mardi, 01 avril 2008
Des progrés capitaux en médecine congnitive
Voici des nouvelles étonnantes en médecine moderne:
Bonjour!
J'aimerais tout d'abord remercier Pierre-André, un participant de cette liste de distribution, qui vous offre "Le langage de la guérison : histoire d'une révolution scientifique dans le domaine de la médecine" écrit par Jean-Jacques Crevecoeur : http://www.erichamel.com/custom18.html
Saviez-vous que le docteur Hamer avec son approche sur le cancer a un taux de survie de 95% sur plus de 5 ans comparé à la moyenne nationale en Allemagne qui est de 30%?!
Ce reportage vous apportera une vision différente des maladies, qui se rapproche énormément des informations que je vous offre : à savoir que la maladie (Le mal-a-dit) est un signe qu'il faut décoder et comprendre, et que ça s'inscrit tout à fait dans l'apprentissage de l'amour de soi.
Jean-Jacques Crevecoeur y présente quelques approches de la Médecine Nouvelle du docteur Hamer ainsi que de la Biologie Total du docteur Claude Sabbah.
WOW! Quelle belle vulgarisation de la part de Crevecoeur!
Puisque nous parlons de cancer, j'aimerais ajouter que le Docteur Simoncini en Italie a fait des découvertes très intéressantes. Il est en mesure d'éliminer le cancer à l'aide d'un traitement des plus simples en seulement 4 jours! Avec du bicarbonate de soude, et oui... de la petite vache!
Le Docteur Simoncini dit que tous les types de cancers sont en fait, une seule et même chose : un fongus appelé le Candidat et il est toujours blanc.
Pour le site web du Docteur Simoncini :
http://www.cancerfungus.com/simoncini-cancer-champignon.php#
Pour voir le vidéo avec le sous-titrage en français :
http://www.cancer-fungus.com/sub-v1fr/sub-fr.html
Vous pouvez voir aussi son site en anglais qui contient beaucoup plus d'information :
http://www.curenaturalicancro.com/
En sachant qu'un fongus est un champignon, et en lisant le reportage de Crevecoeur plus haut, vous serez en mesure de faire des liens entre ces deux informations.
En terminant, j'aimerais remercier également Dany Papineau pour m'avoir transmis une page web sur l'utilisation de citron et de bicarbonate de soude comme cure dans le cas de cancer.
La page est en anglais :
http://people.tribe.net/heatherlsalmon/blog?topicid=6c1243de-589a-4b32-8cf3-e2fb172ce7b0
Amour et Lumière!
Eric Hamel 514.905.6160
Le langage de la guérison : histoire d’une révolution scientifique dans le domaine de la médecine ©
de Jean-Jacques CREVECOEUR
"Il a obtenu le prix du meilleur mémoire belge de physique, en 1984, ainsi qu’une bourse de recherche pour accomplir un doctorat en physique quantique. Il est également philosophe et s’est spécialisé dans l’étude critique du fonctionnement des sciences, en particulier l’épistémologie de la médecine.
Grand connaisseur des principes de l’homéopathie, de l’ostéopathie, de l’acupuncture, de la médecine chinoise,
de la Médecine Nouvelle de Hamer et de la Biologie Totale de Claude Sabbah, (...)"
(« La physique quantique serait-elle l'avenir de la médecine ? »)
Jean-Jacques Crèvecoeur a fait parvenir, le 22 décembre 2000 sur le forum de pansémiotique-psychosomatique (sur Yahoo Groupes) la première version, plus courte, de l’article qui suit. Il l’avait rédigé pour en faire la communication au colloque « Science et Conscience » à Annecy (mai 2000).
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" « Il est plus facile de désintégrer un atome que de changer une croyance » disait Einstein. En effet, tout individu a tendance à consacrer plus ou moins d’énergie à résister au changement et à la nouveauté, on le sait depuis longtemps. C’est valable pour les individus. Ce l’est encore davantage pour le monde scientifique, qui ne pourra jamais accueillir les nouvelles théories, car celles-ci représenteront toujours une perte de pouvoir, d’argent et de prestige pour ceux qui s’y sont installés.
Quand j’ai entamé mes études en sciences physiques, j’étais convaincu que j’allais rejoindre la cohorte glorieuse de ces hommes et ces femmes qui consacrent toute leur vie à la recherche désintéressée de la vérité et de la connaissance, dans le but d’apporter le bien-être à l’Humanité toute entière. Je pensais, à l’époque, que la démarche scientifique se fondait uniquement sur des faits objectifs et recherchait inlassablement à établir des liens observables de cause à effet entre différents facteurs. Je croyais aussi que l’attitude des chercheurs se caractériserait par l’ouverture, le dialogue, la remise en question permanente des hypothèses, l’acceptation de la confrontation des opinions. Après y avoir consacré 5 ans de ma vie, je décidai de quitter ce monde. Heureux d’avoir été formé de manière rigoureuse et critique par des enseignants exceptionnels. Déçu de l’intolérance, de la fermeture, des fraudes, de la course aux publications, de l’asservissement des scientifiques à l’égard de leurs pourvoyeurs de fonds. Je ne me doutais pas, alors, que la bagarre était encore plus impitoyable et violente dans le monde médical, censé être au service de la vie et de la santé.
J’ai entamé alors un cursus de formation en philosophie générale (après l’interruption de mon doctorat en sciences), tout en étant chercheur en pédagogie pendant deux ans. À cette époque, en 1984, j’ai commencé à m’intéresser à l’épistémologie de la médecine, c’est-à-dire à l’étude critique du fonctionnement de la médecine, de ses postulats, de ses modes de raisonnement. C’est ainsi que progressivement, je me suis familiarisé à toute sorte de pensées médicales, depuis la médecine scientifique jusqu’à la médecine chinoise, en passant par toute une série de thérapies qualifiées très injustement de « parallèles ».
En tant que scientifique, philosophe et pédagogue, j’ai utilisé les outils qui m’avaient été transmis pour faire des liens, pour vérifier la cohérence des démarches et des discours, mais surtout, j’en ai testé pas mal sur moi-même, devenant ainsi à la fois le cobaye observé et le chercheur-observateur. Ma conclusion : nous sommes en train de vivre en médecine une révolution de la même ampleur que celle qu’a connue la physique avec Copernic, Kepler et Galilée, au XVIème siècle. Et à l’instar de ces astronomes et mathématiciens, les pionniers de cette nouvelle approche de la santé et de la maladie connaissent, eux aussi, les pires ennuis, les pires accusations et les pires menaces.
Pourquoi la médecine est-elle dans une impasse ?
Au début des années 1980, mes conversations privées avec des collègues chercheurs dans le domaine de la médecine et de la biologie m’avaient déjà mis la puce à l’oreille. « En médecine, nous sommes dans une impasse. Nous le savons depuis quelques années, et nous ne savons pas dans quel sens orienter nos recherches. » Ces propos concernaient l’ensemble de la recherche médicale, et pas un seul petit secteur isolé, malheureusement. Ces confidences « off record », personne n’osait les faire en public, ni dans les congrès scientifiques, de peur de se voir immédiatement privé des subventions indispensables pour poursuivre les travaux du laboratoire.
Ainsi, à l’époque, je disposais d’informations très parcellaires à propos du désarroi dans lequel se trouvaient les chercheurs en médecine et en biologie. Mais je ne comprenais pas pourquoi ils se trouvaient dans une impasse. Je découvrais aussi, par la même occasion, l’absence quasi totale de liberté de penser, de chercher et de parler à laquelle la plupart des scientifiques étaient (et sont) soumis. Ainsi, ceux qui étaient censés incarner tous les espoirs de l’Humanité m’apparaissaient subitement comme les prolétaires soumis et apeurés à la solde et à la merci d’un complexe industriel médico-pharmaceutique qui décidait non pas de ce qui était vrai ou bon pour la santé des individus, mais de ce qui devait être produit et légitimé scientifiquement pour accroître leurs bénéfices colossaux.
Entre-temps, de nombreuses statistiques venaient prouver ce que mes collègues chercheurs m’annonçaient déjà. Entre 1970 et 1990, on a observé qu’on contracte des maladies graves (cardio-vasculaires, cancéreuses, dégénératives, auto-immunes, etc.) cinq ans plus jeune qu’avant (statistiquement). L’incidence (le taux annuel d’apparition) de certaines maladies a été multipliée par un facteur compris entre 3 et 10, sur la même période. Aucun véritable remède n’a été trouvé contre le cancer, le SIDA, la sclérose en plaques. Les allergies ont littéralement explosé en 20 ans. La plupart des antibiotiques deviennent inefficaces face à une résistance accrue des bactéries qui se seraient adaptées ! Les vaccins sont de plus en plus controversés, non seulement à cause de leurs effets secondaires, mais surtout à cause d’une efficacité de plus en plus hypothétique (au vu des statistiques malheureusement dissimulées aux yeux du grand public). Malgré des dépenses de santé en nette croissance, la qualité de vie et de santé des individus s’est détériorée dans les pays occidentaux.
Depuis cette époque, mes nombreuses lectures, mes conversations avec toutes sortes de thérapeutes, mes expériences personnelles m’ont fait comprendre pourquoi la médecine, telle qu’elle est conçue aujourd’hui, est non seulement dans l’impasse, mais aussi dans l’erreur. J’ai même compris que c’est la méthode utilisée par la médecine qui est à l’origine de cette aggravation collective de la situation sanitaire sur la planète. Nous sommes donc loin du conseil que donnait Hippocrate à ses disciples : « Primum, non nocere (Avant tout, ne pas nuire) »…
Pour comprendre cela, examinons quels pourraient être les fondements de la pensée médicale moderne ? On pourrait les résumer ainsi :
1. la maladie existe, c’est une fatalité qu’il faut éradiquer ;
2. la maladie est caractérisée par des symptômes morbides (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.) ;
3. guérir une maladie consiste à supprimer, le plus rapidement possible, tous ces symptômes morbides, au moyen d’un arsenal de médicaments ;
4. la maladie est essentiellement une réalité physique qui affecte un organe particulier du corps physique, considéré comme une mécanique bio-physico-chimique qui peut se dérégler ;
5. beaucoup de maladies sont provoquées par des agents pathogènes (microbes, champignons, bactéries, virus), des agents cancérigènes ou des agents allergènes. Il faut donc éviter tout contact avec ces agents (dans ce cas, on fait de la prévention). Si ça n’a pas été possible, on tentera d’écarter ou de supprimer ces agents (on fait alors du curatif) ;
6. certaines autres maladies ont une origine génétique et se transmettent de génération en génération. On appelle cela l’hérédité ;
7. si tout l’arsenal curatif se révèle impuissant ou inefficace, il conviendra alors de supprimer l’organe atteint par la maladie, pour permettre au patient de survivre.
Les épistémologues appellent ce genre d’énumération les postulats de base d’une théorie ou d’une pratique. Tout au long de cet article, je confronterai ceux-ci à une vérification de cohérence interne ainsi qu’aux observations existantes mais souvent niées par les chercheurs…
La maladie n’est plus ce qu’elle était
Et si la réalité était toute différente ? Et si les apparences étaient trompeuses ? Et si on inversait les postulats, serait-il possible de mieux expliquer les résultats des nombreuses approches « parallèles » dont bénéficient des millions de patients, mais sans être reconnues par la Médecine scientifique officielle ?
Je vous invite à explorer avec moi ce retournement de perspective et à l’accepter comme une hypothèse de travail, de réflexion et de recherche, non comme une vérité définitive. Et si certaines de mes intuitions met quelque chose en résonance chez vous, je vous inviterai à approfondir votre recherche à la suite de cet article. Amusons-nous, donc, à réécrire les postulats classiques de ma médecine…
Nouveau postulat n° 1 : La maladie n’existe pas, ce n’est pas une fatalité et il ne faut pas nécessairement l’éradiquer.
Selon de nombreuses conceptions traditionnelles, la maladie n’existe pas. Seul le malade existe et doit faire l’objet d’une attention de la part du médecin, du guérisseur ou du thérapeute. De plus, nous le prouverons plus loin, la « maladie » est le signe d’un déséquilibre qui résulte, la plupart du temps, de comportements conscients ou inconscients de la part du malade ; ce n’est donc pas une fatalité (sauf si l’on considère que l’inconscience est une fatalité).
Par ailleurs, selon ces conceptions, les symptômes sont les indicateurs visibles d’un déséquilibre physique ou psychique, qui lui, est invisible. Les symptômes ne sont donc pas ce déséquilibre lui-même. Pour comprendre cela, prenons une première métaphore. Comparons notre corps (véhicule physique) avec une voiture (véhicule automobile). Quand il manque de l’eau dans le radiateur ou de l’huile dans le moteur, cela ne se voit pas immédiatement. Pourtant, le déséquilibre est déjà bien là, mais silencieux, invisible. C’est ce que nous appellerons la vraie maladie. Au moment où la surchauffe du moteur devient trop grande, certaines pièces (prévues pour cela), vont casser (soupape, durit, etc.), libérant instantanément beaucoup de vapeur ! C’est à ce moment-là que les choses se manifestent, deviennent visibles. Ça, ce sont les symptômes. Ainsi, cette évacuation de vapeur n’est en aucun cas la maladie de la voiture : il s’agit du processus mis en place (selon les lois de la physique) pour permettre à la sur-pression de disparaître, pour revenir à l’équilibre et à la normalité.
Pour éviter d’en arriver là, les constructeurs automobiles ont inventé un autre dispositif : ce sont les voyants lumineux placés sur le tableau de bord. Dès qu’un besoin fondamental risque de ne plus être assuré, respecté ou satisfait, l’ampoule s’allume invitant le conducteur à s’interroger sur la situation et à y remédier. Quand cela se passe, que diriez-vous d’un garagiste qui vous conseillerait de dévisser — ou de casser — l’ampoule allumée ?
C’est pourtant ce que fait la médecine scientifique, depuis des décennies : par définition, les symptômes sont mauvais et doivent être supprimés. Mais pourquoi faudrait-il donc systématiquement les éradiquer, alors que si l’on parvient à s’interroger sur le sens du message envoyé, si l’on identifie ce qui a causé ce déséquilibre et si on rétablit l’harmonie initiale, l’indicateur devrait s’éteindre de lui-même ?
Ainsi, si vous changez votre regard sur les symptômes, si vous les voyez comme des alliés qui vous apportent des informations précieuses (à décoder), vous ne confondrez plus jamais la maladie (déséquilibre silencieux) et son processus de guérison (les symptômes qui se manifestent parfois bruyamment).
Nouveau postulat n° 2 : Lorsque des symptômes apparaissent (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.), c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.
J’ai retrouvé cette conception aussi bien dans l’homéopathie, dans l’acupuncture, dans l’ostéopathie, mais aussi dans la Médecine Nouvelle du docteur Ryke Geerd Hamer (Allemagne), dans la Biologie Totale des Êtres Vivants du docteur Claude Sabbah (France) et dans d’autres approches encore.
Pour comprendre cela, prenons une deuxième métaphore toute simple. Comparons notre corps (vivant) à une maison (habitée). La vie domestique produit normalement son lot de déchets quotidiens. Imaginons qu’une loi municipale vous interdise de sortir vos poubelles sur le trottoir jusqu’à nouvel ordre. Vous décidez alors de les stocker dans un local. Après quelques semaines, l’interdiction n’étant toujours pas levée, un deuxième, puis un troisième local sont affectés par les détritus, provoquant une odeur de plus en plus insupportable à l’intérieur de la maison. À ce stade, on peut dire que votre maison a perdu son équilibre, son harmonie : elle est infectée et empoisonnée.
N’y tenant plus, imaginons que vous décidiez de sortir vos poubelles, malgré l’interdiction. En faisant cela, vous manifestez votre volonté de rétablir et de retrouver un équilibre domestique à plus ou moins brève échéance. Vous vous rapprochez donc d’une maison à nouveau saine, en santé… Mais vos voisins ou la police municipale ne le verront pas du tout de cet œil : rapidement, des personnes interviendront pour non seulement refouler les poubelles à l’intérieur, mais en plus, pour clouer quelques planches sur les portes et les fenêtres du rez-de-chaussée, pour vous décourager d’une éventuelle récidive.
Ainsi, pour revenir au corps, lorsque le déséquilibre s’installe progressivement à l’intérieur de nous-mêmes (incubation de l’infection, accumulation de toxines, développement d’une tumeur, dégénérescence d’un organe, d’un muscle ou du sang, etc.), la maladie est silencieuse, indolore, asymptomatique. Les chinois parlent de maladie froide…
En revanche, lorsque le corps « décide » (nous verrons pourquoi plus loin) de rétablir son équilibre, il va chercher à se débarrasser de l’infection ou des toxines, à désagréger la tumeur ou à réparer l’organe, le muscle ou le sang atteints. Dans ce cas, le corps sort ses poubelles (fièvre, boutons, éruptions, etc.). La maladie se met à parler, les douleurs apparaissent, les symptômes se manifestent. Les chinois parlent de maladie chaude… Ainsi, lorsque les symptômes apparaissent, c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.
Ce qui est surprenant et déroutant dans cette vision des choses, c’est que ce que nous appelons « être malade » devrait être presque toujours interprété comme le début de la guérison. Or, nous faisons l’inverse.
Nouveau postulat n° 3 : Guérir une maladie consiste à écouter les symptômes morbides comme les indicateurs du chemin à suivre pour guérir.
Aussi bizarre qu’il puisse paraître, vous pouvez comprendre que ce postulat est tout à fait la conséquence logique de la vision développée dans le postulat n° 2. Si les symptômes sont les poubelles que le corps s’efforce d’évacuer régulièrement pour retrouver son équilibre, ils nous indiquent en même temps ce que nous pouvons et devons faire pour aider l’organisme à atteindre jusqu’au bout cet équilibre.
Car, si nous n’avions aucun stress, si nous avions un niveau élevé d’énergie vitale, probablement que le corps aurait suffisamment de ressources pour sortir seul toutes ses poubelles, chaque fois que nécessaire. Mais souvent, celui-ci est fatigué… Il commence donc le travail, sort les premières poubelles, mais ne va pas assez vite pour tout évacuer. Dans ce cas, tout se passe comme si la vitesse à laquelle l’évacuation se fait était trop faible par rapport à la vitesse de remplissage par de nouvelles poubelles. Nous sommes alors dans une maladie chronique, qui n’en finit pas de s’exprimer et de rechercher un équilibre jamais atteint.
Le thérapeute ou le malade qui comprend cela se mettra alors à l’écoute des symptômes, et mettra en œuvre un processus visant à apporter à l’organisme une énergie supplémentaire pour accélérer et augmenter l’expression des symptômes (c’est-à-dire l’évacuation des poubelles). C’est ce que font l’homéopathie uniciste (en prescrivant un remède qui provoque chez l’individu les mêmes symptômes que ceux que l’on cherche à évacuer), l’acupuncture (en débloquant des circuits énergétiques permettant d’accélérer les processus de rééquilibrage), l’ostéopathie (en libérant des blocages fonctionnels ou organiques), le jeûne et le repos (en mettant plus d’énergie à disposition du corps pour se nettoyer), etc.
En cherchant à supprimer au plus vite les symptômes, non seulement la médecine se prive d’informations essentielles pour une guérison naturelle et profonde de l’individu malade, mais en plus s’éloigne de plus en plus d’une sagesse fondée sur l’écoute de la nature pour se tourner vers l’orgueil et l’arrogance d’un savoir rationalisant déconnecté du Réel.
Nouveau postulat n° 4 : La maladie est une réalité multi-dimensionnelle qui touche une réalité complexe et systémique d’éléments en interaction permanente les uns avec les autres.
La médecine est fondée sur un double postulat de séparation. D’une part, elle considère que si un phénomène se manifeste sur le plan physique, c’est qu’il est de nature physique. D’autre part, elle pense également que si un organe particulier est touché, il faut chercher la cause dans le dérèglement de cet organe.
Or, nous en faisons l’expérience quotidiennement. Un mal-être psychologique, un conflit inter-personnel mal vécu, la perte du sens de la vie, un dilemme philosophique, le stress du quotidien, tout cela influence fortement notre santé physique. Inversement, des troubles physiques peuvent nous empêcher de nous sentir bien dans notre tête, peuvent nous faire perdre la foi ou nous précipiter dans une crise profonde. Essayer de soigner en cloisonnant les dimensions physique, psychique, relationnelle et spirituelle me paraît relever d’un aveuglement dommageable et inefficace. Ainsi, le physique influence le psychique comme le psychique influence le physique.
De plus, même si l’on se limite à la sphère strictement physique, la médecine chinoise, l’homéopathie, l’ostéopathie mais aussi d’autres disciplines comme l’orthodontie, l’étiopathie, la médecine holistique nous ont montré que le déséquilibre d’un organe particulier était souvent provoqué par le déséquilibre d’un autre organe. Il n’est pas rare que des sinusites soient soignées en libérant le foie de ses toxines, qu’un mal de dos soit soulagé par un déblocage des intestins, que des maux de tête soient éliminés par une remise en place du coccyx ou que des problèmes de genoux soient réglés par un réajustement de l’occlusion des mâchoires… De nouveau, ce n’est pas en s’acharnant sur l’organe lui-même que l’on trouve la solution au problème. C’est ici qu’il conviendrait de réintroduire dans la médecine une vision globale et systémique pour agir plus efficacement.
Nouveau postulat n° 5 : Les agents pathogènes ne sont pas des ennemis de la santé, mais ses alliés. Les agents cancérigènes ne sont pas responsables du cancer (sauf dans 1 % des cas). Les agents allergènes n’existent pas.
Pour démontrer cela de manière scientifique et détaillée, beaucoup plus d’espace me serait nécessaire. Lorsque j’aborderai les travaux du docteur Hamer et du docteur Sabbah, dans la suite de cet article, vous comprendrez mieux en quoi ce postulat est logique et cohérent, dans cette vision de la santé et de la maladie.
Pour l’instant, prenons juste une troisième métaphore. Lorsque, sur la route, survient un accident grave, on observe souvent la présence de policiers, de gendarmes, voire d’ambulanciers, de pompiers ou de médecins. C’est un fait. Dans ces cas-là, les journalistes sont souvent prévenus, pour couvrir l’événement. En général, à moins qu’ils ne disposent de moyens d’information particuliers, les reporters arrivent après l’accident et après les forces de police et les secouristes. S’ils ne connaissaient pas la réalité telle qu’elle est, à force de répéter toujours les mêmes observations, les journalistes pourraient conclure, en toute bonne foi, que les policiers, les gendarmes, les ambulanciers, les pompiers et les médecins sont à l’origine de tous les accidents de la route ! Et statistiquement, en se basant uniquement sur leurs observations a posteriori, ils auraient pratiquement toujours raison !
Bien entendu, vous me direz que c’est une faute grossière de logique, puisque l’accident a précédé l’arrivée des secours, et non l’inverse. Imaginez un instant que ce soit la même chose pour ce qu’on appelle les maladies. Nous savons déjà que lorsque quelque chose se manifeste, ce que l’on croit être le début d’une maladie est en réalité le début du processus de nettoyage, de rééquilibrage et de guérison (une des raisons pour lesquelles on meurt de la « maladie » est que le corps ne dispose pas assez d’énergie pour retrouver complètement son équilibre : il s’épuise alors dans cette quête jamais accomplie).
Ce qui veut dire que lorsqu’on commence à voir quelque chose se manifester (dans la métaphore de la maison, la sortie des poubelles), c’est que beaucoup de choses invisibles se sont déjà passées auparavant (l’accumulation des poubelles à l’intérieur). Quelques chercheurs reconnus pour leur efficacité thérapeutique, ont démontré que les virus, les bactéries et les champignons étaient mobilisés par le corps (sur l’ordre du cerveau) au moment où se déclenchait le rééquilibrage, pour aider le processus à s’accomplir. Soit pour apporter des matériaux pour reconstruire les cellules endommagées, soit pour évacuer les cellules devenues inutiles.
Évidemment, si le déséquilibre initial (phase de la maladie froide, invisible) a été trop profond, trop long et/ou trop intense, le nettoyage sera si brutal et si intense que cela peut rompre l’équilibre vital de l’organisme et provoquer sa mort. Mais, fondamentalement, comme les maladies ne sont pas des maladies, et comme les agents dits infectieux viennent au moment du processus de guérison, toute la vision de Pasteur s’effondre au profit d’une vision beaucoup plus dynamique qui vise le renforcement du terrain et de l’équilibre plutôt que la destruction pure et simple des agents nettoyeurs (virus) ou reconstructeurs (champignons et bactéries).
En ce qui concerne les agents cancérigènes, différentes recherches ont montré que seulement dans 1 % des cas, les cancers étaient provoqués par ces agents. C’est le cas de l’exposition à la radioactivité ou à certaines substances très toxiques à forte dose. en revanche, 99 % des autres cancers sont déclenchés par des facteurs de stress intense (des chocs psychologiques brutaux vécus dans l’isolement, traduits dans la biologie), liés souvent à des conflits humains intenses et dont on ne trouve pas de solution. Le Docteur Hamer a été le premier à mettre cela en évidence de manière scientifique, sur plus de 8.000 cas de cancers. Son mérite est d’avoir pu mettre en évidence que le développement du cancer se faisait selon certaines lois très précises et immuables, nous verrons cela plus loin.
Enfin, les agents allergènes sont une aussi pure fiction que ne l’est la croyance qui veut que ce soient les policiers et les autres qui provoquent des accidents. Toutes les allergies, sans exception, sont en réalité le processus de guérison (puisque c’est le moment où quelque chose se manifeste : boutons, éruptions cutanées, difficultés respiratoires) d’un énorme conflit de séparation. Je l’explique dans mon livre « Le langage de la guérison ».
Nouveau postulat n° 6 : C’est la génétique qui est le reflet de l’état de santé du corps, et non la santé qui est le reflet du déterminisme génétique.
Ici encore, nous pourrions reprendre notre métaphore des accidents de voiture provoqués par les policiers et leurs complices. En effet, des généticiens dissidents ont découvert que notre carte génétique mutait en permanence, en fonction des stress positifs et négatifs que nous étions amenés à vivre tout au long de notre histoire.
Ainsi, selon le même principe que dans le postulat précédent, c’est le stress qui est premier. Celui-ci provoque un déséquilibre plus ou moins profond et durable dans l’organisme et chez l’individu. À ce moment-là, il va s’opérer une mutation génétique pour refléter dans notre structure d’ADN les nouvelles données de notre état. Un peu comme si notre patrimoine génétique avait reçu comme mission de consigner, de mémoriser toute notre histoire pour en transmettre l’information dans le futur de l’individu et de son espèce.
Croire donc que tel chromosome est responsable de telle maladie, c’est une fois de plus lire la chaîne temporelle des événements à l’envers. Et en déduire donc qu’en injectant un chromosome « sain » en lieu et place du chromosome « pathogène » revient à dire que c’est en détruisant les photos (la mémoire) d’un accident que l’on parviendra à annuler cet accident, ou à réparer les dégâts. Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’avec pareil raisonnement, les généticiens qui nous promettent monts et merveilles (comme d’autres l’ont fait pour le cancer quarante ans plus tôt) s’engagent dans une nouvelle forme de révisionnisme, mais cellulaire cette fois : « Si j’efface la mémoire d’un événement, j’efface l’événement. » Voilà sur quoi reposent aujourd’hui les milliards d’investissement consentis dans le génie génétique…
Nouveau postulat n° 7 : Ce n’est pas en supprimant l’organe qu’on permettra au patient de survivre.
Dans ce dernier postulat, vous aurez compris de tout ce qui précède que ce qu’on appelle couramment une maladie n’est que l’expression d’un déséquilibre (processus invisible) qui cherche à revenir vers l’équilibre (processus visible). Dans ce contexte, l’organe ne doit être considéré que comme le lieu de manifestation par lequel le processus de guérison cherche à s’exprimer. En aucun cas, il n’est la cause première ! La cause, nous l’avons vu, c’est le conflit, le stress intense, qui une fois résolu, permet la guérison.
En supprimant l’organe, on ne fait que supprimer un lieu de manifestation. Et si le conflit reste encore actif, l’organisme se trouvera d’autres lieux, souvent contigus, pour continuer à manifester ce qui est nécessaire. C’est ainsi que certaines femmes ayant subi une ablation totale du sein produisent des ganglions alors que d’autres pas. Là où les premières n’ont pas encore résolu le stress à la base de leur cancer, il faudra qu’une manifestation persiste.
Ces sept nouveaux postulats que je propose à votre réflexion sont issus de ma synthèse personnelle, après 15 ans de fréquentation approfondie des médecines traditionnelles, globales ou holistiques. Elle s’inspire également des découvertes effectuées par des scientifiques qui ont eu le courage de sortir des sentiers battus de la pensée unique dominante et totalitaire répandue dans la communauté scientifique. Je pourrais présenter les travaux de nombreux chercheurs, mais je me limiterai, dans le cadre de cet article à ceux du docteur Hamer (Allemagne) et du docteur Sabbah (France).
La Médecine Nouvelle du docteur Hamer
Le docteur Ryke Geerd Hamer a été chef de service dans une clinique allemande, pendant de nombreuses années. Sa position privilégiée lui a permis de croiser la route de nombreuses personnes atteintes du cancer. Par des concours de circonstances, des hasards et une observation et une écoute minutieuses, Hamer a découvert des lois fondamentales expliquant le mécanisme d’apparition de tous les cancers et de toutes les maladies. Dans le cas de ce médecin, on peut réellement parler de lois, puisque les vérifications opérées par lui et par d’autres chercheurs et thérapeutes ont toutes montré qu’elles étaient vraies dans 100 % des cas, ce qui ne s’était jamais vu jusqu’alors dans l’histoire de la médecine.
La loi d’airain du cancer énoncée par Ryke Geerd Hamer se formule comme suit : « Tous les cancers sont provoqués et déclenchés par des conflits intenses et brutaux vécus dans l’isolement. C’est la nature du conflit qui déterminera la zone du cerveau qui sera touchée et l’organe où se localisera la maladie. » Il a donc observé que tous les patients qui avaient le cancer des os, par exemple, avaient tous vécu un choc, un stress, un conflit intense et brutal (soudain) dans lequel ils s’étaient sentis dévalorisés. De plus, il a observé que chez tous les patients atteints du même cancer, on pouvait voir une cible dans une même région précise du cerveau. Ainsi, il a découvert qu’à chaque type de stress correspondait une même zone spécifique du cerveau et un organe particulier, toujours le même.
Le cancer des os correspond au conflit de dévalorisation. Le cancer des poumons au conflit intense de peur de mourir. Le cancer du sein gauche chez une femme droitière au conflit intense par rapport à un enfant (réel, virtuel, imaginaire ou symbolique). Le cancer du sein droit chez une femme droitière au conflit humain en général avec le conjoint (chez une femme gauchère, les latéralités sont inversées). Le cancer de la prostate correspond au conflit sexuel (réel ou symbolique) en relation avec les enfants ou la descendance (ou la capacité à créer). Et ainsi de suite, pour tous les cancers.
Cette loi a été vérifiée depuis près de 20 ans par des centaines de thérapeutes (formés par Hamer ou ses successeurs), sur des dizaines de milliers de patients, sans exception. Ce qui est fabuleux dans cette découverte, c’est que le mécanisme : « conflit -> cerveau -> organe » marche dans les deux sens. Autrement dit, tant que le conflit est actif, la zone du cerveau activée donne l’ordre à la biologie de produire les cellules cancéreuses dans l’organe choisi pour exprimer le déséquilibre. Inversement, lorsque l’individu résout son conflit (de quelque manière que ce soit) et met fin à son stress intense, la même zone du cerveau inverse le programme et donne instantanément l’ordre à la biologie d’arrêter la production des cellules cancéreuses et de détruire la tumeur localisée dans l’organe…
C’est ainsi qu’aujourd’hui, plusieurs milliers de dossiers médicaux de guérison ont été constitués et rassemblés par le Docteur Hamer et ses successeurs. Dans ces dossiers, on dénombre beaucoup de guérisons que la médecine officielle qualifie de « spontanées, inexplicables ou miraculeuses » : ainsi, scanners, analyses sanguines, radiographies, rapports émanant des hôpitaux prouvent que des patients ont guéri complètement de cancers, de leucémies, de scléroses en plaques, de myopathies, de dégénérescences diverses, de surdités, de troubles graves de la vue, de psoriasis, d’allergies, etc. sans recours ni à la chimiothérapie, à la radiothérapie, à la chirurgie ou aux autres traitements classiques prescrits par la médecine. Pourtant, un grand pourcentage d’entre eux avait été condamnés à brève échéance par la médecine officielle qui les déclarait incurables. Lors d’un énième procès intenté par l’ordre des médecins contre le Docteur Hamer, l’avocat de ce dernier a demandé à la justice de comparer le pourcentage de survivants du cancer à l’échelle nationale avec le pourcentage de survivants du cancer parmi les patients de son client (sachant que nombre d’entre eux s’étaient adressés à lui en désespoir de cause, parfois en phase terminale, après avoir tout essayé). Cette comparaison démontra de manière éclatante la supériorité de son approche par rapport à celle de la médecine scientifique et de tout son arsenal guerrier pour terrasser la maladie : 95 % de survie sur plus de 5 ans pour Hamer, contre 30 % pour la moyenne nationale en Allemagne. Sans commentaire.
La maladie, la solution parfaite du cerveau face à un conflit
Si j’arrêtais ici ma présentation, je vous laisserais probablement dans le doute, la perplexité, tant les guérisons peuvent apparaître magiques, si on ne comprend pas à quoi sert la maladie, fondamentalement, d’un point de vue biologique. Pour le comprendre, le Docteur Hamer donne un exemple tiré tout d’abord de la biologie animale : celui d’un renard en situation de grand stress lié à sa survie.
Depuis trois jours, imaginons qu’un renard n’ait plus attrapé la moindre proie. Il se trouve dans un grand stress lié à sa survie physique, quand, enfin, il parvient à capturer un petit lapin qui passait par là. Au moment où il s’apprête à le croquer, à le déchiqueter, à le broyer, le renard entend s’approcher un de ses prédateurs les plus terribles : le chasseur. Et voilà notre renard tiraillé entre deux menaces : s’il mange son repas, pour satisfaire son besoin de nourriture, il risque d’être tué le ventre plein ; s’il déguerpit en laissant sa proie, il risque peut-être de mourir de faim, un peu plus tard. Pour sortir de ce dilemme cornélien, il décide d’avaler toute entière une patte du lapin et de s’enfuir bien loin.
À cet instant, un autre danger menace le renard : celui de mourir d’une occlusion intestinale, car cette patte entière ne peut ni remonter de l’estomac, ni poursuivre son parcours dans l’intestin. On se trouve, dit Hamer, dans un conflit intense et brutal lié à la nécessité de digérer quelque chose. Pour résoudre cette situation, le cerveau met en œuvre alors la solution parfaite pour assurer la survie individuelle : il déclenche un programme de production de super-cellules digestives sur la paroi de l’estomac. L’objectif : digérer cinq fois plus vite et cinq fois mieux cette patte de lapin coincée. Tant que l’objectif n’est pas atteint, le cerveau maintient son ordre de produire ces super-cellules digestives aux performances nettement supérieures à la normale. Mais dès que la patte est complètement digérée, un processus de bio-feed-back informe le cerveau que l’objectif est atteint. Instantanément, le cerveau met fin au programme de production et donne l’ordre d’éliminer ces super-cellules qui seraient dangereuses si elles étaient maintenues dans l’estomac. Quelques jours plus tard, si l’on endort le renard et que l’on examine sa paroi stomacale, on pourra observer des cicatrices, témoins de cette élimination encore récente des super-cellules. Conclusion : grâce à ce programme inscrit dans la biologie depuis des millions d’années, le cerveau a choisi la meilleure solution parmi toutes pour assurer la survie du renard. La seule chose que je ne vous ai pas encore dite, c’est que ces super-cellules digestives sont ce qu’on appelle couramment, des cellules cancéreuses de l’estomac ! Ainsi, selon Hamer et Sabbah, sur base de vérifications faites en laboratoire, ce que nous appelons une cellule cancéreuse a les mêmes fonctions qu’une cellule normale, mais de façon démultipliée. Une cellule cancéreuse de l’estomac digère beaucoup plus fort et vite qu’une cellule normale. Une cellule cancéreuse du pancréas produit bien plus d’insuline, une cellule cancéreuse du sein produit bien plus de lait, une cellule cancéreuse du poumon a une capacité d’échange oxygène-sang nettement supérieure, une cellule cancéreuse du rein filtre nettement plus, etc.
Notons au passage que le Docteur Claude Sabbah a généralisé les découvertes de Hamer en montrant que toutes les maladies, quelqu’elles soient (de la plus bénigne à la plus grave), résultaient d’un choc ou d’un stress vécu dans l’isolement et étaient déclenchées par le cerveau comme solution parfaite pour assurer la survie.
Pourquoi meurt-on de nos maladies ?
Alors, me direz-vous, si cela est vrai, pourquoi meurt-on du cancer ou d’autres maladies, si les maladies sont les solutions parfaites inscrites dans la biologie pour assurer la survie individuelle ? Pour répondre à cette question, il faut comprendre comment notre cerveau traite les informations qui lui parviennent. En fait, il faut savoir qu’il ne fait aucune distinction entre une information réelle, imaginaire, virtuelle ou symbolique. Pour le prouver, prenons un exemple simple.
— Si, tout à coup, vous vous retrouvez debout, au bord du toit d’un immeuble de 20 étages, sans garde-fou, votre cerveau va interpréter cette situation comme un danger réel : il va déclencher toute une série de réactions physiologiques et de réflexes comportementaux (montée du taux d’adrénaline, accélération du rythme cardiaque, angoisse, vertige, etc.). Ici, il a traité une information réelle ;
— Si, en lisant l’exemple ci-dessus, vous vous êtes imaginé dans cette situation, probablement que votre cerveau aura déclenché les mêmes réactions. Pourtant, vous n’étiez pas réellement en danger, puisque vous étiez assis en train de lire. Le cerveau a pourtant traité une information imaginaire, comme si elle était réelle ;
— Si, maintenant, au cours d’un jeu vidéo ou d’une séance de cinéma, le scénario vous projette sur le bord du toit, avec le vide en dessous, filmé du point de vue du héros, et si vous êtes suffisamment plongé dans l’image, votre cerveau va de nouveau réagir de la même manière. Ici, il a traité une information virtuelle comme si elle était réelle ;
— Enfin, si l’on vous annonce brusquement que l’entreprise qui vous emploie est déclarée en faillite, juste au moment où vous venez de contracter un gros emprunt à la banque, vous allez peut-être sentir la terre s’ouvrir sous vos pieds. Le cerveau va de nouveau déclencher les mêmes réactions, alors que le précipice face auquel vous vous retrouvez n’est que symbolique. Ainsi, il traitera une information symbolique comme si elle était réelle.
Si vous comprenez cela, vous comprendrez alors aisément que tout ce que nous disons, tout ce que nous pensons est pris par notre cerveau comme des informations réelles qu’il a le devoir de traiter, en tant que super-computer. Ainsi, si vous dites à propos d’un ami : « ce coup-là, je ne lui pardonnerai jamais. Je ne pourrai jamais le digérer », et que cette phrase est réellement le reflet de ce que vous ressentez intensément, votre cerveau va recevoir cette information symbolique et la traiter comme si elle était réelle. Si le conflit relationnel que vous vivez est très intense, et que vous ne parvenez pas à exprimer tout le mal-être que vous ressentez, il est fort probable que le cerveau va déclencher son programme de production des super-cellules digestives (c’est-à-dire des cellules cancéreuses) pour digérer ce coup que vous ne pouvez pas digérer…
Mais à la différence de la patte du lapin coincée dans l’estomac du renard, si une réconciliation avec votre ami n’intervient pas, si vous restez sur votre position, si vous ne pardonnez pas, ce coup-là, vous ne le digérerez effectivement jamais. Par conséquent, votre cerveau continuera à recevoir le message l’informant que le coup n’est pas encore digéré. Et très docilement, il maintiendra son programme de production des cellules cancéreuses. Vous devinez la suite : tôt au tard, à force de disposer d’une capacité digestive anormalement élevée, vous commencerez à ressentir des douleurs, les aliments n’étant pas digérés correctement. On vous diagnostiquera alors un cancer de l’estomac que les médecins tenteront de faire disparaître, par divers moyens à leur disposition…
Mais vous commencez à deviner ce qui risque de suivre. Car même si on vous pratiquait une ablation totale de l’estomac, votre cerveau lui, continuerait à ordonner la production de cellules cancéreuses dans la zone du corps où se situait l’estomac. Ainsi, quelques mois plus tard, on découvrirait ce qu’on croira être une « récidive » ou des « métastases », alors que cette manifestation ne serait que la continuation d’un programme lancé un jour par le cerveau sur base d’une information symbolique à propos d’un conflit avec un ami.
Pour aller plus loin dans le processus, si vous recevez le diagnostic pessimiste de votre cancérologue comme un choc brutal, et que vous traduisez cette information comme un grand stress lié à la peur de mourir, votre cerveau, toujours aussi docilement, lancera un nouveau programme de production de super-cellules pulmonaires, ce qu’on traduira classiquement un peu plus tard comme le cancer du poumon. Et ainsi de suite, jusqu’à ce que mort s’ensuive.
Comment prévenir les maladies et comment les guérir ?
J’ai décrit en détail dans mon dernier livre « Le langage de la guérison » les processus qui déterminent ou provoquent nos maladies physiques, à partir de chocs psychiques intenses ou de grands stress. Dans le cadre de cet article, cela me paraît inutile d’aller plus loin dans les explications, car le raisonnement est le même pour toutes les maladies, quelque soit leur degré d’intensité et de gravité.
Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que d’une part, le cerveau ne se trompe jamais et que d’autre part, c’est lui qui déclenche toutes les « maladies » pour garantir à l’individu les meilleures chances de survie. L’intérêt d’une telle vision est énorme, vous le devinez. En effet, pour la première fois dans l’histoire de la médecine, rien, dans nos affections et nos déséquilibres n’est dû au hasard. Tout se manifeste en accord avec des lois immuables inscrites dans la biologie des êtres vivants, comme le dit le Docteur Claude Sabbah.
Cela signifie, concrètement, que si vous apprenez les lois de la Médecine Nouvelle de Ryke Geerd Hamer ou de la Biologie Totale de Claude Sabbah, lois aussi immuables que celles de la physique ou de la chimie, vous pouvez non seulement comprendre d’où viennent toutes vos maladies, mais surtout vous pouvez les prévenir et les guérir. Comment ? En apprenant ces compétences relationnelles de base que tout être humain devrait acquérir : exprimer ses besoins et ses émotions, oser les confrontations respectueuses, reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est, poser des actes adaptés à la réalité, boucler les affaires non terminées, pardonner. Reprenons-les une à une, pour examiner en quoi ces compétences pourraient nous éviter d’être malades ou nous permettre de nous guérir…
— exprimer nos besoins : beaucoup de frustrations, beaucoup de stress proviennent du fait que d’une part, rares sont les êtres humains conscients de leurs véritables besoins et d’autre part, encore plus rares sont ceux capables de les exprimer de manière adaptée. Par conséquent, nous accumulons des rancœurs, des ressentiments, nous restons bloqués dans des impasses, sentant bien que quelque chose ne nous convient pas, mais sans savoir comment en sortir. Les choses qui nous arrivent sont souvent inacceptables, mais nous les acceptons quand même, parce que nous ne connaissons même pas les limites de ce que nous sommes prêts à vivre ou pas.
Réapprendre à identifier nos besoins et les limites de ce que nous ne voulons plus, être capable de les formuler à nos interlocuteurs, sans avoir peur des conséquences est une des voies possibles pour prévenir et pour guérir les maladies provoquées par les conflits humains et les frustrations.
— exprimer nos émotions : une émotion, c’est comme un symptôme. C’est l’indicateur de l’état de satisfaction et d’insatisfaction de nos besoins. Un besoin est frustré ? Nous en serons averti par une émotion désagréable (colère, tristesse, peur, etc.). Un besoin est satisfait ? C’est une émotion agréable qui nous avertira (joie, plaisir, etc.). Malheureusement, notre éducation nous a enseigné la même attitude à l’égard de nos émotions que la médecine à l’égard des symptômes : les nier, les rejeter, les supprimer. En agissant de la sorte, nous nous privons des meilleurs indicateurs à notre disposition pour connaître avec certitude ce qui est bon pour nous, et ce qui ne l’est pas. Et c’est cette ignorance qui nous précipite dans la frustration, puisque n’ayant plus de voyants lumineux sur notre tableau de bord, nous ne sommes même plus averti qu’un ou plusieurs de nos besoins sont frustrés. Et c’est là que le cerveau est obligé de prendre le relais, pour inscrire dans la biologie des organes les mêmes renseignements dont nous disposions avec les émotions (souvenez-vous : dans la métaphore de la voiture, si les voyants du tableau de bord ne fonctionnent plus ou ne sont pas pris en compte (les émotions), c’est au niveau des organes du moteur que la rupture se manifestera (les organes)).
Réapprendre à écouter nos émotions, les reconnaître et les accepter, les remercier même pour le travail de vigilance qu’elles opèrent pour nous est une première étape pour sombrer moins souvent dans des conflits et des stress destructeurs. Si, en plus, nous pouvons exprimer nos émotions de manière adaptée, en en prenant toute la responsabilité, sans en rendre les autres responsables, alors, très vite, nous pourrons retrouver notre équilibre (j’en ai fait très souvent l’expérience avec de nombreuses personnes).
— oser les confrontations respectueuses : combien de fois, dans des situations difficiles, tendues, désagréables, nous n’osons pas dire les choses à l’autre, respectueusement, mais fermement ? Combien de fois ne ravalons-nous pas notre salive, de peur de créer un conflit ? Nous craignons souvent que les choses désagréables soient dites, parce que nous pensons qu’il est préférable de conserver la paix entre les êtres. Mais cette paix n’est qu’illusoire, puisqu’à l’intérieur peut sourdre une violence énorme. Remarquez même que le calcul est illusoire : en voulant éviter le conflit, on ne dit pas ce qui devrait être dit. Mais en ne disant rien, on augmente notre frustration et notre rancœur, jusqu’à ce qu’elle devienne insupportable. Alors, soit nous explosons contre l’autre, et c’est le conflit et la rupture qu’on avait justement tenté d’éviter ; soit nous implosons, et c’est le cancer ou la maladie fulgurante qui vient nous inviter à regarder de plus près le déséquilibre que nous avons créé…
Oser les confrontations, c’est apprendre à dire les choses qui nous dérangent, calmement, mais sans faux-fuyants. C’est se dire aussi que la meilleure façon de prendre soin de la relation que nous avons avec les autres est encore d’exprimer honnêtement ce qui se passe pour nous dans l’interaction avec l’autre.
— reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est : je l’ai souvent observé, beaucoup de maladies se déclenchent lorsque nous refusons de voir une situation, lorsque nous y résistons, lorsque nous n’acceptons pas ce qui nous arrive. Ainsi, nous pouvons entrer dans des conflits de résistance, de répugnance, de dévalorisation, de perte d’image ou de territoire. Et plus nous luttons contre la réalité, plus nous renforçons son emprise et sa force contre nous, jusqu’à en être épuisé.
Loin d’être fataliste (il ne s’agit pas d’être une loque humaine qui encaisse tout sans rien dire, au contraire), cette attitude consiste à oser regarder la réalité en face, objectivement, sans la juger. Il s’agit aussi de changer son regard sur les événements, en ne les considérant ni comme bons, ni comme mauvais : je conseille plutôt de considérer tout ce qui nous arrive comme des opportunités offertes pour apprendre quelque chose de nouveau.
— poser des actes adaptés à la réalité : Jung insistait beaucoup sur ce point. Il n’y a, en effet, pas de guérison si nous ne posons pas des actes dans le Principe de Réalité. Souvent, nous restons bloqués dans des conflits ou dans des stress parce que nous n’osons pas poser un acte. Ou pire : parce que nous croyons qu’il suffit d’avoir pris conscience de l’origine de son cancer pour guérir. C’est faux, et tous ceux qui l’ont cru sont morts aujourd’hui. L’acte est la seule manière de donner au cerveau l’information de fin de programme conflictuel. Sinon, nous l’avons vu, l’activation de la maladie ne s’arrêtera jamais.
— boucler les affaires non terminées : cette notion a été mise en lumière la première fois par Elisabeth Kübler-Ross, ce médecin suisse émigrée aux États-Unis, à l’origine de la pratique des soins palliatifs répandus aujourd’hui dans le monde entier. Elle disait que beaucoup de patients, en fin de vie, éprouvaient le besoin absolu de faire la paix avec ceux avec qui ils avaient connu des ruptures qui s’étaient mal passées. Elle a observé des milliers de fois que dès que les affaires non terminées avaient été bouclées, les patients mouraient la nuit même, apaisés et sereins.
Pour agir de la sorte, je pense que nous ne devons pas attendre la fin de notre vie, en phase terminale d’une maladie longue et douloureuse. Je fais l’expérience régulièrement que boucler les affaires non terminées me permet de maintenir mon équilibre et de ne pas créer des sources de stress aussi inutiles que préjudiciables.
— pardonner : enfin, last, but not least, pardonner. Non pas, pardonner l’autre pour le mal qu’il pourrait nous avoir fait, mais nous pardonner à nous-même pour la souffrance que nous avons accepté de vivre si longtemps avant de lâcher prise, avant d’exprimer à l’autre nos besoins ou nos émotions, avant d’avoir oser les confrontations respectueuses, avant d’avoir enfin reconnu et accepté la réalité, avant d’avoir posé des actes dans la réalité, avant d’avoir bouclé les affaires non terminées.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce ne sont jamais les autres ni les événements qui sont responsables de nos chocs, de nos conflits, de nos stress. C’est toujours la manière dont nous avons reçu l’événement, dont nous l’avons perçu, interprété, filtré qui engendrera notre souffrance ou notre plaisir. Donc, en fin de compte, avec beaucoup d’amour, d’humour et d’humilité, nous nous remercierons d’avoir été aussi stupide et nous nous pardonnerons tout ce mal que nous nous sommes fait.
Conclusions
Au terme de cet article, je tiens à tirer rapidement quelques conclusions. Tout d’abord, mon objectif n’a pas été de vous convaincre que vos croyances étaient erronées à propos de la santé et de la maladie. Je ne sais que trop bien qu’il faudrait bien plus pour vous faire changer. Mon objectif était de vous proposer une vision de ce que sera probablement demain, la compréhension de la maladie et de la guérison. Si l’une ou l’autre idée a fait résonance en vous, je vous invite à approfondir votre recherche, à vous informer, à lire les livres qui commencent à sortir sur le sujet… Et surtout, à expérimenter par vous-même et sur vous-même, comme je le fais depuis 18 ans.
Ensuite, cette vision de la maladie est porteuse d’une immense bonne nouvelle : la maladie n’est pas une fatalité, elle n’arrive jamais par hasard. Ce qui veut dire qu’en changeant nos habitudes comportementales, nos schémas de pensée, notre vie émotionnelle, nous pouvons éliminer définitivement l’emprise des maladies sur nous. De plus, même si nous tombons encore malades de temps en temps, nous ne serons plus dépendants des thérapeutes qui se placent dans une position de pouvoir par rapport à nous. Nous retrouvons, enfin, notre autonomie, notre liberté, notre souveraineté.
Enfin, en tant que patients et en tant que citoyens, nous avons tous un devoir d’informer notre entourage, le plus largement possible, sur ces nouvelles recherches, pour que la folie qui s’est emparée du pouvoir médical, politique et économique à l’égard de tout ce qui est alternatif soit discréditée, rendue non pertinente, obsolète. Quand je vois les persécutions dont font l’objet de nombreux thérapeutes qui ont choisi de se mettre réellement au service de la santé et du malade (et donc de ne plus servir les intérêts des grands groupes pharmaceutiques), je sais que cette nouvelle forme d’inquisition ne cessera que lorsque nous serons assez nombreux pour dire en face, à nos médecins traditionnels, ce qui nous a vraiment guéris. Sinon, la maladie restera encore pour longtemps aux mains de ceux qui ont pris le pouvoir sur notre vie et sur notre corps. Nous avons le Monde que nous méritons. Aurons-nous le Monde auquel nous avons légitimement droit ? Cela ne dépendra que de nous."
Jean-Jacques Crèvecœur
Là où la Médecine Nouvelle et la psychobiologie rentrent en résonance avec les médecines primitives :
On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers"
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19:55 Publié dans I.A.h. "Biologie cognitive et neurosciences" | Lien permanent | Commentaires (0)
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