est résolu par la transmutation, par le processus Ho'oponopono ou un autre processus similaire, dès lors le problème, et tout ce qui lui était relié, est résolu, même sur le niveau microscopique et jusqu'au début des temps.
Donc, je crois que la question la plus importante à poser est, “Quel est le problème?” Si vous demandez aux gens, il n’y a pas de clarté, ils inventent une façon de régler le problème…

Cat: … Comme si le problème est “en dehors”.

Haleakala: Oui. Par exemple l’autre jour j’ai reçu un appel de la fille d’une dame qui a 92ans qui dis: “cela fait plusieurs semaines que ma mère a ces douleurs atroces aux hanches.” Pendant qu’elle me parle, je pose cette question a la divinité, “Qu’est-ce qui se passé en moi pour que je crée cette douleur en cette femme?” ensuite je demande, “Comment puis-je rectifié le problème en moi?” La réponse a ces questions me vient et je fais ce qu’il m’ai demandé.
Peut-être une semaine plus tard, cette femme me rappelle et me dit “ma mère va mieux maintenant”. Cela ne veut pas dire que le problème ne se reproduira plus car il y a de multiples causes qui produisent apparemment le même problème.

Cat: J’ai beaucoup de maladies récurrentes et des douleurs chroniques. Je travaille tout le temps en utilisant la méthode Ho’oponopono et d’autre processus de nettoyage pour réparer la douleur que j’ai causé depuis le début des temps.

Haleakala: Oui. L’idée étant que les gens comme nous, sommes dans des professions de guérison parce que nous avons causé beaucoup de douleur.

Cat: Ô oui! (Big time!)

Haleakala: Qu’est-ce qu’il est génial de savoir cela, et de se faire payer pour avoir cause leurs problèmes!

Je disais cela à une dame à New York, et elle me répondit, “Dieu, si seulement ils savais!” Mais vous voyez, personne ne sait. Les Psychologues et les Psychiatres continuent de penser qu’ils sont là pour soigner les autres.

Donc, si quelqu’un comme vous vient me voir, je demande à la divinité, « S’il vous plaît, quoi qu’il se soit passé en moi qui a causé cette douleur en Cat, dites moi comment je peux le rectifier. Et j’appliquerai l’information que je reçois indéfiniment, jusqu’à ce que votre douleur soit partis ou jusqu’à ce que vous me demandiez d’arrêter. » Ce n’est pas autant le résultat qui est important mais de se rendre au problème. C’est ça la clé.

Cat: Vous ne vous fixez pas sur le résultat parce que nous ne sommes pas responsable de ça.

Haleakala: C’est ça. On peut seulement voter.

Cat: Nous ne savons pas non plus quand est-ce qu’une douleur ou une maladie particulière va bouger.
Haleakala: Oui. Disons qu’une femme prenait une herbe qui a été recommandé, et ça ne marche pas. Encore une fois la question se pose « Que se passe-t-il en moi pour que chez cette dame, ces herbes ne marche pas? Je travaillerai sur cela. Je continuerai à nettoyer, en gardant ma bouche fermé, en permettant au processus de transmutation de se faire. » Aussi tôt que l’intellect s’engage, le processus s’arrête. La chose à se souvenir quand un processus ne semble pas fonctionner c’est ceci: il y a peut-être de multiples erreurs, de multiples problèmes ou des mémoires qui causent la douleur. Nous ne savons rien! Seule la divinité sait ce qu’il se passe vraiment.

Je donnais une présentation à Dallas le mois dernier, et je parlais à une femme, maître en Reiki. Je lui ai dit “laissez- moi vous poser une question. “Quand quelqu’un vous arrive avec un problème, ou est ce problème?” Elle avait l’air perplexe quand je lui ai dit ensuite, “vous êtes celle qui avait causé le problème, et votre patient va vous payer pour guérir le problème!” Personne ne comprend cela.

Cat: 100% de responsabilité!

Haleakala: savoir à 100% que vous êtes la cause du problème. Savoir à 100% que vous avez la responsabilité, et ensuite, rectifiez l’erreur. Pouvez-vous imaginez si nous savions tous que nous sommes 100% responsable?
J’ai fait une entente avec moi-même il y a dix ans que je me récompenserai d’un sundae au chocolat chaud fondant, tellement gros qu’il me rendrai malade, si je pouvais passer une journée sans avoir de jugement envers quelqu’un. Je n’ai jamais réussi. Je remarque que je suis plus vigilant mais je n’y arrive pas une journée complète.
Alors comment faire comprendre aux gens que nous sommes chacun 100% responsable?

Si vous voulez résoudre un problème, travaillez sur vous-même. Si le problème est avec quelqu’un d’autre par exemple, demandez vous simplement, “qu’est-ce qu’il s’est passé en moi qui fait que cette autre personne m’énerve?” Les gens n’apparaissent dans votre vie que pour vous énerver! Si vous savez cela, vous pouvez relever n’importe quelle situation, et vous pouvez vous laisser aller à ce moment. C’est très simple: “Je suis désolé pour quoi qu’il se soit passé, s’il te plais pardonne moi”.

Cat: Vous n’êtes pas obligé de leur dire cela tout haut, et vous ne devez même pas comprendre le problème.

Haleakala: C’est la beauté dans tout ça. Vous n’êtes pas obligés de comprendre. C’est comme sur internet. Vous ne comprenez pas tout! Vous allez simplement vers la divinité et vous dites, “est-ce que on peut télécharger?” et la divinité télécharge pour que vous ayez l’information nécessaire. Mais parce que nous ne savons pas qui nous sommes, nous ne téléchargeons jamais directement cette lumière. Nous allons à l’extérieur.
Je me souviens que Morrnah disait: “C’est une job d’intérieur.” Si vous voulez réussir, c’est un travail d’intérieur. Travaillez sur vous-même.

Cat: Je sais que 100% responsable est la seule chose qui fonctionne vraiment, mais je me débattais avant avec tout ça, parce que je suis un type de personne « sur-responsable » et attentionné envers les autres.
Quand je vous ai entendu parler d’être 100% responsable pas seulement pour moi mais pour toute situation et problème, j’ai pensé, “Waouh! C’est fou! Je n’ai pas besoin que quelqu’un me dise d’être encore plus responsable!” Mais plus j’y pensai, plus je me rendais compte qu’il y a une grande différence entre « sur-responsable et attentionné envers les autres », versus, « le soin de soi complètement responsable ». Le premier est a propos d’être une gentille petite fille et le deuxième veut dire: se libérer.
Je me souviens quand vous parliez des années où vous étiez psychologue dans l’hôpital de l’état de Hawaii auprès de fous criminels. Vous disiez qu’au début, il y avait beaucoup de violence dans ce département, et en partant, après vos quatre ans de travail, il n’y en avait plus.

Haleakala: C’est vrai. J’allais seulement dans ce département pour vérifier les résultats. S’ils avais encore l’air déprimés, je retournai travailler sur moi-même encore plus.

Cat: Pouvez-vous nous raconter une histoire pour comprendre comment on peut utiliser Ho’oponopono sur les objets soi-disant inanimés?

Haleakala: J’étais dans un auditorium, me préparant à donner une conférence, et je parlais aux chaises. Je leur demandais, “est-ce que j’ai manqué quelqu’un? Est-ce quelqu’un a un problème duquel je dois m’occuper?” Une des chaise m’a dit, “Tu sais, il y a un gars qui était assis sur moi plus tôt et il avait des problèmes financiers, et maintenant je me sens tout simplement morte!” Donc, j’ai nettoyé ce problème en moi et je pouvais voir la chaise qui se redressait! Ensuite j’ai entendu, “Ok, je suis prête a m’occuper du prochain!”
Ce que j’essaye en fait de faire, c’est d’enseigner à la salle. Je dis à la salle et à tout les objets qui sont dedans, “Est-ce que vous voulez apprendre comment on fait Ho’oponopono? Après tout, je vais repartir bientôt et ne serait’il pas bien si vous pouviez faire ce travail par vous même? Il y en a qui disent oui, d’autres disent non, et d’autres disent, “je suis trop fatigué!”
Et ensuite je demande la divinité, “S’ils disent qu’ils aimeraient apprendre, comment les aider à apprendre?” La plupart du temps, je reçois ceci: “laisse le livre bleu (auto identité avec Ho’oponopono) avec eux.” Donc je sors un livre bleu et je le laisse sur une des chaises ou sur une table pendant que je parle. On ne donne pas assez de crédit aux tables d’être silencieuses et conscientes de ce qui se passe!

Ho’oponopono est vraiment très simple. Pour les anciens Hawaiiens, tout problème commence par une pensé. Mais d’avoir une pensé n’est pas le problème. Alors quel est le problème? Le problème est que toutes nos pensés sont gorgées de mémoires douloureuses, des mémoires de personnes, de places, ou de choses.
L’intellect qui travaille seul ne peut résoudre ces problèmes, parce que l’intellect ne fait que gérer. Gérer les choses n’est pas une façon pour les résoudre. Vous voulez les laisser aller! Quand vous faites Ho’oponopono, ce qu’il ce passe c’est que la Divinité prend les pensés douloureuses et les neutralises ou les purifient. Vous ne purifiez pas la personne, la place ou la chose, vous neutralisez l’énergie que vous associez à la personne, place ou chose. Donc la première étape de Ho’oponopono est la purification de cette énergie.
Quelque chose de magnifique ce passe. Vous ne devez pas savoir quel est le problème ou l’erreur. Tout ce que vous avez à faire c’est de remarquer le quelconque problème que vous sentez physiquement, mentalement, ou émotionnellement. Une fois remarqué, votre responsabilité est d’immédiatement commencer à le nettoyer en disant “je regrette. S’il vous plaît pardonnez-moi.”

Cat: Donc le vrai travail de l’intellect n’est pas de résoudre les problèmes, mais de demander le pardon.
Haleakala: Oui. Mon travail ici sur terre a deux volets. Mon travail est en premier de faire amende honorable. Mon deuxième travail est de réveiller les gens qui sont peut-être endormis. Presque tous sont endormis! La seule façon de les réveiller c’est de travailler sur moi-même. Notre interview en est un exemple. Des semaines avant notre rendez-vous d’aujourd’hui, je faisais ce travail de nettoyage pour que quand vous et moi nous nous rencontrerons, ce soit comme deux eaux qui se rencontrent. Elles se traversent et laissent passer. C’est tout.
Cat: Dans mes dix ans d’expérience a faire des interviews, c’est le premier pour lequel je ne me suis pas préparée. À chaque fois que je faisais le point en moi-même, mon Unihipili disait que je devais simplement venir et être avec vous. Mon intellect devenait fou en essayant de me convaincre de me préparer, mais je ne l’ai pas fais.

Haleakala: Bravo! Le Unihipili peut être très amusant. Un jour j’étais sur l’autoroute à Hawaii. Quand je m’apprêtai à prendre ma sortie habituelle, j’ai entendu mon Unihipili me dire avec une voix chantante, “je n’irai pas par là si j’étais toi.” Je me suis dis, “mais je vais toujours par là.” Encore plus proche de cette sortie j’entend, “Hello! je n’irai pas par là si j’étais toi!” seconde chance. “Mais je vais toujours par là!” Je suis en train de parler tout haut et les gens dans les voitures à côté de moi pensent que je suis fou. À peu près à 25 mètres de la sortie, j’entends tout fort, “je n’irais pas par là si j’étais toi!” Je prends ma sortie et j’y reste coincé deux heures et demi parce qu’il y avait un immense accident. Je ne pouvais pas reculer, ni avancer. Finalement j’entends mon Unihipili dire, “je te l’ai dit!” Et après il ne m’a plus reparlé pendant des semaines! Evidemment. Pourquoi me parler si je n’écoutais pas?
Je me souviens d’une fois quand j’allais passer à la télévision pour parler de Ho’oponopono. Mes enfants en avaient entendu parler et me dirent, “papa, on a entendu que tu vas être à la télévision, assures-toi que tes chaussettes soit bien assorties!” Ils ne se préoccupaient pas de savoir ce que j’allais dire. Ils se préoccupait seulement que mes chaussettes soient assorties. Vous voyez comment les enfants connaissent ce qui est important dans la vie?

Si vous vous posez des questions à propos de la casquette de baseball, Haleakala la porte pour se rappeler de ne pas être trop intellectuel. Le fond bleu représente le néant, ou le vide, et le “P” rouge représente la Mère Terre, ou la force Créatrice, Pele.


Cat Saunders, Ph.D. est l’auteur de Dr. Cat’s Helping Handbook.
Pour plus d’informations: http://www.drcat.org

Cette interview a été publié par The New Times à SEATTLE, WA, en Septembre 1997.

Pour plus d'informations sur Ho'oponopono ou de prendre contact avec Ihaleakala Hew Len, Ph.D., s’il vous plaît visitez http://www.hooponopono.org.


Version anglaise

100% Responsibility and the Promise of a Hot Fudge Sundae
An Interview with Ihaleakala Hew Len

By Cat Saunders
How do you thank someone who has helped to set you free? How do you thank a man whose gentle spirit and zinger statements have forever altered the course of your life? Ihaleakala Hew Len is such a man for me. Like a soul brother who shows up unexpectedly in an hour of need, Ihaleakala came into my life in March of 1985, during a time of massive change for me. I met him during a training called "Self I-Dentity Through Ho'oponopono," which he facilitated along with the late Morrnah Nalamaku Simeona, a native Hawaiian kahuna ("keeper of the secret").

For me, Ihaleakala and Morrnah are part of the rhythm of life. Though I love them both dearly, I don't really dwell on thoughts of them as people, yet their influence is always there for me, beating a steady pulse like African drums in the night. Recently, I had the honor of being asked to interview Ihaleakala by The Foundation of I, Inc. (Freedom of the Cosmos), an organization founded by Morrnah. It was an even greater honor to learn that he would be coming from his home in Hawaii to meet with me personally.

Dr. Ihaleakala S. Hew Len is the foundation's president and administrator. Together with Morrnah, Ihaleakala has worked with thousands of people over the years, including groups at the United Nations, UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization), International Human Unity Conference on World Peace, World Peace Conference, Traditional Indian Medicine Conference, Healers for Peace in Europe, and the Hawaii State Teachers Association. He also has extensive experience working with developmentally disabled people and with the criminally mentally ill and their families. In all his work as an educator, the Ho'oponopono process supports and permeates every breath of his efforts.

Simply put, Ho'oponopono means, "to make right," or "to rectify an error." According to the ancient Hawaiians, error arises from thoughts that are tainted by painful memories from the past. Ho'oponopono offers a way to release the energy of these painful thoughts, or errors, which cause imbalance and disease.

Along with the updated Ho'oponopono process, Morrnah was guided to include the three parts of the self, which are the key to Self I-Dentity. These three parts — which exist in every molecule of reality — are called the Unihipili (child/subconscious), the Uhane (mother/conscious), and the Aumakua (father/superconscious). When this "inner family" is in alignment, a person is in rhythm with the Divinity. With this balance, life begins to flow. Thus, Ho'oponopono helps restore balance in the individual first, and then in all of creation.

By introducing me to this three-part system, along with the most powerful forgiveness process I know (Ho'oponopono), Ihaleakala and Morrnah taught me this: the best way to bring healing to every part of my life — and to the entire universe — is to take 100% responsibility and work on myself. In addition, they taught the simple wisdom of total self-care. As Ihaleakala said in a thank-you note after our interview: "You take good care of yourself. If you do, all will be beneficiaries."

Once, Ihaleakala left for an entire afternoon in the middle of a training I was taking, because his Unihipili (child/subconscious) told him to go to his hotel and take a long nap. Of course, he was responsible about leaving, and Morrnah was there to teach. Even still, his exit made a lasting impression on me. For someone like me, raised in a family and culture that admonished me to put others first, Ihaleakala's actions astounded and delighted me. He got his nap, and I got an unforgettable lesson in self-care.

Cat: Ihaleakala, when I met you in 1985, I'd just started private practice after working as a counselor in agencies for four years. I remember you said, "All therapy is a form of manipulation." I thought, "Jeez! What am I supposed to do now?" I knew you were right, so I almost quit! Obviously, I didn't, but that statement completely changed the way I work with people.

Ihaleakala: Manipulation happens when I (as a therapist) come from the idea that you are ill and I am going to work on you. On the other hand, it's not manipulation if I realize that you are coming to me to give me a chance to look at what's going on in me. There's a big difference.

If therapy is about your belief that you're there to save the other person, heal the other person, or direct the other person, then the information you bring will come out of the intellect, the conscious mind. But the intellect has no real understanding of problems and how to approach them. The intellect is so picayunish is its way of solving problems! It doesn't realize that when a problem is solved by transmutation — by using Ho'oponopono or related processes — then the problem and everything related to it is solved, even at microscopic levels and back to the beginning of time.

So first of all, I think the most important question to ask is, "What is a problem?" If you ask people this, there's no clarity. Because there's no clarity, they make up some way of solving the problem…

Cat: … as if the problem is "out there."

Ihaleakala: Yes. For example, the other day I got a call from the daughter of a woman who is 92. She said, "My mother's had these severe hip pains for several weeks." While she's talking to me, I'm asking this question of the Divinity, "What is going on in me that I have caused that woman's pain?" And then I ask, "How is it that I can rectify that problem within me?" The answers to these questions come, and I do whatever I'm told.

Maybe a week later the woman calls me and says, "My mother's feeling better now!" This doesn't mean the problem won't recur, because there are often multiple causes for what appears to be the same problem.

Cat: I have a lot of recurring illness and chronic pain. I work with it all the time, using Ho'oponopono and other clearing processes to make amends for all the pain I've caused since the beginning of time.

Ihaleakala: Yes. The idea being that people like us are in the healing professions because we have caused a lot of pain.

Cat: Big time!

Ihaleakala: How wonderful to know that, and to have people pay us for having caused them their problems!

I said this to a woman in New York, and she said, "God, if only they knew!" But you see, nobody knows. Psychologists, psychiatrists, they keep thinking that they're there to help heal the other person.

So if someone like you comes to me, I say to the Divinity, "Please, whatever is going on in me that I have caused this pain in Cat, tell me how I can rectify it." And I will apply whatever information I'm given indefinitely, until your pain is gone or until you ask me to stop. It's not so much the effect that is important as the getting to the problem. That's the key.

Cat: You don't focus on the outcome, because we're not in charge of that.

Ihaleakala: Right. We can only petition.

Cat: We also don't know when a particular pain or illness will shift.

Ihaleakala: Yes. Say a woman has been taking an herb that was suggested for her, and it's not working. Again, the question is "What's going on in me that this woman is experiencing this herb not working for her?" I would work on that. I would keep cleaning, keep my mouth closed, and allow the process of transmutation to take place. As soon as you engage the intellect, the process stops. The thing to remember when some kind of healing doesn't seem to be working is this: there may be multiple errors — multiple problems or painful memories that are causing the pain. We know nothing! Only the Divinity knows what's really going on.

I gave a presentation out in Dallas last month, and I spoke with this woman, a Reiki master. I said, "Let me ask you a question. When somebody comes to you with a problem, where is that problem?" She looked puzzled when I said, "You're the one who caused the problem, so your client is going to pay you to heal your problem!" Nobody gets that.

Cat: 100% responsibility.

Ihaleakala: 100% knowing that you're the cause of the problem. 100% knowing that you have the responsibility, then, to rectify the error. Can you imagine if we all knew we are 100% responsible?

I made a deal with myself ten years ago that I would treat myself to a hot fudge sundae — so huge it would make me sick — if I could get through the day without having some judgment of someone. I've never been able to do it! I notice I catch myself more often, but I never get through a day.

So how do I get that across to people — that we are each 100% responsible for problems? If you want to solve a problem, no matter what kind of problem, work on yourself. If the problem is with another person, for example, just ask yourself, "What's going on in me that's causing this person to bug me?" People only show up in your life to bug you! If you know that, you can elevate any situation, and you can release there. It's simple: "I'm sorry for whatever's going on. Please forgive me."

Cat: You don't have to actually say that out loud to them, and you don't even have to understand the problem.

Ihaleakala: That's the beauty of this. You don't have to understand. It's like the Internet. You don't understand all this! You just go to the Divinity and you say, "Can we download?" and the Divinity downloads, and then you get the necessary information. But because we don't know who we are, we never download direct from the Light. We go outside.

I remember Morrnah used to say, "It's an inside job." If you want to be successful, it's an inside job. Work on yourself!

Cat: I know that 100% responsibility is the only thing that works, but I used to struggle with this stuff, because I'm an overly responsible caretaker type. When I heard you talking about 100% responsibility not just for myself, but for every situation and problem, I thought, "Whoa! This is crazy! I don't need anybody telling me to be even more responsible!" Yet the more I thought about it, the more I realized that there's a big difference between overly responsible caretaking, versus totally responsible self-care. One is about being a good little girl, and the other is about getting free.

I remember you talking about the years when you were a staff psychologist at Hawaii State Hospital for the Criminally Insane. You said that when you started working there, the ward for criminals was full of violence, and when you left four years later, there was none.

Ihaleakala: Basically, I took 100% responsibility. I just worked on myself.

Cat: You said that when you worked with the inmates, they wouldn't even be there with you.

Ihaleakala: Right. I would only go into the building to check the results. If they still looked depressed, then I'd work on myself some more.

Cat: Would you tell a story about using Ho'oponopono for so-called inanimate objects?

Ihaleakala: I was in an auditorium once getting ready to do a lecture, and I was talking to the chairs. I asked, "Is there anybody I've missed? Does anyone have a problem that I need to take care of?" One of the chairs said, "You know, there was a guy sitting on me today during a previous seminar who had financial problems, and now I just feel dead!" So I cleaned with that problem, and I could just see the chair straightening up. Then I heard, "Okay! I'm ready to handle the next guy!"

What I actually try to do is teach the room. I say to the room and everything in it, "Do you want to learn how to do Ho'oponopono? After all, I'm going to leave soon. Wouldn't it be nice if you could do this work for yourselves? Some say yes, some say no, and some say, "I'm too tired!"

Then I ask the Divinity, "If they say they would like to learn, how can I help them learn?" Most of the time, I get this: "Leave the blue book (Self I-Dentity Through Ho'oponopono) with them." So I just take the blue book out and leave it on one of the chairs or on a table while I'm talking. We don't give tables enough credit for being quiet and aware of what is going on!

Ho'oponopono is really very simple. For the ancient Hawaiians, all problems begin as thought. But having a thought is not the problem. So what's the problem? The problem is that all our thoughts are imbued with painful memories, memories of persons, places, or things.

The intellect working alone can't solve these problems, because the intellect only manages. Managing things is no way to solve problems. You want to let them go! When you do Ho'oponopono, what happens is that the Divinity takes the painful thought and neutralizes or purifies it. You don't purify the person, place, or thing. You neutralize the energy you associate with that person, place, or thing. So the first stage of Ho'oponopono is the purification of that energy.

Now something wonderful happens. Not only does that energy get neutralized; it also gets released, so there's a brand new slate. Buddhists call it the Void. The final step is that you allow the Divinity to come in and fill the void with light.

To do Ho'oponopono, you don't have to know what the problem or error is. All you have to do is notice any problem you are experiencing physically, mentally, emotionally, whatever. Once you notice, your responsibility is to immediately begin to clean, to say, "I'm sorry. Please forgive me."

Cat: So the true job of the intellect is not to solve problems, but to ask for forgiveness.

Ihaleakala: Yes. My job here on earth is twofold. My job is first of all to make amends. My second job is to awaken people who might be asleep. Almost everyone is asleep! The only way I can awaken them is to work on myself. Our interview is an example. For weeks before our appointment today, I've been doing the clearing work, so when you and I meet, it's like two pools of water coming together. They move through and they go. That's all.

Cat: In ten years of doing interviews, this is the only one I didn't prepare for. Every time I checked in, my Unihipili said that I should just come and be with you. My intellect went nuts trying to convince me that I should prepare, but I didn't.

Ihaleakala: Good for you! The Unihipili can be really fun. One day I was coming down the highway in Hawaii. When I started to head toward the usual off-ramp, I heard my Unihipili say in a singing voice, "I wouldn't go down there if I were you." I thought, "But I always go there." Then when we got closer, about fifty yards away, I heard, "Hello! I wouldn't go down there if I were you!" Second chance. "But we always go down there!"

Now I'm talking out loud and people in cars around me are looking at me like I'm crazy. About 25 yards away, I hear a loud, "I wouldn't go down there if I were you!" I went down there, and I sat for two and a half hours. There was a huge accident. Couldn't move back, couldn't move forward. Finally, I heard my Unihipili say, "Told you!" Then it wouldn't talk to me for weeks! I mean, why talk to me if I wasn't going to listen?

I remember one time when I was going to be on television to talk about Ho'oponopono. My children heard about it and they said, "Dad, we heard you are going to be on TV. Make sure your socks match!" They didn't care what I said. They just cared that my socks matched. See how children know the important things in life?

This interview was originally published by The New Times in September 1997.

For more information about Ho'oponopono or to contact Ihaleakala Hew Len, Ph.D., please visit http://www.hooponopono.org.

If you're wondering about the baseball cap, Ihaleakala wears it so he remembers not to be so intellectual. The background blue represents the Void, or Emptiness, and the red "P" represents Mother Earth, or the creative force, Pele.

Enseignement direct du Dr Len en anglais et espagnol: part 1


Part 2:


Part 3:


Mini cours pratique:


Une vidéo de pratique:

Une autre:

Inspiration:


Cours d'élévation en anglais par le fameux Eckart Tolle en rapport avec Hoponopono:


Outil de transformation d'un problème intense en 2 minutes par une imagerie subliminale (en anglais):

mardi, 25 mars 2008

Attention au rouge à lèvre

Quelque chose à vérifier la prochaine fois que vous achèterez un rouge à lèvres..
Cette information vient d'une personne qui travaille à l'unité du cancer du sein à l'hôpital Mt. Sinai Hospital, Toronto :
Dr. Nahid Neman.
Si vous connaissez une femme qui vous est chère, donnez-lui cette information.
Récemment, une marque de Rouge à lèvres du Nom de « Red Earth » a baissé le prix de son produit de $67.00 à $9.90, parce qu'il contient du PLOMB;
Le plomb est un produit chimique qui cause le cancer.
Les rouges à lèvres qui contiennent du plomb sont les marques suivantes:

-CHRISTIAN DIOR
-LANCOME, [SCHMITT Patrick] j'ai fais le test, il est devenu noir.
-CLINIQUE
-Y.S.L
-ESTEE LAUDER
-SHISEIDO
-RED EARTH (Lip Gloss)
-CHANEL (Lip Conditioner)
-MARKET AMERICA-MOTNES LIPSTICK.

Plus le taux de plomb est élevé, plus le risque de causer le cancer, est important.... Après avoir fait des tests, il a été trouvé que Y.S.L. lipstick contenait la plus grande quantité de plomb...
Surveillez les rouges qui doivent avoir un effet prolongé. Si votre rouge tient plus longtemps, il contient plus de plomb.

Voici le test que vous pouvez faire vous-même:
- 1. Mettez du rouge sur votre main.
- 2. Utilisez une bague en or et grattez le rouge.
- 3. Si le rouge devient noir, vous saurez qu'il contient du plomb.

Veuillez envoyer cette information à toutes les femmes que vous connaissez ainsi qu'aux membres de votre famille.
Cette information est aussi diffusée au Walter Reed Army Medical Center

Merci à Thérèse Faniel pour son information.