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samedi, 26 avril 2008

De 6 à 9 mois de grossesse

C'est le temps du raffinement des organes des sens, du développement fin du système nerveux, de la mise en place des poumons et du développement du cerveau.
Pour la maman, c'est le temps de l'expression!
Tout les arts sont de la fête et les maman sont invité à un rendez-vous avec le meilleur de leur céativité: album photo, peinture, décoration, cuisine, jardinage, couture, tricots, tous les arts et artisanats sont les meilleurs stimulant de leur propre système nerveux et par conséquent sont des stimulateurs harmonieux du développement du système nerveux de l'enfant. Le chant prénatal recommandé avant même la conception est particulièrement recommandé en fin de grossesse seule, avec le père, la famille et les amis... à tout moment!
De plus, une insistance sur la consommation d'oméga 3 dont les meilleurs sont dans les sardines et les petits poissons gras des mers du nord est très favorable au bon développement du cerveau.
Les lectures inspirantes, les échanges intellectuels, artistiques, culturels, spirituels sont les plus recommandé pour créer la meilleure ambiance pour finir d'habiller de belles vertus cet amour de bébé qui finit de se vêtir du corps que lui tisse sa maman!

De 3 à 6 mois de grossesse

C'est l'ébauche des organes des sens et du système locomoteur. C'est donc le temps de la mise en place de tout le système de relation! Le 2ième feuillet embryonnaire appelé mésoderme ancien et nouveau de développe pour permettre d'interagir avec l'univers, sa maman, 1ier de tout ses univers et son papa, puis l'ambiance "épi génétique" qui va commencer à influencer sérieusement son développement et la prise de caractères qui lui permettrons de s'harmoniser au mieux avec sa famille, son époque et son milieu de vie.
C'est le temps de développer sa vie relationnelle dans la grossesse en sortant le plus souvent possible rencontrer la nature, les arbres, les fleurs, les rivières, le vents, le soleil! Mais aussi, le meilleurs de sa culture (musique harmonisante (voir "l'effet Mozart"), beaux tableau, spectacle de danse harmonieuses traditionnelles des pays ou classique, la poésie, la belle architecture, le théâtre élevant...) mais aussi ses amis, sa familles en leur demandant de prendre soin de vous, de vous faire rire, de vous enchanter comme cela est la tradition dans nombres de cultures anciennes!

De la conception à 3 mois de grossesse

L'embryon se développe avec une force toute puissante, in influençable par rien au monde sauf la modification de certaines protéines (IGF 1 et 2) qui annulent la grossesse ou laisse le processus se continuer. L'embryon répond à la loi du tout ou rien: ça marche ou ça arrête.
L'intensité de "l'explosion" cellulaire augmente considérablement l'intensité de vie dans le ventre des maman qui le subissent le plus souvent comme un tourbillon occasionnant les mêmes nausées qu'un manège.
C'est le moment d'intensifier sa vie par plus de marche, de mouvements, d'intensité de vie en qualité.
D'autre part, le principal besoin de l'embryon est une nourriture liquidienne abondante et de bonne qualité. Tout en différenciant ces principaux tissus, c'est surtout le temps de la mise en place des tissus d'absorption, de digestion et d'élimination qui se développent et se raffinent pendant la vie embryonnaire.
Ainsi il faut par mimétisme et pour soutenir son enfant lui offrir une qualité nutritionnelle sur 3 niveau: alimentaire et physique (mouvement, marche, natation...) émotionnelle (en se nourrissant de beau films, musiques, arts et tut ce qui est beau et structurant (voir les travaux de Masaru Émoto sur l'eau)) et psychique (en développant des idées d'accueil, de respect, d'attentions, de liberté et toutes les qualités les meilleurs dont on souhaite revêtir son enfant).

C'est la phase du plus grand contact avec la vie, le souffle de vie comme l'appellent les ostéopathes traditionnels! La vie embryonnaire est le temps de renouer avec les forces les plus intenses et primordiales e l'univers qui nourrissent, soutiennent inconditionnellement et engendre l'univers au complet!

Ostéopathiquement c'est le temps de dgager son système digestif et lymphatique encore très accessible pour bien nourrir l'enfant en bourgeonnement.

La période des coliques, adieu l'impuissance!

Le 4ieme trimestre de la grossesse: la vie du nourrisson!

Article sur les colique et leurs solutions pratiques issue de Carrefour Famille (http://www.carrefourfamilles.com/index.php?action=rechercher&option=recherche&affichage=true&AffUnArtc=true&noArticle=6902):

Vous êtes assis dans une salle de spectacle et l’humoriste arrive en scène. « Vous voulez avoir du fun? » qu’il demande. Toute la salle répond « Oui! ». « Voulez-vous rire? » . Vous répondez tous encore « Oui! ». « Bien, sortez d’ici, c’est pas la bonne place». Classique. Et pourtant, ce n’est pas drôle.

Reprenons vous et moi l’exercice, ça va être meilleur, je vous le promets. « Voulez-vous avoir le bébé le plus heureux du monde? » Oui! « Voulez-vous arrêter de vous sentir impuissant devant ses pleurs incessants? » Oui! Alors gardez bien ce texte entre vos mains et poursuivez la lecture.

En Amérique du Nord, tout le monde connait les coliques et se trouve chanceux si son bébé n’en souffre pas. Mais saviez-vous que les coliques n’existent pas chez plusieurs cultures autour du globe? Notre culture si évoluée sur de nombreux plans est plutôt arriéré en ce qui concerne les besoins des bébés.

En tant que parent, votre principale tâche consiste à aimer votre bébé de toutes vos forces. Une fois que vous aurez manifesté votre affection, deux autres devoirs importants vous attendent : nourrir votre bébé et le consoler quand il pleure. Heureusement, nourrir un bébé est généralement assez simple. La plupart des nourrissons semblent naître dotés d’un doctorat en succion! Par contre, consoler un bébé qui pleure peut s’avérer une mission redoutable.

QU’EST-CE QUE LES COLIQUES?
Selon les estimations, un bébé sur cinq manifeste à répétition un caractère difficile sans raison apparente. Ainsi, chaque année, 100 0001 magnifiques bébés canadiens crient à en avoir le visage tout rouge et les yeux tout ridés.

En 1982, le Dr T. Berry Brazelton a demandé à quatre-vingt-deux femmes de noter le nombre d’heures que leur nourrisson normal et en bonne santé passait à pleurer chaque jour, durant les trois premiers mois de sa vie. Dr Brazelton a découvert qu’à deux semaines, 25% des bébés pleuraient pendant plus de deux heures par jour.
Vers six semaines, 25% pleuraient pendant plus de trois heures quotidiennement.
De façon rassurante, il s’est aperçu que vers trois mois, la plupart des bébés avaient terminé leur période difficile et peu d’entre eux pleuraient plus d’une heure par jour. C’est la raison pour laquelle depuis ce temps certains médecins appellent cette période les « coliques de trois mois ».

On parle aussi de la « Règle de trois » c’est-à-dire qu’on considère qu’un bébé a des coliques s’il pleure au moins trois heures par jour, trois jours par semaines et trois nsemaines d’affilée. Mais plusieurs parents ne sont pas d’accord avec cette règle, et pour eux la vraie définition est la suivante : un bébé a des coliques s’il pleure tellement que sa pauvre maman a besoin de trois bonnes d’enfants, de trois vodkas et de trois paires.

POURQUOI LE BÉBÉ A-T-IL DES COLIQUES ?
D’abord, les bébés naissent trois mois trop tôt. Contrairement aux bébés chevaux dont la survie dépend d’un corps solide et fort, la survie du bébé humain repose sur un gros cerveau intelligent. Le bébé humain naît à 9mois car attendre plus serait une mission impossible à l’accouchement pour laisser passer une tête qui a continué de grossir. Au moment de la naissance et durant les trois mois suivants, les bébés ne voudront pratiquement rien de plus que d’être transportés et cajolés et de retrouver les sensations de l’utérus. La plupart des bébés ont besoin d’un supplément de trois mois afin de «s’éveiller» et de devenir des partenaires actifs dans la relation qu’ils entretiennent avec vous. C’est ce qu’on appelle le quatrième trimestre.

Donc, sur bien des plans, votre bébé est davantage un foetus qu’un nouveau-né. Il lui faudrait la possibilité de retourner dans l’utérus dès qu’il est dérouté. Mais puisque nous ne sommes pas des kangourous, vous pouvezau moins offrir à votre bébé les sensations confortables dont il profitait vingt-quatre heures par jour dans l’utérus. Dans votre utérus, votre bébé était enveloppé par les chaudes parois de l’utérus, recroquevillé dans la position foetale, et presque toute la journée, il se faisait bercer doucement. Il entendait continuellement le son « shhhhhh », juste un peu plus fort que l’aspirateur. Depuis des milliers d’années, les parents savent qu’ils peuvent réconforter leur nouveau-né en reproduisant les conditions de l’utérus. Reprenons chacun
de ces éléments.

L’EMMAILLOTEMENT : LES CHAUDES PAROIS DE L’UTÉRUS
Un emmaillotement qui épouse parfaitement son corps est la première étape essentielle pour calmer votre bébé et le maintenir dans un état paisible. Son désir d’être constamment touché est satisfait et il retrouve la sensation de votre utérus qui épousait parfaitement son corps. L’emmaillotement met fin aux acrobaties incontrôlées des membres inférieurs et supérieurs de votre petit, pouvant mener à une crise de larmes.

Quelques trucs : utilisez une grande, grande couverture carrée, l’ajustement doit être serré, les bras de votre bébé doivent être dépliés, pas de couverture qui touche la joue.

Demandez à une grand-maman de vous montrer comment faire.

SUR LE CÔTÉ OU SUR LE VENTRE : LA POSITION FOETALE
La position ventrale ou latérale interrompt une stimulation tout aussi contrariante qu’imperceptible : l’impression terrifiante de tomber. Cette impression est en fait un réflexe, le réflexe de Moro. Il peut aussi se déclencher chez un adulte quand, par exemple, celui-ci s’endort dans un fauteuil et que sa tête retombe soudainement en arrière. Il s’en suivra le réflexe de Moro, un réflexe de sursaut.

En interrompant le réflexe de Moro par la position ventrale ou latérale, votre bébé se sentira mieux. Par contre, lorsqu’ilest temps de mettre au lit votre poupon, la position dorsale est préférable car c’est la plus sécuritaire pour tous les bébés.

Dans certaines régions du monde, les mères attentionnées ne laissent jamais leur bébé dans une position où il est complètement étiré. Dans leur culture, c’est la position associée aux morts. Les nouveau-nés sont plutôt pelotonnés de manière bien compacte en position assise et suspendus au plafond; ils dorment comme de petits Bouddhas flottants.

Ailleurs, d’autres cultures n’aiment pas que leur bébé quitte leur bras même un seul instant. Leurs petits sont heureux blottis toute la journée dans les bras de leurs parents, en position debout ou repliée, même quand ils dorment.Nous aurions avantage à regarder comment les mères et les pères s’en tirent ailleurs. Nous pourrions alors nous inspirer de cultures qui ont su garder les connaissances ancestrales pour prendre soin des bébés.

LE MOUVEMENT : SE FAIRE BERCER DOUCEMENT DANS L’UTÉRUS
La plupart des bébés aiment bien la position dorsale quand ils sont de bonne humeur. Toutefois, quand votre bébé pleure, dans cette position, il pourrait avoir l’impression d’être en chute libre et en conséquence, le réflexe de Moro pourrait être déclenché, se manifestant d’abord par l’agitation et les pleurs.

Les nouveau-nés sont comme des marins qui arrivent au port après neuf mois passés en mer. Le calme soudain peut les déstabiliser. Ainsi, les parents recourent souvent à un mouvement rythmé et répétitif (bercement) pour calmer leur bébé. Pour faire cesser les cris du bébé, le bercement doit d’abord être vigoureux pour se transformer ensuite en un mouvement plus doux qui l’aidera à rester calme.

LE SON « SHHHHHH »
Croyez-le ou non, un chuintement fort et persistant constitue une véritable mélodie à l’oreille de votre bébé. Le son shhhhhh le réconforte puisque c’est le bruit que fait votre sang circulant dans vos artères. Le niveau sonore atteignait entre quatre-vingt et quatre-vingt-dix décibels dans votre utérus, soit davantage qu’un aspirateur en marche! Votre bébé a entendu ce ronronnement assez puissant à tout instant pendant les neuf mois qu’il a passé dans votre ventre. C’est la raison pour laquelle de nombreux ouvrages recommandent de faire fonctionner des appareils électriques qui émettent un ronron pour apaiser les nouveau-nés qui pleurent.

Les parents ont su trouver le bruit blanc correspondant à leur enfant: sèche-cheveux, ventilateur de chambre, radio réglée entre deux stations de diffusion pour obtenir un bruit atmosphérique, système hydraulique d’un aquarium, aspirateur, de l’eau qui s’écoule, sécheuse enmarche avec des espadrilles à l’intérieur, lave-vaisselle.
Soyez inventifs!

De nombreux bébés dorment mieux et plus longtemps quand un bruit blanc est diffusé toute la nuit. Douze heures par jour de bruits blancs représentent pour le nouveau-né une réduction de cinquante pour cent du temps par rapport au milieu utérin. Vous n’avez pas à craindre que votre bébé ne devienne dépendant du bruit puisque il l’est déjà! Pourquoi? Parce que dans votre utérus, pendant neuf mois, il a entendu un chuintement continuel intense.

LA SUCCION : LA CRÈME SUR LE GÂTEAU
Quand les quatre premières étapes commencent à produire leur effet votre bébé est prêt pour le traitement ultime : la succion. La succion augmente l’efficacité des quatre étapes précédentes. Le bébé, qui a commencé à se calmer, atteint alors un stade de profonde tranquillité. La succion agit au niveau du système nerveux de votre bébé. Elle déclenche un réflexe calmant et relâche des agents chimiques dans son cerveau, l’amenant en quelques minutes à un profond degré de relaxation très agréable.

Le sein de la mère constitue le meilleur objet de succion au monde. Vous ne retrouverez rien en pharmacie qui y ressemble de près ou de loin.Ne comptez surtout pas le nombre de fois que vous offrez le sein à votre bébé. Si çamarche et qu’il s’apaise, c’est ce qui compte.Votre bébé évoluera et la situation ne restera pas si intense tout le temps.

LA CONCLUSION
En résumé, les deux premières étapes – l’emmaillotement et la position latérale ou ventrale – mettent en marche le processus calmant en limitant les mouvements du bébé, en interrompant le réflexe de Moro et en attirant son attention sur ce que vous faites au moment où vous commencez à activer le réflexe calmant.

Le troisième et le quatrième moyen – le son shhhhh et le bercement – mettent fin à la crise de larmes en provoquant vivement le réflexe calmant et en apaisant le système nerveux du bébé. Le cinquième moyen – la succion – maintient l’effet de ce réflexe et amène le bébé à un degré profond de relaxation.

Ces cinq moyens sont fantastiques. Et plus vous les utiliserez, plus vous deviendrez habile.Votre bébé aussi s’améliorera avec la pratique. Vous formerez bientôt une équipe unie et efficace. Adieu l’impuissance, bonjour la compétence!

LES DIX MEILLEURES FAÇONS D’IMITER L’UTÉRUS
Tenir le bébé dans vos bras;
Danser avec le bébé;
Bercer le bébé;
Emmailloter le bébé;
Émettre des bruits ou chanter;
Faire une balade en voiture;
Faire une promenade dehors;
Allaiter le bébé;
Utiliser une suce;
Faire sautiller le bébé.

Je vous souhaite l’allaitement que vous désirez

ODILE LAPOINTE,
Consultante en lactation diplômée
allaiterbb@yahoo.ca

RÉFÉRENCES
« Le plus heureux des bébés » par
Dr Harvey Karp Éditions AdA, 2003

2008-03-26

vendredi, 25 avril 2008

Sortir de l'esclavage des corporations

Les autorités censées nous protéger comme citoyens ont été achetées progressivement par les corporations mondiales dans les 30 dernières années.
Nous sommes donc arrivé à ce stade de maturité où plus aucune institution légale est en mesure de nous protéger vraiment, de nous "parenter"!
Sommes-nous rendus à cette étape adulte où nous devons décider de prendre en main notre vie nous-même?

Devenir responsable de notre consommation, de nos droits et devoirs réels et envisager un nouveau partage de nos richesse est le programme qui attend chaque citoyens du monde maintenant que chaque gouvernement cesse d'exercer sa fonction légitime sur nous.

Plus encore les "gouvernements" dans leur partenariat aux mafias des multinationales nous agressent, nous polluent, bafouent nos droits, nous désinforment et abusent de leur pouvoir, comme des parents cherchant à pousser leurs adolescents dans la vie active pour que nous nous mettions à prendre en charge nous même le monde!

Changer notre consommation, prôner la simplicité volontaire, recycler en profondeur, tisser des réseaux de partages et de soutients, de services des écovillages urbains et ruraux, retourner à la terre, développer des énergies renouvelables, modifier ses modes de transports, partager des informations responsabilisantes, renoncer à entretenir les guerres, soutenir les pays et les personnes en détresse, prendre soin de la nature, de nos aînés, de nos femme enceintes, de nos enfants avec de nouvelles valeurs d'avenir... autant d'avenus qui s'ouvrent devant nous pour faire nos premiers pas adultes dans un monde qui l'exige de nous.

Nous vous invitons vivement à visionner cet extrait d'un film de 20 minutes qui se télécharge en 30 secondes sur le site: http://www.storyofstuff.com/


Ici se trouvent des explications sur la crise mondiale sans précédent que le culte de la consommation a généré au delà de tout nos besoins... et surtout apporte des réponses, des solutions pour restaurer au plus vite un équilibre planétaire.

vendredi, 18 avril 2008

Pardonner: un remède universel et absolu!

Lorsque l'on se penche sur la vie des grands guérisseurs de l'histoire, tous ont en commun la science du pardon!

les recherches les plus avancées en physique quantique et en neurologie cognitive viennent à peine de découvrir cet anti-poison naturel curatif de toute maladie fonctionnelle: le Pardon!

Si la science lève à peine le voile de ce secret, de cette panacé universelle, il est alors temps de reconnaître à ceux qui maîtrise cette "science" leur vrai valeur.
Pour les grand maître de la guérison comme Hyppocrate, Paracelse, Philippe de Lyon ou plus récemment Sergueï Lazarev en Russie et Jean de Dieu au Brézil, la science du pardon s'apprend selon 3 étapes essentielles:

1. L'agent agresseur
L'étude de ce et/ou ceux qui sont la cause directe ou indirecte de notre maladie: le climat, une épidémie, notre hérédité, les conflits familiaux, conjugaux, parentaux, professionnels... Cette étude de "l'agent agresseur" a pour finalité de les innocenter en tant que bourreau pour comprendre que leur arrivée brutale dans notre vie, ou leur racine dans le cas de l'hérédité, ne sont pas consciemment de porter atteinte à notre personne, mais que ces agents agresseur agissent selon des lois inconscientes nous exposant aux rages, aux violences et toutes sortes de variantes de "grandes limitations" climatiques, épidémiologiques, caractérielles, pulsionnelles... lorsqu'ils croisent nos vies

2. La destiné
Une fois la rencontre de nos agents agresseurs comprise et pardonnée, l'étude de notre destinée s'impose et reste la plus importante et la clé de notre guérison.
Destiné! Elle nous entraîne dans tout un processus d'écoute, de perception, de compréhension subtile dans le seul but de sentir et de comprendre la présence d'une intelligence transcendante qui gouverne nos vies! Young l'appelait le "Soi", les anciens "l'Âme"!
Une fois cette puissance de vie identifiée, il reste à apprendre à reconnaître son intelligence et sa bienveillance dans le passage très douloureux qu'elle nous occasionne par la traversée de tant d'agents agressants dont la seule réalité n'a d'autre but que nous renforcer et nous faire développer les qualités du Soi et faire apparaître les vertus de l'âme.
Cette compréhension est essentielle à atteindre le plus haut niveau du pardon: le pardon à Soi-même, à son Âme, à la vie elle même. Alors les plus grandes blessures et offenses de notre destinée peuvent enfin s'apaiser.
Dès que l'on comprend que la vie est l'école où l'âme nous enseigne chacun et progressivement l'immensité de sa beauté à travers de nombreuses épreuves, défi ou jeu selon notre participation ou nos résistances, alors les plus grandes inflammations et violences de la vie sont neutralisables en soi.
Plus les êtres relèvent des défis importants plus ils semblent rencontre des résistances, des épreuves, des défis élevés. il est important alors de ne pas mal se juger par la taille des maladies, des malheurs que l'on est obligé de traverser ou que nous avons librement choisit de relever, mais de voir plutôt là la possibilité de grandes transformations pour s'alléger des carapaces qui empêche notre âme de rayonner sa beauté et son amour.

3. La participation
Une fois les "plans de l'âme" accueillie, acceptée et respectés comme dirait Young, il reste à tirer la leçon des épreuves subites ou recherchées.
C'est le moment de chercher sincèrement ce que cette épreuve de long terme ou passagère viens chercher comme ressource en nous. C'est le moment important du triage du subtil et de l'épais avec grande industrie comme le dirait Hermès Trismégistre. Triage des pleurs, des grincements de dents, des écoeurements, des révoltes, des violences, des dégoûts, des bassesses, des mépris subit ou donnés pour laisser émerger de la gangue nécessaire à l'expérience le parfum, l'essence, la valeur! Ici la douceur, ici la bonté, la concentration, l'organisation, la volonté, la persévérance, la patience, la compréhension, la compassion, l'écoute, la fermeté, le dynamisme, la vitesse, l'humour, la pureté, la hiérarchie des valeur, le rythme, la souplesse, l'adaptabilité... autant de fleurs de l'âme qui attendent la traversée des nuages qui nous correspondent pour s'épanouir au soleil de son amour.

Alors le pardon deviens réel, véritable et se reconnaît à l'oubli des vielles blessures pour la conservation et l'activation des ressources découvertes en soi permettant d'ouvrir notre vie à de nouvelles aventures et de créer de nouvelles oeuvres toujours plus riches!

mercredi, 09 avril 2008

Sortir de la guerre, mais comment ?

La guerre en chiffre:+ de 100 millions de victimes de la guerre depuis 100 ans + des MM de réfugiés partout (Bilan au 16 sept 2007!)
. Révolution Mexicaine 1910-20: 1MM de victimes
. 1ière guerre mondiale: 1914-18, 10 353 813 victimes
. Guerre civile de Rusie: 1917-22, 9 MM de victimes
. Guerre civile d'Espagne: 1936-39, 500M victimes
. 2ième guerre mondiale: 1939-45. 72155800 victimes
. Guerre froide (sans affrontement direct): 1947-91= 8MM de victimes:
- guerre civile de grèce: 1944-49, 47M
- guerre d'Indochine: 1946-54, 394581
- guerre de Corée: 1950-53, 2825788
- guerre du Vietnam: 1959-75, 2100M
- débarquement de la baie des Cochons: 1961, 2115
- Victimes du mur de Berlin: 1961-89: 192
- Guerre de Yom Kippour: 1973: 12656
- Guerre Cambodgienne-Vietnamienne: 1975-89: 60M
- Guerre civile d'Angola: 1972-2002: 500M
- guerre civile de Mozambique: 1977-92: 900M
- guerre Sino-Vietnamienne: 1979: 40M
- guerre Sovietique en Afghanistan 1979-89: 1014453
Voir le si bouleversant film : "the kite runner ou les cervolants de Kaboul"


. Guerre civile du Nigéria: 1967-70: 1200M victimes
. Guerre Iran-Irak: 1980-88: 875M victimes
. Guerre civile du Soudan: 1983-2005: 1900M victimes
. Guerre civile de Somalie: 550M victimes
. Guerre du golfe: 1990-91: 50240 victimes
. Guerre civile du Rouanda: 1990-93: 900M victimes
. 1ière et 2ième guerre civile du Congo: 1991-2004: 4600M victimes
. Guerre D'Algérie: 1991-2002: 300M victimes
. Guerre du Kosovo: 1996-99: 12078 victimes
. Guerre contre le terrorisme depuis le 11 sept 2001: 552582 victimes
. Conflit au Darfour: 2003: 400M victimes
. Tchétchénie: 1994-?: 150M Bilan au 16 sept 2007! + des MM de réfugiés partout
Voir le magnifique film "Persepolis"


Pour mémoire, du 17ième au 19 siècle, la guerre contre les amérindiens fut le plus grand massacre de l'humanité avec plus de 500 MM de victimes

Quelles solutions à cette hégémonie si désolante?
Cette dernière centurie a vu l'apparitions d'immenses guerres conséquentes seulement de la consommation! "Donner des jeux et du pains au peuple pour les dominer" à été "engraissé" de "CONSOMMEZ pour exister!"

1. Notre première arme anti-militaire est celle de la simplicité volontaire! Nouvelle tendance signifiant "d'apprendre à exister sans consommer" ou en ne consommant que le strict minimum. Très simple dans le concept, c'est très difficile à mettre en oeuvre tellement la sollicitation des média, des parents, des amis... bref de tout côté et si puissamment ancré comme mode de vie. Dès que l'on a le courage de s'extraire de ce mode de pensée, sa vie s'allège et on sent véritablement que l'on est en train de cesser d'alimenter les intérêts économiques qui sont devenus les seules raisons des guerres encore maladroitement déguisées par quelques raisons religieuses qui ne convainc plus personne.

2. Découvrir le concept d'économie durable, de véritable recyclage (et non pas d'exporter notre recyclage vers la Chine gaspillant tellement plus de mazout que cela prendrit ici pour recycler nos déchets!!!).

3. Penser à s'inscrire dans la naissance d'écovillages urbains et ruraux basés sur un partage des services et des ressources entre les consomateur pour réduire les coûts et les dépenses.
Le centre Ideal en Colombie -Britannique arrive à 1, 5 $ / jours / personne pour nourrir les 80 membres de l'écovillage!!!
Bien sûr ce principe va de la simple mise en commun d'auto comme "communauto" à Montréal à la création de micro-société visant l'autonomie agricole, électrique et même des services et loisirs en travaillant chacun les uns pour les autres comme le font les cellules de l'organisme les sociétés animale évolués comme les abeille et comme le bon sens le voudrait pour le moindre village et la moindre ville!
Le poid économique a eu raison de nos décideurs sociaux et ce n'est que par une révolte de non consommation nécessitant des création de micro-sociétés tendant à l'autonomisation que la population retrouvera sa dignité de ne plus se sentir complice implicite des immenses tueries mondiales, tout en réapprenant cette socialisation, amitiés et épanouissement basé sur le partage, la créativité synergique et l'attention aux autres. Partout émerge de telles regoupements et associations avec plus ou moins de philosophie et d'éthique, mais le mouvement est en train de s'entendre sur l'urgence de rendre ces nouveaux village accessibles à tous.

3. Découvrir l'économie énergétique, émotionnelle et mentale!
Des revus les plus scientifiques aux magasines les plus populaires, nul n'est sans ignorer maintenant l'impact de la vie psychique et du gaspillage de ses énergie sur notre vie personnelle mais aussi collective.
Le Dr Len, médecin hawaïen, a développer une méthode de responsabilisation des ses pensées capable de guérir des groupes entiers d'aliéné (voir article sur la méthode Ho'oponopono dans la rubrique "cultiver sa santé"). Le coaching en pleine émergence mondiale ne fait que promouvoir l'orientation de ses pensées et émotions pour réussir ses entreprises à tous les niveaux. Le livre "le secret", record des ventes en amérique du Nord n'est basé que sur la gestion de sa vie intérieure.
Dans l'application de quoi s'agit'il?
. Tout d'abord, il est important d'apprendre à sélectionner les informations qui influences, voire orientent nos pensées et nos sentiments. Les films, les vidéos, les lectures, les échanges doivent commencer à être filtrés en soi pour voir dans quel état cela nous met. Notre plexus solaire fait il une boule dans le ventre face à un film d'horreur, du hard rock ou au contraire se dilate t'il à la vue d'un film élevant, dynamisant, ennoblissant ou d'une musique harmonieuse et joyeuse? Cet indicateur est si bon qu'ami, Daniel Miron, l'a appelé le GPS émotionnel! Si il se ferme: on arrête, si il s'ouvre, on continu!
. Il faut connaître des remède efficace aux états émotionnel terribles qui diffusent en nous et autour de nous des ondes nocives provoquant subtilement des catastrophes ou contaminant l'humeur de nos proches. Les effets boules de neige font perdre le contrôle à tout un groupe de personne autour de nous ou n'importe où dans le monde qui entre en résonance avec les basses fréquences des émotions perturbées. Ainsi, on aliment souvent, sans s'en rendre compte des conflits, heurts, batailles, voir de la violence même physique par simple effet d'onde telle que l'on démontré de nombreuses études sur les animaux et sur des groupes humains mis en tension.
Un de ces remède est la simple "reconnaissance", la gratitude en d'autre mot pour ce que l'on a (la vie, la jeunesse, l'éducation, la santé, la vitalité, la connaissance, la douceur, la bonté, la patience...), est (humain, homme, femme, natif de tel endroit et culture..) et ce que l'on est capable de faire (marcher, parler, écouter, voir...).
Loin d'être un discours religieux, l'habitude de cette simple attitude est capable de réduire en quelques instant le niveaux des hormones du stress dans notre corps et donc notre humeur!
Un autre remède est celui de ce dr Len qui guérit en disant "je regrette, pardonne-moi, je t'aime" à la cause de notre état déplorable. Et ce qui est incroyable, que la cause de notre souffrance soit une personne aimée ou détestée, un parent, un évènement, un animal agresseur, certains organes malades dans notre corps ... et même un objet! C'est édifiant et je vous invite à en faire l'expérience.
. Enfin, la gestion de nos dépenses énergétiques et physique a des effets sur notre santé bien sûr, mais aussi, par le jeu des vibrations physiques sur l'état des plantes, des minéraux, et bien sûr sur les réseaux d'énergies "électriques" qui parcourent le corps de nos proches ou de ceux avec qui on entre en fréquence dans le monde.
Sous l'effet de vibrations violentes ou exacerbées dans n'importe quel type d'abus physique: sportif (de plus en plus les limites sont repoussées vers des surhommes et surfemmes hyper-entraînés!), sexuel (là aussi les limites de la tendresse et de l'esthétique sont repoussées vers une frénésie sans limite), sonore (un bruit maladroit ou violent génère des crises de nerfs et de fortes violences chez nombres de malades psychiatrique et chez la plupart des animaux)... En fait toute violence donnée à nos corps ou aux objets crée des forces physiques irradiant à distance pour construire ou détruire la matière environnante selon la loi des ondes. Le problème est que ces ondes agissent à bas bruit, elle fissurent, minent, et longtemps après seulement tout s'effondre.
En d'autre terme, le culte du plaisir extrême émousse les sens et demande l'application de plus en plus de forces stimulantes pour provoquer des sensations perceptibles tout en créant des dépendances aux fortes décharges de plaisirs que ce soit sonore, sexuel, mécanique de tout ordre... et ces dernière détruisent en nous et à distance!
Plus les plaisirs sont légers et plus les sens se développent, s'affinent et donne des joies de plus en plus intense avec le moins de force mécanique à appliquer. Cette loi simple est aussi à re-découvrir comme le fait le randonneur qui se réjouis d'une gorgé d'eau quand habituellement il n'éprouve plus rien au 3ième verre de vin.
Loin de prôner une vie triste, au contraire, il s'agit de re-découvrir les lois des joies les plus intenses basées sur le raffinement des stimulations sous la présence de l'attention pour assouvir ses besoins.
Chacun sait combien un pétale reçu de la personne qui nous émeu peut nous transporter au 7ième ciel pendant des jours. De même l'attention dans les regards échangés, l'intonation de la voix, le choix du vocabulaire, la beauté de la posture, la grâce dans la marche et le déplacement des objets, des couverts, la tendresses des gestes, l'esthétique dans les caresses, la fraîcheur dan les baisés sont la clé de radiations constructives, saines et épanouissante pour l'environnement même à distance!

mardi, 01 avril 2008

Des progrés capitaux en médecine congnitive

Voici des nouvelles étonnantes en médecine moderne:

Bonjour!

J'aimerais tout d'abord remercier Pierre-André, un participant de cette liste de distribution, qui vous offre "Le langage de la guérison : histoire d'une révolution scientifique dans le domaine de la médecine" écrit par Jean-Jacques Crevecoeur : http://www.erichamel.com/custom18.html

Saviez-vous que le docteur Hamer avec son approche sur le cancer a un taux de survie de 95% sur plus de 5 ans comparé à la moyenne nationale en Allemagne qui est de 30%?!

Ce reportage vous apportera une vision différente des maladies, qui se rapproche énormément des informations que je vous offre : à savoir que la maladie (Le mal-a-dit) est un signe qu'il faut décoder et comprendre, et que ça s'inscrit tout à fait dans l'apprentissage de l'amour de soi.

Jean-Jacques Crevecoeur y présente quelques approches de la Médecine Nouvelle du docteur Hamer ainsi que de la Biologie Total du docteur Claude Sabbah.

WOW! Quelle belle vulgarisation de la part de Crevecoeur!

Puisque nous parlons de cancer, j'aimerais ajouter que le Docteur Simoncini en Italie a fait des découvertes très intéressantes. Il est en mesure d'éliminer le cancer à l'aide d'un traitement des plus simples en seulement 4 jours! Avec du bicarbonate de soude, et oui... de la petite vache!

Le Docteur Simoncini dit que tous les types de cancers sont en fait, une seule et même chose : un fongus appelé le Candidat et il est toujours blanc.

Pour le site web du Docteur Simoncini :
http://www.cancerfungus.com/simoncini-cancer-champignon.php#

Pour voir le vidéo avec le sous-titrage en français :
http://www.cancer-fungus.com/sub-v1fr/sub-fr.html

Vous pouvez voir aussi son site en anglais qui contient beaucoup plus d'information :
http://www.curenaturalicancro.com/

En sachant qu'un fongus est un champignon, et en lisant le reportage de Crevecoeur plus haut, vous serez en mesure de faire des liens entre ces deux informations.

En terminant, j'aimerais remercier également Dany Papineau pour m'avoir transmis une page web sur l'utilisation de citron et de bicarbonate de soude comme cure dans le cas de cancer.

La page est en anglais :
http://people.tribe.net/heatherlsalmon/blog?topicid=6c1243de-589a-4b32-8cf3-e2fb172ce7b0

Amour et Lumière!

Eric Hamel 514.905.6160

Le langage de la guérison : histoire d’une révolution scientifique dans le domaine de la médecine ©

de Jean-Jacques CREVECOEUR



"Il a obtenu le prix du meilleur mémoire belge de physique, en 1984, ainsi qu’une bourse de recherche pour accomplir un doctorat en physique quantique. Il est également philosophe et s’est spécialisé dans l’étude critique du fonctionnement des sciences, en particulier l’épistémologie de la médecine.
Grand connaisseur des principes de l’homéopathie, de l’ostéopathie, de l’acupuncture, de la médecine chinoise,
de la Médecine Nouvelle de Hamer et de la Biologie Totale de Claude Sabbah, (...)"
(« La physique quantique serait-elle l'avenir de la médecine ? »)


Jean-Jacques Crèvecoeur a fait parvenir, le 22 décembre 2000 sur le forum de pansémiotique-psychosomatique (sur Yahoo Groupes) la première version, plus courte, de l’article qui suit. Il l’avait rédigé pour en faire la communication au colloque « Science et Conscience » à Annecy (mai 2000).

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" « Il est plus facile de désintégrer un atome que de changer une croyance » disait Einstein. En effet, tout individu a tendance à consacrer plus ou moins d’énergie à résister au changement et à la nouveauté, on le sait depuis longtemps. C’est valable pour les individus. Ce l’est encore davantage pour le monde scientifique, qui ne pourra jamais accueillir les nouvelles théories, car celles-ci représenteront toujours une perte de pouvoir, d’argent et de prestige pour ceux qui s’y sont installés.

Quand j’ai entamé mes études en sciences physiques, j’étais convaincu que j’allais rejoindre la cohorte glorieuse de ces hommes et ces femmes qui consacrent toute leur vie à la recherche désintéressée de la vérité et de la connaissance, dans le but d’apporter le bien-être à l’Humanité toute entière. Je pensais, à l’époque, que la démarche scientifique se fondait uniquement sur des faits objectifs et recherchait inlassablement à établir des liens observables de cause à effet entre différents facteurs. Je croyais aussi que l’attitude des chercheurs se caractériserait par l’ouverture, le dialogue, la remise en question permanente des hypothèses, l’acceptation de la confrontation des opinions. Après y avoir consacré 5 ans de ma vie, je décidai de quitter ce monde. Heureux d’avoir été formé de manière rigoureuse et critique par des enseignants exceptionnels. Déçu de l’intolérance, de la fermeture, des fraudes, de la course aux publications, de l’asservissement des scientifiques à l’égard de leurs pourvoyeurs de fonds. Je ne me doutais pas, alors, que la bagarre était encore plus impitoyable et violente dans le monde médical, censé être au service de la vie et de la santé.

J’ai entamé alors un cursus de formation en philosophie générale (après l’interruption de mon doctorat en sciences), tout en étant chercheur en pédagogie pendant deux ans. À cette époque, en 1984, j’ai commencé à m’intéresser à l’épistémologie de la médecine, c’est-à-dire à l’étude critique du fonctionnement de la médecine, de ses postulats, de ses modes de raisonnement. C’est ainsi que progressivement, je me suis familiarisé à toute sorte de pensées médicales, depuis la médecine scientifique jusqu’à la médecine chinoise, en passant par toute une série de thérapies qualifiées très injustement de « parallèles ».

En tant que scientifique, philosophe et pédagogue, j’ai utilisé les outils qui m’avaient été transmis pour faire des liens, pour vérifier la cohérence des démarches et des discours, mais surtout, j’en ai testé pas mal sur moi-même, devenant ainsi à la fois le cobaye observé et le chercheur-observateur. Ma conclusion : nous sommes en train de vivre en médecine une révolution de la même ampleur que celle qu’a connue la physique avec Copernic, Kepler et Galilée, au XVIème siècle. Et à l’instar de ces astronomes et mathématiciens, les pionniers de cette nouvelle approche de la santé et de la maladie connaissent, eux aussi, les pires ennuis, les pires accusations et les pires menaces.


Pourquoi la médecine est-elle dans une impasse ?

Au début des années 1980, mes conversations privées avec des collègues chercheurs dans le domaine de la médecine et de la biologie m’avaient déjà mis la puce à l’oreille. « En médecine, nous sommes dans une impasse. Nous le savons depuis quelques années, et nous ne savons pas dans quel sens orienter nos recherches. » Ces propos concernaient l’ensemble de la recherche médicale, et pas un seul petit secteur isolé, malheureusement. Ces confidences « off record », personne n’osait les faire en public, ni dans les congrès scientifiques, de peur de se voir immédiatement privé des subventions indispensables pour poursuivre les travaux du laboratoire.

Ainsi, à l’époque, je disposais d’informations très parcellaires à propos du désarroi dans lequel se trouvaient les chercheurs en médecine et en biologie. Mais je ne comprenais pas pourquoi ils se trouvaient dans une impasse. Je découvrais aussi, par la même occasion, l’absence quasi totale de liberté de penser, de chercher et de parler à laquelle la plupart des scientifiques étaient (et sont) soumis. Ainsi, ceux qui étaient censés incarner tous les espoirs de l’Humanité m’apparaissaient subitement comme les prolétaires soumis et apeurés à la solde et à la merci d’un complexe industriel médico-pharmaceutique qui décidait non pas de ce qui était vrai ou bon pour la santé des individus, mais de ce qui devait être produit et légitimé scientifiquement pour accroître leurs bénéfices colossaux.

Entre-temps, de nombreuses statistiques venaient prouver ce que mes collègues chercheurs m’annonçaient déjà. Entre 1970 et 1990, on a observé qu’on contracte des maladies graves (cardio-vasculaires, cancéreuses, dégénératives, auto-immunes, etc.) cinq ans plus jeune qu’avant (statistiquement). L’incidence (le taux annuel d’apparition) de certaines maladies a été multipliée par un facteur compris entre 3 et 10, sur la même période. Aucun véritable remède n’a été trouvé contre le cancer, le SIDA, la sclérose en plaques. Les allergies ont littéralement explosé en 20 ans. La plupart des antibiotiques deviennent inefficaces face à une résistance accrue des bactéries qui se seraient adaptées ! Les vaccins sont de plus en plus controversés, non seulement à cause de leurs effets secondaires, mais surtout à cause d’une efficacité de plus en plus hypothétique (au vu des statistiques malheureusement dissimulées aux yeux du grand public). Malgré des dépenses de santé en nette croissance, la qualité de vie et de santé des individus s’est détériorée dans les pays occidentaux.

Depuis cette époque, mes nombreuses lectures, mes conversations avec toutes sortes de thérapeutes, mes expériences personnelles m’ont fait comprendre pourquoi la médecine, telle qu’elle est conçue aujourd’hui, est non seulement dans l’impasse, mais aussi dans l’erreur. J’ai même compris que c’est la méthode utilisée par la médecine qui est à l’origine de cette aggravation collective de la situation sanitaire sur la planète. Nous sommes donc loin du conseil que donnait Hippocrate à ses disciples : « Primum, non nocere (Avant tout, ne pas nuire) »…

Pour comprendre cela, examinons quels pourraient être les fondements de la pensée médicale moderne ? On pourrait les résumer ainsi :
1. la maladie existe, c’est une fatalité qu’il faut éradiquer ;
2. la maladie est caractérisée par des symptômes morbides (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.) ;
3. guérir une maladie consiste à supprimer, le plus rapidement possible, tous ces symptômes morbides, au moyen d’un arsenal de médicaments ;
4. la maladie est essentiellement une réalité physique qui affecte un organe particulier du corps physique, considéré comme une mécanique bio-physico-chimique qui peut se dérégler ;
5. beaucoup de maladies sont provoquées par des agents pathogènes (microbes, champignons, bactéries, virus), des agents cancérigènes ou des agents allergènes. Il faut donc éviter tout contact avec ces agents (dans ce cas, on fait de la prévention). Si ça n’a pas été possible, on tentera d’écarter ou de supprimer ces agents (on fait alors du curatif) ;
6. certaines autres maladies ont une origine génétique et se transmettent de génération en génération. On appelle cela l’hérédité ;
7. si tout l’arsenal curatif se révèle impuissant ou inefficace, il conviendra alors de supprimer l’organe atteint par la maladie, pour permettre au patient de survivre.

Les épistémologues appellent ce genre d’énumération les postulats de base d’une théorie ou d’une pratique. Tout au long de cet article, je confronterai ceux-ci à une vérification de cohérence interne ainsi qu’aux observations existantes mais souvent niées par les chercheurs…

La maladie n’est plus ce qu’elle était

Et si la réalité était toute différente ? Et si les apparences étaient trompeuses ? Et si on inversait les postulats, serait-il possible de mieux expliquer les résultats des nombreuses approches « parallèles » dont bénéficient des millions de patients, mais sans être reconnues par la Médecine scientifique officielle ?

Je vous invite à explorer avec moi ce retournement de perspective et à l’accepter comme une hypothèse de travail, de réflexion et de recherche, non comme une vérité définitive. Et si certaines de mes intuitions met quelque chose en résonance chez vous, je vous inviterai à approfondir votre recherche à la suite de cet article. Amusons-nous, donc, à réécrire les postulats classiques de ma médecine…

Nouveau postulat n° 1 : La maladie n’existe pas, ce n’est pas une fatalité et il ne faut pas nécessairement l’éradiquer.

Selon de nombreuses conceptions traditionnelles, la maladie n’existe pas. Seul le malade existe et doit faire l’objet d’une attention de la part du médecin, du guérisseur ou du thérapeute. De plus, nous le prouverons plus loin, la « maladie » est le signe d’un déséquilibre qui résulte, la plupart du temps, de comportements conscients ou inconscients de la part du malade ; ce n’est donc pas une fatalité (sauf si l’on considère que l’inconscience est une fatalité).

Par ailleurs, selon ces conceptions, les symptômes sont les indicateurs visibles d’un déséquilibre physique ou psychique, qui lui, est invisible. Les symptômes ne sont donc pas ce déséquilibre lui-même. Pour comprendre cela, prenons une première métaphore. Comparons notre corps (véhicule physique) avec une voiture (véhicule automobile). Quand il manque de l’eau dans le radiateur ou de l’huile dans le moteur, cela ne se voit pas immédiatement. Pourtant, le déséquilibre est déjà bien là, mais silencieux, invisible. C’est ce que nous appellerons la vraie maladie. Au moment où la surchauffe du moteur devient trop grande, certaines pièces (prévues pour cela), vont casser (soupape, durit, etc.), libérant instantanément beaucoup de vapeur ! C’est à ce moment-là que les choses se manifestent, deviennent visibles. Ça, ce sont les symptômes. Ainsi, cette évacuation de vapeur n’est en aucun cas la maladie de la voiture : il s’agit du processus mis en place (selon les lois de la physique) pour permettre à la sur-pression de disparaître, pour revenir à l’équilibre et à la normalité.

Pour éviter d’en arriver là, les constructeurs automobiles ont inventé un autre dispositif : ce sont les voyants lumineux placés sur le tableau de bord. Dès qu’un besoin fondamental risque de ne plus être assuré, respecté ou satisfait, l’ampoule s’allume invitant le conducteur à s’interroger sur la situation et à y remédier. Quand cela se passe, que diriez-vous d’un garagiste qui vous conseillerait de dévisser — ou de casser — l’ampoule allumée ?

C’est pourtant ce que fait la médecine scientifique, depuis des décennies : par définition, les symptômes sont mauvais et doivent être supprimés. Mais pourquoi faudrait-il donc systématiquement les éradiquer, alors que si l’on parvient à s’interroger sur le sens du message envoyé, si l’on identifie ce qui a causé ce déséquilibre et si on rétablit l’harmonie initiale, l’indicateur devrait s’éteindre de lui-même ?

Ainsi, si vous changez votre regard sur les symptômes, si vous les voyez comme des alliés qui vous apportent des informations précieuses (à décoder), vous ne confondrez plus jamais la maladie (déséquilibre silencieux) et son processus de guérison (les symptômes qui se manifestent parfois bruyamment).


Nouveau postulat n° 2 : Lorsque des symptômes apparaissent (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.), c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

J’ai retrouvé cette conception aussi bien dans l’homéopathie, dans l’acupuncture, dans l’ostéopathie, mais aussi dans la Médecine Nouvelle du docteur Ryke Geerd Hamer (Allemagne), dans la Biologie Totale des Êtres Vivants du docteur Claude Sabbah (France) et dans d’autres approches encore.

Pour comprendre cela, prenons une deuxième métaphore toute simple. Comparons notre corps (vivant) à une maison (habitée). La vie domestique produit normalement son lot de déchets quotidiens. Imaginons qu’une loi municipale vous interdise de sortir vos poubelles sur le trottoir jusqu’à nouvel ordre. Vous décidez alors de les stocker dans un local. Après quelques semaines, l’interdiction n’étant toujours pas levée, un deuxième, puis un troisième local sont affectés par les détritus, provoquant une odeur de plus en plus insupportable à l’intérieur de la maison. À ce stade, on peut dire que votre maison a perdu son équilibre, son harmonie : elle est infectée et empoisonnée.

N’y tenant plus, imaginons que vous décidiez de sortir vos poubelles, malgré l’interdiction. En faisant cela, vous manifestez votre volonté de rétablir et de retrouver un équilibre domestique à plus ou moins brève échéance. Vous vous rapprochez donc d’une maison à nouveau saine, en santé… Mais vos voisins ou la police municipale ne le verront pas du tout de cet œil : rapidement, des personnes interviendront pour non seulement refouler les poubelles à l’intérieur, mais en plus, pour clouer quelques planches sur les portes et les fenêtres du rez-de-chaussée, pour vous décourager d’une éventuelle récidive.

Ainsi, pour revenir au corps, lorsque le déséquilibre s’installe progressivement à l’intérieur de nous-mêmes (incubation de l’infection, accumulation de toxines, développement d’une tumeur, dégénérescence d’un organe, d’un muscle ou du sang, etc.), la maladie est silencieuse, indolore, asymptomatique. Les chinois parlent de maladie froide…

En revanche, lorsque le corps « décide » (nous verrons pourquoi plus loin) de rétablir son équilibre, il va chercher à se débarrasser de l’infection ou des toxines, à désagréger la tumeur ou à réparer l’organe, le muscle ou le sang atteints. Dans ce cas, le corps sort ses poubelles (fièvre, boutons, éruptions, etc.). La maladie se met à parler, les douleurs apparaissent, les symptômes se manifestent. Les chinois parlent de maladie chaude… Ainsi, lorsque les symptômes apparaissent, c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

Ce qui est surprenant et déroutant dans cette vision des choses, c’est que ce que nous appelons « être malade » devrait être presque toujours interprété comme le début de la guérison. Or, nous faisons l’inverse.


Nouveau postulat n° 3 : Guérir une maladie consiste à écouter les symptômes morbides comme les indicateurs du chemin à suivre pour guérir.

Aussi bizarre qu’il puisse paraître, vous pouvez comprendre que ce postulat est tout à fait la conséquence logique de la vision développée dans le postulat n° 2. Si les symptômes sont les poubelles que le corps s’efforce d’évacuer régulièrement pour retrouver son équilibre, ils nous indiquent en même temps ce que nous pouvons et devons faire pour aider l’organisme à atteindre jusqu’au bout cet équilibre.

Car, si nous n’avions aucun stress, si nous avions un niveau élevé d’énergie vitale, probablement que le corps aurait suffisamment de ressources pour sortir seul toutes ses poubelles, chaque fois que nécessaire. Mais souvent, celui-ci est fatigué… Il commence donc le travail, sort les premières poubelles, mais ne va pas assez vite pour tout évacuer. Dans ce cas, tout se passe comme si la vitesse à laquelle l’évacuation se fait était trop faible par rapport à la vitesse de remplissage par de nouvelles poubelles. Nous sommes alors dans une maladie chronique, qui n’en finit pas de s’exprimer et de rechercher un équilibre jamais atteint.

Le thérapeute ou le malade qui comprend cela se mettra alors à l’écoute des symptômes, et mettra en œuvre un processus visant à apporter à l’organisme une énergie supplémentaire pour accélérer et augmenter l’expression des symptômes (c’est-à-dire l’évacuation des poubelles). C’est ce que font l’homéopathie uniciste (en prescrivant un remède qui provoque chez l’individu les mêmes symptômes que ceux que l’on cherche à évacuer), l’acupuncture (en débloquant des circuits énergétiques permettant d’accélérer les processus de rééquilibrage), l’ostéopathie (en libérant des blocages fonctionnels ou organiques), le jeûne et le repos (en mettant plus d’énergie à disposition du corps pour se nettoyer), etc.

En cherchant à supprimer au plus vite les symptômes, non seulement la médecine se prive d’informations essentielles pour une guérison naturelle et profonde de l’individu malade, mais en plus s’éloigne de plus en plus d’une sagesse fondée sur l’écoute de la nature pour se tourner vers l’orgueil et l’arrogance d’un savoir rationalisant déconnecté du Réel.

Nouveau postulat n° 4 : La maladie est une réalité multi-dimensionnelle qui touche une réalité complexe et systémique d’éléments en interaction permanente les uns avec les autres.

La médecine est fondée sur un double postulat de séparation. D’une part, elle considère que si un phénomène se manifeste sur le plan physique, c’est qu’il est de nature physique. D’autre part, elle pense également que si un organe particulier est touché, il faut chercher la cause dans le dérèglement de cet organe.

Or, nous en faisons l’expérience quotidiennement. Un mal-être psychologique, un conflit inter-personnel mal vécu, la perte du sens de la vie, un dilemme philosophique, le stress du quotidien, tout cela influence fortement notre santé physique. Inversement, des troubles physiques peuvent nous empêcher de nous sentir bien dans notre tête, peuvent nous faire perdre la foi ou nous précipiter dans une crise profonde. Essayer de soigner en cloisonnant les dimensions physique, psychique, relationnelle et spirituelle me paraît relever d’un aveuglement dommageable et inefficace. Ainsi, le physique influence le psychique comme le psychique influence le physique.

De plus, même si l’on se limite à la sphère strictement physique, la médecine chinoise, l’homéopathie, l’ostéopathie mais aussi d’autres disciplines comme l’orthodontie, l’étiopathie, la médecine holistique nous ont montré que le déséquilibre d’un organe particulier était souvent provoqué par le déséquilibre d’un autre organe. Il n’est pas rare que des sinusites soient soignées en libérant le foie de ses toxines, qu’un mal de dos soit soulagé par un déblocage des intestins, que des maux de tête soient éliminés par une remise en place du coccyx ou que des problèmes de genoux soient réglés par un réajustement de l’occlusion des mâchoires… De nouveau, ce n’est pas en s’acharnant sur l’organe lui-même que l’on trouve la solution au problème. C’est ici qu’il conviendrait de réintroduire dans la médecine une vision globale et systémique pour agir plus efficacement.

Nouveau postulat n° 5 : Les agents pathogènes ne sont pas des ennemis de la santé, mais ses alliés. Les agents cancérigènes ne sont pas responsables du cancer (sauf dans 1 % des cas). Les agents allergènes n’existent pas.

Pour démontrer cela de manière scientifique et détaillée, beaucoup plus d’espace me serait nécessaire. Lorsque j’aborderai les travaux du docteur Hamer et du docteur Sabbah, dans la suite de cet article, vous comprendrez mieux en quoi ce postulat est logique et cohérent, dans cette vision de la santé et de la maladie.

Pour l’instant, prenons juste une troisième métaphore. Lorsque, sur la route, survient un accident grave, on observe souvent la présence de policiers, de gendarmes, voire d’ambulanciers, de pompiers ou de médecins. C’est un fait. Dans ces cas-là, les journalistes sont souvent prévenus, pour couvrir l’événement. En général, à moins qu’ils ne disposent de moyens d’information particuliers, les reporters arrivent après l’accident et après les forces de police et les secouristes. S’ils ne connaissaient pas la réalité telle qu’elle est, à force de répéter toujours les mêmes observations, les journalistes pourraient conclure, en toute bonne foi, que les policiers, les gendarmes, les ambulanciers, les pompiers et les médecins sont à l’origine de tous les accidents de la route ! Et statistiquement, en se basant uniquement sur leurs observations a posteriori, ils auraient pratiquement toujours raison !

Bien entendu, vous me direz que c’est une faute grossière de logique, puisque l’accident a précédé l’arrivée des secours, et non l’inverse. Imaginez un instant que ce soit la même chose pour ce qu’on appelle les maladies. Nous savons déjà que lorsque quelque chose se manifeste, ce que l’on croit être le début d’une maladie est en réalité le début du processus de nettoyage, de rééquilibrage et de guérison (une des raisons pour lesquelles on meurt de la « maladie » est que le corps ne dispose pas assez d’énergie pour retrouver complètement son équilibre : il s’épuise alors dans cette quête jamais accomplie).

Ce qui veut dire que lorsqu’on commence à voir quelque chose se manifester (dans la métaphore de la maison, la sortie des poubelles), c’est que beaucoup de choses invisibles se sont déjà passées auparavant (l’accumulation des poubelles à l’intérieur). Quelques chercheurs reconnus pour leur efficacité thérapeutique, ont démontré que les virus, les bactéries et les champignons étaient mobilisés par le corps (sur l’ordre du cerveau) au moment où se déclenchait le rééquilibrage, pour aider le processus à s’accomplir. Soit pour apporter des matériaux pour reconstruire les cellules endommagées, soit pour évacuer les cellules devenues inutiles.

Évidemment, si le déséquilibre initial (phase de la maladie froide, invisible) a été trop profond, trop long et/ou trop intense, le nettoyage sera si brutal et si intense que cela peut rompre l’équilibre vital de l’organisme et provoquer sa mort. Mais, fondamentalement, comme les maladies ne sont pas des maladies, et comme les agents dits infectieux viennent au moment du processus de guérison, toute la vision de Pasteur s’effondre au profit d’une vision beaucoup plus dynamique qui vise le renforcement du terrain et de l’équilibre plutôt que la destruction pure et simple des agents nettoyeurs (virus) ou reconstructeurs (champignons et bactéries).

En ce qui concerne les agents cancérigènes, différentes recherches ont montré que seulement dans 1 % des cas, les cancers étaient provoqués par ces agents. C’est le cas de l’exposition à la radioactivité ou à certaines substances très toxiques à forte dose. en revanche, 99 % des autres cancers sont déclenchés par des facteurs de stress intense (des chocs psychologiques brutaux vécus dans l’isolement, traduits dans la biologie), liés souvent à des conflits humains intenses et dont on ne trouve pas de solution. Le Docteur Hamer a été le premier à mettre cela en évidence de manière scientifique, sur plus de 8.000 cas de cancers. Son mérite est d’avoir pu mettre en évidence que le développement du cancer se faisait selon certaines lois très précises et immuables, nous verrons cela plus loin.

Enfin, les agents allergènes sont une aussi pure fiction que ne l’est la croyance qui veut que ce soient les policiers et les autres qui provoquent des accidents. Toutes les allergies, sans exception, sont en réalité le processus de guérison (puisque c’est le moment où quelque chose se manifeste : boutons, éruptions cutanées, difficultés respiratoires) d’un énorme conflit de séparation. Je l’explique dans mon livre « Le langage de la guérison ».

Nouveau postulat n° 6 : C’est la génétique qui est le reflet de l’état de santé du corps, et non la santé qui est le reflet du déterminisme génétique.

Ici encore, nous pourrions reprendre notre métaphore des accidents de voiture provoqués par les policiers et leurs complices. En effet, des généticiens dissidents ont découvert que notre carte génétique mutait en permanence, en fonction des stress positifs et négatifs que nous étions amenés à vivre tout au long de notre histoire.

Ainsi, selon le même principe que dans le postulat précédent, c’est le stress qui est premier. Celui-ci provoque un déséquilibre plus ou moins profond et durable dans l’organisme et chez l’individu. À ce moment-là, il va s’opérer une mutation génétique pour refléter dans notre structure d’ADN les nouvelles données de notre état. Un peu comme si notre patrimoine génétique avait reçu comme mission de consigner, de mémoriser toute notre histoire pour en transmettre l’information dans le futur de l’individu et de son espèce.

Croire donc que tel chromosome est responsable de telle maladie, c’est une fois de plus lire la chaîne temporelle des événements à l’envers. Et en déduire donc qu’en injectant un chromosome « sain » en lieu et place du chromosome « pathogène » revient à dire que c’est en détruisant les photos (la mémoire) d’un accident que l’on parviendra à annuler cet accident, ou à réparer les dégâts. Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’avec pareil raisonnement, les généticiens qui nous promettent monts et merveilles (comme d’autres l’ont fait pour le cancer quarante ans plus tôt) s’engagent dans une nouvelle forme de révisionnisme, mais cellulaire cette fois : « Si j’efface la mémoire d’un événement, j’efface l’événement. » Voilà sur quoi reposent aujourd’hui les milliards d’investissement consentis dans le génie génétique…

Nouveau postulat n° 7 : Ce n’est pas en supprimant l’organe qu’on permettra au patient de survivre.

Dans ce dernier postulat, vous aurez compris de tout ce qui précède que ce qu’on appelle couramment une maladie n’est que l’expression d’un déséquilibre (processus invisible) qui cherche à revenir vers l’équilibre (processus visible). Dans ce contexte, l’organe ne doit être considéré que comme le lieu de manifestation par lequel le processus de guérison cherche à s’exprimer. En aucun cas, il n’est la cause première ! La cause, nous l’avons vu, c’est le conflit, le stress intense, qui une fois résolu, permet la guérison.

En supprimant l’organe, on ne fait que supprimer un lieu de manifestation. Et si le conflit reste encore actif, l’organisme se trouvera d’autres lieux, souvent contigus, pour continuer à manifester ce qui est nécessaire. C’est ainsi que certaines femmes ayant subi une ablation totale du sein produisent des ganglions alors que d’autres pas. Là où les premières n’ont pas encore résolu le stress à la base de leur cancer, il faudra qu’une manifestation persiste.

Ces sept nouveaux postulats que je propose à votre réflexion sont issus de ma synthèse personnelle, après 15 ans de fréquentation approfondie des médecines traditionnelles, globales ou holistiques. Elle s’inspire également des découvertes effectuées par des scientifiques qui ont eu le courage de sortir des sentiers battus de la pensée unique dominante et totalitaire répandue dans la communauté scientifique. Je pourrais présenter les travaux de nombreux chercheurs, mais je me limiterai, dans le cadre de cet article à ceux du docteur Hamer (Allemagne) et du docteur Sabbah (France).

La Médecine Nouvelle du docteur Hamer

Le docteur Ryke Geerd Hamer a été chef de service dans une clinique allemande, pendant de nombreuses années. Sa position privilégiée lui a permis de croiser la route de nombreuses personnes atteintes du cancer. Par des concours de circonstances, des hasards et une observation et une écoute minutieuses, Hamer a découvert des lois fondamentales expliquant le mécanisme d’apparition de tous les cancers et de toutes les maladies. Dans le cas de ce médecin, on peut réellement parler de lois, puisque les vérifications opérées par lui et par d’autres chercheurs et thérapeutes ont toutes montré qu’elles étaient vraies dans 100 % des cas, ce qui ne s’était jamais vu jusqu’alors dans l’histoire de la médecine.

La loi d’airain du cancer énoncée par Ryke Geerd Hamer se formule comme suit : « Tous les cancers sont provoqués et déclenchés par des conflits intenses et brutaux vécus dans l’isolement. C’est la nature du conflit qui déterminera la zone du cerveau qui sera touchée et l’organe où se localisera la maladie. » Il a donc observé que tous les patients qui avaient le cancer des os, par exemple, avaient tous vécu un choc, un stress, un conflit intense et brutal (soudain) dans lequel ils s’étaient sentis dévalorisés. De plus, il a observé que chez tous les patients atteints du même cancer, on pouvait voir une cible dans une même région précise du cerveau. Ainsi, il a découvert qu’à chaque type de stress correspondait une même zone spécifique du cerveau et un organe particulier, toujours le même.

Le cancer des os correspond au conflit de dévalorisation. Le cancer des poumons au conflit intense de peur de mourir. Le cancer du sein gauche chez une femme droitière au conflit intense par rapport à un enfant (réel, virtuel, imaginaire ou symbolique). Le cancer du sein droit chez une femme droitière au conflit humain en général avec le conjoint (chez une femme gauchère, les latéralités sont inversées). Le cancer de la prostate correspond au conflit sexuel (réel ou symbolique) en relation avec les enfants ou la descendance (ou la capacité à créer). Et ainsi de suite, pour tous les cancers.

Cette loi a été vérifiée depuis près de 20 ans par des centaines de thérapeutes (formés par Hamer ou ses successeurs), sur des dizaines de milliers de patients, sans exception. Ce qui est fabuleux dans cette découverte, c’est que le mécanisme : « conflit -> cerveau -> organe » marche dans les deux sens. Autrement dit, tant que le conflit est actif, la zone du cerveau activée donne l’ordre à la biologie de produire les cellules cancéreuses dans l’organe choisi pour exprimer le déséquilibre. Inversement, lorsque l’individu résout son conflit (de quelque manière que ce soit) et met fin à son stress intense, la même zone du cerveau inverse le programme et donne instantanément l’ordre à la biologie d’arrêter la production des cellules cancéreuses et de détruire la tumeur localisée dans l’organe…

C’est ainsi qu’aujourd’hui, plusieurs milliers de dossiers médicaux de guérison ont été constitués et rassemblés par le Docteur Hamer et ses successeurs. Dans ces dossiers, on dénombre beaucoup de guérisons que la médecine officielle qualifie de « spontanées, inexplicables ou miraculeuses » : ainsi, scanners, analyses sanguines, radiographies, rapports émanant des hôpitaux prouvent que des patients ont guéri complètement de cancers, de leucémies, de scléroses en plaques, de myopathies, de dégénérescences diverses, de surdités, de troubles graves de la vue, de psoriasis, d’allergies, etc. sans recours ni à la chimiothérapie, à la radiothérapie, à la chirurgie ou aux autres traitements classiques prescrits par la médecine. Pourtant, un grand pourcentage d’entre eux avait été condamnés à brève échéance par la médecine officielle qui les déclarait incurables. Lors d’un énième procès intenté par l’ordre des médecins contre le Docteur Hamer, l’avocat de ce dernier a demandé à la justice de comparer le pourcentage de survivants du cancer à l’échelle nationale avec le pourcentage de survivants du cancer parmi les patients de son client (sachant que nombre d’entre eux s’étaient adressés à lui en désespoir de cause, parfois en phase terminale, après avoir tout essayé). Cette comparaison démontra de manière éclatante la supériorité de son approche par rapport à celle de la médecine scientifique et de tout son arsenal guerrier pour terrasser la maladie : 95 % de survie sur plus de 5 ans pour Hamer, contre 30 % pour la moyenne nationale en Allemagne. Sans commentaire.

La maladie, la solution parfaite du cerveau face à un conflit

Si j’arrêtais ici ma présentation, je vous laisserais probablement dans le doute, la perplexité, tant les guérisons peuvent apparaître magiques, si on ne comprend pas à quoi sert la maladie, fondamentalement, d’un point de vue biologique. Pour le comprendre, le Docteur Hamer donne un exemple tiré tout d’abord de la biologie animale : celui d’un renard en situation de grand stress lié à sa survie.

Depuis trois jours, imaginons qu’un renard n’ait plus attrapé la moindre proie. Il se trouve dans un grand stress lié à sa survie physique, quand, enfin, il parvient à capturer un petit lapin qui passait par là. Au moment où il s’apprête à le croquer, à le déchiqueter, à le broyer, le renard entend s’approcher un de ses prédateurs les plus terribles : le chasseur. Et voilà notre renard tiraillé entre deux menaces : s’il mange son repas, pour satisfaire son besoin de nourriture, il risque d’être tué le ventre plein ; s’il déguerpit en laissant sa proie, il risque peut-être de mourir de faim, un peu plus tard. Pour sortir de ce dilemme cornélien, il décide d’avaler toute entière une patte du lapin et de s’enfuir bien loin.

À cet instant, un autre danger menace le renard : celui de mourir d’une occlusion intestinale, car cette patte entière ne peut ni remonter de l’estomac, ni poursuivre son parcours dans l’intestin. On se trouve, dit Hamer, dans un conflit intense et brutal lié à la nécessité de digérer quelque chose. Pour résoudre cette situation, le cerveau met en œuvre alors la solution parfaite pour assurer la survie individuelle : il déclenche un programme de production de super-cellules digestives sur la paroi de l’estomac. L’objectif : digérer cinq fois plus vite et cinq fois mieux cette patte de lapin coincée. Tant que l’objectif n’est pas atteint, le cerveau maintient son ordre de produire ces super-cellules digestives aux performances nettement supérieures à la normale. Mais dès que la patte est complètement digérée, un processus de bio-feed-back informe le cerveau que l’objectif est atteint. Instantanément, le cerveau met fin au programme de production et donne l’ordre d’éliminer ces super-cellules qui seraient dangereuses si elles étaient maintenues dans l’estomac. Quelques jours plus tard, si l’on endort le renard et que l’on examine sa paroi stomacale, on pourra observer des cicatrices, témoins de cette élimination encore récente des super-cellules. Conclusion : grâce à ce programme inscrit dans la biologie depuis des millions d’années, le cerveau a choisi la meilleure solution parmi toutes pour assurer la survie du renard. La seule chose que je ne vous ai pas encore dite, c’est que ces super-cellules digestives sont ce qu’on appelle couramment, des cellules cancéreuses de l’estomac ! Ainsi, selon Hamer et Sabbah, sur base de vérifications faites en laboratoire, ce que nous appelons une cellule cancéreuse a les mêmes fonctions qu’une cellule normale, mais de façon démultipliée. Une cellule cancéreuse de l’estomac digère beaucoup plus fort et vite qu’une cellule normale. Une cellule cancéreuse du pancréas produit bien plus d’insuline, une cellule cancéreuse du sein produit bien plus de lait, une cellule cancéreuse du poumon a une capacité d’échange oxygène-sang nettement supérieure, une cellule cancéreuse du rein filtre nettement plus, etc.

Notons au passage que le Docteur Claude Sabbah a généralisé les découvertes de Hamer en montrant que toutes les maladies, quelqu’elles soient (de la plus bénigne à la plus grave), résultaient d’un choc ou d’un stress vécu dans l’isolement et étaient déclenchées par le cerveau comme solution parfaite pour assurer la survie.

Pourquoi meurt-on de nos maladies ?

Alors, me direz-vous, si cela est vrai, pourquoi meurt-on du cancer ou d’autres maladies, si les maladies sont les solutions parfaites inscrites dans la biologie pour assurer la survie individuelle ? Pour répondre à cette question, il faut comprendre comment notre cerveau traite les informations qui lui parviennent. En fait, il faut savoir qu’il ne fait aucune distinction entre une information réelle, imaginaire, virtuelle ou symbolique. Pour le prouver, prenons un exemple simple.
— Si, tout à coup, vous vous retrouvez debout, au bord du toit d’un immeuble de 20 étages, sans garde-fou, votre cerveau va interpréter cette situation comme un danger réel : il va déclencher toute une série de réactions physiologiques et de réflexes comportementaux (montée du taux d’adrénaline, accélération du rythme cardiaque, angoisse, vertige, etc.). Ici, il a traité une information réelle ;
— Si, en lisant l’exemple ci-dessus, vous vous êtes imaginé dans cette situation, probablement que votre cerveau aura déclenché les mêmes réactions. Pourtant, vous n’étiez pas réellement en danger, puisque vous étiez assis en train de lire. Le cerveau a pourtant traité une information imaginaire, comme si elle était réelle ;
— Si, maintenant, au cours d’un jeu vidéo ou d’une séance de cinéma, le scénario vous projette sur le bord du toit, avec le vide en dessous, filmé du point de vue du héros, et si vous êtes suffisamment plongé dans l’image, votre cerveau va de nouveau réagir de la même manière. Ici, il a traité une information virtuelle comme si elle était réelle ;
— Enfin, si l’on vous annonce brusquement que l’entreprise qui vous emploie est déclarée en faillite, juste au moment où vous venez de contracter un gros emprunt à la banque, vous allez peut-être sentir la terre s’ouvrir sous vos pieds. Le cerveau va de nouveau déclencher les mêmes réactions, alors que le précipice face auquel vous vous retrouvez n’est que symbolique. Ainsi, il traitera une information symbolique comme si elle était réelle.

Si vous comprenez cela, vous comprendrez alors aisément que tout ce que nous disons, tout ce que nous pensons est pris par notre cerveau comme des informations réelles qu’il a le devoir de traiter, en tant que super-computer. Ainsi, si vous dites à propos d’un ami : « ce coup-là, je ne lui pardonnerai jamais. Je ne pourrai jamais le digérer », et que cette phrase est réellement le reflet de ce que vous ressentez intensément, votre cerveau va recevoir cette information symbolique et la traiter comme si elle était réelle. Si le conflit relationnel que vous vivez est très intense, et que vous ne parvenez pas à exprimer tout le mal-être que vous ressentez, il est fort probable que le cerveau va déclencher son programme de production des super-cellules digestives (c’est-à-dire des cellules cancéreuses) pour digérer ce coup que vous ne pouvez pas digérer…

Mais à la différence de la patte du lapin coincée dans l’estomac du renard, si une réconciliation avec votre ami n’intervient pas, si vous restez sur votre position, si vous ne pardonnez pas, ce coup-là, vous ne le digérerez effectivement jamais. Par conséquent, votre cerveau continuera à recevoir le message l’informant que le coup n’est pas encore digéré. Et très docilement, il maintiendra son programme de production des cellules cancéreuses. Vous devinez la suite : tôt au tard, à force de disposer d’une capacité digestive anormalement élevée, vous commencerez à ressentir des douleurs, les aliments n’étant pas digérés correctement. On vous diagnostiquera alors un cancer de l’estomac que les médecins tenteront de faire disparaître, par divers moyens à leur disposition…

Mais vous commencez à deviner ce qui risque de suivre. Car même si on vous pratiquait une ablation totale de l’estomac, votre cerveau lui, continuerait à ordonner la production de cellules cancéreuses dans la zone du corps où se situait l’estomac. Ainsi, quelques mois plus tard, on découvrirait ce qu’on croira être une « récidive » ou des « métastases », alors que cette manifestation ne serait que la continuation d’un programme lancé un jour par le cerveau sur base d’une information symbolique à propos d’un conflit avec un ami.

Pour aller plus loin dans le processus, si vous recevez le diagnostic pessimiste de votre cancérologue comme un choc brutal, et que vous traduisez cette information comme un grand stress lié à la peur de mourir, votre cerveau, toujours aussi docilement, lancera un nouveau programme de production de super-cellules pulmonaires, ce qu’on traduira classiquement un peu plus tard comme le cancer du poumon. Et ainsi de suite, jusqu’à ce que mort s’ensuive.


Comment prévenir les maladies et comment les guérir ?

J’ai décrit en détail dans mon dernier livre « Le langage de la guérison » les processus qui déterminent ou provoquent nos maladies physiques, à partir de chocs psychiques intenses ou de grands stress. Dans le cadre de cet article, cela me paraît inutile d’aller plus loin dans les explications, car le raisonnement est le même pour toutes les maladies, quelque soit leur degré d’intensité et de gravité.

Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que d’une part, le cerveau ne se trompe jamais et que d’autre part, c’est lui qui déclenche toutes les « maladies » pour garantir à l’individu les meilleures chances de survie. L’intérêt d’une telle vision est énorme, vous le devinez. En effet, pour la première fois dans l’histoire de la médecine, rien, dans nos affections et nos déséquilibres n’est dû au hasard. Tout se manifeste en accord avec des lois immuables inscrites dans la biologie des êtres vivants, comme le dit le Docteur Claude Sabbah.

Cela signifie, concrètement, que si vous apprenez les lois de la Médecine Nouvelle de Ryke Geerd Hamer ou de la Biologie Totale de Claude Sabbah, lois aussi immuables que celles de la physique ou de la chimie, vous pouvez non seulement comprendre d’où viennent toutes vos maladies, mais surtout vous pouvez les prévenir et les guérir. Comment ? En apprenant ces compétences relationnelles de base que tout être humain devrait acquérir : exprimer ses besoins et ses émotions, oser les confrontations respectueuses, reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est, poser des actes adaptés à la réalité, boucler les affaires non terminées, pardonner. Reprenons-les une à une, pour examiner en quoi ces compétences pourraient nous éviter d’être malades ou nous permettre de nous guérir…

— exprimer nos besoins : beaucoup de frustrations, beaucoup de stress proviennent du fait que d’une part, rares sont les êtres humains conscients de leurs véritables besoins et d’autre part, encore plus rares sont ceux capables de les exprimer de manière adaptée. Par conséquent, nous accumulons des rancœurs, des ressentiments, nous restons bloqués dans des impasses, sentant bien que quelque chose ne nous convient pas, mais sans savoir comment en sortir. Les choses qui nous arrivent sont souvent inacceptables, mais nous les acceptons quand même, parce que nous ne connaissons même pas les limites de ce que nous sommes prêts à vivre ou pas.
Réapprendre à identifier nos besoins et les limites de ce que nous ne voulons plus, être capable de les formuler à nos interlocuteurs, sans avoir peur des conséquences est une des voies possibles pour prévenir et pour guérir les maladies provoquées par les conflits humains et les frustrations.

— exprimer nos émotions : une émotion, c’est comme un symptôme. C’est l’indicateur de l’état de satisfaction et d’insatisfaction de nos besoins. Un besoin est frustré ? Nous en serons averti par une émotion désagréable (colère, tristesse, peur, etc.). Un besoin est satisfait ? C’est une émotion agréable qui nous avertira (joie, plaisir, etc.). Malheureusement, notre éducation nous a enseigné la même attitude à l’égard de nos émotions que la médecine à l’égard des symptômes : les nier, les rejeter, les supprimer. En agissant de la sorte, nous nous privons des meilleurs indicateurs à notre disposition pour connaître avec certitude ce qui est bon pour nous, et ce qui ne l’est pas. Et c’est cette ignorance qui nous précipite dans la frustration, puisque n’ayant plus de voyants lumineux sur notre tableau de bord, nous ne sommes même plus averti qu’un ou plusieurs de nos besoins sont frustrés. Et c’est là que le cerveau est obligé de prendre le relais, pour inscrire dans la biologie des organes les mêmes renseignements dont nous disposions avec les émotions (souvenez-vous : dans la métaphore de la voiture, si les voyants du tableau de bord ne fonctionnent plus ou ne sont pas pris en compte (les émotions), c’est au niveau des organes du moteur que la rupture se manifestera (les organes)).
Réapprendre à écouter nos émotions, les reconnaître et les accepter, les remercier même pour le travail de vigilance qu’elles opèrent pour nous est une première étape pour sombrer moins souvent dans des conflits et des stress destructeurs. Si, en plus, nous pouvons exprimer nos émotions de manière adaptée, en en prenant toute la responsabilité, sans en rendre les autres responsables, alors, très vite, nous pourrons retrouver notre équilibre (j’en ai fait très souvent l’expérience avec de nombreuses personnes).

— oser les confrontations respectueuses : combien de fois, dans des situations difficiles, tendues, désagréables, nous n’osons pas dire les choses à l’autre, respectueusement, mais fermement ? Combien de fois ne ravalons-nous pas notre salive, de peur de créer un conflit ? Nous craignons souvent que les choses désagréables soient dites, parce que nous pensons qu’il est préférable de conserver la paix entre les êtres. Mais cette paix n’est qu’illusoire, puisqu’à l’intérieur peut sourdre une violence énorme. Remarquez même que le calcul est illusoire : en voulant éviter le conflit, on ne dit pas ce qui devrait être dit. Mais en ne disant rien, on augmente notre frustration et notre rancœur, jusqu’à ce qu’elle devienne insupportable. Alors, soit nous explosons contre l’autre, et c’est le conflit et la rupture qu’on avait justement tenté d’éviter ; soit nous implosons, et c’est le cancer ou la maladie fulgurante qui vient nous inviter à regarder de plus près le déséquilibre que nous avons créé…
Oser les confrontations, c’est apprendre à dire les choses qui nous dérangent, calmement, mais sans faux-fuyants. C’est se dire aussi que la meilleure façon de prendre soin de la relation que nous avons avec les autres est encore d’exprimer honnêtement ce qui se passe pour nous dans l’interaction avec l’autre.

— reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est : je l’ai souvent observé, beaucoup de maladies se déclenchent lorsque nous refusons de voir une situation, lorsque nous y résistons, lorsque nous n’acceptons pas ce qui nous arrive. Ainsi, nous pouvons entrer dans des conflits de résistance, de répugnance, de dévalorisation, de perte d’image ou de territoire. Et plus nous luttons contre la réalité, plus nous renforçons son emprise et sa force contre nous, jusqu’à en être épuisé.
Loin d’être fataliste (il ne s’agit pas d’être une loque humaine qui encaisse tout sans rien dire, au contraire), cette attitude consiste à oser regarder la réalité en face, objectivement, sans la juger. Il s’agit aussi de changer son regard sur les événements, en ne les considérant ni comme bons, ni comme mauvais : je conseille plutôt de considérer tout ce qui nous arrive comme des opportunités offertes pour apprendre quelque chose de nouveau.

— poser des actes adaptés à la réalité : Jung insistait beaucoup sur ce point. Il n’y a, en effet, pas de guérison si nous ne posons pas des actes dans le Principe de Réalité. Souvent, nous restons bloqués dans des conflits ou dans des stress parce que nous n’osons pas poser un acte. Ou pire : parce que nous croyons qu’il suffit d’avoir pris conscience de l’origine de son cancer pour guérir. C’est faux, et tous ceux qui l’ont cru sont morts aujourd’hui. L’acte est la seule manière de donner au cerveau l’information de fin de programme conflictuel. Sinon, nous l’avons vu, l’activation de la maladie ne s’arrêtera jamais.

— boucler les affaires non terminées : cette notion a été mise en lumière la première fois par Elisabeth Kübler-Ross, ce médecin suisse émigrée aux États-Unis, à l’origine de la pratique des soins palliatifs répandus aujourd’hui dans le monde entier. Elle disait que beaucoup de patients, en fin de vie, éprouvaient le besoin absolu de faire la paix avec ceux avec qui ils avaient connu des ruptures qui s’étaient mal passées. Elle a observé des milliers de fois que dès que les affaires non terminées avaient été bouclées, les patients mouraient la nuit même, apaisés et sereins.
Pour agir de la sorte, je pense que nous ne devons pas attendre la fin de notre vie, en phase terminale d’une maladie longue et douloureuse. Je fais l’expérience régulièrement que boucler les affaires non terminées me permet de maintenir mon équilibre et de ne pas créer des sources de stress aussi inutiles que préjudiciables.

— pardonner : enfin, last, but not least, pardonner. Non pas, pardonner l’autre pour le mal qu’il pourrait nous avoir fait, mais nous pardonner à nous-même pour la souffrance que nous avons accepté de vivre si longtemps avant de lâcher prise, avant d’exprimer à l’autre nos besoins ou nos émotions, avant d’avoir oser les confrontations respectueuses, avant d’avoir enfin reconnu et accepté la réalité, avant d’avoir posé des actes dans la réalité, avant d’avoir bouclé les affaires non terminées.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce ne sont jamais les autres ni les événements qui sont responsables de nos chocs, de nos conflits, de nos stress. C’est toujours la manière dont nous avons reçu l’événement, dont nous l’avons perçu, interprété, filtré qui engendrera notre souffrance ou notre plaisir. Donc, en fin de compte, avec beaucoup d’amour, d’humour et d’humilité, nous nous remercierons d’avoir été aussi stupide et nous nous pardonnerons tout ce mal que nous nous sommes fait.

Conclusions

Au terme de cet article, je tiens à tirer rapidement quelques conclusions. Tout d’abord, mon objectif n’a pas été de vous convaincre que vos croyances étaient erronées à propos de la santé et de la maladie. Je ne sais que trop bien qu’il faudrait bien plus pour vous faire changer. Mon objectif était de vous proposer une vision de ce que sera probablement demain, la compréhension de la maladie et de la guérison. Si l’une ou l’autre idée a fait résonance en vous, je vous invite à approfondir votre recherche, à vous informer, à lire les livres qui commencent à sortir sur le sujet… Et surtout, à expérimenter par vous-même et sur vous-même, comme je le fais depuis 18 ans.

Ensuite, cette vision de la maladie est porteuse d’une immense bonne nouvelle : la maladie n’est pas une fatalité, elle n’arrive jamais par hasard. Ce qui veut dire qu’en changeant nos habitudes comportementales, nos schémas de pensée, notre vie émotionnelle, nous pouvons éliminer définitivement l’emprise des maladies sur nous. De plus, même si nous tombons encore malades de temps en temps, nous ne serons plus dépendants des thérapeutes qui se placent dans une position de pouvoir par rapport à nous. Nous retrouvons, enfin, notre autonomie, notre liberté, notre souveraineté.

Enfin, en tant que patients et en tant que citoyens, nous avons tous un devoir d’informer notre entourage, le plus largement possible, sur ces nouvelles recherches, pour que la folie qui s’est emparée du pouvoir médical, politique et économique à l’égard de tout ce qui est alternatif soit discréditée, rendue non pertinente, obsolète. Quand je vois les persécutions dont font l’objet de nombreux thérapeutes qui ont choisi de se mettre réellement au service de la santé et du malade (et donc de ne plus servir les intérêts des grands groupes pharmaceutiques), je sais que cette nouvelle forme d’inquisition ne cessera que lorsque nous serons assez nombreux pour dire en face, à nos médecins traditionnels, ce qui nous a vraiment guéris. Sinon, la maladie restera encore pour longtemps aux mains de ceux qui ont pris le pouvoir sur notre vie et sur notre corps. Nous avons le Monde que nous méritons. Aurons-nous le Monde auquel nous avons légitimement droit ? Cela ne dépendra que de nous."

Jean-Jacques Crèvecœur


Là où la Médecine Nouvelle et la psychobiologie rentrent en résonance avec les médecines primitives :
On sait bien que les traumatismes affectifs, les ruptures, les non-dits graves, les amertumes, les haines…
sont autant de “laideurs intérieures”, qui provoquent notamment des cancers"




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