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lundi, 12 septembre 2011

Une rencontre à ne pas manquer: l'application thérapeutique de la lumière les 2 à 6 octobre à St Adèle

Communiqué de Presse
International Light Association (ILA)
8ième Conférence Annuelle
2-6 Octobre 2011, Ste-Adèle, QC


Pour la première fois en Amérique du Nord, cette extraordinaire conférence rassemblera des spécialistes dans le domaine de l'application thérapeutique de la lumière venant du monde entier. Cette rencontre d'avant-garde s'adresse à tous ceux qui sont intéressés par les multiples effets de la lumière sur notre santé. Elle inclut une large gamme d'intervenants allant de chercheurs scientifiques de pointe venant du monde médical, jusqu'à des praticiens explorant de nouvelles thérapies alternatives en énergie subtile.

Au programme:
Applications cliniques de la lumière - 7 Présentateurs
Recherche fondamentale sur les effets biologiques de la lumière - 3 Présentateurs
Thérapies en énergie subtile basées sur la lumière - 3 Présentateurs
La lumière en Philosophie, Spiritualité et Art - 5 Présentateurs

Quelques points marquants:
Dr. Tiina Karu (Russie), spécialiste de renommée mondiale en médecine par le laser, parlera de la profonde influence de la lumière sur la biologie de nos cellules.
Pauline Allen (Angleterre) donnera un atelier sur les techniques basées sur le son et la lumière qu'elle utilise pour soigner avec succès des enfants atteints du Trouble du Déficit de l'Attention et/ou Hyperactivité (TDAH) et de dyslexie.
Dr. Abraham Haim (Israel) parlera des dernières recherches dans le domaine encore peu connu de la pollution par la lumière.
· T8aminik Rankin (Canada), chef héréditaire Algonquin, parlera de l'importance du Feu Sacré et de la lumière dans la médecine traditionnelle amérindienne.
· Dr. Larry Wallace (États Unis), Dr. Don Barniske (États Unis) et Erendira Mandujano (Mexique) parleront des méthodes de l'Optométrie Syntonique permettant de rebalancer le système nerveux autonome par la lumière colorée.

La conférence aura lieu à l'Hôtel Mont-Gabriel (Ste-Adèle, QC) dans le cadre enchanteur de la forêt des Laurentides, avec ses plus belles couleurs d'automne. À cause de son caractère international elle se déroulera en anglais (possibilité de traduction en français sur demande).

Renseignements complets et inscription:
www.international-light-association.org




mardi, 30 août 2011

Le don du pardon, une pissante façon de guérir et de se libérer

Je vous invite à découvrir ce témoignage d'Olivier Clerc suite  sa rencontre de Miguel Ruiz, auteur des 4 accord Toltèque, où il a reçu le don du pardon:

1. le pardon aux autres

2. le pardon au négatif ou diabolique, puissance transformatrice de l'univers, trop souvent utilisée et déviée à des fins personnelles

3. le pardon au positif ou au Créateur, Lui reprochant de ne pas avoir bien fait les choses que nous aurions fait bien mieux à sa place

4. le pardon à soi-même, étant toujours trop dur et exigeant avec notre conscience enfantine en plein apprentissage de la vie, que nous violentons si souvent au nom de son imperfection alors que notre conscience n'est qu'une étudiante qui avance au rythme de ses découverte vers une soif de perfectionnement! 

Voici son témoignage sur l'émission de Jacques Languiran

jeudi, 17 mars 2011

"L'ostéopathie périnatale", Article sur l’approche embryologique 15 mars 2011

Article de présentation de la conférence et de l'ateliers donnés au symposium ostéopathique international de l'université de neurologie de St Petersbourg par Francois Amigues, DO (Canada), diplômé en ostéopathie au Collège d’Étude Ostéopathiques de Montréal (CEO) QC, Canada, , récipiandaire du prix de thèse "Andrew Taylor Still" en 2001 pour sa thèse "Science, art et philosophie de l'ostéopathie dans la transmission de la santé à travers les généraions, assistant au cours de pédiatrie du College d’Étude Ostéopathique de Vancouver, BC, Canada, président de l’Institut de recherché en santé et périnatalité “Amour Parent Naissance”, organisateur des symposiums internationaux en santé et périnatalité de Montréal de 2001 à 2005, membre de gestion de l’Institut de Développement en Education Art et Loisir (IDEAL) participant à des missions humanitaires pour les Nations-Unies et directeur du Ideal Wellness Center dans les rocheuses canadiennes.

***

Ces 50 dernières années ont vu éclore le monde de la périnatalité comme une science à part entière. Cette nouvelle-née n’en finit plus de nous étonner par ses applications pratiques en santé préventives, et par les solutions fondamentales qu’elle suggère pour résoudre les grands problèmes que nous posent le vaste domaine de la santé sociale.

En effet, après avoir affirmé que tout se jouait avant 6 ans, puis 3 ans, puis à la naissance, on se rend compte maintenant que c’est au niveau du « terrain parental préconceptionnel » que se détermine en fait la santé du futur individu.

Si il est devenu plus clair que les fondations de la santé de l’enfant se préparent avant même la conception, c’est cependant durant l’embryo et l’organogénèse - qui se finalise bien après la naissance - que nombre d’influences environnementales induites par la mère, le couple et leur environnement direct et indirect auront un impact décisif sur l’encodage génétique qui dominera la santé de l’individu. Il existe donc toute période « sensible » d’imprégnation environnant la génétique parentale préconceptionnelle, l’œuf, l’embryon, le fœtus et le nouveau-né où se fondent et s’enracine la santé potentielle de l’être humain. La véritable éducation de l’enfant ne semble pouvoir se faire que par une attention toute particulière des parents, et notamment de la mère, portée à la vie prénatale. Après la naissance, tout est en place et les efforts éducatifs ne peuvent que tendre à « dresser des comportements sociaux » selon le support constitutionnel de l’enfant qui les intégrera de façon naturelle ou forcée.

 

Les travaux de thomas Vernis sont précurseurs dans la démonstration de l’importance de cette vie prénatale. L’enfant se forme dans la nuit utérine selon un ensemble de stimuli maternel œuvrant sur son développement embryonnaire selon des forces morphogénétiques chère à David Bohm et Rupert Sheldrake.

Ces derniers ayant été les premiers à remettre en cause le déterminisme génétique en mettant en évidence l’existence d’une véritable plasticité génétique « sensori-modelante » pouvant modifier le génome initial tout au long de la grossesse !

C’est alors que les découvertes de Bruce Lipton sur la plasticité protéique de l’ADN viennent définitivement bouleverser toutes les théories génétiques préalables, en venant confirmer les observations cliniques ayant amené la supposition d’une plasticité génétique interactive entre la mère et le fœtus.

Ces découvertes venaient résolument de faire basculer l’approche de la vie prénatale vers des perspectives inestimables pour envisager des mesures de santé sociale durables !

Ces découvertes de l’épigénétique ont pris plus de 30 ans d’études et d’approfondissements pour être corroborées par d’autres chercheurs et pour percer le milieu universitaire qui découvre tout récemment l’amplitudes des applications que l’épigénétique peut apporter au monde.

 

Il reste cependant tout à faire pour tirer profit de la découverte des lois de l’épigénétique autant en médecine qu’en ostéopathie contemporaines.

Les grandes lois de l’épigénétique : une vraie révolution médicale

Encore trop méconnue, l’épigénétique amène pour la 1ière fois la perspective de lois fiables en médecine.

En effet, la découverte de « mutations déterminées des ponts protéiques codant les séquences d’adn » selon des radiations précises, soulève l’espoir d’établir une charte de correspondances systématiques entre influences environnementales et déterminisme génétique.

 

Cependant la latitude des influences environnementales à étudier est tellement large que le décodage de leur « carte d’identité vibratoire » est un champ d’étude gigantesque qui mériterait à lui seul d’ouvrir une nouvelle spécialité médicale.

Les progrès en psychiatrie et en neurologie cognitive sont définitivement les plus avancés dans cette approche des correspondances entre influences environnementales et mutations génétiques.

 

Par influences environnementales, il est important de dissocier l’environnement externe et interne au corps.

Influences environnementales externes 

Nourritures, géologie, langage, sons, odeurs, formes, radiations cosmiques, radiations psychiques humaines environnantes, textures, tissus, habitat, mode de vie sont autant d’influences « transposables en champs électromagnétiques » dont la carte d’identité interagit sur l’encodage génétique déjà présent dans le corps.

Influences environnementales interne

« Nous avons la biologie de notre biographie » dira Carolyn Miss. En effet, le terrain biologique acquis selon notre historique entretient un environnement interne. Ce dernier maintient de manière durable le codage génétique qui est établie en soi qu’il soit pathogénique ou sain pour le corps.

Par exemple, une cicatrice non traitée est un tissu à tendance rétractile avec le temps qui génère des tensions sur une zone. Cet état tissulaire pathologique finira par influencer toute une région, puis tout le corps jusqu’à générer des états émotionnel et psychique de mal-être dont la nature dépendra des zones mises en lésion (proche du foie, cela donnera un sentiment d’inassouvissement en rapport avec les fonction de stockage en graisse ou en glucose). Ces lésions et leurs champs électromagnétiques correspondant seront alors capables de recoder la génétique de ce corps pour à la fois l’entretenir et s’adapter à endurer cet état acquis. Toute nouvelle information reçue par cet organisme sera ensuite perçue à travers les lunettes de cet état interne acquis, expliquant des réponses différentes au même stimulus pour 2 organismes de même type.

La neurologie cognitive, une porte ouverte sur l’épigénétique

Les chaires de neurologie cognitives qui ont vu le jours un peu partout dans les universités du monde sont le fruit des recherches étonnantes de la psychiatrie qui est la 1ière à avoir révélé un champs de correspondances à double sens entre l’état du corps et celui des humeurs et du psychisme (somato-psychisme et psychosomatique). De là, toutes ces chaires universitaires ont investit dans de nombreuses recherches pour établir des correspondances, et ceci à renfort d’autres approches complémentaires comme l’éthologie. Cette dernière, appliquée avec brio par Boris Cyrulnik par exemple, a démontré des résultats étonnant pour récupérer le retard de développement psycho-sensori-moteur des enfants attachés toute leur jeunesse dans les orphelinats de Roumanie : « Observant des enfants abandonnés en Roumanie, très dégradés du point de vue du développement physique et psychique, B. Cyrulnik eut l'idée de faire passer des scanners qui montrèrent une atrophie proche de patients lobotomisés. Pourtant, placés dans des familles d'accueil, ces enfants montraient une disparition de l'atrophie neuro-limbique en moins d'un an ! Si on modifie le milieu, on modifie non seulement la manière dont fonctionne le cerveau, mais même le support biologique sur lequel s’appuie les fonctionnements cognitifs. On sait donc que les stimulations affectives, tout à fait banales, sont vitales pour structurer l'affectif, montrer qu'on ne peut pas tout se permettre, apprendre à se freiner, à s'intéresser au monde mental des autres. »

 

Là encore, que ce soit dans les prémices des recherches cliniques de George Groddeck ou plus moderne dans les travaux d’Arthur Janov et nombreux autres, il émerge inévitablement le même constat d’une « réponse du vivant au milieu qui l’entoure pour s’y adapter ». Et cela selon des stress négatifs ou positifs qui détermineront une vie allant de la survie extrême à l’épanouissement des plus hauts degrés de manifestations de la vie, tels que la fraternisation et le service des uns aux autres.

C’est sans aucun doute Daniel Goleman qui a le mieux démontré cette réalité par la découverte majeure de ces fameux neurones miroirs qui reflètent l’environnement pour le ressentir et développer l’empathie, mais aussi comme moyen essentiel d’apprentissage et d’adaptation à l’environnement.  

Mais quels sont ces facteurs motivant de telles mutations comportementales ?

Invariablement, l’ambiance irradiante d’un milieu interne et externe capable d’engendrer des mutations génétique du vivant, le prédisposent à des attitudes similaires à cette ambiance proposée.

En d’autres mots et sur le plan pratique, un état soutenue de guerre engendre une mutation des mécanismes de défense les mieux adaptés à la survie par la fuite, la simulation ou le combat ; et à l’inverse un état sécurisant soutenue de paix profonde basé sur l’empathie reçut envers soi-même et envers ce que ressent l’autre permet l’expression des plus nobles valeurs d’humanité, de service et de sacrifice envers tout ce qui est vivant.

 

Si cette observation pointait déjà son nez depuis la fin du 19ième siècle sous de nombreuses théories spirituelles telle que le mesmérisme, qui a tellement influencé le fondateur de l’ostéopathie Andrew Taylor Still, elle n’a pris son sens critique et scientifique, au sens propre, que par la découverte de l’épigénétique qui l’a démontré de manière irréfutable.

Conséquences thérapeutiques de l’épigénétique

La découverte du « pouvoir d’imprégnation d’un milieu sur un autre milieu selon des lois de résonnances » Ont été mit en évidence par Hanneman, père de l’homéopathie, Théodore Schwenk, hydodynamicien,… et plus récemment Jacques Benvéniste et Masaru Émoto avec la mémoire de l’eau. Cette découverte ouvre la voie à la capacité de relier par « analogie vibratoire » certains minéraux, plantes, huiles, nourritures, animaux ou substances animales, certaines formes, couleurs, sons, musiques,  mais aussi, et c’est le plus étonnant, certaines lettres, mots, verbes, arts, pratiques, rites, habitudes, gestes, postures, etc… avec des « états vibratoire de santé ou de maladie » agissant par affinité de façon rigoureusement spécifique sur certains tissus, organes ou systèmes fonctionnels tout à fait déterminés dans le corps humain.

 

Ce constat est la véritable révolution médicale du 21ième siècle qui relie chaque chose les unes aux autres par cet outil de l’avenir qu’est « l’analogie », capable enfin d’expliquer les phénomènes de résonnance entre des identités vibratoires similaires.

Cette dernière réconcilie la variété des approches alternatives et traditionnelles dans le soin des maladies, pour y apporter une précision qui devrait, à terme, devenir invariable dans son efficacité - ceci une fois ces codes clairement établis entre tous les règnes et leurs expression et la santé humaine.

 

Cette notion d’invariabilité, le Pr Reerk G. Hamer l’a mis en évidence dans ses recherches sous imageries médicales de types de stress subis qu’il a appelé « conflits » et de lieux précis où se biologisent ces stress au niveau du cerveau et dans le corps, selon une récurrence vérifiée à plus de 97% sous scanner sur des milliers de cas dans le cadre d’une vaste recherche universitaire.

 

Que ce soit la méthode TIPI de Luc Nicon, comme celle des Holodynes du Dr Vernon Wolf ou du mindpower de John Kehoe, du Ho’oponopono du Dr Len, de l’Hypnose Éricksonienne, de la PNL, de la merveilleuse Bioanalogie de Jean-Philippe Brébion, de la Biologie totale, mais aussi de la Naturopathie, la Chromothérapie, la Musichothérapie, Lithothérapie… parmis les centaines de méthodes thérapeutiques ayant émergées ces dernières années, elles utilisent toutes la mise en œuvre d’un états vibratoire plus élevé en correspondance à la santé d’une structure ou fonction déterminée pour la libérer et lui permettre l’expression de son potentiel de santé.

L’Harmonisation Ostéopathique Épigénétique

Le Dr Still nous a offert l’outil extraordinaire des fulcrum, des point d’appuis, de repos applicables à tout ce qui vit. Ces fulcrum sont capables d’engendrer des « still points » ou points de paix, de silence, de non action, d’une puissance thérapeutique hors du commun !

Chacun de ses « points thérapeutiques » peuvent s’adapter à la structure ou à la fonction perturbée grâce à une présence soutenue de l’ostéopathe par un ajustement sans limites pour y restituer cette force embryonnaire, cette vibration d’excellence, de santé dont chaque cellule garde la mémoire de façon durable tout au long de la vie. Cet ajustement déclenche des forces d’auto guérison agissant même après le traitement jusqu’à restauration totale du pouvoir d’expression de la santé que porte le tissu traité.

 

Ainsi sans connaître les correspondances analogiques complexes des naturopathes et autres thérapeutiques utilisant les plantes, minéraux, médicaments… l’ostéopathe à ce privilège d’entrer en résonnance avec la santé spécifique de chaque tissu. De plus il peut l’adapter à l’état tissulaire forgé par la biographie biologique de ce dernier, que l’ostéopathe perçoit par une qualité tissulaire et son lots d’impressions associées.

C’est donc en offrant cet état vibratoire empathique de paix au corps que l’ostéopathe interpelle sa propre puissance de santé pour qu’il puisse se guérir selon le 4ième principe d’auto guérison de l’organisme.

 

Cette découverte de génie du « Still point » du Dr Still a été cartographié dans ses applications au système nerveux avec grandes subtilités par le Dr Sutherland, le Dr Magoun - et réellement intégré et transmis dans toute sa beauté et sa puissance thérapeutique par le Dr Becker ; puis enseigné de par le monde par de nombreux serviteurs de l’ostéopathie sous le nom de Biodynamie par Tom Dummer, Suzan Turner ou James Jealous, sous celui de Spasme endocrâniens par Philippe Druelle, sous Techniques somato-émotionnelles par John Upledger, sous le nom de Techniques ostéopathique d’équilibre et d’échanges réciproques par Jacques Andreva Duval ou encore strains psychiques, kystes émotionnels et j’en oublie.

Il m’a semblé plus fédérateur de parler « d’harmonisation ostéopathique » basée sur les découvertes « épigénétiques », pour leurs rendre honneur, et surtout pour faire évoluer notre profession en l’inscrivant dans la pratique médicale d’avant garde qu’est la neurologie cognitive.

 

La conférence

 

C’est sur cette proposition que je vous propose d’aborder lors de ma conférence les notions de « stress évolutionnels ou d’apprentissage » en rapport avec les lésions ostéopathiques que le corps nous révèle, selon une lecture se référant aux origines embryologiques tridermiques des tissus distribués dans le corps et le cerveau.

En effet, tout stress porte en lui-même un caractère instructif, informationnel visant à faire évoluer l’être humain. Cet axiome est la base de la pédagogie des grands philosophes orientaux et Grecs, largement intérrogé par les neuro-sciences et expérimentés par des chercheurs comme Jean-Philippe Brébion, Arthur Janov ou le Dr Len.

Alors se pose la question suivante : « à quel défis d’expression humaine nous renvoient la moindre dysfonction notable et palpable dans le corps humain ? »

La capacité de lire corporellement et de nommer consciemment un stress imprimés dans le corps comme un défi d’apprentissage lui donne déjà tout un sens.

Ce sens active à lui seul - par une reconnaissance empathique manuelle et cognitive - des forces d’évolution, de guérison et de mutation hors du commun invitant le patient et l’ostéopathe à accueillir et comprendre un message derrière l’événement pour y répondre et devenir co-créateur de son épanouissement.

Pour aborder ce vaste sujet lors de la conférence, je vous inviterai à le visiter sous l’angle spatial, temporel et « impermanent » pour en mesurer les mécanismes d’empilement à décoder et à dégager successivement, afin de retrouver l’état originel de « santé impermanente » propre à chacun.

Ce mécanisme d’empilement, à l’instar de l’ontogénie, répond à la prédominance du vécu neuro-hormonal qui adapte toujours la structure et la physiologie des autres systèmes corporels.

Cette approche spatio-temporelle permet d’accéder à une trame événementielle qui dépasse le vécu de la personne et permet de comprendre l’apparition « apparemment arbitraire » de certaines pathologies en les reliant aux empreintes prénatales et trans-générationnelles dont le corps conserve la trace sous forme de densités caractéristiques.

Le workshop

De cette lecture ostéopathique regroupant les liens neurologiques et les groupes tissulaires correspondants, il deviendra plus aisé d’aborder, lors de notre workshop, la multidimensionalité de l’empilement bio-tensif des empreintes épigénétiques subis lors de la vie du nourrisson, lors de l’accouchement, des 3 trimestres de la grossesse; et cela en association avec les empreintes préconceptionnelles transmises par les stress significatifs parentaux et sociaux.

C’est cette trame constitutionnelle innée de base qui représente notre réelle éducation, cette éducation inconsciente qui érige notre identité profonde. Nous pouvons la découvrir par le recoupement de nos perceptions ostéopathiques avec l’anamnèse spécifique des informations prénatales.

C’est sur cette identité profonde d’informations inscrites dans les tissus, que vont se sur-empiler les stress et traumatismes que nous rencontrerons tout au long de notre vie. Ces derniers « stress acquis » ne seront alors que des « facteurs déclenchant » entrants ou non en résonnance avec les apprentissages déjà biologiquement inscrits lors de « l’éducation ontogénique de l’être humain ».

Selon que cette éducation ontogénétique a été empathique et saine ou lésionnelle, les stress importants du vécu auront ou n’auront pas une emprise pour déclencher les maladies et malaises révélés par le reste de l’anamnèse ou qui seront la raison de la consultation.

 

Pour guider cette lecture thérapeutique je vous proposerais « la méthode du chat », chère à Tom Dummer, permettant de suivre l’ordre et la méthode ostéopathique demandée par le corps lui-même, par la qualité des tissus retenant notre attention.

 

L’ « harmonisation ostéopathique épigénétique » procède d’un ajustement empathique à ces informations spécifiques, jusqu’à l’établissement d’un Still point correspondant à l’essence de ces informations.

C’est « la profondeur du niveau de Still point » atteint par le praticien et « permise » par les tissus du patient, qui déterminera le niveau des puissances thérapeutiques que le corps acceptera de déclencher.

L’atteinte de ce niveau de profondeur est le résultat d’une synthèse entre la perception de la biographie des tissus et la perception spirituelle de la vie qui les animent.

Comme l’a démontré la physique quantique, c’est l’orientation du témoignage qui influence la réalité. Ici c’est la recherche d’un contact avec l’impermanence des forces de santé qui les déclenchent pour restaurer la santé.

 

Ce contact empathique tissulaire une fois établis et activé, dictera ensuite les techniques correspondantes de « désimprégnation, désimpaction, décompression, réalignement… » des structures cranio-sacrées, myo-fasciales, circulatoires, viscérales ou ostéo-articulaires.

 

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Sutherland, Adah Strand, With Thinking Fingers, Press of journal printing company, Kirksville, Missouri, USA, 1962, 98 pp.

Sutherland, William Garner, Contributions of Thought, Assembled and Edited by Adah Strand Sutherland and Anne L. Wales, D.O., The Sutherland Cranial Teaching Foundation, USA, 1967, 254 pp.

Sutherland, William Garner, The Cranial Bowl, Free Press Company, USA, 1939, 130 pp.

Sutherland, William Garner, Teachings in the Science of Osteopathy, Edited by Anne L. Wales, D.O., Rudra Press, USA, 1990, 311 pp.

TILLER, William A. PhD. Science and Human Transformation, Édition Pavior, USA 1997, 315 pp.

Trottier Nathalie, Étude Qualitative sur l'Utilisation du Langage de l'Enseignement de W.G.Sutherland dans Six Collèges Ostéopathiques, Thèse ostéopathique, C.E.O., Montréal, juin 1998, 241 pp.

Trowbridge, Carol, Naissance de l’Ostéopathie, Vie et Oeuvre de Andrew Taylor Still, traduit de l’américain par Pierre Tricot et Jean-Hervé Francès, Éditions Scully, France, 1999, 292 pp.

Upledger, John E., Vredevoogd, Jon D., Craniosacral Therapy, Eastland Press, Seattle, Washington, USA, 1983, 367 pp.

VERNY, Thomas, La Vie Secrète de l’Enfant Avant sa Naissance, France Loisirs, Paris 1981, 270 pp.

YEAR BOOK 1956, The osteopathic institute of applied technique, Maidstone. 72 pp.

 

 


 


 

dimanche, 19 octobre 2008

De la lumière sur le contrôle de son cerveau et de ses pensées

L’ancien animateur et futur auteur Richard Cummings a lu pour nous le livre de la Dre Jill BolteTaylor, Voyage au-delà de mon cerveau, publié aux Éditions JC Lattès. Le récit d’une histoire vraie.
Écoutez les 19 minutes de commentaire sur son livre à Radio Canada par Richard Cummings: http://www.radio-canada.ca/radio/christiane/modele-document.asp?docnumero=76327&numero=1880#

Jill Bolte Taylor est une scientifique américaine spécialisée en neuroanatomie qui a vécu de manière consciente un accident vasculaire cérébral à 37 ans.
Les hypothèses sur le fonctionnement cérébral qu’elle en a tirées ont été déterminantes. La revue Time l’a même classée parmi les 100 personnes les plus influentes du monde.

Une vidéo formidable , étonnante de cette neurologue novatrice!
... en français:




...en anglais - 18 minutes issue du site: http://www.ted.com/talks/view/id/229



Neuroanatomist Jill Bolte Taylor had an opportunity few brain scientists would wish for: One morning, she realized she was having a massive stroke. As it happened -- as she felt her brain functions slip away one by one, speech, movement, understanding -- she studied and remembered every moment. This is a powerful story about how our brains define us and connect us to the world and to one another.

Merci Sonia Pasqualetto pour le partage!

samedi, 18 octobre 2008

Les enfants "quantiques" montre les possibilités du cerveau humain

Je vous invite à découvrir les immenses possibilités du cerveau humain que certains enfants on déjà développé et que les futures générations sont appellées a développer en grand nombre:

http://www.kryon.com/quantumvideo.html

Les enfants Quantum, vous connaissez? Ces enfants que l'on dit surdoués sont télépathes et capables de capter l'information contenue dans un livre sans en faire la lecture. Ceux-ci habitent le Japon. Voici une vidéo (en anglais) de 8 minutes et demie où on peut les voir à l'oeuvre. Merci à Éric Hamel et Nicole Lapointe pour leur envoi:

Bonjour,

Un grand merci à Sylvie Parent pour avoir partagé ce vidéo.
Il y a 2 ans à Los Angeles, je suis allé à une série de conférences organisées par le Dr. Eric Pearl où j'ai rencontré Lee Carroll et il nous avait montré ce vidéo.

J'ai eu la chance de parler avec Lee et il m'a demandé s'il pouvait me prendre dans ses bras. J'ai ressenti tout son Amour, c'est un être exceptionnel.

Ce vidéo concerne les enfants quantum. Ce sont des enfants du Japon qui présentent des capacités évolués.

Ils sont en mesure de lire des livres en faisant tourner les pages rapidement, ou simplement en mettant leur main dessus. Ils ont accès à des couleurs, à des images, à des sons et même des odeurs. Ils sont aussi capable de se connecter à l'auteur et de recevoir des informations additionnelles.

Permettez-moi de vous expliquer comment ça fonctionne.

Si nous restons au niveau physique uniquement, c'est impossible de comprendre comment ça fonctionne. Ça ne fait pas de sens.

Lorsqu'un livre se manifeste au niveau physique, c'est qu'il a reçu toute l'énergie nécessaire à sa matérialisation. Ce qui veut dire que l'auteur a
beaucoup pensé à son livre pour qu'il arrive jusqu'à un produit fini dans le physique.

Alors voici la preuve, comme quoi le physique est "contrôlé" par l'énergie.
Et que nous créons notre vie avec nos pensées!

Non seulement l'auteur a beaucoup pensé, mais il a ajouté beaucoup d'émotions, imaginé des images, des sons, etc.

L'auteur a mis beaucoup d'Amour dans son travail. Comme l'Amour c'est l'énergie de vie, son livre est littéralement VIVANT. C'était d'ailleurs le sujet d'un futur email mais je trouve qu'avec ce vidéo c'est le moment idéal pour en parler.

Nos pensées, nos émotions et nos blessures SONT VIVANTES. Parce que nous sommes des CRÉATEURS et que tout ce qu'on crée est vivant.

Il existe de multiples formes de vies. Ça ne prends pas nécessairement des yeux, un cœur et des pattes pour être considéré comme vivant. Même les maladies que nous créons sont vivantes.

Pour en revenir aux livres, ils sont rattachés aux formes-pensées que l'auteur a créées pour faire son livre. Et ces enfants sont en mesure de se connecter à ces formes-pensées et ressentir leurs vibrations.

TOUT EST ÉNERGIE, TOUT EST VIBRATIONS, que ce soit des couleurs, des images, des sons, des odeurs, etc.

Alors vous voyez que ce qu'on imagine existe vraiment dans une autre dimension. Alors l'imagination ce n'est pas ce que l'on pense que c'est. Ça existe et c'est très puissant.

Vous voyez maintenant toute la puissance de la VISUALISATION?!

Vous comprenez maintenant comment les "médiums" font pour lire l'énergie des gens, de leurs objets, de leurs maisons. Nous ne pouvons rien cacher, car tout est là dans l'énergie.

Le vidéo est en anglais/japonais, mais une image vaut mille mots.

vendredi, 17 octobre 2008

La révolution des neurosciences et le scandale de la biologie totale!

Il est temps d'élargir le débat de la biologie totale à la révolution interne qui se déroule bien cachée dans les coulisses de la médecine par l'immense percée des neurosciences au sein même de la recherche officielle, étouffées par des intérêts financiers depuis 20 ans.
Qui aurait intérêt à promouvoir des méthodes qui fonctionnent sans l'industrie chimique?

Vous trouverez en fin d'article des "progrès scientifique en santé pour approfondir le sujet", suivit de la réaction à l'émission d'enquête de Sébastien Plante et de Michèle Clément, 1ière présidente de la Biologie totale au Canada.

Si la biologie totale a eu le courage de diffuser à tous une part de ces découvertes en neuroscience d'une façon indépendante type "seul contre tous" on peut lui reprocher un certains nombres d'erreurs inhérentes à tout démarrage, comme des fautes d'éthique et de déontologie en ne distinguant pas une formation dédiée aux professionnels et une consacrée au développement personnels, ainsi que des messages importants mal communiqués dans l'enseignement au sujet de l'importance de continuer les traitements médicaux en cours et autres.
Elle n'en reste pas moins un exemple de détermination à faire sortir des milieux étouffés de la recherche des vérités salvatrices qui dérangent et guérissent à la fois!
À ce titre, ces émissions d'enquête sur radio-canada, largement biaisées par une volonté d'étouffer le dérangeant, invitent la biologie totale à remettre plus d'éthique, plus de déontologie et surtout à créer un niveau pour professionnel de la santé et un niveau "découverte grand public" comme j'en ai parlé à Claude Sabbah dès notre première rencontre, afin de devenir indémontable par des éboueurs journalistiques qui se nourrissent des déchets de la société en se mettant à la solde consciente ou inconsciente d'un establishment financier!

Quel scandale font nos journalistes du fait que la 1ière cause de mortalité en Amérique du nord soit l'erreur médicale? Combien de mort la médecine a à son actif pour incriminer si violemment en son nom une pratique, qui certes doit faire des progrès éthiques, mais qui mériterait d'être enquêtée sur son niveau de satisfaction du public plutôt que sur ses échecs et ses erreurs!

Nous apprenons de nos erreurs et je rêve de l'émergence d'un enseignement de la neurologie fonctionnelle et cognitif inter-disciplinaire où la biologie totale se fondrait dans l'ensemble des découvertes en neurosciences si exceptionnels dans le monde afin de former un corps indéracinable dans le monde médical par l'appui des plus grands chercheurs en neurologie conventionnelle qui sont emprisonnés dans le mutisme à l'heure actuelle.
J'ai toujours promu cette approche que ce soit auprès de Bruce Lipton, de Claude Imbert, de Claude Sabbah, de Gérard Athias et nombres d'invités brillants à mes symposiums.
L'avenir est encore tout neuf dans ce milieu et nous assistons aux premières chutes sur les fesses de ces enfants de la neurologie qui cherchent à se dresser dans un corps médical interloqué par ces nouveaux venus!

Je vous invite à approfondir le sujet de la biolgie totale et les réaction au reportage diffamatoire sur : http://www.ibbtev.be/?Les-inepties-racontees-sur-la, http://www.sautquantique.com/temoignages-biologie-totale....

Pour étayer la malhonnêteté des journalistes d'enquête, voici le témoignage du professeur Raymond Pageau piégé par les montages erronés d'enquête visant à déstabilisé le public à coup de matraquage clignotant "danger" sur le bord de l'écran:


Bonjour

Radio-Canada a continué sa série sur la Biologie Totale en traitant, cette fois, de l’infiltration des milieux d’enseignement supérieur au Québec par ce concept soit disant dangereux pour la population. Étant donné que je suis personnellement visé dans l’émission du 9 octobre, je vais me permettre d’être pointu et « personnel » dans mes remarques :

1 : Dans l’émission, on raconte que j’ai enseigné aux étudiants en médecine, et cela pendant 10 ans, des notions de Biologie Totale. Comme professeur, tout en tenant compte de mon code d’éthique, je faisais réfléchir mes étudiants, surtout sur des thèmes importants en Santé Communautaire. Des notions sur la Biologie Totale comme le reportage l’insinue? Impossible ! Pour la simple raison que j’ai quitté la Faculté de médecine en 1995 et connu la Biologie Totale en 1998. Faites vos calculs. Quelque chose cloche à quelque part. De plus, pourquoi en « faire tout un plat » alors que le doyen de la faculté a lui-même admis en entrevue que les évaluations par mes étudiants étaient positives. A force de vouloir voir des problèmes, on en crée. A chacun de tirer ses conclusions sur la qualité du contenu et le sérieux du reportage diffusé par Radio-Canada sur la Biologie Totale.

2: Je trouve déplorable que les responsables de l’émission Enquête et Radio-Canada aient accepté d’être à la solde d’intérêts pour qui les mots mensonge et vérité sont manipulés comme des synonymes. L’outil, utilisé avec dextérité et expertise par des journalistes chevronnés, facilite la présentation de vérités comme des mensonges et de mensonges comme des vérités. La méthode est bien connue; elle existait déjà au temps de Kafka. Et pourtant, elle semble encore fonctionner très bien pour semer l’insécurité, la peur dans une population qui ne prend pas garde habituellement de filtrer l’information véhiculée par les médias. La méthode est particulièrement efficace quand on veut faire de la désinformation… sous le couvert d’une émission d’information.

3 : Tant qu’à chercher à semer la confusion dans la population, incluons la PNL dans le décor en insinuant une collusion avec la Biologie Totale. A ma connaissance, la PNL est un domaine propre de connaissances. La Biologie Totale également. Qu’il soit possible que les deux domaines soient utilisés en complémentarité m’apparait des plus plausible. Pourquoi alors y insinuer quelque chose de suspect? Est-il suspect, en cancérologie, de considérer que la chimiothérapie et la radiothérapie puissent agir en complémentarité? Je m’y connais dans le domaine et la réponse est non. Comment se fait-il que le mot complémentarité fasse peur quand vient le temps de l’étendre à la Biologie Totale? A chacun, encore une fois, de tenter de comprendre quelque chose de vraiment cohérent dans la position véhiculée par le reportage de Radio-Canada.

4: A ma connaissance, les collèges et universités du Québec ont encore le libre choix de gérer et de louer leurs salles à qui veut payer pour les utiliser. A moins que … un simple contrat de location soit devenu suspect et en arrive à être considéré comme une infiltration subversive. Que certaines institutions jugent qu’elles doivent corriger leur politique, cette décision leur appartient. Quels sont les intérêts derrière leur décision? De nouveau, je laisse à chacun tirer ses conclusions sur le « grave » danger que constitue la Biologie Totale pour les institutions de haut savoir de la société québécoise. Heureusement que Radio-Canada s’en occupe… Dieu merci!

5 : Comme dans tout domaine, des dérapages existent aussi en Biologie Totale et doivent être corrigés. Toutefois, à mon avis, la Biologie Totale a fait plus de bien que de tort. Pourquoi le reportage est-il aussi discret sur les aspects positifs? Il s’efforce plutôt de ridiculiser à répétition le concept et ses applications.

6: Enfin, lors d’une de ses nombreuses apparitions en ondes pour faire la publicité du reportage sur la Biologie Totale, Alain Gravel a comparé la qualité de l’émission à du « béton ». Il aurait dû savoir que dans la symbolique pourtant récente du béton au Québec, il s’agit d’un matériau qui se fissure, se désagrège et éventuellement s’écroule (référence à l’écroulement du viaduc de la Concorde). Puis-je vous suggérer, monsieur Gravel, de bien capter le message (subconscient si vous me permettez ce mot) derrière la symbolique que vous avez utilisée. Vous avez misé votre excellente réputation, votre longue carrière, les deux bétonnées, sur une émission dont la qualité sera en définitive jugée par la population. La structure va t-elle tenir? Ou bien s’écrouler?

Si l’idée vous convient, je vous invite à faire connaitre ce message à votre entourage.

Raymond Pageau



Progrès scientifiques en santé pour approfondir le sujet:

Les découvertes du Pr Bruce Lipton sur la détermination de l'épigénétique, c'est à dire de la pression des facteurs environnementaux, comportementaux et cognitifs sur la mutation de l'adn et donc sur la modification de la physiologie relègue la suprématie de l'adn au second plan devant la nécessité de répondre au vécu de l'organisme dans son milieu - qu'il soit végétal, animal ou humain.

Ces découvertes basées sur une nouvelle approche du mécanisme des protéines ont été sérieusement éprouvées depuis les années et pourtant peu diffusées . Elle ont cependant largement influencé le développement de la neurologie fonctionnelle et encore plus celui de la neurologie cognitive très en vogue mondialement, popularisée par le fameux dr David Servan Schreiber.

Cependant l'état actuel de ces découvertes de pointe en neurologie sont encore loin d'être réellement diffusées autant au sein des professionnels que du public.

Et pourtant... ces découvertes sont d'une importance capitale pour prétendre à un niveau de santé beaucoup plus élevé.

La neurologie est cette clé de voûte capable d'offrir une compréhension objective et un langage commun à toutes les disciplines médicales dont la psychiatrie et la psychologie, mais étendu aussi aux disciplines biologiques ainsi qu'aux approches complémentaires comme l'ostéopathie, la chiropraxie, la naturopathie, la psychothérapie, l'hypnose, la sophrologie, l'acuponcture, l'homéopathie, ainsi qu'aux approches ludique, sportive et de bien-être comme le yoga, la respiration, la méditation, le qi-qong et autres approches dites "énergétiques".

D'une rigueur nécessitant une grande connaissance anatomo-physiologique, la neurologie moderne est maintenant en mesure d'apporter une grande précision sur les compréhensions anciennement très nébuleuses et simplistes du stress et de ses conséquences psychosomatique et somato-psychique - fausses notions encore trop propagées de nos jours.

Trop de patients arrivent encore se faire soigner pour des maux non identifiables avec cette même étiquette savamment diagnostiqué par d'éminents spécialistes: c'est le stress ou c'est psychologique, c'est dans votre tête!

Il est navrant de constater que les découvertes de pointe mettent encore 10 à 20 ans pour être enseignée à la faculté, et de voir des praticiens fraîchement sortis de l'école avec déjà 20 ans de retard!
Quand à ceux ayant du métier, nombre d'entre eux sont au courant des dernières découvertes mais continuent d'appliquer la pratique qu'ils ont toujours connus à quelques variation prêt de nouveaux médicaments en vogue.

Or les progrès en neurologie sont de véritables révolutions médicales qui sont en train de créer un remue ménage sans précédent au sein de la profession, bien plus puissant que celui qui a opposé le collège des médecins aux médecines douces et à la lutte contre le charlatanisme.

Cette fois-ci le trouble viens de l'interne et cela c'est une première en médecine. Même Pasteur n'avais pas autant ébranlé les piliers des principes fondateurs de la médecine comme sont en train de le faire les chercheurs les plus chevronnés de la neurologie.

Pour exemple, la Dr Régine Zekry-Hurstel, célèbre neurologue toulousaine, animatrice émérite de prestigieux congrès internationaux les plus houleux de la neurologie, s'est vu décerné la seule médaille d'or de l'innovation jamais décernée en médecine pour l'invention d'un alphabet neurologique du langage permettant de retracer de nouveaux chemins à l'information dans le cerveau dans l'apprentissage ou la rééducation des troubles du langage. Sa compréhension inusité des "chemins anatomique de l'information dans le cerveau" lui permet de construire des outils informationnels ou simplement d'utiliser des formulations de langage capables de corriger des désordres neurologique et de maladies variés.

Ces compréhensions à la frontière du physiologique et du cognitif tendent à démontrer la puissance d'une information verbale et non verbale mais comportementale sur la réponse biologique d'un organisme vivant ( 90 % des messages passent entres les humains par des micro signaux non-verbaux) .

Dans le sillage de ce nouveau champ médical, une approches isolé et innovante est en train de détournées l'attention du débat qui se tient pourtant à l'intérieur même de l'arène médicale tout à fait officielle.
En effet, empreint d'une expérience empirique traumatisante suivie d'une recherche controversé, les travaux du Pr Hamer, maintenant largement diffusés à tout public sous le nom de "biologie totale" essentiellement par les Dr Sabbah et Attias, ont attiré les foudres médicales et détournés l'attention sur la préciosité des dernières découvertes en neurologie par de graves erreurs médicales opérées par des praticiens trop improvisés et non certifiés.

Et pourtant, si la diffusion débordent les institutions mises en place pour cela et si la mise en pratique hâtive de ces découvertes trouvent des imprécisions et des maladresses à corriger et à raffiner et il n'en reste pas moins que la découverte capitale d'informations non mécaniques et non chimiques capables de modifier la biologie sont en train de bouleverser complètement notre compréhension des lois de la matière et donc de la santé!

Cette polémique enclose au sein de la médecine explose au grand jours au travers du scandale de la biologie totale qui finalement masque les enjeux d'une mutation sans précédent dans le monde médical.

Cachée par un débat agressif accusant de charlatanisme, de danger public, d'assassinat involontaire dédié à un groupe hors collège des médecins, une immense vague pousse inexorablement les conceptions antiques de l'automatisation biologique réglable seulement par des "boutons-pressoir" médicamenteux vers une nouvelle page de la médecine qui s'ouvre désormais sur des compréhensions précises des modifications de la santé par des messages verbaux et comportementaux.

C'est une grande première qui, comme toute nouveauté, est sujette à faire de nombreux remous, trouver de nombreuses résistances et mettre du temps à s'inscrire dans les esprits et surtout dans une pratique rigoureuse, éthique et fiable.

Si la psychologie a résolument pris le partie de transcender la souffrance en "alchimisant" la douleur du vécu par des ressources intérieures, des processus de mutation utilisant la force psychique de l'individu, la neurologie moderne quant à elle propose d'informer le cerveau et d'enrichir l'encodage de l'adn de nouvelles données qui offrent des possibilités d'apprentissages identifiés neurologiquement comme non dangereuses pour la survie par l'organisme et permettant de sortir de la maladie.

Comment cela marche t'il?

1. Processus cognitif
Dans l'effet placebo, c'est bien la pensée qui, additionnée à un placebo n'ayant aucune valeur thérapeutique, permet de guérir significativement un individu.
La pensée fait partie du monde cognitif; elle est codée et signifiante selon sa nature.
Il existe cependant de nombreuses sources de signaux cognitifs tantôt universel (le symbole de la famille, du couple...) tantôt culturels (croyances des portes-bonheurs et malheurs, coutumes, repères religieux, éthiques, moraux, codes de conduite...)

2. Processus fonctionnels
L'apprentissage d'une "manière de faire", même peu performante est enregistrée neurologiquement comme suffisante et nécessaire si la survie est conservée. Ainsi les apprentissages prénataux et de l'enfance sont conservés comme de précieuses banques de données que le cerveau tend à reproduire sans cesse puisqu'elles sont synonymes d'efficaces - étant donné que l'on reste en vie - même si cela est souffrant pour le corps et paraît aberrant pour quelqu'un qui n'a pas les mêmes repères de survie.
Il suffit alors d'apprendre une nouvelle façon de faire les mêmes gestes dans un cadre sécurisé pour que le cerveau soit capable de les accepter, d'agrandir sa banque de données et de les adopter si l'ancrage est renforcé. Cet apprentissage est basé sur la tendance d'économie et d'efficacité du cerveau qui tend à opter pour l'optimisation d'une tâche estimée sécuritaire en compétition avec une ancienne façon de faire "moins économique neurologiquement".

Combinées, ces deux approches forment un outil thérapeutique d'une grande puissance qui ne passe pas par la transcendance psychologique, certes efficace, mais bel et bien par l'apprentissage de nouvelles significations et de nouveaux mode d'exécution.

Dès lors, il suffit de faire un bilan des disfonctions organiques caractérisant une maladie en considérant qu'elles répondent à un apprentissage lié à une histoire, c'est à dire à une mutation épigénétique pour survivre, en adaptation à des signifiants "universels et spécifiques à une culture et un vécu", le tout associé à des apprentissages de certains mode d'exécutions limitant certaines performances pour en déduire des nouvelle propositions cognitives et fonctionnelles capables d'élargir les repères signifiant de la personne en toute sécurité et lui proposer des modes de fonctionnement optimisés pour "mieux réussir" et mieux s'adapter aux défis qu'il relève.

Par exemple, si un enfant à grandit dans des "signifiants neurologiques" de rejet et des "modes de fonctionnement" basés sur une violence relationnelle entre ses parents, il va développer des hyper activités sécrétoires (rejet) et des hypertonies musculaires (violence) en réponse automatisée systématique aux épreuves difficiles de sa vie ou aux émotions heureuse qui, toute deux, sollicite une réponse extrême du système nerveux correspondant à ses apprentissages réflexes de fond. Ces réponses vont alors régulièrement apparaître lors de rappels provoquant des maladies selon les degrés d'intensité de stress éprouvés.
Il suffit alors d'apprendre au cerveau d'autre signifiant que le rejet et de lui apprendre d'autre mode de réponse que les contractures musculaires pour dissoudre les maladies que ces réponses engendrent.

Appliqué à plus vaste échelle, on peut envisager des programmes de santé basé sur l'enrichissement des signifiants neurologique par apprentissage, associé à la rééducation des modes de fonctionnement basique comme la station debout, la marche, la respiration, le regard, la parole, l'écoute, la communication... et espérer une remise en santé profonde et durable.
Bien sûr, alliée aux pouvoirs curatifs des médicaments, à l'assainissement des habitudes alimentaires, sanitaires et sociales nous allons vers un tout nouveau paysage de la santé beaucoup plus large et profond.


Voici la réaction de Sébastien Plante à l'émission d'enquête sur la biolobie totale:

Subject: mise au point importante sur la biologie totale
Date: Fri, 3 Oct 2008 14:57:58 -0400
Bonjour à tous,
Suite à la diffusion du reportage sur la biologie totale de Radio-Canada, voici le courriel intégral de ce que je leur ai fait parvenir. Il est très important que vous le lisiez jusqu'au bout et si vous en jugez la pertinence, transférez le à vos contacts pour rassurer les gens et remettre les choses en perspective. Cet article sera publié dans tous les sites pour lesquelles je suis chroniqueur officiel, dont Canoe et sera disponible en tout temps sur mon site internetwww.sebastienplante.com dans la section chronique.

Mise au point importante sur la biologie totale

Bonjour M. Alain Gravel,
Je suis Sébastien Plante. Je suis physiothérapeute et ostéopathe. Prenez SVP le temps de lire ce courriel jusqu'au bout car il sera publié sur tous les sites pour lesquels je suis chroniqueur officiel, dont Canoe. J'ai écouté votre reportage scandaleux à radio-Canada sur la biologie totale. Je trouve cela déplorable de faire une campagne de salissage comme vous venez de le faire. Cela démontre à quel point vous ne comprenez rien au fonctionnement du corps humain. Vous dites vouloir rencontrer des gens en biologie totale mais que ceux-ci refusent, alors appelez-moi et je me ferai un plaisir de vous rencontrer pour remettre les pendules à l'heure.

Tout d'abord, il y a toujours des risques de trouver des charlatans dans chaque profession où il n'y a pas d'ordre professionnel. La biologie totale ne fait pas exception. Mais il ne faut jamais juger une profession simplement en se basant sur les actes ou les paroles de quelques individus comme vous l'avez fait. Il existe des charlatans même au niveau des professions reconnues légalement par un Ordre professionnel. Mais vous ne vous attaquez jamais à un Ordre professionnel car l'Ordre a les moyens de vous poursuivre en justice pour propos diffamatoire alors qu'une profession sans Ordre est complètement sans défense. Évidemment, l'Ordre des médecins étant le plus riche et le plus puissant. Vous avez fait la même chose l'an passé avec les naturopathes en les faisant passer pour des charlatans. Saviez-vous qu'à cause de votre émission, l'Ordre des pharmaciens est en train d'évaluer la possibilité de retirer les naturopathes des pharmacies. Beau travail les gars ! Vaut bien mieux que les gens consomment n'importe quoi sans aucun conseil! Et ne vous leurrez pas, les gens continueront de consommer des produits naturels de toute façon et vous savez pourquoi ? Tout simplement parce que la médecine ne parvient pas à les aider.

Parlant de bêtises qu'à fait la biologie totale, pourquoi ne mentionnez-vous pas toutes les bêtises faites dans chaque profession ? Je pourrais vous en énumérer une tonne si vous manquez de ressources. Que dire des chiropracticiens qui prescrivent des traitements échelonnés sur un an en se basant simplement sur le résultat d'une une radiographie? Que dire des ristournes des professionnels versées entre eux lorsqu'ils se réfèrent des patients? Que dire des professionnels qui adhèrent à l'association des naturopathes pour émettre des reçus d'assurance alors que leur profession n'a rien à voir avec la naturopathie ? Que dire des dentistes qui font des plombages sans qu'il n'y ait de carie simplement pour se remplir les poches? Que dire des professionnels qui vendent des semelles à tous leurs patients pour la même raison financière? Que dire des patients qui reçoivent cinq diagnostics médicaux complètement différents pour les mêmes symptômes ? Où est la rigueur scientifique là-dedans ? Vous le demanderez au président de l'Ordre des médecins la prochaine fois que vous le passerez en entrevue. Je pourrais vous en apprendre pas mal plus que vous en savez en domaine de santé. J'ai moi-même fait mes propres expériences il y a 2 ans avant d'écrire mon premier livre best-seller « Vaincre la douleur et la maladie ». J'ai consulté en payant de ma poche différents professionnels en médecine alternative pour en voir de toutes les couleurs. J'ai fait ma propre enquête. Je me suis même fait envelopper dans du papier d'aluminium et je me suis fait passer du feu autour de moi ayant pour but de brûler mes mauvaises énergies. J'avais l'air d'une saucisse à hot dog! Attendez, je n'ai pas fini. J'ai pire encore parce que vous affirmez que la biologie totale est dangereuse! Avez-vous comptabilisé le nombre de décès en médecine traditionnelles à cause des effets secondaires de la médication ou parce que le médecin a prescrit une médication non adéquate ? On les comptes par milliers! C'est drôle que vous en parlé pas de cela ? Avez-vous interviewé des gens qui ont subi des interventions chirurgicales et qui sont restés paralysés à vie à cause d'une erreur médicale ? Si vous voulez des noms, je peux vous en fournir. Savez-vous qu'il y a des gens qui consultent régulièrement à l'hôpital pour des symptômes bénins mais qui y restent au prix de leur vie parce qu'ils ont attrapé une bactérie ou un virus une fois rendu à l'hôpital ? Est-ce que cela signifie que la médecine est mortelle ? Bien sûr que non car j'affirme toujours tout haut dans toutes les entrevues que je donne à la radio que nous bénéficions d'un des meilleurs systèmes de santé au monde. Cependant, il faut remettre les choses en perspective. Il meurt des gens à chaque jour et il en mourra toujours. Il est impossible de guérir tout le monde car la guérison appartient au patient et dépend de multiples facteurs. Donc, il y aura toujours des échecs et ce, dans chaque profession. Si vous ne présentez que ces cas d'échec, vous ne ferez de toute évidence pas bien paraître cette profession. Mais est-ce la réalité ? Si une personne me consulte en ostéopathie et qu'elle fait une crise de cœur sur ma table, est-ce vraiment de ma faute ? Elle l'aurait probablement faite de toute façon chez elle en mangeant sa soupe. Il est facile de blâmer quelqu'un et de le détruire et vous êtes expert dans le domaine. Voici un autre exemple : une jeune femme de 21 ans a récemment consulté un chiropracticien pour une douleur cervicale. Suite à une mauvaise manipulation, la patiente est décédée sur la table. Est-ce que vous allez affirmer que la chiropractie est mortelle ? Pourquoi l'avez-vous fait avec la biologie totale ? Croyez-vous sérieusement que le simple de fait de parler avec quelqu'un a plus d'effet secondaire que de consommer des médicaments qui pourraient tuer un cheval ? Donc, commencez par le lire mon premier livre car vous reprochez le manque de formations médicales de ceux qui assistent aux conférences alors que vous, les premiers, ne connaissez rien au corps humain.

Vous soulevez également dans votre reportage le manque de formation médicale des gens qui assistent aux conférences. Vous dites qu'il y a des garagistes, des informaticiens, … Saviez-vous que la majorité des gens qui assistent aux conférences le font simplement pour guérir de leur maladie et n'ont dans le but de devenir thérapeute. Ils le font simplement parce que la médecine n'a rien à leur offrir pour guérir !!! Vous ne le mentionnez pas non plus dans votre reportage. Êtes-vous certain d'être neutre lorsque vous présentez vos informations ?

Sachez que le corps humain est tellement complexe, qu'il n'existe aucun élément de certitude, même en médecine. La preuve en est que même avec les milliards de dollars qu'on leur fourni et avec toute l'avancée de la technologie médicale, la médecine n'a toujours aucune idée d'où provient le cancer. Les théories que l'on croyait vraies il y a quelques années seulement, comme la non-régénération des neurones du cerveau, ne le sont plus aujourd'hui. On connaît à peine 20% du fonctionnement du cerveau! Le problème est que l'on est incapable pour l'instant de mesurer avec exactitude l'effet des émotions sur le fonctionnement du corps humain et du cerveau. Lorsqu'on étudie les cellules isolées au microscope, même si ces cellules ont le même code génétique, elles ne fonctionnent plus de la même façon car elles sont coupées de toutes informations extérieures sensorielles, sensitives et émotives qui affectent les cellules. Donc, pour répondre à votre fameuse question, il n'existe aucune preuve scientifique valable pour appuyer la biologie totale sauf les milliers de résultats thérapeutiques. Ce n'est qu'une hypothèse mais cela ne veut pas dire qu'elle est moins valable que toute autre médecine puisque même la médecine échoue à ce niveau.

En ostéopathie, on enseigne qu'on peut sentir le mouvement des liquides dans le corps humain. Il n'y a rien qui soutient cela au niveau scientifique et c'est à mon avis carrément farfelu mais vous seriez impressionné de constater les bienfaits considérables que les ostéopathes peuvent apporter dans la vie de quelqu'un qui souffrait de douleur chronique alors que la médecine n'avait rien a lui offrir. Lorsque les résultats sont présents, même si la théorie est parfois difficile à expliquer d'un point de vie scientifique, c'est tout de même important de prendre en considération qu'il y a quelque chose qui fonctionne et à comprendre. Ça serait un bon sujet pour votre prochaine enquête car il se fait parfois n'importe quoi en ostéopathie, tout comme toutes les professions d'ailleurs. Est-ce que cela veut dire que l'ostéopathie est malsaine ? Dans ce cas, demandez à tous les médecins pourquoi ils réfèrent de plus en plus souvent en ostéopathie. Comment se fait-il alors que je traite chaque semaine des cas de douleur chronique qui trainent dans le système médical alors que personne ne parvienne à les aider. Pourquoi mon horaire est plein à craquer avec plus de 6 mois d'attente alors que la publicité ne se fait que de bouche à oreille. Parce que j'ai des résultats, voilà. !! Peu importe l'approche que vous choisirez, l'important n'est que d'avoir un résultat. Il n'y a pas de médecine meilleure que d'autres. Il n'y a que la médecine dont le patient a besoin selon ses croyances et le moment où il est rendu dans sa vie

Alors, parlant de résultats avec les maladies chroniques et même incurables, la biologie totale a largement fait ses preuves. Si vous voulez des exemples, je vous en fournirai à la tonne. J'ai moi-même guérit de tous mes problèmes en biologie totale alors que les médecins ont tout essayé pour m'aider mais sans vain. J'ai été charcuté plus qu'à mon tour mais malheureusement, pas de résultat. Si je m'étais tiré une balle dans la tête tellement je souffrais et que la médecine ne parvenait pas à m'aider, auriez-vous accusé la médecine de cause à mon décès? Il y a des milliers de gens qui se suicident parce qu'ils souffrent sans espoir. Sachez que les gens qui pratiquent bien la biologie totale le font pas désir humain d'aider son prochain. Je suis loin d'être convaincu que cela être votre but. Je pourrai vous fournir des centaines de patients qui détruiraient l'image de la médecine selon leur expérience vécue. Il est très facile de détruire quelqu'un ou quelque chose lorsqu'on a seulement une version des faits. Pourtant, n'étant même pas thérapeute en biologie totale, j'ai dû me rendre à ces évidences par l'observation clinique que je fais chaque jour. Aujourd'hui, j'adhère fermement à cette hypothèse car le mental et le stress ont beaucoup a joué dans le développement de symptômes physiques et vous ne pouvez pas nier ce fait à moins d'être complètement ignorant. Mes patients guérissent alors qu'ils ont échoués ailleurs parce que je leur parle tout en les traitant. En dénigrant l'importance de solutionner nos conflits psychologiques pour guérir de nos souffrances, vous venez d'insinuer indirectement que le rôle des psychologues et des psychothérapeutes n'a pas sa place dans notre société, ce qui est un non sens. Vous avez fait de la manipulation d'informations.

Sachez également que plus on en apprend sur le corps humain, plus on se rend compte qu'on ne connaît rien. J'ai plus de 12 ans d'études acharnées et je continue à en apprendre chaque jour. Donc, il y a plein de grands spécialistes qui croient connaître des choses alors qu'ils ne connaissent rien. Lorsqu'on traite un individu, il faut toujours s'attarder à toutes les sphères qui touchent chaque individu. C'est-à-dire, les sphères physique, émotionnelle, nutritionnelle, génétique et environnementale. Il y a toujours une interaction de ces cinq sphères. Pour traiter adéquatement quelqu'un, il faut toujours se soucier de ces cinq sphères. Mais cela ne se fait pas en cinq minutes et comme les médecins sont surchargés et n'ont pas le temps nécessaire pour aborder toutes ces sphères, c'est au patient à se prendre en charge. Faut-il tout de même qu'on leur donne les bonnes informations. Les gens sont malheureusement très vulnérables face à tout ce qu'on leur dit et n'ont pas les connaissances suffisantes pour porter un jugement éclairé. Si les gens avaient plus de connaissances et de conscience, ils agiraient différemment. Si c'était votre cas, vous n'auriez jamais présenté à la population naïve une telle émission totale incomplète et mensongère. Aujourd'hui, nous vivons dans une ère de désinformation. Il se dit et se publie n'importe quoi. Même dans le journal de Montréal, les chroniques santés sont parfois bourrées de mensonges. Il faut savoir faire du discernement et là, vous avez complètement échoué. C'est normal d'opposer de la résistance lorsque des propos bouleversent nos croyances. Mais prenez le temps nécessaire de vous renseigner avant de porter un jugement préconçu. Ne considérez jamais un diagnostic médical comme une finalité mais simplement comme un point de départ dans la recherche de solutions. N'existe t-il pas un acte plus honorable que de d'aider quelqu'un à guérir alors que ce dernier était condamné à mourir par la médecine. Là encore, si vous avez besoin de preuves et de noms, je vous en fournirai.


La faiblesse de la médecine est qu'elle n'investigue que la sphère physique. Elle passe tous les tests médicaux inimaginables dans le but de trouver une structure mécanique en cause pouvant expliquer les symptômes du patient. Mais cela donne des millions d'échecs thérapeutiques. Pourquoi croyez-vous que les gens se tournent vers les médecines alternatives ? Parce qu'ils ont déjà essayé les médecines traditionnelles avec comme résultat, un échec total. C'est pour cette raison uniquement qu'il y a une ruée massive des gens vers les médecines parallèles. Si la médecine était si efficace, nous ne serions même pas en train de s'expliquer tout cela. Les gens n'ont donc pas d'autres choix que de continuer à chercher une solution, sinon, qui les aidera? C'est donc les insuccès de la médecine traditionnelle qui crée tant de diversité en médecine parallèle. La médecine vend l'espoir aux gens qu'un jour, elle trouvera un remède miracle qui guérira tous les maux! Mais malgré les milliards de dollars amassés dans différentes fondations des pauvres gens qui souffrent mais qui espèrent guérir, la médecine échoue toujours. Si vous saviez où vas toute cet argent, vous seriez peut-être moins enclin à donner. Il meurt à tous les jours des gens qui souffrent de cancer et qui ont suivi à la lettre les recommandations de leur médecin avec la chimiothérapie. Vous n'en parler pas de ça non plus. Vous diffusez ce que vous voulez diffuser pour semer la controverse et augmenter vos cotes d'écoute!

Les résultats ne sont donc pas différents en biologie totale. Certains échouent leur traitement alors que d'autres réussissent. Par contre, la faiblesse de la biologie totale est qu'elle ne considère que la sphère émotionnelle sans tenir compte des autres sphères. Il n'y a pas que la biologie dans la vie. Oui ça existe des virus et des bactéries mais il y a toujours une interaction de toutes ces sphères et il est grand temps que la population ait les informations justes. La sphère émotionnelle demeure tout de même la plus importante et le rôle de la médecine devrait justement être d'informer les gens qu'ils ont toujours une démarche parallèle à suivre conjointement à leur traitement médical pour mettre toutes les chances de leur côté de guérir. Cela veut dire que les gens doivent faire le ménage de ce qu'ils mangent et solutionner leurs conflits psychologiques. Le patient a un rôle actif dans ce processus de guérison. La biologie totale n'a jamais enseigné que le patient devrait cesser son traitement médical, bien au contraire. Il faut que le patient consulte pour contrôler ses symptômes avec une médication adéquate tout en réglant la source du problème. Il faut la comprendre en totalité la biologie pour pouvoir bien l'appliquer, d'où le nom biologie totale. Ce n'est pas en suivant un petit cours de fin de semaine qu'on devient thérapeute en biologie totale.

Je n'ai rien à prouver à personne. Cependant, je désire que les gens soient bien informés avant de faire leur propre jugement. Soyez conscients du tord considérable que vous venez de créer à d'honnête gens qui essaient simplement d'en aider d'autres. Mais soyez sans crainte, la Vérité est toujours plus forte que le mensonge. Donc, la biologie totale continuera de se pratiquer parce qu'elle a réussi dans des milliers de cas là où la médecine a échoué.

Ayez le courage de lire mon courriel lors de votre prochaine émission ou au minimum, de référer les gens sur mon site internet www.sebastienplante.com car cet article sera publié dans mes chroniques et sur tous les sites auxquels je suis chroniqueur officiel. Je prendrai soin de bien informer les gens; tâche que vous ne maîtrisez pas encore. Désolé pour votre incompétence!
J'attends de vos nouvelles avec impatience.

P.S. Prenez le temps de lire attentivement mon prochain livre « La Vérité en face » qui sera disponible dans toutes les librairies à compter du 20 octobre 2008 car je parle justement de cette médecine que vous nommée « mortelle ». Pour ceux et celles qui restent bornés malgré tout, voici un proverbe qui m'a été enseigné par une personne que je respecte énormément : « Vaut mieux mourir incompris que passez sa vie à s'expliquer ».

Bonne santé à tous
Sébastien Plante, pht, D.O.
www.sebastienplante.com

Témoignage de Michèle Clément:

Le 6 octobre 2008
À l’intention de M. Alain Gravel, animateur, Émission «Enquête», Société Radio-Canada
Sujet : Témoignage à M. Alain Gravel

M. Gravel,

J’ai écouté l’émission Enquête avec un grand intérêt et je reconnais qu’il vous a fallu vous investir pour produire cette émission. Au cours de l’émission Enquête du 2 octobre, vous avez mis l’accent à dénoncer, d’un côté cela m’a attristée et d’un autre côté, je reconnais que vous offrez une opportunité à qui voudra en profiter de revoir sa pratique professionnelle et par le fait même, hausser la qualité de cette pratique.

En même temps, je me suis demandée qu’elle était votre intention de départ ?

Consultante dans les entreprises depuis plus de 20 ans, j’ai découvert la Biologie Totale et le Dr Claude Sabbah, il y a presque 10 ans déjà. Mon intention depuis le début (1999) était de trouver et d’acquérir des connaissances. Des connaissances nouvelles pour moi, compréhensibles, sérieuses, valables et transférables dans d’autres domaines de la vie aussi bien personnelle que professionnelle ainsi que dans les entreprises. Et c’est ce que j’ai trouvé. Et vous M. Gravel, vous et votre équipe, quelle était votre intention de départ ?

L’enseignement que j’ai reçu, était transmis avec un grand désir d’informer, de rendre autonome et en plus, pour ceux et celles qui étaient souffrant de leur donner l’opportunité de trouver des réponses, des pistes de solutions, une compréhension des liens de cause à effet qui expliquent l’origine des maladies. Certains se sont auto-guéris. J’ai été témoin de guérisons parfois instantanées et souvent à plus long terme.

J’ai été grandement impressionnée par la qualité du contenu des propos du Dr Sabbah, des propos qui avaient du sens. Je me suis souvent demandé : Comment il se fait qu’une information aussi importante, aussi pointue soit ignorée de ceux qui soignent officiellement, de ceux qui ont le pouvoir de changer des choses ? Je n’ai pas trouvé de réponses. Et vous, vous êtes-vous déjà posé la question ? Qu’en pensez-vous ?

En assistant à une partie de la formation donnée par le Dr Claude Sabbah, vous et votre équipe avez-vous pu identifier l’intention derrière les propos du Dr Claude Sabbah ? En fait, son grand rêve, c’est aussi le message qu’il transmettait dans mon temps et qui est : Que les gens peuvent guérir même des maladies réputées les plus graves, puisque maintenant on a le mécanisme qui est le même pour tous, qui est unique, la seule différence entre les maladies, c’est la différence d’exécution. Les programmes sont les mêmes pour tous. De savoir que tout peut guérir, c’est la concrétisation du rêve. Vos propos sont loin du grand rêve que nous a partagé le Dr Claude Sabbah, pourquoi ?

J’ai fait partie d’un petit groupe, nous étions 5 qui avons cru au sérieux des enseignements du Dr Claude Sabbah et qui ont investi temps (quelques années) et énergie, pour mettre en place, les bases de l’Institut canadien de Biologie Totale. Nous avons voulu assurer un environnement propice à ce qu’une éthique entoure les activités des conseillers et conseillères en Biologie Totale.

Année après année, j’ai appris à comprendre, à intégrer puis à appliquer ces connaissances (tout en m’en tenant à mes compétences) d’abord avec moi, puis avec les miens et par la suite avec mes clients. En ignorant ou taisant la contribution du Dr Claude Sabbah et de la Biologie Totale, vous démontrez votre intention qui est autre que de bien informer vos téléspectateurs. Vous devez savoir à quel point, ceux-ci sont sensibles à vos propos. Au fait, le saviez-vous ? Si oui, pourquoi avoir agi ainsi ?

Quand vous avez parlé de la Médecine Nouvelle, vous avez omis de mentionner que le Dr Hamer enseignait la Médecine Nouvelle qu’à des médecins officiels, seulement à eux. Il leur apprenait à appliquer cinq lois biologiques fondamentales, au lieu de s’appuyer sur des hypothèses. Il proposait une compréhension nouvelle de la médecine. Vous avez aussi omis de mentionner que dans la Médecine Nouvelle, tous les cas relèvent des 5 lois biologiques. Le saviez-vous ? Pourquoi avoir omis de le mentionner, si votre intention est d’informer vos téléspectateurs ?

Vous titrez votre documentaire ainsi : LE CANCER NE TUE PAS. IL EST LA GUÉRISON.

Vous avez omis de mentionner le sens du mot CANCER pour ces enseignants. Dans le contexte de ces enseignements, le mot CANCER est utilisé pour parler de toutes les maladies, puisqu’une maladie est une phase de conflit (actif ou solutionné) et non pour faire peur. En mettant l’accent sur le mot CANCER comme vous l’avez présenté quel impact souhaitiez-vous obtenir chez les téléspectateurs ? Vous devez savoir comment est nourrit la peur du cancer dans la population ? Si vous le savez, quelle était votre intention ?

Dans le cadre de l’émission, vous avez aussi omis de clarifier le sens du mot GUÉRISON. J’ai appris au cours des années, dans ces formations, que le mot juste était PHASE DE RÉPARATION et non GUÉRISON. Pourquoi cette omission ?

Vous avez omis de parler de ceux et celles qui se sont auto-guéris avec l’aide de la Biologie Totale. Certaines de ces personnes ont écrit des livres sur le sujet. Ces personnes habitent au Québec et leurs livres ont aussi été publiés ici même. Pourquoi ne pas les avoir contactées ?

Vous avez omis de parler du précieux qui est là au cours d’une rencontre en Biologie Totale entre un(e) conseillèr(e) et son client. Il est évident que je ne peux témoigner à la place de mes clients, par contre, je peux vous partager mon expérience, des exemples de situations que j’ai rencontré :

1. Mme Denise (nom fictif) reçoit un diagnostic de cancer, elle est hospitalisée pour des traitements et par la suite, son médecin lui annonce : Nous ne pouvons plus rien faire pour vous. Retournez chez vous, il ne vous reste que 2 semaines à vivre. La famille m’a appelée en dernier recours. Denise a vécu quelques semaines de plus et avec l’aide de la Biologie Totale, elle a pu faire la paix avec sa vie.
2. Suite à une première séance, la personne a compris son fonctionnement et une semaine plus tard, l’état dépressif l’avait quittée.
3. D’autres résolvent une situation qui faisait obstacle à être embauché dans un poste de gestion.
4. Des enfants sortent du cercle vicieux des échecs scolaires et récupèrent leur retard.
5. Des adolescents et de jeunes adultes reprennent goût à leur vie.
6. Certaines personnes disent retrouver la confiance en eux, le courage de regarder leur vie en face et l’énergie pour agir de façon plus juste dans le respect de leur environnement social.
7. La plupart des personnes disent repartir plus conscientes de leurs agirs limitant, ayant trouver des pistes de solution et des moyens d’appliquer ces solutions dans leur quotidien. Et surtout, ils reconnaissent être en paix, une paix qui dure au-delà de la séance de consultation.

La Biologie Totale s’intègre dans un mode de vie. Les connaissances s’appliquent à la vie quotidienne aussi bien à la maison (dans le couple, avec les enfants, avec la famille) qu’au travail (employés, gestionnaires et chefs d’entreprise) et même en voyage. En 2007, pour souligner mes 60 ans, je suis partie pour l’Inde. Mon voyage a duré 4 mois : 2 semaines avec un groupe et pour la suite, en solitaire pour 3 ½ mois. J’avais deux buts : 1. Découvrir l’Inde et les indiens dans leur quotidien. 2. Y déposer ma vie, la regarder, identifier le sens donné dans le temps, épurer les mémoires souffrantes, limitantes et commencer à mettre en place un nouveau futur pour le retour. J’ai réussi. Au cours de ce voyage, j’ai même pu aider quelques personnes à comprendre ce qui les déstabilisait à ce moment-là, dont un jeune militaire d’Israël qui s’est auto-guéris d’une intolérance au lactose avec médication.

Michèle Clément,
1ère présidente de l’Institut canadienne de Biologie Totale, Récréologue, Conseillère en Biologie Totale, Coach en gestion, www.micheleclement.ca









mardi, 01 avril 2008

Des progrés capitaux en médecine congnitive

Voici des nouvelles étonnantes en médecine moderne:

Bonjour!

J'aimerais tout d'abord remercier Pierre-André, un participant de cette liste de distribution, qui vous offre "Le langage de la guérison : histoire d'une révolution scientifique dans le domaine de la médecine" écrit par Jean-Jacques Crevecoeur : http://www.erichamel.com/custom18.html

Saviez-vous que le docteur Hamer avec son approche sur le cancer a un taux de survie de 95% sur plus de 5 ans comparé à la moyenne nationale en Allemagne qui est de 30%?!

Ce reportage vous apportera une vision différente des maladies, qui se rapproche énormément des informations que je vous offre : à savoir que la maladie (Le mal-a-dit) est un signe qu'il faut décoder et comprendre, et que ça s'inscrit tout à fait dans l'apprentissage de l'amour de soi.

Jean-Jacques Crevecoeur y présente quelques approches de la Médecine Nouvelle du docteur Hamer ainsi que de la Biologie Total du docteur Claude Sabbah.

WOW! Quelle belle vulgarisation de la part de Crevecoeur!

Puisque nous parlons de cancer, j'aimerais ajouter que le Docteur Simoncini en Italie a fait des découvertes très intéressantes. Il est en mesure d'éliminer le cancer à l'aide d'un traitement des plus simples en seulement 4 jours! Avec du bicarbonate de soude, et oui... de la petite vache!

Le Docteur Simoncini dit que tous les types de cancers sont en fait, une seule et même chose : un fongus appelé le Candidat et il est toujours blanc.

Pour le site web du Docteur Simoncini :
http://www.cancerfungus.com/simoncini-cancer-champignon.php#

Pour voir le vidéo avec le sous-titrage en français :
http://www.cancer-fungus.com/sub-v1fr/sub-fr.html

Vous pouvez voir aussi son site en anglais qui contient beaucoup plus d'information :
http://www.curenaturalicancro.com/

En sachant qu'un fongus est un champignon, et en lisant le reportage de Crevecoeur plus haut, vous serez en mesure de faire des liens entre ces deux informations.

En terminant, j'aimerais remercier également Dany Papineau pour m'avoir transmis une page web sur l'utilisation de citron et de bicarbonate de soude comme cure dans le cas de cancer.

La page est en anglais :
http://people.tribe.net/heatherlsalmon/blog?topicid=6c1243de-589a-4b32-8cf3-e2fb172ce7b0

Amour et Lumière!

Eric Hamel 514.905.6160

Le langage de la guérison : histoire d’une révolution scientifique dans le domaine de la médecine ©

de Jean-Jacques CREVECOEUR



"Il a obtenu le prix du meilleur mémoire belge de physique, en 1984, ainsi qu’une bourse de recherche pour accomplir un doctorat en physique quantique. Il est également philosophe et s’est spécialisé dans l’étude critique du fonctionnement des sciences, en particulier l’épistémologie de la médecine.
Grand connaisseur des principes de l’homéopathie, de l’ostéopathie, de l’acupuncture, de la médecine chinoise,
de la Médecine Nouvelle de Hamer et de la Biologie Totale de Claude Sabbah, (...)"
(« La physique quantique serait-elle l'avenir de la médecine ? »)


Jean-Jacques Crèvecoeur a fait parvenir, le 22 décembre 2000 sur le forum de pansémiotique-psychosomatique (sur Yahoo Groupes) la première version, plus courte, de l’article qui suit. Il l’avait rédigé pour en faire la communication au colloque « Science et Conscience » à Annecy (mai 2000).

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" « Il est plus facile de désintégrer un atome que de changer une croyance » disait Einstein. En effet, tout individu a tendance à consacrer plus ou moins d’énergie à résister au changement et à la nouveauté, on le sait depuis longtemps. C’est valable pour les individus. Ce l’est encore davantage pour le monde scientifique, qui ne pourra jamais accueillir les nouvelles théories, car celles-ci représenteront toujours une perte de pouvoir, d’argent et de prestige pour ceux qui s’y sont installés.

Quand j’ai entamé mes études en sciences physiques, j’étais convaincu que j’allais rejoindre la cohorte glorieuse de ces hommes et ces femmes qui consacrent toute leur vie à la recherche désintéressée de la vérité et de la connaissance, dans le but d’apporter le bien-être à l’Humanité toute entière. Je pensais, à l’époque, que la démarche scientifique se fondait uniquement sur des faits objectifs et recherchait inlassablement à établir des liens observables de cause à effet entre différents facteurs. Je croyais aussi que l’attitude des chercheurs se caractériserait par l’ouverture, le dialogue, la remise en question permanente des hypothèses, l’acceptation de la confrontation des opinions. Après y avoir consacré 5 ans de ma vie, je décidai de quitter ce monde. Heureux d’avoir été formé de manière rigoureuse et critique par des enseignants exceptionnels. Déçu de l’intolérance, de la fermeture, des fraudes, de la course aux publications, de l’asservissement des scientifiques à l’égard de leurs pourvoyeurs de fonds. Je ne me doutais pas, alors, que la bagarre était encore plus impitoyable et violente dans le monde médical, censé être au service de la vie et de la santé.

J’ai entamé alors un cursus de formation en philosophie générale (après l’interruption de mon doctorat en sciences), tout en étant chercheur en pédagogie pendant deux ans. À cette époque, en 1984, j’ai commencé à m’intéresser à l’épistémologie de la médecine, c’est-à-dire à l’étude critique du fonctionnement de la médecine, de ses postulats, de ses modes de raisonnement. C’est ainsi que progressivement, je me suis familiarisé à toute sorte de pensées médicales, depuis la médecine scientifique jusqu’à la médecine chinoise, en passant par toute une série de thérapies qualifiées très injustement de « parallèles ».

En tant que scientifique, philosophe et pédagogue, j’ai utilisé les outils qui m’avaient été transmis pour faire des liens, pour vérifier la cohérence des démarches et des discours, mais surtout, j’en ai testé pas mal sur moi-même, devenant ainsi à la fois le cobaye observé et le chercheur-observateur. Ma conclusion : nous sommes en train de vivre en médecine une révolution de la même ampleur que celle qu’a connue la physique avec Copernic, Kepler et Galilée, au XVIème siècle. Et à l’instar de ces astronomes et mathématiciens, les pionniers de cette nouvelle approche de la santé et de la maladie connaissent, eux aussi, les pires ennuis, les pires accusations et les pires menaces.


Pourquoi la médecine est-elle dans une impasse ?

Au début des années 1980, mes conversations privées avec des collègues chercheurs dans le domaine de la médecine et de la biologie m’avaient déjà mis la puce à l’oreille. « En médecine, nous sommes dans une impasse. Nous le savons depuis quelques années, et nous ne savons pas dans quel sens orienter nos recherches. » Ces propos concernaient l’ensemble de la recherche médicale, et pas un seul petit secteur isolé, malheureusement. Ces confidences « off record », personne n’osait les faire en public, ni dans les congrès scientifiques, de peur de se voir immédiatement privé des subventions indispensables pour poursuivre les travaux du laboratoire.

Ainsi, à l’époque, je disposais d’informations très parcellaires à propos du désarroi dans lequel se trouvaient les chercheurs en médecine et en biologie. Mais je ne comprenais pas pourquoi ils se trouvaient dans une impasse. Je découvrais aussi, par la même occasion, l’absence quasi totale de liberté de penser, de chercher et de parler à laquelle la plupart des scientifiques étaient (et sont) soumis. Ainsi, ceux qui étaient censés incarner tous les espoirs de l’Humanité m’apparaissaient subitement comme les prolétaires soumis et apeurés à la solde et à la merci d’un complexe industriel médico-pharmaceutique qui décidait non pas de ce qui était vrai ou bon pour la santé des individus, mais de ce qui devait être produit et légitimé scientifiquement pour accroître leurs bénéfices colossaux.

Entre-temps, de nombreuses statistiques venaient prouver ce que mes collègues chercheurs m’annonçaient déjà. Entre 1970 et 1990, on a observé qu’on contracte des maladies graves (cardio-vasculaires, cancéreuses, dégénératives, auto-immunes, etc.) cinq ans plus jeune qu’avant (statistiquement). L’incidence (le taux annuel d’apparition) de certaines maladies a été multipliée par un facteur compris entre 3 et 10, sur la même période. Aucun véritable remède n’a été trouvé contre le cancer, le SIDA, la sclérose en plaques. Les allergies ont littéralement explosé en 20 ans. La plupart des antibiotiques deviennent inefficaces face à une résistance accrue des bactéries qui se seraient adaptées ! Les vaccins sont de plus en plus controversés, non seulement à cause de leurs effets secondaires, mais surtout à cause d’une efficacité de plus en plus hypothétique (au vu des statistiques malheureusement dissimulées aux yeux du grand public). Malgré des dépenses de santé en nette croissance, la qualité de vie et de santé des individus s’est détériorée dans les pays occidentaux.

Depuis cette époque, mes nombreuses lectures, mes conversations avec toutes sortes de thérapeutes, mes expériences personnelles m’ont fait comprendre pourquoi la médecine, telle qu’elle est conçue aujourd’hui, est non seulement dans l’impasse, mais aussi dans l’erreur. J’ai même compris que c’est la méthode utilisée par la médecine qui est à l’origine de cette aggravation collective de la situation sanitaire sur la planète. Nous sommes donc loin du conseil que donnait Hippocrate à ses disciples : « Primum, non nocere (Avant tout, ne pas nuire) »…

Pour comprendre cela, examinons quels pourraient être les fondements de la pensée médicale moderne ? On pourrait les résumer ainsi :
1. la maladie existe, c’est une fatalité qu’il faut éradiquer ;
2. la maladie est caractérisée par des symptômes morbides (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.) ;
3. guérir une maladie consiste à supprimer, le plus rapidement possible, tous ces symptômes morbides, au moyen d’un arsenal de médicaments ;
4. la maladie est essentiellement une réalité physique qui affecte un organe particulier du corps physique, considéré comme une mécanique bio-physico-chimique qui peut se dérégler ;
5. beaucoup de maladies sont provoquées par des agents pathogènes (microbes, champignons, bactéries, virus), des agents cancérigènes ou des agents allergènes. Il faut donc éviter tout contact avec ces agents (dans ce cas, on fait de la prévention). Si ça n’a pas été possible, on tentera d’écarter ou de supprimer ces agents (on fait alors du curatif) ;
6. certaines autres maladies ont une origine génétique et se transmettent de génération en génération. On appelle cela l’hérédité ;
7. si tout l’arsenal curatif se révèle impuissant ou inefficace, il conviendra alors de supprimer l’organe atteint par la maladie, pour permettre au patient de survivre.

Les épistémologues appellent ce genre d’énumération les postulats de base d’une théorie ou d’une pratique. Tout au long de cet article, je confronterai ceux-ci à une vérification de cohérence interne ainsi qu’aux observations existantes mais souvent niées par les chercheurs…

La maladie n’est plus ce qu’elle était

Et si la réalité était toute différente ? Et si les apparences étaient trompeuses ? Et si on inversait les postulats, serait-il possible de mieux expliquer les résultats des nombreuses approches « parallèles » dont bénéficient des millions de patients, mais sans être reconnues par la Médecine scientifique officielle ?

Je vous invite à explorer avec moi ce retournement de perspective et à l’accepter comme une hypothèse de travail, de réflexion et de recherche, non comme une vérité définitive. Et si certaines de mes intuitions met quelque chose en résonance chez vous, je vous inviterai à approfondir votre recherche à la suite de cet article. Amusons-nous, donc, à réécrire les postulats classiques de ma médecine…

Nouveau postulat n° 1 : La maladie n’existe pas, ce n’est pas une fatalité et il ne faut pas nécessairement l’éradiquer.

Selon de nombreuses conceptions traditionnelles, la maladie n’existe pas. Seul le malade existe et doit faire l’objet d’une attention de la part du médecin, du guérisseur ou du thérapeute. De plus, nous le prouverons plus loin, la « maladie » est le signe d’un déséquilibre qui résulte, la plupart du temps, de comportements conscients ou inconscients de la part du malade ; ce n’est donc pas une fatalité (sauf si l’on considère que l’inconscience est une fatalité).

Par ailleurs, selon ces conceptions, les symptômes sont les indicateurs visibles d’un déséquilibre physique ou psychique, qui lui, est invisible. Les symptômes ne sont donc pas ce déséquilibre lui-même. Pour comprendre cela, prenons une première métaphore. Comparons notre corps (véhicule physique) avec une voiture (véhicule automobile). Quand il manque de l’eau dans le radiateur ou de l’huile dans le moteur, cela ne se voit pas immédiatement. Pourtant, le déséquilibre est déjà bien là, mais silencieux, invisible. C’est ce que nous appellerons la vraie maladie. Au moment où la surchauffe du moteur devient trop grande, certaines pièces (prévues pour cela), vont casser (soupape, durit, etc.), libérant instantanément beaucoup de vapeur ! C’est à ce moment-là que les choses se manifestent, deviennent visibles. Ça, ce sont les symptômes. Ainsi, cette évacuation de vapeur n’est en aucun cas la maladie de la voiture : il s’agit du processus mis en place (selon les lois de la physique) pour permettre à la sur-pression de disparaître, pour revenir à l’équilibre et à la normalité.

Pour éviter d’en arriver là, les constructeurs automobiles ont inventé un autre dispositif : ce sont les voyants lumineux placés sur le tableau de bord. Dès qu’un besoin fondamental risque de ne plus être assuré, respecté ou satisfait, l’ampoule s’allume invitant le conducteur à s’interroger sur la situation et à y remédier. Quand cela se passe, que diriez-vous d’un garagiste qui vous conseillerait de dévisser — ou de casser — l’ampoule allumée ?

C’est pourtant ce que fait la médecine scientifique, depuis des décennies : par définition, les symptômes sont mauvais et doivent être supprimés. Mais pourquoi faudrait-il donc systématiquement les éradiquer, alors que si l’on parvient à s’interroger sur le sens du message envoyé, si l’on identifie ce qui a causé ce déséquilibre et si on rétablit l’harmonie initiale, l’indicateur devrait s’éteindre de lui-même ?

Ainsi, si vous changez votre regard sur les symptômes, si vous les voyez comme des alliés qui vous apportent des informations précieuses (à décoder), vous ne confondrez plus jamais la maladie (déséquilibre silencieux) et son processus de guérison (les symptômes qui se manifestent parfois bruyamment).


Nouveau postulat n° 2 : Lorsque des symptômes apparaissent (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.), c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

J’ai retrouvé cette conception aussi bien dans l’homéopathie, dans l’acupuncture, dans l’ostéopathie, mais aussi dans la Médecine Nouvelle du docteur Ryke Geerd Hamer (Allemagne), dans la Biologie Totale des Êtres Vivants du docteur Claude Sabbah (France) et dans d’autres approches encore.

Pour comprendre cela, prenons une deuxième métaphore toute simple. Comparons notre corps (vivant) à une maison (habitée). La vie domestique produit normalement son lot de déchets quotidiens. Imaginons qu’une loi municipale vous interdise de sortir vos poubelles sur le trottoir jusqu’à nouvel ordre. Vous décidez alors de les stocker dans un local. Après quelques semaines, l’interdiction n’étant toujours pas levée, un deuxième, puis un troisième local sont affectés par les détritus, provoquant une odeur de plus en plus insupportable à l’intérieur de la maison. À ce stade, on peut dire que votre maison a perdu son équilibre, son harmonie : elle est infectée et empoisonnée.

N’y tenant plus, imaginons que vous décidiez de sortir vos poubelles, malgré l’interdiction. En faisant cela, vous manifestez votre volonté de rétablir et de retrouver un équilibre domestique à plus ou moins brève échéance. Vous vous rapprochez donc d’une maison à nouveau saine, en santé… Mais vos voisins ou la police municipale ne le verront pas du tout de cet œil : rapidement, des personnes interviendront pour non seulement refouler les poubelles à l’intérieur, mais en plus, pour clouer quelques planches sur les portes et les fenêtres du rez-de-chaussée, pour vous décourager d’une éventuelle récidive.

Ainsi, pour revenir au corps, lorsque le déséquilibre s’installe progressivement à l’intérieur de nous-mêmes (incubation de l’infection, accumulation de toxines, développement d’une tumeur, dégénérescence d’un organe, d’un muscle ou du sang, etc.), la maladie est silencieuse, indolore, asymptomatique. Les chinois parlent de maladie froide…

En revanche, lorsque le corps « décide » (nous verrons pourquoi plus loin) de rétablir son équilibre, il va chercher à se débarrasser de l’infection ou des toxines, à désagréger la tumeur ou à réparer l’organe, le muscle ou le sang atteints. Dans ce cas, le corps sort ses poubelles (fièvre, boutons, éruptions, etc.). La maladie se met à parler, les douleurs apparaissent, les symptômes se manifestent. Les chinois parlent de maladie chaude… Ainsi, lorsque les symptômes apparaissent, c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

Ce qui est surprenant et déroutant dans cette vision des choses, c’est que ce que nous appelons « être malade » devrait être presque toujours interprété comme le début de la guérison. Or, nous faisons l’inverse.


Nouveau postulat n° 3 : Guérir une maladie consiste à écouter les symptômes morbides comme les indicateurs du chemin à suivre pour guérir.

Aussi bizarre qu’il puisse paraître, vous pouvez comprendre que ce postulat est tout à fait la conséquence logique de la vision développée dans le postulat n° 2. Si les symptômes sont les poubelles que le corps s’efforce d’évacuer régulièrement pour retrouver son équilibre, ils nous indiquent en même temps ce que nous pouvons et devons faire pour aider l’organisme à atteindre jusqu’au bout cet équilibre.

Car, si nous n’avions aucun stress, si nous avions un niveau élevé d’énergie vitale, probablement que le corps aurait suffisamment de ressources pour sortir seul toutes ses poubelles, chaque fois que nécessaire. Mais souvent, celui-ci est fatigué… Il commence donc le travail, sort les premières poubelles, mais ne va pas assez vite pour tout évacuer. Dans ce cas, tout se passe comme si la vitesse à laquelle l’évacuation se fait était trop faible par rapport à la vitesse de remplissage par de nouvelles poubelles. Nous sommes alors dans une maladie chronique, qui n’en finit pas de s’exprimer et de rechercher un équilibre jamais atteint.

Le thérapeute ou le malade qui comprend cela se mettra alors à l’écoute des symptômes, et mettra en œuvre un processus visant à apporter à l’organisme une énergie supplémentaire pour accélérer et augmenter l’expression des symptômes (c’est-à-dire l’évacuation des poubelles). C’est ce que font l’homéopathie uniciste (en prescrivant un remède qui provoque chez l’individu les mêmes symptômes que ceux que l’on cherche à évacuer), l’acupuncture (en débloquant des circuits énergétiques permettant d’accélérer les processus de rééquilibrage), l’ostéopathie (en libérant des blocages fonctionnels ou organiques), le jeûne et le repos (en mettant plus d’énergie à disposition du corps pour se nettoyer), etc.

En cherchant à supprimer au plus vite les symptômes, non seulement la médecine se prive d’informations essentielles pour une guérison naturelle et profonde de l’individu malade, mais en plus s’éloigne de plus en plus d’une sagesse fondée sur l’écoute de la nature pour se tourner vers l’orgueil et l’arrogance d’un savoir rationalisant déconnecté du Réel.

Nouveau postulat n° 4 : La maladie est une réalité multi-dimensionnelle qui touche une réalité complexe et systémique d’éléments en interaction permanente les uns avec les autres.

La médecine est fondée sur un double postulat de séparation. D’une part, elle considère que si un phénomène se manifeste sur le plan physique, c’est qu’il est de nature physique. D’autre part, elle pense également que si un organe particulier est touché, il faut chercher la cause dans le dérèglement de cet organe.

Or, nous en faisons l’expérience quotidiennement. Un mal-être psychologique, un conflit inter-personnel mal vécu, la perte du sens de la vie, un dilemme philosophique, le stress du quotidien, tout cela influence fortement notre santé physique. Inversement, des troubles physiques peuvent nous empêcher de nous sentir bien dans notre tête, peuvent nous faire perdre la foi ou nous précipiter dans une crise profonde. Essayer de soigner en cloisonnant les dimensions physique, psychique, relationnelle et spirituelle me paraît relever d’un aveuglement dommageable et inefficace. Ainsi, le physique influence le psychique comme le psychique influence le physique.

De plus, même si l’on se limite à la sphère strictement physique, la médecine chinoise, l’homéopathie, l’ostéopathie mais aussi d’autres disciplines comme l’orthodontie, l’étiopathie, la médecine holistique nous ont montré que le déséquilibre d’un organe particulier était souvent provoqué par le déséquilibre d’un autre organe. Il n’est pas rare que des sinusites soient soignées en libérant le foie de ses toxines, qu’un mal de dos soit soulagé par un déblocage des intestins, que des maux de tête soient éliminés par une remise en place du coccyx ou que des problèmes de genoux soient réglés par un réajustement de l’occlusion des mâchoires… De nouveau, ce n’est pas en s’acharnant sur l’organe lui-même que l’on trouve la solution au problème. C’est ici qu’il conviendrait de réintroduire dans la médecine une vision globale et systémique pour agir plus efficacement.

Nouveau postulat n° 5 : Les agents pathogènes ne sont pas des ennemis de la santé, mais ses alliés. Les agents cancérigènes ne sont pas responsables du cancer (sauf dans 1 % des cas). Les agents allergènes n’existent pas.

Pour démontrer cela de manière scientifique et détaillée, beaucoup plus d’espace me serait nécessaire. Lorsque j’aborderai les travaux du docteur Hamer et du docteur Sabbah, dans la suite de cet article, vous comprendrez mieux en quoi ce postulat est logique et cohérent, dans cette vision de la santé et de la maladie.

Pour l’instant, prenons juste une troisième métaphore. Lorsque, sur la route, survient un accident grave, on observe souvent la présence de policiers, de gendarmes, voire d’ambulanciers, de pompiers ou de médecins. C’est un fait. Dans ces cas-là, les journalistes sont souvent prévenus, pour couvrir l’événement. En général, à moins qu’ils ne disposent de moyens d’information particuliers, les reporters arrivent après l’accident et après les forces de police et les secouristes. S’ils ne connaissaient pas la réalité telle qu’elle est, à force de répéter toujours les mêmes observations, les journalistes pourraient conclure, en toute bonne foi, que les policiers, les gendarmes, les ambulanciers, les pompiers et les médecins sont à l’origine de tous les accidents de la route ! Et statistiquement, en se basant uniquement sur leurs observations a posteriori, ils auraient pratiquement toujours raison !

Bien entendu, vous me direz que c’est une faute grossière de logique, puisque l’accident a précédé l’arrivée des secours, et non l’inverse. Imaginez un instant que ce soit la même chose pour ce qu’on appelle les maladies. Nous savons déjà que lorsque quelque chose se manifeste, ce que l’on croit être le début d’une maladie est en réalité le début du processus de nettoyage, de rééquilibrage et de guérison (une des raisons pour lesquelles on meurt de la « maladie » est que le corps ne dispose pas assez d’énergie pour retrouver complètement son équilibre : il s’épuise alors dans cette quête jamais accomplie).

Ce qui veut dire que lorsqu’on commence à voir quelque chose se manifester (dans la métaphore de la maison, la sortie des poubelles), c’est que beaucoup de choses invisibles se sont déjà passées auparavant (l’accumulation des poubelles à l’intérieur). Quelques chercheurs reconnus pour leur efficacité thérapeutique, ont démontré que les virus, les bactéries et les champignons étaient mobilisés par le corps (sur l’ordre du cerveau) au moment où se déclenchait le rééquilibrage, pour aider le processus à s’accomplir. Soit pour apporter des matériaux pour reconstruire les cellules endommagées, soit pour évacuer les cellules devenues inutiles.

Évidemment, si le déséquilibre initial (phase de la maladie froide, invisible) a été trop profond, trop long et/ou trop intense, le nettoyage sera si brutal et si intense que cela peut rompre l’équilibre vital de l’organisme et provoquer sa mort. Mais, fondamentalement, comme les maladies ne sont pas des maladies, et comme les agents dits infectieux viennent au moment du processus de guérison, toute la vision de Pasteur s’effondre au profit d’une vision beaucoup plus dynamique qui vise le renforcement du terrain et de l’équilibre plutôt que la destruction pure et simple des agents nettoyeurs (virus) ou reconstructeurs (champignons et bactéries).

En ce qui concerne les agents cancérigènes, différentes recherches ont montré que seulement dans 1 % des cas, les cancers étaient provoqués par ces agents. C’est le cas de l’exposition à la radioactivité ou à certaines substances très toxiques à forte dose. en revanche, 99 % des autres cancers sont déclenchés par des facteurs de stress intense (des chocs psychologiques brutaux vécus dans l’isolement, traduits dans la biologie), liés souvent à des conflits humains intenses et dont on ne trouve pas de solution. Le Docteur Hamer a été le premier à mettre cela en évidence de manière scientifique, sur plus de 8.000 cas de cancers. Son mérite est d’avoir pu mettre en évidence que le développement du cancer se faisait selon certaines lois très précises et immuables, nous verrons cela plus loin.

Enfin, les agents allergènes sont une aussi pure fiction que ne l’est la croyance qui veut que ce soient les policiers et les autres qui provoquent des accidents. Toutes les allergies, sans exception, sont en réalité le processus de guérison (puisque c’est le moment où quelque chose se manifeste : boutons, éruptions cutanées, difficultés respiratoires) d’un énorme conflit de séparation. Je l’explique dans mon livre « Le langage de la guérison ».

Nouveau postulat n° 6 : C’est la génétique qui est le reflet de l’état de santé du corps, et non la santé qui est le reflet du déterminisme génétique.

Ici encore, nous pourrions reprendre notre métaphore des accidents de voiture provoqués par les policiers et leurs complices. En effet, des généticiens dissidents ont découvert que notre carte génétique mutait en permanence, en fonction des stress positifs et négatifs que nous étions amenés à vivre tout au long de notre histoire.

Ainsi, selon le même principe que dans le postulat précédent, c’est le stress qui est premier. Celui-ci provoque un déséquilibre plus ou moins profond et durable dans l’organisme et chez l’individu. À ce moment-là, il va s’opérer une mutation génétique pour refléter dans notre structure d’ADN les nouvelles données de notre état. Un peu comme si notre patrimoine génétique avait reçu comme mission de consigner, de mémoriser toute notre histoire pour en transmettre l’information dans le futur de l’individu et de son espèce.

Croire donc que tel chromosome est responsable de telle maladie, c’est une fois de plus lire la chaîne temporelle des événements à l’envers. Et en déduire donc qu’en injectant un chromosome « sain » en lieu et place du chromosome « pathogène » revient à dire que c’est en détruisant les photos (la mémoire) d’un accident que l’on parviendra à annuler cet accident, ou à réparer les dégâts. Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’avec pareil raisonnement, les généticiens qui nous promettent monts et merveilles (comme d’autres l’ont fait pour le cancer quarante ans plus tôt) s’engagent dans une nouvelle forme de révisionnisme, mais cellulaire cette fois : « Si j’efface la mémoire d’un événement, j’efface l’événement. » Voilà sur quoi reposent aujourd’hui les milliards d’investissement consentis dans le génie génétique…

Nouveau postulat n° 7 : Ce n’est pas en supprimant l’organe qu’on permettra au patient de survivre.

Dans ce dernier postulat, vous aurez compris de tout ce qui précède que ce qu’on appelle couramment une maladie n’est que l’expression d’un déséquilibre (processus invisible) qui cherche à revenir vers l’équilibre (processus visible). Dans ce contexte, l’organe ne doit être considéré que comme le lieu de manifestation par lequel le processus de guérison cherche à s’exprimer. En aucun cas, il n’est la cause première ! La cause, nous l’avons vu, c’est le conflit, le stress intense, qui une fois résolu, permet la guérison.

En supprimant l’organe, on ne fait que supprimer un lieu de manifestation. Et si le conflit reste encore actif, l’organisme se trouvera d’autres lieux, souvent contigus, pour continuer à manifester ce qui est nécessaire. C’est ainsi que certaines femmes ayant subi une ablation totale du sein produisent des ganglions alors que d’autres pas. Là où les premières n’ont pas encore résolu le stress à la base de leur cancer, il faudra qu’une manifestation persiste.

Ces sept nouveaux postulats que je propose à votre réflexion sont issus de ma synthèse personnelle, après 15 ans de fréquentation approfondie des médecines traditionnelles, globales ou holistiques. Elle s’inspire également des découvertes effectuées par des scientifiques qui ont eu le courage de sortir des sentiers battus de la pensée unique dominante et totalitaire répandue dans la communauté scientifique. Je pourrais présenter les travaux de nombreux chercheurs, mais je me limiterai, dans le cadre de cet article à ceux du docteur Hamer (Allemagne) et du docteur Sabbah (France).

La Médecine Nouvelle du docteur Hamer

Le docteur Ryke Geerd Hamer a été chef de service dans une clinique allemande, pendant de nombreuses années. Sa position privilégiée lui a permis de croiser la route de nombreuses personnes atteintes du cancer. Par des concours de circonstances, des hasards et une observation et une écoute minutieuses, Hamer a découvert des lois fondamentales expliquant le mécanisme d’apparition de tous les cancers et de toutes les maladies. Dans le cas de ce médecin, on peut réellement parler de lois, puisque les vérifications opérées par lui et par d’autres chercheurs et thérapeutes ont toutes montré qu’elles étaient vraies dans 100 % des cas, ce qui ne s’était jamais vu jusqu’alors dans l’histoire de la médecine.

La loi d’airain du cancer énoncée par Ryke Geerd Hamer se formule comme suit : « Tous les cancers sont provoqués et déclenchés par des conflits intenses et brutaux vécus dans l’isolement. C’est la nature du conflit qui déterminera la zone du cerveau qui sera touchée et l’organe où se localisera la maladie. » Il a donc observé que tous les patients qui avaient le cancer des os, par exemple, avaient tous vécu un choc, un stress, un conflit intense et brutal (soudain) dans lequel ils s’étaient sentis dévalorisés. De plus, il a observé que chez tous les patients atteints du même cancer, on pouvait voir une cible dans une même région précise du cerveau. Ainsi, il a découvert qu’à chaque type de stress correspondait une même zone spécifique du cerveau et un organe particulier, toujours le même.

Le cancer des os correspond au conflit de dévalorisation. Le cancer des poumons au conflit intense de peur de mourir. Le cancer du sein gauche chez une femme droitière au conflit intense par rapport à un enfant (réel, virtuel, imaginaire ou symbolique). Le cancer du sein droit chez une femme droitière au conflit humain en général avec le conjoint (chez une femme gauchère, les latéralités sont inversées). Le cancer de la prostate correspond au conflit sexuel (réel ou symbolique) en relation avec les enfants ou la descendance (ou la capacité à créer). Et ainsi de suite, pour tous les cancers.

Cette loi a été vérifiée depuis près de 20 ans par des centaines de thérapeutes (formés par Hamer ou ses successeurs), sur des dizaines de milliers de patients, sans exception. Ce qui est fabuleux dans cette découverte, c’est que le mécanisme : « conflit -> cerveau -> organe » marche dans les deux sens. Autrement dit, tant que le conflit est actif, la zone du cerveau activée donne l’ordre à la biologie de produire les cellules cancéreuses dans l’organe choisi pour exprimer le déséquilibre. Inversement, lorsque l’individu résout son conflit (de quelque manière que ce soit) et met fin à son stress intense, la même zone du cerveau inverse le programme et donne instantanément l’ordre à la biologie d’arrêter la production des cellules cancéreuses et de détruire la tumeur localisée dans l’organe…

C’est ainsi qu’aujourd’hui, plusieurs milliers de dossiers médicaux de guérison ont été constitués et rassemblés par le Docteur Hamer et ses successeurs. Dans ces dossiers, on dénombre beaucoup de guérisons que la médecine officielle qualifie de « spontanées, inexplicables ou miraculeuses » : ainsi, scanners, analyses sanguines, radiographies, rapports émanant des hôpitaux prouvent que des patients ont guéri complètement de cancers, de leucémies, de scléroses en plaques, de myopathies, de dégénérescences diverses, de surdités, de troubles graves de la vue, de psoriasis, d’allergies, etc. sans recours ni à la chimiothérapie, à la radiothérapie, à la chirurgie ou aux autres traitements classiques prescrits par la médecine. Pourtant, un grand pourcentage d’entre eux avait été condamnés à brève échéance par la médecine officielle qui les déclarait incurables. Lors d’un énième procès intenté par l’ordre des médecins contre le Docteur Hamer, l’avocat de ce dernier a demandé à la justice de comparer le pourcentage de survivants du cancer à l’échelle nationale avec le pourcentage de survivants du cancer parmi les patients de son client (sachant que nombre d’entre eux s’étaient adressés à lui en désespoir de cause, parfois en phase terminale, après avoir tout essayé). Cette comparaison démontra de manière éclatante la supériorité de son approche par rapport à celle de la médecine scientifique et de tout son arsenal guerrier pour terrasser la maladie : 95 % de survie sur plus de 5 ans pour Hamer, contre 30 % pour la moyenne nationale en Allemagne. Sans commentaire.

La maladie, la solution parfaite du cerveau face à un conflit

Si j’arrêtais ici ma présentation, je vous laisserais probablement dans le doute, la perplexité, tant les guérisons peuvent apparaître magiques, si on ne comprend pas à quoi sert la maladie, fondamentalement, d’un point de vue biologique. Pour le comprendre, le Docteur Hamer donne un exemple tiré tout d’abord de la biologie animale : celui d’un renard en situation de grand stress lié à sa survie.

Depuis trois jours, imaginons qu’un renard n’ait plus attrapé la moindre proie. Il se trouve dans un grand stress lié à sa survie physique, quand, enfin, il parvient à capturer un petit lapin qui passait par là. Au moment où il s’apprête à le croquer, à le déchiqueter, à le broyer, le renard entend s’approcher un de ses prédateurs les plus terribles : le chasseur. Et voilà notre renard tiraillé entre deux menaces : s’il mange son repas, pour satisfaire son besoin de nourriture, il risque d’être tué le ventre plein ; s’il déguerpit en laissant sa proie, il risque peut-être de mourir de faim, un peu plus tard. Pour sortir de ce dilemme cornélien, il décide d’avaler toute entière une patte du lapin et de s’enfuir bien loin.

À cet instant, un autre danger menace le renard : celui de mourir d’une occlusion intestinale, car cette patte entière ne peut ni remonter de l’estomac, ni poursuivre son parcours dans l’intestin. On se trouve, dit Hamer, dans un conflit intense et brutal lié à la nécessité de digérer quelque chose. Pour résoudre cette situation, le cerveau met en œuvre alors la solution parfaite pour assurer la survie individuelle : il déclenche un programme de production de super-cellules digestives sur la paroi de l’estomac. L’objectif : digérer cinq fois plus vite et cinq fois mieux cette patte de lapin coincée. Tant que l’objectif n’est pas atteint, le cerveau maintient son ordre de produire ces super-cellules digestives aux performances nettement supérieures à la normale. Mais dès que la patte est complètement digérée, un processus de bio-feed-back informe le cerveau que l’objectif est atteint. Instantanément, le cerveau met fin au programme de production et donne l’ordre d’éliminer ces super-cellules qui seraient dangereuses si elles étaient maintenues dans l’estomac. Quelques jours plus tard, si l’on endort le renard et que l’on examine sa paroi stomacale, on pourra observer des cicatrices, témoins de cette élimination encore récente des super-cellules. Conclusion : grâce à ce programme inscrit dans la biologie depuis des millions d’années, le cerveau a choisi la meilleure solution parmi toutes pour assurer la survie du renard. La seule chose que je ne vous ai pas encore dite, c’est que ces super-cellules digestives sont ce qu’on appelle couramment, des cellules cancéreuses de l’estomac ! Ainsi, selon Hamer et Sabbah, sur base de vérifications faites en laboratoire, ce que nous appelons une cellule cancéreuse a les mêmes fonctions qu’une cellule normale, mais de façon démultipliée. Une cellule cancéreuse de l’estomac digère beaucoup plus fort et vite qu’une cellule normale. Une cellule cancéreuse du pancréas produit bien plus d’insuline, une cellule cancéreuse du sein produit bien plus de lait, une cellule cancéreuse du poumon a une capacité d’échange oxygène-sang nettement supérieure, une cellule cancéreuse du rein filtre nettement plus, etc.

Notons au passage que le Docteur Claude Sabbah a généralisé les découvertes de Hamer en montrant que toutes les maladies, quelqu’elles soient (de la plus bénigne à la plus grave), résultaient d’un choc ou d’un stress vécu dans l’isolement et étaient déclenchées par le cerveau comme solution parfaite pour assurer la survie.

Pourquoi meurt-on de nos maladies ?

Alors, me direz-vous, si cela est vrai, pourquoi meurt-on du cancer ou d’autres maladies, si les maladies sont les solutions parfaites inscrites dans la biologie pour assurer la survie individuelle ? Pour répondre à cette question, il faut comprendre comment notre cerveau traite les informations qui lui parviennent. En fait, il faut savoir qu’il ne fait aucune distinction entre une information réelle, imaginaire, virtuelle ou symbolique. Pour le prouver, prenons un exemple simple.
— Si, tout à coup, vous vous retrouvez debout, au bord du toit d’un immeuble de 20 étages, sans garde-fou, votre cerveau va interpréter cette situation comme un danger réel : il va déclencher toute une série de réactions physiologiques et de réflexes comportementaux (montée du taux d’adrénaline, accélération du rythme cardiaque, angoisse, vertige, etc.). Ici, il a traité une information réelle ;
— Si, en lisant l’exemple ci-dessus, vous vous êtes imaginé dans cette situation, probablement que votre cerveau aura déclenché les mêmes réactions. Pourtant, vous n’étiez pas réellement en danger, puisque vous étiez assis en train de lire. Le cerveau a pourtant traité une information imaginaire, comme si elle était réelle ;
— Si, maintenant, au cours d’un jeu vidéo ou d’une séance de cinéma, le scénario vous projette sur le bord du toit, avec le vide en dessous, filmé du point de vue du héros, et si vous êtes suffisamment plongé dans l’image, votre cerveau va de nouveau réagir de la même manière. Ici, il a traité une information virtuelle comme si elle était réelle ;
— Enfin, si l’on vous annonce brusquement que l’entreprise qui vous emploie est déclarée en faillite, juste au moment où vous venez de contracter un gros emprunt à la banque, vous allez peut-être sentir la terre s’ouvrir sous vos pieds. Le cerveau va de nouveau déclencher les mêmes réactions, alors que le précipice face auquel vous vous retrouvez n’est que symbolique. Ainsi, il traitera une information symbolique comme si elle était réelle.

Si vous comprenez cela, vous comprendrez alors aisément que tout ce que nous disons, tout ce que nous pensons est pris par notre cerveau comme des informations réelles qu’il a le devoir de traiter, en tant que super-computer. Ainsi, si vous dites à propos d’un ami : « ce coup-là, je ne lui pardonnerai jamais. Je ne pourrai jamais le digérer », et que cette phrase est réellement le reflet de ce que vous ressentez intensément, votre cerveau va recevoir cette information symbolique et la traiter comme si elle était réelle. Si le conflit relationnel que vous vivez est très intense, et que vous ne parvenez pas à exprimer tout le mal-être que vous ressentez, il est fort probable que le cerveau va déclencher son programme de production des super-cellules digestives (c’est-à-dire des cellules cancéreuses) pour digérer ce coup que vous ne pouvez pas digérer…

Mais à la différence de la patte du lapin coincée dans l’estomac du renard, si une réconciliation avec votre ami n’intervient pas, si vous restez sur votre position, si vous ne pardonnez pas, ce coup-là, vous ne le digérerez effectivement jamais. Par conséquent, votre cerveau continuera à recevoir le message l’informant que le coup n’est pas encore digéré. Et très docilement, il maintiendra son programme de production des cellules cancéreuses. Vous devinez la suite : tôt au tard, à force de disposer d’une capacité digestive anormalement élevée, vous commencerez à ressentir des douleurs, les aliments n’étant pas digérés correctement. On vous diagnostiquera alors un cancer de l’estomac que les médecins tenteront de faire disparaître, par divers moyens à leur disposition…

Mais vous commencez à deviner ce qui risque de suivre. Car même si on vous pratiquait une ablation totale de l’estomac, votre cerveau lui, continuerait à ordonner la production de cellules cancéreuses dans la zone du corps où se situait l’estomac. Ainsi, quelques mois plus tard, on découvrirait ce qu’on croira être une « récidive » ou des « métastases », alors que cette manifestation ne serait que la continuation d’un programme lancé un jour par le cerveau sur base d’une information symbolique à propos d’un conflit avec un ami.

Pour aller plus loin dans le processus, si vous recevez le diagnostic pessimiste de votre cancérologue comme un choc brutal, et que vous traduisez cette information comme un grand stress lié à la peur de mourir, votre cerveau, toujours aussi docilement, lancera un nouveau programme de production de super-cellules pulmonaires, ce qu’on traduira classiquement un peu plus tard comme le cancer du poumon. Et ainsi de suite, jusqu’à ce que mort s’ensuive.


Comment prévenir les maladies et comment les guérir ?

J’ai décrit en détail dans mon dernier livre « Le langage de la guérison » les processus qui déterminent ou provoquent nos maladies physiques, à partir de chocs psychiques intenses ou de grands stress. Dans le cadre de cet article, cela me paraît inutile d’aller plus loin dans les explications, car le raisonnement est le même pour toutes les maladies, quelque soit leur degré d’intensité et de gravité.

Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que d’une part, le cerveau ne se trompe jamais et que d’autre part, c’est lui qui déclenche toutes les « maladies » pour garantir à l’individu les meilleures chances de survie. L’intérêt d’une telle vision est énorme, vous le devinez. En effet, pour la première fois dans l’histoire de la médecine, rien, dans nos affections et nos déséquilibres n’est dû au hasard. Tout se manifeste en accord avec des lois immuables inscrites dans la biologie des êtres vivants, comme le dit le Docteur Claude Sabbah.

Cela signifie, concrètement, que si vous apprenez les lois de la Médecine Nouvelle de Ryke Geerd Hamer ou de la Biologie Totale de Claude Sabbah, lois aussi immuables que celles de la physique ou de la chimie, vous pouvez non seulement comprendre d’où viennent toutes vos maladies, mais surtout vous pouvez les prévenir et les guérir. Comment ? En apprenant ces compétences relationnelles de base que tout être humain devrait acquérir : exprimer ses besoins et ses émotions, oser les confrontations respectueuses, reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est, poser des actes adaptés à la réalité, boucler les affaires non terminées, pardonner. Reprenons-les une à une, pour examiner en quoi ces compétences pourraient nous éviter d’être malades ou nous permettre de nous guérir…

— exprimer nos besoins : beaucoup de frustrations, beaucoup de stress proviennent du fait que d’une part, rares sont les êtres humains conscients de leurs véritables besoins et d’autre part, encore plus rares sont ceux capables de les exprimer de manière adaptée. Par conséquent, nous accumulons des rancœurs, des ressentiments, nous restons bloqués dans des impasses, sentant bien que quelque chose ne nous convient pas, mais sans savoir comment en sortir. Les choses qui nous arrivent sont souvent inacceptables, mais nous les acceptons quand même, parce que nous ne connaissons même pas les limites de ce que nous sommes prêts à vivre ou pas.
Réapprendre à identifier nos besoins et les limites de ce que nous ne voulons plus, être capable de les formuler à nos interlocuteurs, sans avoir peur des conséquences est une des voies possibles pour prévenir et pour guérir les maladies provoquées par les conflits humains et les frustrations.

— exprimer nos émotions : une émotion, c’est comme un symptôme. C’est l’indicateur de l’état de satisfaction et d’insatisfaction de nos besoins. Un besoin est frustré ? Nous en serons averti par une émotion désagréable (colère, tristesse, peur, etc.). Un besoin est satisfait ? C’est une émotion agréable qui nous avertira (joie, plaisir, etc.). Malheureusement, notre éducation nous a enseigné la même attitude à l’égard de nos émotions que la médecine à l’égard des symptômes : les nier, les rejeter, les supprimer. En agissant de la sorte, nous nous privons des meilleurs indicateurs à notre disposition pour connaître avec certitude ce qui est bon pour nous, et ce qui ne l’est pas. Et c’est cette ignorance qui nous précipite dans la frustration, puisque n’ayant plus de voyants lumineux sur notre tableau de bord, nous ne sommes même plus averti qu’un ou plusieurs de nos besoins sont frustrés. Et c’est là que le cerveau est obligé de prendre le relais, pour inscrire dans la biologie des organes les mêmes renseignements dont nous disposions avec les émotions (souvenez-vous : dans la métaphore de la voiture, si les voyants du tableau de bord ne fonctionnent plus ou ne sont pas pris en compte (les émotions), c’est au niveau des organes du moteur que la rupture se manifestera (les organes)).
Réapprendre à écouter nos émotions, les reconnaître et les accepter, les remercier même pour le travail de vigilance qu’elles opèrent pour nous est une première étape pour sombrer moins souvent dans des conflits et des stress destructeurs. Si, en plus, nous pouvons exprimer nos émotions de manière adaptée, en en prenant toute la responsabilité, sans en rendre les autres responsables, alors, très vite, nous pourrons retrouver notre équilibre (j’en ai fait très souvent l’expérience avec de nombreuses personnes).

— oser les confrontations respectueuses : combien de fois, dans des situations difficiles, tendues, désagréables, nous n’osons pas dire les choses à l’autre, respectueusement, mais fermement ? Combien de fois ne ravalons-nous pas notre salive, de peur de créer un conflit ? Nous craignons souvent que les choses désagréables soient dites, parce que nous pensons qu’il est préférable de conserver la paix entre les êtres. Mais cette paix n’est qu’illusoire, puisqu’à l’intérieur peut sourdre une violence énorme. Remarquez même que le calcul est illusoire : en voulant éviter le conflit, on ne dit pas ce qui devrait être dit. Mais en ne disant rien, on augmente notre frustration et notre rancœur, jusqu’à ce qu’elle devienne insupportable. Alors, soit nous explosons contre l’autre, et c’est le conflit et la rupture qu’on avait justement tenté d’éviter ; soit nous implosons, et c’est le cancer ou la maladie fulgurante qui vient nous inviter à regarder de plus près le déséquilibre que nous avons créé…
Oser les confrontations, c’est apprendre à dire les choses qui nous dérangent, calmement, mais sans faux-fuyants. C’est se dire aussi que la meilleure façon de prendre soin de la relation que nous avons avec les autres est encore d’exprimer honnêtement ce qui se passe pour nous dans l’interaction avec l’autre.

— reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est : je l’ai souvent observé, beaucoup de maladies se déclenchent lorsque nous refusons de voir une situation, lorsque nous y résistons, lorsque nous n’acceptons pas ce qui nous arrive. Ainsi, nous pouvons entrer dans des conflits de résistance, de répugnance, de dévalorisation, de perte d’image ou de territoire. Et plus nous luttons contre la réalité, plus nous renforçons son emprise et sa force contre nous, jusqu’à en être épuisé.
Loin d’être fataliste (il ne s’agit pas d’être une loque humaine qui encaisse tout sans rien dire, au contraire), cette attitude consiste à oser regarder la réalité en face, objectivement, sans la juger. Il s’agit aussi de changer son regard sur les événements, en ne les considérant ni comme bons, ni comme mauvais : je conseille plutôt de considérer tout ce qui nous arrive comme des opportunités offertes pour apprendre quelque chose de nouveau.

— poser des actes adaptés à la réalité : Jung insistait beaucoup sur ce point. Il n’y a, en effet, pas de guérison si nous ne posons pas des actes dans le Principe de Réalité. Souvent, nous restons bloqués dans des conflits ou dans des stress parce que nous n’osons pas poser un acte. Ou pire : parce que nous croyons qu’il suffit d’avoir pris conscience de l’origine de son cancer pour guérir. C’est faux, et tous ceux qui l’ont cru sont morts aujourd’hui. L’acte est la seule manière de donner au cerveau l’information de fin de programme conflictuel. Sinon, nous l’avons vu, l’activation de la maladie ne s’arrêtera jamais.

— boucler les affaires non terminées : cette notion a été mise en lumière la première fois par Elisabeth Kübler-Ross, ce médecin suisse émigrée aux États-Unis, à l’origine de la pratique des soins palliatifs répandus aujourd’hui dans le monde entier. Elle disait que beaucoup de patients, en fin de vie, éprouvaient le besoin absolu de faire la paix avec ceux avec qui ils avaient connu des ruptures qui s’étaient mal passées. Elle a observé des milliers de fois que dès que les affaires non terminées avaient été bouclées, les patients mouraient la nuit même, apaisés et sereins.
Pour agir de la sorte, je pense que nous ne devons pas attendre la fin de notre vie, en phase terminale d’une maladie longue et douloureuse. Je fais l’expérience régulièrement que boucler les affaires non terminées me permet de maintenir mon équilibre et de ne pas créer des sources de stress aussi inutiles que préjudiciables.

— pardonner : enfin, last, but not least, pardonner. Non pas, pardonner l’autre pour le mal qu’il pourrait nous avoir fait, mais nous pardonner à nous-même pour la souffrance que nous avons accepté de vivre si longtemps avant de lâcher prise, avant d’exprimer à l’autre nos besoins ou nos émotions, avant d’avoir oser les confrontations respectueuses, avant d’avoir enfin reconnu et accepté la réalité, avant d’avoir posé des actes dans la réalité, avant d’avoir bouclé les affaires non terminées.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce ne sont jamais les autres ni les événements qui sont responsables de nos chocs, de nos conflits, de nos stress. C’est toujours la manière dont nous avons reçu l’événement, dont nous l’avons perçu, interprété, filtré qui engendrera notre souffrance ou notre plaisir. Donc, en fin de compte, avec beaucoup d’amour, d’humour et d’humilité, nous nous remercierons d’avoir été aussi stupide et nous nous pardonnerons tout ce mal que nous nous sommes fait.

Conclusions

Au terme de cet article, je tiens à tirer rapidement quelques conclusions. Tout d’abord, mon objectif n’a pas été de vous convaincre que vos croyances étaient erronées à propos de la santé et de la maladie. Je ne sais que trop bien qu’il faudrait bien plus pour vous faire changer. Mon objectif était de vous proposer une vision de ce que sera probablement demain, la compréhension de la maladie et de la guérison. Si l’une ou l’autre idée a fait résonance en vous, je vous invite à approfondir votre recherche, à vous informer, à lire les livres qui commencent à sortir sur le sujet… Et surtout, à expérimenter par vous-même et sur vous-même, comme je le fais depuis 18 ans.

Ensuite, cette vision de la maladie est porteuse d’une immense bonne nouvelle : la maladie n’est pas une fatalité, elle n’arrive jamais par hasard. Ce qui veut dire qu’en changeant nos habitudes comportementales, nos schémas de pensée, notre vie émotionnelle, nous pouvons éliminer définitivement l’emprise des maladies sur nous. De plus, même si nous tombons encore malades de temps en temps, nous ne serons plus dépendants des thérapeutes qui se placent dans une position de pouvoir par rapport à nous. Nous retrouvons, enfin, notre autonomie, notre liberté, notre souveraineté.

Enfin, en tant que patients et en tant que citoyens, nous avons tous un devoir d’informer notre entourage, le plus largement possible, sur ces nouvelles recherches, pour que la folie qui s’est emparée du pouvoir médical, politique et économique à l’égard de tout ce qui est alternatif soit discréditée, rendue non pertinente, obsolète. Quand je vois les persécutions dont font l’objet de nombreux thérapeutes qui ont choisi de se mettre réellement au service de la santé et du malade (et donc de ne plus servir les intérêts des grands groupes pharmaceutiques), je sais que cette nouvelle forme d’inquisition ne cessera que lorsque nous serons assez nombreux pour dire en face, à nos médecins traditionnels, ce qui nous a vraiment guéris. Sinon, la maladie restera encore pour longtemps aux mains de ceux qui ont pris le pouvoir sur notre vie et sur notre corps. Nous avons le Monde que nous méritons. Aurons-nous le Monde auquel nous avons légitimement droit ? Cela ne dépendra que de nous."

Jean-Jacques Crèvecœur


Là où la Médecine Nouvelle et la psychobiologie rentrent en résonance avec les médecines primitives :
On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers"




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vendredi, 01 février 2008

La loi de l'attraction pour s'épanouir

Un conférencier hors pair en neurologie cognitive qui traite de la loi de l'attraction. Cette fameuse loi de base pour se soigner et cheminer vers son épanouissement sainement.

Après le best-seller du "secret", meilleure vente au Québec de l'année 2007, il fait du bien d'écouter une mise au point sur cette loi de base transmise depuis la nuit des temps par les plus grands penseurs et sages de l'humanité.

La version américaine n'a pu s'empêcher d'en pervertir la pureté en faisant croire qu'on pouvait "facilement" appliquer cette loi initiatique pour s'enrichir impunément , augmenter sa vie sexuelle sans conscience et éventuellement se soigner... mais ce livre et son film ont eu le mérite de diffuser "at large" la loi fondamentale "d'action - réaction", dite d'attraction, première des 7 grandes lois de la vie reconnus par les sagesses antiques.

Ici Daniel Miron nous livre une mise au point nettement corrigée et recentrée pour savourer pleinement cette loi merveilleuse!

(veuillez patientez quelques secondes le temps que l'interview suivante se charge.)







mercredi, 17 octobre 2007

La révolution neurologique

Les découvertes en neurologie (science du cerveau et du système neurohormonal) dans les 20 dernières années sont une révolution sans précédent en médecine.

Le monde de la neurologie, et par conséquent de la médecine, est passé de la terre plate à la terre ronde!... et ce n'est pas sans quelques secousses!
Rappellez vus de Galilé!!!

Le véritable combat n'est plus entre la médecine officielle et les médeines alternatives ou douces, mais au sein même de la médecine traditionnelle.

Et pour cause, en médecine, il est admis que 60% des causes des maladies sont d'origine idopathique, c'est à dire tout simplement sans raisons connues!

Or, les découvertes sur le fonctionnement fin du cerveau prouve qu'il répond à des adaptations au milieux extérieur et intra-familial vérifiables à 100%!

Cela est un véritable bouleversement! C'est la toute première fois que s'énoncent des lois biologiques vérifiable 100 fois sur 100!
Pour la première fois capable d'énoncer des lois et non plus des tendances approimative et des statistiques, la médecine débute son entrée réél dans le monde de la science officielle!

Étonnant non?

Ces découvertes ont commencée avec les chercheurs en neurologie cognitives avec des chercheurs comme Groddeck à l'époque de Freud qui écrivis "le livre du çà", puis avec les éthologues qui étudirent les comportements animaux et qui avaient noté que les mamifères semblaient géré par la loi du sacrifice: les parents se donnent l'enfant, mais l'enfant en retour prend sur lui une part des stress vitaux des parents pour les soulager neurologiquement, augmentant ainsi la survie de la famille.

Bruce Lipton, un des plus grand biologiste au monde lance le pavé dans la mare dans les années 70 avec ses découvertes incroyables sur l'épigénétiques (voir dans la catégorie livres et références internet), alors qu'Henri Laborit énonçait en France les premières pistes d'ébauche des lois biolgiques t de leur structure intime.

Boris Cyrulnik avec la notion de résilience, Antonio Damsio avec .L'erreur de Descartes", David Servan Schreiber et autres médecins ou chercheurs américains comme John Grinder et Richard Bandler en neurologie cognitive continuent dans les découvertes comportementales de plus en plus systématiques et logiques attachées à des expériences précises dans les ressentis des patients.

Le professeur Hamer mettra en expérience toutes ces théories et les démontrera avec un brio déconcertant pour l'ensemble de la communauté scientifique!

Cet homme hors du commun, inventeur de génie de nombreux outils chirugicaux et autres appareils de soins brevetés, au renom incroyable dans son domaine se vera traité comme Galilé, banni, rejeté, persécuté et emprisonné!!!

Incroyable au 21 siècle et pourtant!
Si les guerres de religions semblent s'éteindre doucement, les guerre scientifiques prennent le relais et le sens de la vie est maintenant l'apanage des croisades médicales où l'hérétique aux vérités trop libératrices menacent les intérêts économiques d'empirent financier qui semble avoir pris un peu trop en otage l'establishment médical!

Jean-Jacques Crêvecoeur dénonce cette croisade dans ses livres et dans son film sur cet hommes hors du commun.

À sa suite, le Dr Robert Guinée (Les maladies, mémoire de l'évolution) ainsi que le Dr Claude Sabbah se porteront en relais à cet homme persécuté pour transmettre partout dans le monde les découvertes fondamentales du Pr Hamer.
À partir de là, d'autres découvertes se font et du Dr Sabbah au Dr Athias, au Dr Van den Bogaert, au Dr Beyer, à Jean-Philippe Brébion, Jean-Jacques Crèvecoeur... les interprétations fusent, l'émulation l'emporte et cette véritable science du futur fait éclosion aux 4 coins des pays francophones, mais bien sûr en allemagne, pays précurseur, et aussi dans toute l'amérique du nord et maintenant les pays hispanique.

Ce raz-de-marée deviens incontrolable pour l'establishment qui tente de ralenti l'avalanche par des campagnes de salissages, de l'anti-propagande très médiatisée... mais le flot grossit par les résultat étonnant de guérisons formidables apportée par ces découvertes qui se fédèrent sous des dénomination variés de médecine nouvelle germanique, biologie totale, bioanalogie...

Véritables enfant des chaires d'université connus sous la dénomination de "Neurologie cognitive", ces courants se diffusent de plus en plus en dehors des réseaux conventionnels, et, ironie du sort, c'est de la médecine elle-même que sort l'enfant terrible qui vient le plus lui imposer surement la mutation la plus colossale de toute son histoire connue!

Témoignage de Lara Fabian sur la biologie totale