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dimanche, 08 avril 2007

De la Vie aux lances à la Vie intense!

"Qui sème le vent récolte la tempête!"

"Qui sème la joie récolte la tendresse!"


De la Violence à la Vie intense, 7 étapes pour toucher la joie et la semer:

1. Le réveil
Lorsque la violence ravage notre vie, notre couple, notre famille, notre clan, notre pays, notre humanité, c'est la sonnerie du réveil, du téléphone de la vie qu'un certain vent dans le passé a semé la tempête.
Il faut alors chercher dans notre histoire, celle de notre conjoint, de notre famille, de notre nation, de l'humanité, les ralentisssements important de la vie, les pertes d'intensité, les pertes de poésie pour la vulgarité, les pertes de douceur, de vertus pour l'énervement et la médiocrité.

Une fois ce bagage reconnu, la capacité de reconnaitre nos ralentissements de vie, de les anticiper, de s'en protéger, de les réorienter vers un moment tourné vers l'intérieur, le calme, l'introspection afin de transcender cette lenteur à vivre comme un vers rampant en une chrysalide qui présage d'un futur papillon.

2. La pression
Dès que l'on reprend contact avec la vie piquante, hérissée, ralentie, médiocre qui mine notre vie, notre famille, notre pays... on reprend contact avec de l'énergie retenue, une créativité empéchée.
Si le réveil s'est fait avec grande attention, le geste créatif retenu émerge de notre mémoire ou de celle de notre famille, de notre nation et il est important de le libérer par une puissante activité qui symbolisera le dégagement de cette force créatrice qui a été retenue: une lettre d'amour interdite, des mots retenus, mal dits, des tendresses réprimés transformés en dureté, des regards d'admiration transformés en envie, en jalousie...
Alors il deviens simple de rencontrer un arbre, un rocher, un animal, un enfant, un ami, son conjoint, ses parents... et de leur offrir sous une forme de jeu ou de profiter d'un évènement pour s'autoriser à leur offrir cette lettre, ce sourire, ce regard, cette caresse... et libérer l'énergie ralentie!

Emmenez moi au bout de la terre, emmenez moi au pays des merveilles... par Aznavour


3. La négociation





4. L'intériorité et le temps des bilans



5. La rencontre de la réalité désigne ce qu'il nous reste à débuter, à finaliser, à apprendre


6. La gratitude de reprendre sa vie en main


7. La joie de vivre une vie pleine

Céline et Garou sorte la grand voil et suive leur étoile!

jeudi, 05 avril 2007

Un psychiatre dénonce sa propre profession à cause de conflits d'intérêts

Alors que les révélations s'accumulent sur les liens financiers profondément tissés entre les praticiens de santé mentale et l'industrie pharmaceutique, un autre dénonciateur s'est levé, en la personne du psychiatre Daniel J. Carlat qui vient de déclarer au Boston Globe que "notre domaine [la psychiatrie] est globalement en train d'être absolument et entièrement achetée par les compagnies pharmaceutiques: ceci comprend les diagnostics, les conseils de traitements et les rencontres nationales." Le Dr. Jerome P. Kassirer, un professeur de l'Université Tufts et l'auteur de "Prêt à se faire acheter, Comment la complicité de la médecine avec les grandes entreprises peut mettre en péril votre santé," en a rajouté en déclarant que, "les psychiatres font partie d'une des spécialités médicales qui est la plus en conflit."

Ces accusations sont appuyées par un article paru dans le New York Times en mars dernier qui examinait les conflits d'intérêt financier chez les médecins du Minnesota. L'enquête du New York Times révélait que les psychiatres de cet état avaient reçu plus d'argent de la part de compagnies pharmaceutiques que n'importe quelle autre spécialité médicale - 6.7$ milliards provenant de l'industrie pharmaceutique entre 1997 et 2005. De plus, sept des huit derniers présidents de la Société Psychiatrique du Minnesota ont agi à titre de consultants pour les fabricants de médicaments.

Une étude de 2006 publiée dans le Journal Psychothérapie et Psychosomatiques avait aussi déterminé que:

- Une majorité (56%) des membres du comité responsable des révisions apportées au DSM (Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, la bible de facturation de la psychiatrie) avaient au moins un lien financier avec les compagnies pharmaceutiques.

- 100% des membres du comité responsable des "Troubles émotionnels" et de "La schizophrénie et autres troubles psychotiques" (pour lesquels les antidépresseurs et les antipsychotiques sont prescrits) avaient des liens financiers avec les compagnies pharmaceutiques.

Commentant cette étude, le professeur de psychiatrie de UCLA (Université de la Californie à Los Angeles), le Dr. Irwin Savodnik, avait dit, "Le vocabulaire même de la psychiatrie est maintenant défini à tous les niveaux par l'industrie pharmaceutique."

Le DSM a aussi été critiqué parce que, contrairement à la médecine, il n'existe aucun test physique qui peut prouver l'existence de n'importe quel trouble mental mentionné dans le manuel du DSM. En dépit du fait que les diagnostics psychiatriques sont entièrement subjectifs, les psychiatres s'en servent pour justifier la prescription de médicaments puissants qui altèrent les fonctions mentales normales. Les ventes de médicaments psychotropes qui comprennent les stimulants, les antipsychotiques et les antidépresseurs, dépassent maintenant les 80$ milliards annuellement.

La Commission des citoyens pour les droits de l'homme (CCDH) réclame depuis des dizaines d'années une commission d'enquête publique sur les conflits d'intérêt entre les organisations psychiatriques et les compagnies pharmaceutiques ainsi que sur l'efficacité réelle de ses traitements. Selon Denis Côté, le président du bureau de Québec de la CCDH, "Au Québec particulièrement, la psychiatrie a un passé caché d'expérimentations criminelles commises contre des milliers d'enfants et d'adultes, un passé qu'elle réussit encore à cacher à la population en général et aux médecins non psychiatres en particulier. La triste histoire des milliers d'Orphelins de Duplessis étiquetés comme étant 'débiles mentaux' et soumis à des traitements psychiatriques cruels et inhumains comme les électrochocs et les drogues expérimentales est un exemple. Une autre histoire tout autant pathétique se passe en 2007. C'est celle des milliers d'enfants et d'adolescents qui sont sous le contrôle de la DPJ et qui sont enfermés dans une camisole de force chimique au moyen de cocktails puissants de différents médicaments psychiatriques administrés en même temps. Ces jeunes ne sont pas aidés, ils sont étiquetés et transformés en zombie. Ils sont trahis. Environ 50% de ces jeunes sont contraints de prendre plus d'une drogue psychiatrique en même temps."

La CCDH invite la population à communiquer avec elle pour tout cas de mauvais traitement, diagnostics frauduleux, effets secondaires dangereux à des médicaments ou autres manquements à l'éthique professionnelle commis par des intervenants en santé mentale. Nous vous invitons à consulter le site de la CCDH (www.droitshumains.ca), à vous informer et à agir. Communiquez au (418) 529-2267

mercredi, 04 avril 2007

Héritage du passé

S'interroger sur son histoire, c'est découvrir son passeport pour retrouver son identité et se permettre de franchir toutes les frontières.



En effet, l'histoire de famille combinée à l'histoire de notre vie décrit précisément les défis et les apprentissages à la fois collectif de notre clan et individuel propre à nous-même.

Pour bien lire et tirer partie de notre histoire, il faut toujours se poser la question: "À quoi sert d'avoir vécu cela?" que ce soit pour nous même ou pour nos ancêtres. "Qu'est-ce que cela développe?" "À quelle école, à quel programme d'étude ma famille et moi-même avons été soumis?"
"Qu'avons nous appris à travers telle épreuve?" "Quel est le trait dominant acquis, développé, approfondit dans l'histoire familliale, et particulièrement dans la mienne propre?"

Dès que ces questions sont bien posés en rapport aux détails historiques de notre vie, toute une nouvelle identité apparaît, celle de la trame de notre histoire. Elle révèle le fil conducteur d'un apprentissage qui nous définit mieux que tout.

Dès lors une immense paix se fait avec nos parents, notre famille et avec la destinée.
Plus encore un sentiment de gratitude, de reconnaissance du chemin parcouru, de nous-même émerge.

De se passée validé le présent s'annonce fort, volontaire et participatif au menu du jours et même à enticiper l'avenir en choisissant d'avance des défis qui nous correspondent!

Nous devenons dès lors créateur d'un avenir en harmonie avec nos origines, notre histoire, notre identité.

Dès que l'on existe avec une nette définition, la rencontre de l'autre deviens réelle, libre de projection et d'attente biaisée. Il deviens aisé d'identifier l'inconnu, la différence dès lors que la notre est repérée, acceptée, appréciée.

dimanche, 01 avril 2007

Communiqué de presse

Communiqué de presse Date :
le 17 mars 2007 Diffusion :
immédiate

Journée Mondiale de la Femme Enceinte

Montréal, le 17 mars 2007 – La 3e édition de la Journée Mondiale de la Femme Enceinte aura lieu le 20 mai 2007 au relais montroyal, 500 av Mont-Royal est à Montréal de 10h à 17h.

Cet événement novateur réunira des professionnels de la périnatalité et des artistes pour enchanter et instruire les familles invitées.

Un objectif original: améliorer la santé de notre société, par une attention particulière accordée à la vie périnatale.

Cette journée a été annoncée à l’ONU le 22 mai 2006 à New-York auprès des organisateurs officiels des journées mondiales qui lui ont fait un accueil très favorable. Elle débute donc un processus de reconnaissance mondiale par l’ONU qui implique le gouvernement canadien et la mairie de Montréal.
Cet événement majeur amène l’ébauche de pistes d’action en amont des problèmes sociaux tout en contribuant à positionner Montréal comme centre névralgique de la périnatalité mondiale.

À ce titre, la ministre Me Théberge ainsi que le maire Mr Tremblay sont espérés pour soutenir ce lancement. Le début de la journée sera consacré au chant prénatal comme une des avenues favorisant l’épanouissement de la vie prénatale, puis sur le suivi et la préparation de la grossesse, et l’alimentation de la vie périnatale.

L’après-midi portera sur l’allaitement, des conseil pour la santé des enfants, pour ouvrir les horizons sur les liens à retisser des grands-parents à l’enfant à naître, pour finir sur l’impact de la périnatalité sur la santé sociale.

C’est une occasion unique pour le grand public de recueillir de l’information de haute qualité relative à la périnatalité par des conférenciers formidables.

Cet événement est organisé par l’Institut en santé et périnatalité de Montréal.
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Renseignements :
François Amigues, Lubka Kolesar ou Alexandre Velik Tél. : (514) 525 0623 Cell. : (514) 249-9936