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jeudi, 27 mars 2008

Hooponopono: aux racines de la santé, de nos responsabilités et du soin

Vous trouverez ci-après 3 articles sur les formidables découvertes du Dr Len qui ramène aux source de la simplicité le meilleur moyen de cultiver sa santé et de se guérir!
Je vous conseille particulièrement le 3ième article.
Vous trouverez des vidéos très parlantes issues de youtube, particulièrement à la toute fin de ces articles.


HO'OPONOPONO * (Par Joe Vitale)

Il y a deux ans, j'ai entendu parler d'un thérapeute d'Hawaii qui a guéri une salle complète de patients aliénés criminels - sans jamais voir aucun d'eux.
Le psychologue étudiait le dossier d'un interné et ensuite regardait en lui-même pour voir comment il avait créé la maladie de cette personne. À mesure qu'il s'améliorait lui-même, le patient s'améliorait.

Quand j'ai entendu cette histoire pour la première fois, j'ai pensé que c'était une légende urbaine. Comment quelqu'un pouvait- il guérir quelqu'un d'autre en se guérissant lui même ?
Comment même le meilleur maître de l'autoamélioration pouvait-il guérir l'aliéné criminel ?
Ça n'avait pas de sens. Ce n'était pas logique.
J'ai donc rejeté cette histoire. Cependant, je l'ai entendue de nouveau un an plus tard. J'ai entendu dire que le
thérapeute avait utilisé un procédé de guérison hawaïen appelé« ho'oponopono ». Je n'en avais jamais entendu
parler, pourtant je ne pouvais laisser cela me sortir de l'esprit. Sil'histoire était vraie, je devais en savoir davantage.

J'avais toujours compris que « responsabilité totale » signifiait que j'étais responsable de ce que je pensais et de ce que je faisais. Au-delà de ça, je n'y étais pour rien. Je croisque la plupart des gens considèrent la responsabilité totale de cette façon-là. Noussommes responsables de ce que nousfaisons, pas de ce que n'importe qui d'autre fait - mais cela est faux.

Le thérapeute hawaïen qui a guéri ces personnes malades mentales allait m'enseigner une nouvelle perspective
avancée sur la responsabilité totale.

Il s'appelle Dr Ihaleakala Hew Len. Nous avons probablement passé une heure à parler lors de notre premier appel téléphonique. Je lui ai demandé de me raconter toute l'histoire de son travail en tant que thérapeute.
Il a expliqué qu'il avait travaillé quatre ans à l'hôpital de l'État d'Hawaii. Cette salle où ils gardaient les malades mentaux criminels était dangereuse. Des psychologues la quittaient chaque mois. Le personnel prenait beaucoup de congés de maladie ou s'en allait, tout simplement. Les gens marchaient dans cette salle en gardant le dos contre le mur, craignant d'être attaqués par les patients. Ce n'était pas un endroit agréable où vivre, travailler ou venir en visite.

Le Dr Len m'a dit qu'il ne voyait jamais ses patients. Il accepta d'avoir un bureau et de voir les dossiers.
Pendant qu'il regardait les dossiers, il travaillait sur lui-même. A mesure qu'il travaillait sur lui-même, les
patients commençaient à guérir.

« Après quelques mois, des patients à qui l'on avait dû mettre des entraves furent autorisés à marcher
librement, m'a-t-il dit. D'autres, qui avaient dû être lourdement médicamentés commencèrent à
abandonner leurs médicaments. Et ceux qui n'avaient aucune chance d'être relâchés furent libérés. » J'étais stupéfait.
« Pas seulement cela, poursuivit-il, le personnel commença à se plaire à venir travailler. L'absentéisme et le roulement du personnel prirent fin. Nous avons fini par avoir plus de personnel que nous en avions besoin parce que les patients étaient relâchés et que tout le personnel se présentait pour
travailler. Aujourd'hui, cette salle est fermée. »

C'est là que je devais poser la question à un million de dollars: « Qu'est-ce que vous faisiez en vous-même qui amenait ces gens à changer ? » « Tout simplement, je guérissais la partie de moi qui les avait créés », a-t-il dit. Je ne comprenais pas. Le Dr Len a expliqué que la responsabilité totale pour votre vie signifie que tout dans votre vie - simplement parce que c'est dans votre vie - est de votre responsabilité. En un sens littéral, le monde entier
est votre création.

Ouais. Cela est difficile à avaler. Être responsable de ce que j'ai dit ou fait est une chose. Être responsable de ce que chacun dans ma vie dit ou fait est une tout autre chose.

Pourtant, la vérité, c'est que si vous assumez la complète responsabilité de votre vie, alors tout ce que vous voyez, entendez, goûtez, touchez ou expérimentez de quelque façon est de votre responsabilité parce que c'est dans votre vie.

Cela signifie que les activités terroristes, le président, l'économie - quoi que ce soit que vous expérimentiez et que vous n'aimiez pas, c'est à vous qu'il revient de les guérir. Ils n'existent, pour ainsi dire, que comme des
projections venant de l'intérieur de vous. Le problème n'est pas leur, il est vôtre et pour les changer, vous avez à vous changer.

Je sais que cela est difficile à saisir, sans parler que c'est difficile à accepter et à vivre pour de vrai. Le blâme est beaucoup plus facile que la responsabilité totale, mais à mesure que je parlais avec le Dr Len j'ai commencé à réaliser que la guérison pour lui et dans le « ho'oponopono » signifie s'aimer soi-même.

Si vous voulez améliorer votre vie, vous devez guérir votre vie. Si vous voulez guérir quelqu'un - même un criminel malade mental vous le ferez en vous guérissant.

J'ai demandé au Dr Len comment il s'y prenait pour se guérir lui-même. Qu'est-ce qu'il faisait, exactement, quand il regardait les dossiers de ces patients ?

« Je faisais juste répéter "Excusez-moi" et "Je vous aime" encore et encore », a-t-il expliqué.
« C'est tout ? »
« C'est tout. »

Il se trouve que vous aimer vous-même est la plus merveilleuse façon de vous améliorer, et à mesure que vous vous améliorez, vous améliorez votre monde.

Laissez-moi vous donner un exemple rapide de la façon dont ça marche: un jour, quelqu'un m'a envoyé un courriel qui m'a contrarié. Auparavant, j'aurais traité la situation en travaillant sur mes points faibles émotionnels ou en essayant de raisonner avec la personne qui avait envoyé le message désagréable.
Cette fois-là, j'ai décidé d'essayer la méthode du Dr Len. Je répétais en silence « Excusez-moi » et « Je vous aime », je ne le disais à personne en particulier.
J'évoquais simplement l'esprit d'amour pour guérir en moi ce qui avait créé la circonstance extérieure. En moins d'une heure j'ai reçu un courriel de la même personne. Il s'excusait pour son message précédent. Rappelez-vous que je n'avais pris aucune mesure extérieure pour obtenir ces excuses. Je ne lui avais même pas répondu.

Pourtant, en disant « Je t'aime », j'avais en quelque sorte guéri en moi ce qui le créait.

J'ai par la suite participé à un atelier de « ho'oponopono » animé par le Dr Len. Il a maintenant 70 ans, il est considéré comme un grand-père chaman et il est quelque peu solitaire. Il a louangé mon livre The Attractor Factor. Il m'a dit qu'à mesure que je m'améliorerai la vibration de mon livre augmentera et que chacun le sentira
quand il le lira. Bref, dans la mesure où je m'améliorerai, mes lecteurs s'amélioreront.
« Qu'en est-il des livres qui sont déjà vendus et qui se trouvent un peu partout ? », ai-je demandé. « Il ne sont pas "un peu partout" », a-t-il expliqué, m'étonnant encore une fois avec sa sagesse mystique. « Ils sont encore en vous. » En résumé, il n'y a pas d'un peu partout.

Cela prendrait un livre entier pour expliquer cette technique avancée avec la profondeur qu'elle mérite. Qu'il suffise de dire que chaque fois que vous voulez améliorer quelque chose dans votre vie, il n'y a qu'une seule place où regarder: en vous. Et quand vous regardez, faites-le avec amour.

Par Joe Vitale



* Ho'oponopono signifie rendre droit, rectifier, corriger. (NDT)

Texte traduit de l'américain par Andrée Thouin.
Texte original : http://www.freewebs.com/shamanism/articles.htm

Conséquences pratique sur la méthode de "non vouloir" de Joe Vitale:


Pour en savoir davantage sur la méthode ho'oponopono,
on peut consulter le site en langue anglaise : http://www.hooponopono.org/

Description synthétique de la méthode:



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ho’oponopono d’harmonie à la maison - (extrait du site: http://www.googleville.org/hooponopono-dharmonie-a-la-maison)

Une des histoires les plus intéressantes que j’ai entendues au cours de la dernière année a été au sujet d’un thérapeute qui provoque le changement des vies des hommes durcis dans une aile de prison en se reliant au divin. Tandis que restant dans son bureau au service, sans égal ayant le contact avec chacun de ses patients, Dr. Len, tout en aimant le divin et se concentrant sur aimer les hommes dans son soin, changé l’expérience tout autour de lui. Il a employé la pratique oponopono de Ho’ de prendre la responsabilité de toute la pensée, sentiment, action, réaction, douleur, la colère, violence autour de lui et a permis au divin de le changer de sorte que toute la celle ait absorbé de son expérience.

Dr. Joe Vitale a écrit un livre appelé les limites zéro au sujet de cette pratique oponopono de Ho’. En raison du miracle exprimé en histoire de Dr. Len’s, j’ai commencé il y a un certain nombre de mois à employer l’incantation suggérés dans le livre, toutes les fois qu’il vient à l’esprit. Cette pratique simple que je peux attribuer à créer plus d’harmonie à la maison, un de mes principes plus évalués pour vivre près.

Oponopono de Ho le’ prie d’une manière simple, mémorise quelques mots et les indique répétitivement au divin :
* Je suis désolé,
* Veuillez me pardonner,
* Merci,
* Je t’aime.
Pour l’expliquer simplement, cette pratique me prouve que je suis responsable de toutes les choses qui apparaissent dans le monde. En se reliant au divin, je me permets d’être `nettoyé’ de toutes choses qui limitent mon amour pour et aiment du divin. En effet, aujourd’hui je suis responsable de tout dans ma vie, que ce soit considéré bon ou le mauvais aux yeux du monde.

J’ai noté que cette petite expression et l’amour que je me sens en conséquence, a souvent changé les résultats des situations dans mes rapports avec ceux près de moi. Ils ont également affecté les circonstances qui je me suis senti étais hors de ma commande, de communications avec tels qui étaient un défi à moi, et de l’effet des erreurs que j’ai faites.

Quand j’agis d’une manière consciente de se relier au divin en dedans de façon régulière, je me rappelle d’agir d’une manière dont est plus près de qui je vraiment AM que des manières qui sont des distractions en mon monde journalier comme le souci, le mécontentement, l’impatience ou l’apathie.

L’harmonie est à la maison l’une de mes valeurs plus élevées et quand je la trouvaille moi-même au milieu du désaccord, se rappelant cette expression est tellement plus facile qu’essayant de figurer dehors ce qui tourne mal ! Quand je dis,
* Je suis désolé,
* Veuillez me pardonner,
* Merci
* Je t’aime,
Je la dis, non seulement à Dieu, mais également à moi, à mon mari, à mon fils, au monde.

Quand la violence du monde me frappe de l’écran de TV, je dis cette expression et la réalise que je peux changer pour contribuer à la paix. Quand je vois des actes de haine dans le monde, je dis cette expression et sais que j’ai également la haine en dedans ou il y aurait seulement harmonie parmi des personnes. Par conséquent, je dis cette expression, aimer le divin, constatent que ma haine est nettoyée hors de moi, et dans ce processus, créent des expériences de l’amour pour et dans d’autres tout autour de moi.

Cette pratique est la finale en prenant la responsabilité des actions et des rapports à un, particulièrement à la maison. Je vois comment je contribue au manque d’harmonie entre mon mari et fils parfois. Je vois comment je défie le divin chez mon mari en discutant avec lui. Je vois comment je limite le rapport de mon fils avec le divin par mes espérances.

Il seul est dans le nettoyage de `’ de ces interactions chez moi, cette notre maison devient sain, harmonieux, et hospitalier. Pour ce processus, je suis reconnaissant au divin.

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Du Dr Cat Saunders, ce formidable article traduit de l'anglais (traduit "artisanalement") et suivit de la version originale en anglais (que je vous conseille si vous le comprenez, issus de son site web: http://www.drcat.org/articles_interviews/html/hotfudge.html):

100% responsabilité et la promesse d'un Hot Fudge Sundae
Une entrevue avec Len Ihaleakala Hew


Par Cat Saunders

100% Responsabilité et la possibilité d'un sundae au chocolat chaud

"Soit nous nous tuons nous-même, soit nous nous nourrissont. Il n'y a pas d'entre deux"
-Haleakala Hew Len, Ph.D.

Comment remercier quelqu'un qui nous a aidé à nous libérer? Comment remercier un homme, qui par ses énoncés et son esprit, a pour toujours changé la direction de notre vie? Haleakala Hew Len est un tel homme pour moi. Tel un frère d'âme qui apparaît, imprévue, en heure de besoin. Haleakala est entré dans ma vie en mars 1985, dans un temps de grand changement pour moi. Je l'ai rencontré dans un séminaire s'intitulant "Self I-dentity through Ho'oponopono" - "auto-dentité" qu'il a animé avec le regretter Morrnah Nalamaku Simeona, un 'kahuna' natif de Hawaii ("gardien du secret").

Pour moi, Haleakala et Morrnah font partie du rythme de la vie. Quoique je les aime tous les deux beaucoup, je ne m'appuie pas sur l’idée que je me fais d'eux en tant qu'être humain, bien que leurs influence soit toujours présente pour moi comme en battement régulier comme des tambours africain au milieu de la nuit. Récemment j'ai eu l'honneur d'avoir été demandé, par The Foundation of I, Inc., (Freedom of the Cosmos) fondée par Morrnah, pour interviewer Haleakala. C'était un encore plus grand honneur d'apprendre qu'il venait me rencontrer personnellement depuis son pays natal, Hawaii, pour l'interview.

Dr. Haleakala S. Hew Len est le Président et L'administrateur de la Fondation. Ensemble avec Morrnah, Haleakala a travailler avec des milliers de gens pendant des années : avec des groupes des Nations Unies, de L'UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organisation), l'International Human Unity Conference on Peace, World Peace conference, Traditional Indian Medicine Conférence, Healers for Peace in Europe, et l'Association des Professeurs de L'Etat de Hawaii. Il a aussi beaucoup d'expérience dans de travail avec gens en difficulté de développement, les malades mentaux criminels et leurs familles. Dans son travail en tant qu'Educateur, le processus Ho'oponopono soutient et transpire chaque souffle de ses efforts.

Simplement dit, Ho'oponopono veut dire, "de faire correctement" ou "rectifier une erreur." Selon les anciens Hawaiiens, l'erreur survient de pensés, teintées de mémoires douloureuses du passé. Ho'oponopono offre une façon de laisser aller l'énergie de ces pensés douloureuses, ou des erreurs qui causent le déséquilibre et la maladie.
Avec le processus mis a jour de Ho'oponopono, Morrnah a été guider pour définir les trois parties du soi, qui sont la clé pour la Self I-dentity- (auto i-dentité). Ces trois parties existant dans chaque molécule de la réalité sont appelées « Unihipili » (enfant/subconscient), « Uhane » (mère/conscient), et « Aumakua » (père/superconscient).
Quand cette "famille intérieure" est alignée, la personne est en rythme avec la Divinité. Avec cet équilibre, la vie commence à couler. De cette façon, Ho'oponopono aide a rétablir l'équilibre dans l'individu tout d'abord, et ensuite dans toute la création.

En m'apprenant ce système en trois parties, en plus du processus le plus puissant du « pardon », Haleakala et Morrnah m'ont aussi appris ceci: la meilleure façon d'apporter la guérison dans toutes les facettes de ma vie et dans tout l'univers est de se rendre responsable à 100% et de travailler sur soi-même.
Par surcroît, ils nous ont appris le savoir simple du 'soins de soi-même total'. Comme Haleakala l'a exprimé lui-même dans un mémo de remerciement après son interview: "Prends bien soin de toi! Si tu le fais, tous en seront les bénéficiaires".

Une fois, Haleakala a quitté le séminaire que je suivais avec lui, pour tout en après-midi parce que son « Unihipili (enfant/subconscient) » lui a dit de retourner a son hôtel et de faire une longue sieste. Bien sûr tout en étant responsable, et Morrnah était là pour enseigné. Même a ça, son absence a laissé une marque en moi qui avait été éduqué à mettre les autres avant moi-même. L'action de Haleakala m'a épaté et réjouie; il a eu sa sieste et moi, une leçon inoubliable d'auto soins.

Cat: Haleakala, quand je vous ai rencontré en 1985, je venais tout juste d'ouvrir ma pratique privé, après avoir travaillé comme conseillère auprès d'agences durant 4 ans. Je me rappelle que vous aviez dit: "Toutes thérapies sont des formes de manipulations," et j'ai pensé "Ohlala! qu'est-ce que je devrais faire maintenant?". Je savais que vous aviez raison et je me suis presque résigné! Evidemment je ne l'ai pas fais, mais cette phrase a complètement changé ma façon de travailler avec les gens.

Haleakala: La manipulation se passe quand moi, en tant que thérapeute, j’arrive avec l'idée que tu est malade et que je vais travailler sur toi. D'un autre coté, ce n'est pas de la manipulation si je prends conscience que tu viens vers moi pour me donner une possibilité de regarder ce qu’il se passe en moi. Il y a une grande différence!

Si la thérapie est basée sur le croyance que tu es là pour sauver l'autre personne, guérir l'autre ou dirigé l'autre personne, à ce moment là, l'information proposée sortira de ton intellect, de la pensé consciente. Mais l'intellect n’a pas une vraie compréhension des problèmes et comment les aborder. Il n'est pas donné à l'intellect de comprendre que quand un problème est résolu par la transmutation, par le processus Ho'oponopono ou un autre processus similaire, dès lors le problème, et tout ce qui lui était relié, est résolu, même sur le niveau microscopique et jusqu'au début des temps.
Donc, je crois que la question la plus importante à poser est, “Quel est le problème?” Si vous demandez aux gens, il n’y a pas de clarté, ils inventent une façon de régler le problème…

Cat: … Comme si le problème est “en dehors”.

Haleakala: Oui. Par exemple l’autre jour j’ai reçu un appel de la fille d’une dame qui a 92ans qui dis: “cela fait plusieurs semaines que ma mère a ces douleurs atroces aux hanches.” Pendant qu’elle me parle, je pose cette question a la divinité, “Qu’est-ce qui se passé en moi pour que je crée cette douleur en cette femme?” ensuite je demande, “Comment puis-je rectifié le problème en moi?” La réponse a ces questions me vient et je fais ce qu’il m’ai demandé.
Peut-être une semaine plus tard, cette femme me rappelle et me dit “ma mère va mieux maintenant”. Cela ne veut pas dire que le problème ne se reproduira plus car il y a de multiples causes qui produisent apparemment le même problème.

Cat: J’ai beaucoup de maladies récurrentes et des douleurs chroniques. Je travaille tout le temps en utilisant la méthode Ho’oponopono et d’autre processus de nettoyage pour réparer la douleur que j’ai causé depuis le début des temps.

Haleakala: Oui. L’idée étant que les gens comme nous, sommes dans des professions de guérison parce que nous avons causé beaucoup de douleur.

Cat: Ô oui! (Big time!)

Haleakala: Qu’est-ce qu’il est génial de savoir cela, et de se faire payer pour avoir cause leurs problèmes!

Je disais cela à une dame à New York, et elle me répondit, “Dieu, si seulement ils savais!” Mais vous voyez, personne ne sait. Les Psychologues et les Psychiatres continuent de penser qu’ils sont là pour soigner les autres.

Donc, si quelqu’un comme vous vient me voir, je demande à la divinité, « S’il vous plaît, quoi qu’il se soit passé en moi qui a causé cette douleur en Cat, dites moi comment je peux le rectifier. Et j’appliquerai l’information que je reçois indéfiniment, jusqu’à ce que votre douleur soit partis ou jusqu’à ce que vous me demandiez d’arrêter. » Ce n’est pas autant le résultat qui est important mais de se rendre au problème. C’est ça la clé.

Cat: Vous ne vous fixez pas sur le résultat parce que nous ne sommes pas responsable de ça.

Haleakala: C’est ça. On peut seulement voter.

Cat: Nous ne savons pas non plus quand est-ce qu’une douleur ou une maladie particulière va bouger.
Haleakala: Oui. Disons qu’une femme prenait une herbe qui a été recommandé, et ça ne marche pas. Encore une fois la question se pose « Que se passe-t-il en moi pour que chez cette dame, ces herbes ne marche pas? Je travaillerai sur cela. Je continuerai à nettoyer, en gardant ma bouche fermé, en permettant au processus de transmutation de se faire. » Aussi tôt que l’intellect s’engage, le processus s’arrête. La chose à se souvenir quand un processus ne semble pas fonctionner c’est ceci: il y a peut-être de multiples erreurs, de multiples problèmes ou des mémoires qui causent la douleur. Nous ne savons rien! Seule la divinité sait ce qu’il se passe vraiment.

Je donnais une présentation à Dallas le mois dernier, et je parlais à une femme, maître en Reiki. Je lui ai dit “laissez- moi vous poser une question. “Quand quelqu’un vous arrive avec un problème, ou est ce problème?” Elle avait l’air perplexe quand je lui ai dit ensuite, “vous êtes celle qui avait causé le problème, et votre patient va vous payer pour guérir le problème!” Personne ne comprend cela.

Cat: 100% de responsabilité!

Haleakala: savoir à 100% que vous êtes la cause du problème. Savoir à 100% que vous avez la responsabilité, et ensuite, rectifiez l’erreur. Pouvez-vous imaginez si nous savions tous que nous sommes 100% responsable?
J’ai fait une entente avec moi-même il y a dix ans que je me récompenserai d’un sundae au chocolat chaud fondant, tellement gros qu’il me rendrai malade, si je pouvais passer une journée sans avoir de jugement envers quelqu’un. Je n’ai jamais réussi. Je remarque que je suis plus vigilant mais je n’y arrive pas une journée complète.
Alors comment faire comprendre aux gens que nous sommes chacun 100% responsable?

Si vous voulez résoudre un problème, travaillez sur vous-même. Si le problème est avec quelqu’un d’autre par exemple, demandez vous simplement, “qu’est-ce qu’il s’est passé en moi qui fait que cette autre personne m’énerve?” Les gens n’apparaissent dans votre vie que pour vous énerver! Si vous savez cela, vous pouvez relever n’importe quelle situation, et vous pouvez vous laisser aller à ce moment. C’est très simple: “Je suis désolé pour quoi qu’il se soit passé, s’il te plais pardonne moi”.

Cat: Vous n’êtes pas obligé de leur dire cela tout haut, et vous ne devez même pas comprendre le problème.

Haleakala: C’est la beauté dans tout ça. Vous n’êtes pas obligés de comprendre. C’est comme sur internet. Vous ne comprenez pas tout! Vous allez simplement vers la divinité et vous dites, “est-ce que on peut télécharger?” et la divinité télécharge pour que vous ayez l’information nécessaire. Mais parce que nous ne savons pas qui nous sommes, nous ne téléchargeons jamais directement cette lumière. Nous allons à l’extérieur.
Je me souviens que Morrnah disait: “C’est une job d’intérieur.” Si vous voulez réussir, c’est un travail d’intérieur. Travaillez sur vous-même.

Cat: Je sais que 100% responsable est la seule chose qui fonctionne vraiment, mais je me débattais avant avec tout ça, parce que je suis un type de personne « sur-responsable » et attentionné envers les autres.
Quand je vous ai entendu parler d’être 100% responsable pas seulement pour moi mais pour toute situation et problème, j’ai pensé, “Waouh! C’est fou! Je n’ai pas besoin que quelqu’un me dise d’être encore plus responsable!” Mais plus j’y pensai, plus je me rendais compte qu’il y a une grande différence entre « sur-responsable et attentionné envers les autres », versus, « le soin de soi complètement responsable ». Le premier est a propos d’être une gentille petite fille et le deuxième veut dire: se libérer.
Je me souviens quand vous parliez des années où vous étiez psychologue dans l’hôpital de l’état de Hawaii auprès de fous criminels. Vous disiez qu’au début, il y avait beaucoup de violence dans ce département, et en partant, après vos quatre ans de travail, il n’y en avait plus.

Haleakala: C’est vrai. J’allais seulement dans ce département pour vérifier les résultats. S’ils avais encore l’air déprimés, je retournai travailler sur moi-même encore plus.

Cat: Pouvez-vous nous raconter une histoire pour comprendre comment on peut utiliser Ho’oponopono sur les objets soi-disant inanimés?

Haleakala: J’étais dans un auditorium, me préparant à donner une conférence, et je parlais aux chaises. Je leur demandais, “est-ce que j’ai manqué quelqu’un? Est-ce quelqu’un a un problème duquel je dois m’occuper?” Une des chaise m’a dit, “Tu sais, il y a un gars qui était assis sur moi plus tôt et il avait des problèmes financiers, et maintenant je me sens tout simplement morte!” Donc, j’ai nettoyé ce problème en moi et je pouvais voir la chaise qui se redressait! Ensuite j’ai entendu, “Ok, je suis prête a m’occuper du prochain!”
Ce que j’essaye en fait de faire, c’est d’enseigner à la salle. Je dis à la salle et à tout les objets qui sont dedans, “Est-ce que vous voulez apprendre comment on fait Ho’oponopono? Après tout, je vais repartir bientôt et ne serait’il pas bien si vous pouviez faire ce travail par vous même? Il y en a qui disent oui, d’autres disent non, et d’autres disent, “je suis trop fatigué!”
Et ensuite je demande la divinité, “S’ils disent qu’ils aimeraient apprendre, comment les aider à apprendre?” La plupart du temps, je reçois ceci: “laisse le livre bleu (auto identité avec Ho’oponopono) avec eux.” Donc je sors un livre bleu et je le laisse sur une des chaises ou sur une table pendant que je parle. On ne donne pas assez de crédit aux tables d’être silencieuses et conscientes de ce qui se passe!

Ho’oponopono est vraiment très simple. Pour les anciens Hawaiiens, tout problème commence par une pensé. Mais d’avoir une pensé n’est pas le problème. Alors quel est le problème? Le problème est que toutes nos pensés sont gorgées de mémoires douloureuses, des mémoires de personnes, de places, ou de choses.
L’intellect qui travaille seul ne peut résoudre ces problèmes, parce que l’intellect ne fait que gérer. Gérer les choses n’est pas une façon pour les résoudre. Vous voulez les laisser aller! Quand vous faites Ho’oponopono, ce qu’il ce passe c’est que la Divinité prend les pensés douloureuses et les neutralises ou les purifient. Vous ne purifiez pas la personne, la place ou la chose, vous neutralisez l’énergie que vous associez à la personne, place ou chose. Donc la première étape de Ho’oponopono est la purification de cette énergie.
Quelque chose de magnifique ce passe. Vous ne devez pas savoir quel est le problème ou l’erreur. Tout ce que vous avez à faire c’est de remarquer le quelconque problème que vous sentez physiquement, mentalement, ou émotionnellement. Une fois remarqué, votre responsabilité est d’immédiatement commencer à le nettoyer en disant “je regrette. S’il vous plaît pardonnez-moi.”

Cat: Donc le vrai travail de l’intellect n’est pas de résoudre les problèmes, mais de demander le pardon.
Haleakala: Oui. Mon travail ici sur terre a deux volets. Mon travail est en premier de faire amende honorable. Mon deuxième travail est de réveiller les gens qui sont peut-être endormis. Presque tous sont endormis! La seule façon de les réveiller c’est de travailler sur moi-même. Notre interview en est un exemple. Des semaines avant notre rendez-vous d’aujourd’hui, je faisais ce travail de nettoyage pour que quand vous et moi nous nous rencontrerons, ce soit comme deux eaux qui se rencontrent. Elles se traversent et laissent passer. C’est tout.
Cat: Dans mes dix ans d’expérience a faire des interviews, c’est le premier pour lequel je ne me suis pas préparée. À chaque fois que je faisais le point en moi-même, mon Unihipili disait que je devais simplement venir et être avec vous. Mon intellect devenait fou en essayant de me convaincre de me préparer, mais je ne l’ai pas fais.

Haleakala: Bravo! Le Unihipili peut être très amusant. Un jour j’étais sur l’autoroute à Hawaii. Quand je m’apprêtai à prendre ma sortie habituelle, j’ai entendu mon Unihipili me dire avec une voix chantante, “je n’irai pas par là si j’étais toi.” Je me suis dis, “mais je vais toujours par là.” Encore plus proche de cette sortie j’entend, “Hello! je n’irai pas par là si j’étais toi!” seconde chance. “Mais je vais toujours par là!” Je suis en train de parler tout haut et les gens dans les voitures à côté de moi pensent que je suis fou. À peu près à 25 mètres de la sortie, j’entends tout fort, “je n’irais pas par là si j’étais toi!” Je prends ma sortie et j’y reste coincé deux heures et demi parce qu’il y avait un immense accident. Je ne pouvais pas reculer, ni avancer. Finalement j’entends mon Unihipili dire, “je te l’ai dit!” Et après il ne m’a plus reparlé pendant des semaines! Evidemment. Pourquoi me parler si je n’écoutais pas?
Je me souviens d’une fois quand j’allais passer à la télévision pour parler de Ho’oponopono. Mes enfants en avaient entendu parler et me dirent, “papa, on a entendu que tu vas être à la télévision, assures-toi que tes chaussettes soit bien assorties!” Ils ne se préoccupaient pas de savoir ce que j’allais dire. Ils se préoccupait seulement que mes chaussettes soient assorties. Vous voyez comment les enfants connaissent ce qui est important dans la vie?

Si vous vous posez des questions à propos de la casquette de baseball, Haleakala la porte pour se rappeler de ne pas être trop intellectuel. Le fond bleu représente le néant, ou le vide, et le “P” rouge représente la Mère Terre, ou la force Créatrice, Pele.


Cat Saunders, Ph.D. est l’auteur de Dr. Cat’s Helping Handbook.
Pour plus d’informations: http://www.drcat.org

Cette interview a été publié par The New Times à SEATTLE, WA, en Septembre 1997.

Pour plus d'informations sur Ho'oponopono ou de prendre contact avec Ihaleakala Hew Len, Ph.D., s’il vous plaît visitez http://www.hooponopono.org.


Version anglaise

100% Responsibility and the Promise of a Hot Fudge Sundae
An Interview with Ihaleakala Hew Len

By Cat Saunders
How do you thank someone who has helped to set you free? How do you thank a man whose gentle spirit and zinger statements have forever altered the course of your life? Ihaleakala Hew Len is such a man for me. Like a soul brother who shows up unexpectedly in an hour of need, Ihaleakala came into my life in March of 1985, during a time of massive change for me. I met him during a training called "Self I-Dentity Through Ho'oponopono," which he facilitated along with the late Morrnah Nalamaku Simeona, a native Hawaiian kahuna ("keeper of the secret").

For me, Ihaleakala and Morrnah are part of the rhythm of life. Though I love them both dearly, I don't really dwell on thoughts of them as people, yet their influence is always there for me, beating a steady pulse like African drums in the night. Recently, I had the honor of being asked to interview Ihaleakala by The Foundation of I, Inc. (Freedom of the Cosmos), an organization founded by Morrnah. It was an even greater honor to learn that he would be coming from his home in Hawaii to meet with me personally.

Dr. Ihaleakala S. Hew Len is the foundation's president and administrator. Together with Morrnah, Ihaleakala has worked with thousands of people over the years, including groups at the United Nations, UNESCO (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization), International Human Unity Conference on World Peace, World Peace Conference, Traditional Indian Medicine Conference, Healers for Peace in Europe, and the Hawaii State Teachers Association. He also has extensive experience working with developmentally disabled people and with the criminally mentally ill and their families. In all his work as an educator, the Ho'oponopono process supports and permeates every breath of his efforts.

Simply put, Ho'oponopono means, "to make right," or "to rectify an error." According to the ancient Hawaiians, error arises from thoughts that are tainted by painful memories from the past. Ho'oponopono offers a way to release the energy of these painful thoughts, or errors, which cause imbalance and disease.

Along with the updated Ho'oponopono process, Morrnah was guided to include the three parts of the self, which are the key to Self I-Dentity. These three parts — which exist in every molecule of reality — are called the Unihipili (child/subconscious), the Uhane (mother/conscious), and the Aumakua (father/superconscious). When this "inner family" is in alignment, a person is in rhythm with the Divinity. With this balance, life begins to flow. Thus, Ho'oponopono helps restore balance in the individual first, and then in all of creation.

By introducing me to this three-part system, along with the most powerful forgiveness process I know (Ho'oponopono), Ihaleakala and Morrnah taught me this: the best way to bring healing to every part of my life — and to the entire universe — is to take 100% responsibility and work on myself. In addition, they taught the simple wisdom of total self-care. As Ihaleakala said in a thank-you note after our interview: "You take good care of yourself. If you do, all will be beneficiaries."

Once, Ihaleakala left for an entire afternoon in the middle of a training I was taking, because his Unihipili (child/subconscious) told him to go to his hotel and take a long nap. Of course, he was responsible about leaving, and Morrnah was there to teach. Even still, his exit made a lasting impression on me. For someone like me, raised in a family and culture that admonished me to put others first, Ihaleakala's actions astounded and delighted me. He got his nap, and I got an unforgettable lesson in self-care.

Cat: Ihaleakala, when I met you in 1985, I'd just started private practice after working as a counselor in agencies for four years. I remember you said, "All therapy is a form of manipulation." I thought, "Jeez! What am I supposed to do now?" I knew you were right, so I almost quit! Obviously, I didn't, but that statement completely changed the way I work with people.

Ihaleakala: Manipulation happens when I (as a therapist) come from the idea that you are ill and I am going to work on you. On the other hand, it's not manipulation if I realize that you are coming to me to give me a chance to look at what's going on in me. There's a big difference.

If therapy is about your belief that you're there to save the other person, heal the other person, or direct the other person, then the information you bring will come out of the intellect, the conscious mind. But the intellect has no real understanding of problems and how to approach them. The intellect is so picayunish is its way of solving problems! It doesn't realize that when a problem is solved by transmutation — by using Ho'oponopono or related processes — then the problem and everything related to it is solved, even at microscopic levels and back to the beginning of time.

So first of all, I think the most important question to ask is, "What is a problem?" If you ask people this, there's no clarity. Because there's no clarity, they make up some way of solving the problem…

Cat: … as if the problem is "out there."

Ihaleakala: Yes. For example, the other day I got a call from the daughter of a woman who is 92. She said, "My mother's had these severe hip pains for several weeks." While she's talking to me, I'm asking this question of the Divinity, "What is going on in me that I have caused that woman's pain?" And then I ask, "How is it that I can rectify that problem within me?" The answers to these questions come, and I do whatever I'm told.

Maybe a week later the woman calls me and says, "My mother's feeling better now!" This doesn't mean the problem won't recur, because there are often multiple causes for what appears to be the same problem.

Cat: I have a lot of recurring illness and chronic pain. I work with it all the time, using Ho'oponopono and other clearing processes to make amends for all the pain I've caused since the beginning of time.

Ihaleakala: Yes. The idea being that people like us are in the healing professions because we have caused a lot of pain.

Cat: Big time!

Ihaleakala: How wonderful to know that, and to have people pay us for having caused them their problems!

I said this to a woman in New York, and she said, "God, if only they knew!" But you see, nobody knows. Psychologists, psychiatrists, they keep thinking that they're there to help heal the other person.

So if someone like you comes to me, I say to the Divinity, "Please, whatever is going on in me that I have caused this pain in Cat, tell me how I can rectify it." And I will apply whatever information I'm given indefinitely, until your pain is gone or until you ask me to stop. It's not so much the effect that is important as the getting to the problem. That's the key.

Cat: You don't focus on the outcome, because we're not in charge of that.

Ihaleakala: Right. We can only petition.

Cat: We also don't know when a particular pain or illness will shift.

Ihaleakala: Yes. Say a woman has been taking an herb that was suggested for her, and it's not working. Again, the question is "What's going on in me that this woman is experiencing this herb not working for her?" I would work on that. I would keep cleaning, keep my mouth closed, and allow the process of transmutation to take place. As soon as you engage the intellect, the process stops. The thing to remember when some kind of healing doesn't seem to be working is this: there may be multiple errors — multiple problems or painful memories that are causing the pain. We know nothing! Only the Divinity knows what's really going on.

I gave a presentation out in Dallas last month, and I spoke with this woman, a Reiki master. I said, "Let me ask you a question. When somebody comes to you with a problem, where is that problem?" She looked puzzled when I said, "You're the one who caused the problem, so your client is going to pay you to heal your problem!" Nobody gets that.

Cat: 100% responsibility.

Ihaleakala: 100% knowing that you're the cause of the problem. 100% knowing that you have the responsibility, then, to rectify the error. Can you imagine if we all knew we are 100% responsible?

I made a deal with myself ten years ago that I would treat myself to a hot fudge sundae — so huge it would make me sick — if I could get through the day without having some judgment of someone. I've never been able to do it! I notice I catch myself more often, but I never get through a day.

So how do I get that across to people — that we are each 100% responsible for problems? If you want to solve a problem, no matter what kind of problem, work on yourself. If the problem is with another person, for example, just ask yourself, "What's going on in me that's causing this person to bug me?" People only show up in your life to bug you! If you know that, you can elevate any situation, and you can release there. It's simple: "I'm sorry for whatever's going on. Please forgive me."

Cat: You don't have to actually say that out loud to them, and you don't even have to understand the problem.

Ihaleakala: That's the beauty of this. You don't have to understand. It's like the Internet. You don't understand all this! You just go to the Divinity and you say, "Can we download?" and the Divinity downloads, and then you get the necessary information. But because we don't know who we are, we never download direct from the Light. We go outside.

I remember Morrnah used to say, "It's an inside job." If you want to be successful, it's an inside job. Work on yourself!

Cat: I know that 100% responsibility is the only thing that works, but I used to struggle with this stuff, because I'm an overly responsible caretaker type. When I heard you talking about 100% responsibility not just for myself, but for every situation and problem, I thought, "Whoa! This is crazy! I don't need anybody telling me to be even more responsible!" Yet the more I thought about it, the more I realized that there's a big difference between overly responsible caretaking, versus totally responsible self-care. One is about being a good little girl, and the other is about getting free.

I remember you talking about the years when you were a staff psychologist at Hawaii State Hospital for the Criminally Insane. You said that when you started working there, the ward for criminals was full of violence, and when you left four years later, there was none.

Ihaleakala: Basically, I took 100% responsibility. I just worked on myself.

Cat: You said that when you worked with the inmates, they wouldn't even be there with you.

Ihaleakala: Right. I would only go into the building to check the results. If they still looked depressed, then I'd work on myself some more.

Cat: Would you tell a story about using Ho'oponopono for so-called inanimate objects?

Ihaleakala: I was in an auditorium once getting ready to do a lecture, and I was talking to the chairs. I asked, "Is there anybody I've missed? Does anyone have a problem that I need to take care of?" One of the chairs said, "You know, there was a guy sitting on me today during a previous seminar who had financial problems, and now I just feel dead!" So I cleaned with that problem, and I could just see the chair straightening up. Then I heard, "Okay! I'm ready to handle the next guy!"

What I actually try to do is teach the room. I say to the room and everything in it, "Do you want to learn how to do Ho'oponopono? After all, I'm going to leave soon. Wouldn't it be nice if you could do this work for yourselves? Some say yes, some say no, and some say, "I'm too tired!"

Then I ask the Divinity, "If they say they would like to learn, how can I help them learn?" Most of the time, I get this: "Leave the blue book (Self I-Dentity Through Ho'oponopono) with them." So I just take the blue book out and leave it on one of the chairs or on a table while I'm talking. We don't give tables enough credit for being quiet and aware of what is going on!

Ho'oponopono is really very simple. For the ancient Hawaiians, all problems begin as thought. But having a thought is not the problem. So what's the problem? The problem is that all our thoughts are imbued with painful memories, memories of persons, places, or things.

The intellect working alone can't solve these problems, because the intellect only manages. Managing things is no way to solve problems. You want to let them go! When you do Ho'oponopono, what happens is that the Divinity takes the painful thought and neutralizes or purifies it. You don't purify the person, place, or thing. You neutralize the energy you associate with that person, place, or thing. So the first stage of Ho'oponopono is the purification of that energy.

Now something wonderful happens. Not only does that energy get neutralized; it also gets released, so there's a brand new slate. Buddhists call it the Void. The final step is that you allow the Divinity to come in and fill the void with light.

To do Ho'oponopono, you don't have to know what the problem or error is. All you have to do is notice any problem you are experiencing physically, mentally, emotionally, whatever. Once you notice, your responsibility is to immediately begin to clean, to say, "I'm sorry. Please forgive me."

Cat: So the true job of the intellect is not to solve problems, but to ask for forgiveness.

Ihaleakala: Yes. My job here on earth is twofold. My job is first of all to make amends. My second job is to awaken people who might be asleep. Almost everyone is asleep! The only way I can awaken them is to work on myself. Our interview is an example. For weeks before our appointment today, I've been doing the clearing work, so when you and I meet, it's like two pools of water coming together. They move through and they go. That's all.

Cat: In ten years of doing interviews, this is the only one I didn't prepare for. Every time I checked in, my Unihipili said that I should just come and be with you. My intellect went nuts trying to convince me that I should prepare, but I didn't.

Ihaleakala: Good for you! The Unihipili can be really fun. One day I was coming down the highway in Hawaii. When I started to head toward the usual off-ramp, I heard my Unihipili say in a singing voice, "I wouldn't go down there if I were you." I thought, "But I always go there." Then when we got closer, about fifty yards away, I heard, "Hello! I wouldn't go down there if I were you!" Second chance. "But we always go down there!"

Now I'm talking out loud and people in cars around me are looking at me like I'm crazy. About 25 yards away, I hear a loud, "I wouldn't go down there if I were you!" I went down there, and I sat for two and a half hours. There was a huge accident. Couldn't move back, couldn't move forward. Finally, I heard my Unihipili say, "Told you!" Then it wouldn't talk to me for weeks! I mean, why talk to me if I wasn't going to listen?

I remember one time when I was going to be on television to talk about Ho'oponopono. My children heard about it and they said, "Dad, we heard you are going to be on TV. Make sure your socks match!" They didn't care what I said. They just cared that my socks matched. See how children know the important things in life?

This interview was originally published by The New Times in September 1997.

For more information about Ho'oponopono or to contact Ihaleakala Hew Len, Ph.D., please visit http://www.hooponopono.org.

If you're wondering about the baseball cap, Ihaleakala wears it so he remembers not to be so intellectual. The background blue represents the Void, or Emptiness, and the red "P" represents Mother Earth, or the creative force, Pele.

Enseignement direct du Dr Len en anglais et espagnol: part 1


Part 2:


Part 3:


Mini cours pratique:


Une vidéo de pratique:

Une autre:

Inspiration:


Cours d'élévation en anglais par le fameux Eckart Tolle en rapport avec Hoponopono:


Outil de transformation d'un problème intense en 2 minutes par une imagerie subliminale (en anglais):

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