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mercredi, 14 janvier 2009

Éducation et Rites de passages de l'enfant à l'adolescent à l'adulte

La règle d'or de l'éducation:
offrir aux enfants des idées nobles et élevées car ce sont elles qui entraineront leurs élans les plus instinctifs pour les mettre au services des idées qu'ils chérissent!
Or si l'adulte dé montre à l'enfant par son exemple, son vécu combien sa vie est centrée sur un idéal, et son cortège de nobles valeurs, alors l'enfant l'imitera, car c'est son principal mode de développement.
Au Québec, on recense 95 % de la population qui reconnait une force spirituelle transcendant l'existence, en Europe, 75 %. Au delà des formes religieuses, la spiritualité est cet art de mettre de l'esprit dans la matière, dans le comportement, et, quelque soit sa manière de le faire, c'est cet art et sa quête qu'il faut transmettre aux enfants comme un feu sacré qui les animera et les rallumera sans cesse tout les protégeant d'eux-même du dedans par cette lumière intérieure. On peut seulement alors se permettre de rêver légitimement d'un monde sans prisons, frontière ni hôpitaux!

Le passage des 6-7 ans:
Dès la 1ière dent définitive de 6 ans qui arrive entre 5 an 1/2 et 7 ans, l'enfant vit une crise d'identité par le changement d'intensité qui s'opère dans son corps. Son système nerveux s'affine, "s'accélère" et il rentre dans une activité, une agitation, une recherche de découverte qui souvent déborde les parents. Il est important à cet âge de célébrer ce changement pour bien signifier à l'enfant qu'il rentre dans une nouvelle étape de sa vie, qu'il quitte la petite enfance pour rentrer dans l'enfance où il aura à répondre à d'autre défis, d'autre demande de l'environnement, des apprentissages et des demandes, des besoins intérieurs nouveaux.

La puberté:
À la puberté, aux 1ières règles, le même phénomène se déroule sur le plan hormonal!... le plan affectif.
Ici débute l'apprentissage de l'amour et de la confiance en soi. L'un et l'autre se répondent inlassablement sur un mode actif.
En effet, la confiance en soi se bâtit par sa capacité à s'intéresser activement et à aimer une activité, une région, un hobby, et progressivement une ou des personnes, sa famille et de fils en aiguilles soi-même! Alors la confiance en soi arrive pas à pas pour ne s'installer vraiment que vers 30 ans selon notre pratique à aimer et à s'investir dans notre environnement.
Durant cette période, il est important pour le pré-adolescent de trouver des sujets d'intérêt comme faire de la musique, une construction, un projet, s'occuper de quelqu'un, s'investir dans le sport... pour apprendre à se donner. Plus l'adolescent se donne, plus il se découvre, se dévoile et apprend à s'apprécier, ce qui assez élevé sur la pyramide de Maslow et arrive toujours après l'amour des autres!
Voilà pourquoi l'amour reçu par l'adolescent non seulement ne lui suffit pas, mais peut même lui faire sentir qu'il ne le mérite pas si il n'a pas l'occasion d'offrir son amour et arriver à le désespérer. C'est le principe des artistes adulés par la foule et qui font une dépression grave car l'amour reçu dépasse celui donné.
Cela explique en partie chez l'adolescent son rejet de l'amour parental qu'il vit comme quasi menaçant, couplé à une léthargie induite par le champ hormonal qui le submerge et le perd dans un monde inconnue, émotionnel où il a besoin d'être stimulé pour structurer son affection vers une activité où il apprend d'abord à se donner. Cette émissivité, cette oriente et décharge ce monde hormonal passionné qui bourgeonne sans créer de congestion qui tourne sinon en violence. Ainsi, ce flot émotif se bâtit vers une capacité à aimer l'environnement, une activité et finalement sa famille, sa vie et soi-même en fin d'adolescence.

Ce long passage passe par toutes les saison des émotions en un tout cohérent:

One year in 40 seconds from Eirik Solheim on Vimeo.

©François Amigues, francois.amigues@gmail.com. Toute forme d'utilisation de ce texte doit obligatoirement faire référence à son auteur et être soumise à son autorisation pour une diffusion plus large.

mercredi, 31 octobre 2007

De l'enfance à l'adolescence

L’ENFANCE

Selon B. Darraillans D.O., les chutes durant l’enfance, même si elles semblent bénignes et sans manifestation extérieure, peuvent perturber l’organisme. Selon Mme Fryman, « elles sont des graines de dysfonction semées qui pourront plus tard se manifester en un problème de comportement ou d’apprentissage » . L’enfant devrait être vu périodiquement en ostéopathie durant son développement pour corriger les lésions résultant des différents traumatismes subis durant la petite enfance, Car durant cette période, les lésions ostéopathiques sont souvent compensées par une grande vitalité, mais peuvent laisser des traces qui ressortiront plus tard : troubles de posture, de développement moteur ou d’apprentissage, problèmes de l’occlusion dentaire, etc. Il s’agit donc d’ostéopathie préventive.
• Influences de l’enfance
Achevant la finesse du système sensori-moteur l’enfant percevra encore le monde et toute influence mentale, émotionnelle ou physique essentiellement sous forme de sensations. Dans une phase de grande découverte des paramètres du monde, il les convertit tous en impressions qui finissent de structurer la base de sa morphologie d’adulte. L’apparition de la dent de six ans marque la fin de cette période délicate et les influences perçues comme nociceptives commenceront maintenant à se cristaliser, se densifier dans son corps. D’ailleurs, la maturation des os de la face prend appui sur cette dent. C’est donc dans cette période charnière que se prépare ou se corrige nombre de scoliose quelle qu’en soit l’origine. Puis, jusqu’à l’adolescence, la discrimination épicritique de son système nerveux lui permet une grande capacité d’apprentissage essentiellement par imitation. Les nombreuses peurs de l’enfance sont autant de balises qui protègent et stimulent la mise en place du système nerveux, tout en propulsant l’enfant à découvrir son environnement grâce à cette émotion principale.


LE VÉCU DE L’AUTONOMIE

• L’adolescence
C’est la période de réveil du système hormonal qui fera entrer dans la découverte du monde des désirs et, par conséquent, développera la gamme variée des sentiments humains. C’est le début de la socialisation profonde. Ici, toute influence perçue comme nociceptive est transformée de façon affective. Une chute au sol n’est plus vécue seulement comme sensoriellement douloureuse, c’est surtout une chute dans son estime ou son orgueil vis à vis des autres. Cette phase est très délicate, car c’est ici que se plantent les grands schémas de relation avec les autres, le couple et le monde. C’est aussi la phase d’enrichissement de ses liquides, sous l’afflux hormonal. Cette transformation chimique profonde confère à l’enfant son pouvoir d’adulte lui permettant de créer, de donner, de recevoir et de débuter une interrelation personnalisée avec le monde. Si elle est mal vécue, elle laisse le corps en proie à de nombreuses difficultés au niveau des fluides de son corps et de son système hormonal.

• la vie adulte
Croissance, mobilité, sensibilité, émotivité, sentiment et pensée sont arrivés à terme et l’individu, ayant récupéré ses fonctions humaines, pourra véritablement développer consciemment son pouvoir créateur et organiser, sculpter, peindre, bâtir et chanter sa vie pour tendre d’en faire le poème de ses rêves. Sur cette route, les événements sont interprétés à plusieurs niveaux, mais la prédominance de la créativité tend à transformer ce qui le touche en acquisitions pour réaliser ses projets et s’exprimer. La vie de l’adulte trouve donc des périodes sensibles autour de l’énergie déployée à façonner sa vie, le faisant passer à travers de nombreux stress, épreuves, traumatismes, constructions, effondrements, et quêtes diverse de lui-même. Dans cette longue phase créative, c’est le système nerveux, outil de l’expression qui sera le plus sollicité, testé, remanié et trop souvent épuisé, dépassé, blessé.
Une écoute attentive des épreuves franchie au fil de cette maturation, des traumatismes. opérations chirurgicales, interprétée à la lumière d'une bonne connaissance de l'anatomie et de la physiologie, donne un premier fil d'Ariane pour guider le praticien vers une compréhension des phénomènes que présente aujourd'hui son patient.
Les causes peuvent se conjuguer, issues de plusieurs origines :
• un passé traumatique ayant induit des blocages mécaniques,
• des habitudes alimentaires comme décrites plus haut,
• l'abus de drogues de tous genres, y compris le médicament,
• le surmenage tant physique qu'intellectuel,
• le stress et la détresse morale, intellectuelle et spirituelle.
Tant que ces sources ne sont pas reconnues et améliorées, les résultats thérapeutiques, quel que soit le système adopté, sont incertains et instables .
Pour le Dr Fulford D.O.,
« les traumatismes peuvent arriver n’importe où, surtout près de la maison. Il y a en plus des traumatismes physiques, les traumatismes psychologiques qui sont tout aussi nocifs. Une mort dans la famille, une séparation, un divorce peuvent amener une période de deuil importante. Si ce conflit intérieur reste non résolu pendant une longue période, il peut perturber l’équilibre chimique et nerveux du corps qui peut se manifester de différentes façons allant de la crampe d’estomac à la cataracte. La détresse émotionnelle finit presque toujours par se manifester en douleur physique, quelque part entre la tête et les pieds. Les émotions ont tendance à s’accumuler au niveau du sternum et, lorsqu’il n’y a pas de mouvement à ce niveau, le Docteur Fulford suspecte à 100 % un blocage émotionnel ».

En conclusion:
Après la période hormonale, débutent des travaux psychiques plus complexes qui viennent développer la puissance d’analyse cérébrale. C’est dans ces périodes que se forgent nos outils d’expression, de communication et de création fine, analytique et spécifique. La priorité de ce moment ouvre à la conscience une vision détaillée de l’infiniment petit à l’infiniment grand et projette fréquemment dans la notion de choix et d’ouverture de la conscience. Toute influence nociceptive est interprétée sous l’angle de la raison, du sens, du symbole et de la liberté d’y réagir et de composer avec son environnement. C’est la rencontre du monde intérieur qui finalise ses caractéristiques physiques, sensorielles, affectives et mentales, avec le monde extérieur sans limite. L’âge adulte débute alors vers la fin de la vingtaine et les influences reçues affecteront en priorité la force mentale de l’individu. L’être devient capable enfin de s’assumer entièrement, il est totalement individualisé et peut commencer à réellement devenir créateur en exprimant les traits latents de sa force spirituelle colorée par sa conscience de la vie à travers son caractère, son tempérament et les influences innées et acquises qui l’ont forgé et révélé.

• Les grands moments de la vie
L’ontologie nous a beaucoup éclairé sur le rapport existant entre la maturation chronologique et successive des grands systèmes du corps et un type de comportement associé.
Ainsi, si tout le monde connaît le lien entre l’orage hormonal de l’adolescence et la découverte des sentiments, d’autres rythmes et phases sensibles sont tout aussi important à considérer pour mener à bien un travail de libération des lésions ostéopathique.
En effet, un traumatisme survenu lors de la maturation du système sensoriel n’aura pas les mêmes effets et ne laissera pas des blessures aux même structures dans le corps qu’un traumatisme survenu lors de la maturation du système endocrinien ou nerveux.

LE NOURRISSON ET L'ALLAITEMENT

Les phases sensibles affectant l’épanouissement de la vie intra-utérine correspondent à des phases de croissance importante ou d’un remaniement tissulaire. Les lois biologiques étant constantes, on peut transposer ce rapport à toute phase sensible de la vie, comme le développement neuro-moteur de l’enfant, la mise en place des caractères sexuels à l’adolescence et, en général, à tout changement de vie nécessitant assez de vitalité pour permettre une forte adaptation.
C’est donc une autre gestation qui recommence après la naissance, celle du développement neuro-moteur. Mais déjà, le déroulement harmonieux de cette période capitale pour la vie autonome est déjà conditionné. Les performances de l’enfant « peu de temps après sa naissance sont indiscutablement le produit d’une combinaison entre l’équipement génétique de l’individu, sa vie intra-utérine et l’expérience de sa naissance ».
Dès les premiers instants de vie, la profondeur des racines établies auparavant conditionnera l’émergence de l’individu et le soutiendra avec plus ou moins force.

Influences significatives sur la vie du nourrisson

Selon Bernard Darraillans D.O., toute pathologie de la mère influence la fonction physiologique de l’enfant jusqu’à 30 mois ; après, l’enfant se différencie de la mère. Pour R. Fulford,
« Une fois que l’enfant est né, mon expérience me dit que les trois premières années sont les plus importantes, et que la diète est très importante à ce moment. Le corps s’habitue à la routine alimentaire, le type, la fréquence et le rythme établissent un schéma qui aide à promouvoir une meilleure santé. La chimie du système nerveux se comporte toujours mieux lorsqu’on lui donne une routine. »
« Je considère le plexus solaire comme étant plus qu’un simple amas de nerfs. Je pense que c’est un cerveau abdominal, où les émotions sont concentrées et où elles sont générées. Le nouveau-né normal a une fonction cérébrale abdominale plus grande que celle du cerveau (Tête). Le cerveau ne commence pas à s’épanouir avant que l’enfant ait atteint l’âge de trois ans. »
L’enfant finira donc sa maturation en dehors du sein maternel avant d’être relativement autonome d’un point de vue neuro-moteur. Ce développement l’amène progressivement vers une individualisation spatiale pour rencontrer timidement le monde selon une vie plutôt végétative, très fragile, faite de sommeil et de lait.


Importance de l’allaitement

Au-delà de toutes les modes, il faudrait se rappeler que l’allaitement est fondamentalement naturel. Il permet en plus de nourrir l’enfant avec le meilleur aliment adapté à ses besoins, de poursuivre la relation unique mère-enfant. C’est un moment privilégié qui apporte réconfort, amour et protection à l’enfant.

De nombreuses études redonnent ses lettres de noblesse à l’allaitement. L’allaitement protégerait l’enfant contre la mort par maladie infectieuse . L’allaitement pourrait diminuer le risque de sclérose en plaque en fournissant entre autres les acides gras essentiels au bon fonctionnement du cerveau et des réponses auto-immunes. « Allaiter jusqu'à trois mois pourrait réduire les risques de diabète insulino-dépendant et les enfants nourris au sein montrent des capacités verbales et motrices supérieures à celle des enfants nourris au biberon.»

Selon une récente étude scandinave, l’allaitement donnerait une protection significative face aux allergies et ce, pendant de nombreuses années après le sevrage. Par contre, l’introduction au lait de vache avant l’âge de six mois prédisposerait aux fréquentes infections de l’oreille. Une autre étude vient corroborer ce fait : l’alimentation à la bouteille serait un facteur de risque dans le développement de l’otite (Teele, D.W., U.S.A.,1989).
Selon Harold I. Magoun « la pression musculaire vigoureuse de la langue contre le toit de la bouche, lors de l’allaitement, élève la sphéno-basilaire et libère le mécanisme cranio-sacré » . L’allaitement est plus qu’un moyen de se nourrir et de se réconforter pour l’enfant, c’est un moyen d’équilibrer la tension des membranes réciproques et de permettre le meilleur équilibre possible pour les structures crânio-sacré.
Jean-Pierre Amigues D.O., lors d’une conférence multidisciplinaire faite à Paris en février 2000, a pu confirmer l’importance de l’allaitement au sein qui permet la mise en place de la lordose cervicale ainsi que le développement futur du maxillaire. Selon Mme Frymann, on devrait allaiter l’enfant jusqu'à neuf mois. Après cette période, le sein devient moins nourricier et plus un réconfort, une solution au problème que l’enfant rencontre. Pour elle, il est donc important de commencer à offrir d’autre solution et plus d’autonomie à l’enfant. Le sevrage du sein est une étape importante pour l’enfant et sa mère. Il devrait se faire progressivement, en harmonie et en accord avec les besoins de l’enfant.

Déductions pratiques
Pour un bébé, le traiter en ostéopathie, c’est aussi lui redonner la chance de repasser l’épreuve de la naissance pour mieux la réussir, en lui offrant l’opportunité de se sortir de sa lésion (compression, malposition in utero) et de se défendre contre l’agresseur (forceps, ventouse, anesthésie) Et ceci, dans des conditions où il pourra être le vainqueur et ainsi optimiser sa santé et l’expression de son être. Nous pouvons à ce moment par notre attitude, notre présence et notre pensée, démontrer à l’enfant notre sentiment d’accueil et d ‘amour; ce petit être qui vient de la lumière pour s’incarner dans la matière à travers le long tunnel maternel y sera très réceptif (concept de Bernard Montaud).

Pour le traitement spécifique des structures crâniennes et pelviennes il est bon de se référer entre autres aux ouvrages de W.G.Sutherland, D.O., Harold I.Magoun D.O. et de Viola Frymann D.O.

Nous présentons brièvement les principes de traitement de deux ostéopathes qui illustre à merveille la conscience de notre rôle thérapeutique et prophylactique en ostéopathie.
• Selon les principes de Denyse Dufresne D.O. :
Denyse Dufresne D.O. considère les nourrissons comme des petits êtres à part entière. « Le bébé, l’enfant exprime un mal-être à travers des troubles physiologiques tels une otite, de l’asthme.»Dès le début de la séance elle s’adresse directement à lui pour l’impliquer : « Est-ce que je peux faire quelque chose pour toi ? » La réponse peut être gestuelle, le bébé place une main sur l’endroit qui l’embête ou émotive, on perçoit alors un changement d’expression subit. L’anamnèse et l’observation des postures et de la coordination font également parties de la méthodologie d’évaluation. Il y a ensuite la palpation et le traitement où l’ostéopathe devient un point d’appui, un fulcrum pour le bébé, l’enfant.
• Selon les principes de Robert Rousse :
Robert Rousse accorde une grande importance, au recoupement des signes. C’est à dire que, toutes les informations se recouperont; l’observation, la palpation et l’histoire de cas raconté par les parents de l’enfant. Seul les tissus savent la mise en place de l’enchaînement lésionnel, le recoupement, la synthèse des éléments permet d’augmenter notre compréhension de la réalité tissulaire. De cette façon nous pouvons libérer les structures de leurs lésions, en relation avec la posture dans laquelle celles-ci se sont créés et ainsi regagner de façon optimale le mouvement céphalo-caudale de l’axe duremérien, et celui de la périphérie (rotation interne-externe).

samedi, 22 septembre 2007

Besoin de respect et d'écoute

L'amour est une nourriture pour l'enfant qui lui permet d'évoluer, mais le respect et l'écoute sont une orentation qui leur permet de se diriger et de se sécuriser dans le monde.

vendredi, 21 septembre 2007

Les enfants en question

Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait! Mark Twain

Voilà la condition des enfants! Quelle responsabilité! Mais quel terrain de créativité pour les adultes!

Les enfants sont prêts à tout car ils ne connaisent pas l'impossible, il le découvre dans les yeux des adultes et dans notre compréhension des lois de la nature.

Prendre un enfant par la main


Les écoles Waldorf, ou Montessori et bien des écoles alternatives l'ont compris en offrant une éducation basée sur les véritables besoins des enfants tout en les amenant aux niveaux scolaires demandés.
(F.A.)

Un petit clin d'oeil sur les aberrations de l'école par Gad Elmaleh:


L'école vu comme le mur de la prison d'en face par des ado qui s'amuse sur une musique d'Yves Duteil!