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lundi, 31 décembre 2007

S'identifier à ses potentiels pour s'épanouir

La neurologie cognitive n'a cessé de nous étonner ces dernières années dans la démonstration des pouvoirs de la pensée sur la matière.

De ces découvertes, le professeur Régis Duteil (La médecine super lumineuse) a démontré la suprématie de l'identification à la lumière blanche sur toutes les autres imageries mentales.

Sa conclusion est simple, débuter sa journée par une brêve mais intense concentration sur la lumière blanche qui nous pénètre, qui vit en nous, qui palpite dans nos propres cellules - et répéter cette concentration régulièrement 2, 3, 20 fois dans la journée est le plus puissant dissolvant des maladies en soi, mais aussi le plus puissant des reconstituants d'une santé puissante et durable.

Ce travail est un mode de vie qui s'épouse très facilement au bout de quelques semaines de pratique tellement le bien-être qui en découle est indescriptible de fines sensations.



L'imagerie peut utiliser toutes les stratégies possibles, que ce soit une douche de lumière, des rayons qui nous pénètrent ou qui sortent de nous... tout est bon et peut même se faire les yeux ouverts avec l'habitude.

En ostéopathie, le fondateur parlait déjà du liquide céphalo-rachidien, de la lymphe et du liquide interstitiel englobant toutes les cellules comme la "lumière liquide" du corps qu'il suffisait de réactiver par une simple attention à elle pour guérir toutes les maladies et développer une santé durable!

mercredi, 31 octobre 2007

Préparer la santé de ses enfants à venir

LES INFLUENCES AFFECTANT LA TRANSMISSION DE LA SANTÉ DANS LE CYCLE DE LA VIE

Il est remarquable de constater que les activités prédominantes dans une période de la vie sont dépendantes du développement intense d’une structure et de sa fonction (exemple, le développement du système endocrinien et ses fonctions hormonales déclenchent une transformation structurelle, mais aussi une forte activité affective).

Alors une partie de l’influence subie, qu’elle soit toxique, chirurgicale, traumatique par accident, ou sensorielle (agression/tendresse, stimulation/négligence, etc.), émotionnelle (peur, fuite, combat, indifférence, amour, statut quo, etc.), ou mentale (choix, prise de conscience, etc.) est traduite par analogie au système qui est prédominant dans son développement.

Chaque période de la vie représente un filtre et il est intéressant de considérer qu’un traumatisme vécu à tel ou tel âge n’affectera pas le même système. Ce n’est donc pas le même niveau qui sera affecté au sein de ces fulcrums multidimensionnels qui véhiculent le souffle de vie. La perception que nous en aurons risque d’être plus fasciale, plus liquidienne, plus neurologique ou plus énergétique; ou encore des combinaisons associées.
Si le filtre de la période pré et périnatale était le plus déterminant pour toute la vie du futur adulte, il n’en reste pas moins que « les influences les plus significatives sont celles qui ont été les plus intenses. Aussi, il est bon de prôner la primauté du ressenti, du vécu sur l’obligation d’épreuves incontournable telle que la naissance, l’adolescence ou autre. »

Enfin, il est important de souligner que les influences vécues sont schématiquement douloureuses, difficiles, contraignantes ou au contraire heureuses, facilitantes, favorisantes. Or, s’il faut reconnaître le pouvoir stimulant de chacune dans le développement de l’individu et de sa santé, il faut souligner la supériorité des influences encourageantes sur les nociceptives dans la structuration profonde de l’être. Les premières ont un pouvoir structurant et stimulant bien supérieur qui, d’ailleurs, peut demander dans un premier temps plus d’énergie pour s’y adapter. Ce constat à l’inverse de nos croyances est un puissant outil pédagogique et thérapeutique .

CONCLUSION
De toutes les influences dénombrées affectant la santé – hormis la gravité de certains traumatismes postnataux–, il ressort la suprématie de la vie prénatale qui plonge ses racines dans l’état de santé des parents et la qualité du vécu de la gestation. Elle plante le « tempérament de la santé ». Cependant, si le tempérament influence, il ne détermine pas et il appartient au caractère de l’individu, par sa façon de vivre, de l’utiliser à son gré pour y semer la santé.
L’ostéopathe, par la philosophie vitaliste de sa science et l’étude des lois de la santé, est à même de voyager en harmonie avec cette lente maturation des potentiels de santé inhérents au corps, afin de participer intelligemment à la catalyse de leur expression.