mardi, 01 mai 2012
Troubles comportementaux et solutions pour l'enfant et l'adulte
La construction de l'être humain suit des phases biologiques et psychiques capitales à connaître pour identifier les tensions subits et les moyens de s'en sortir.
Durant la vie prénatale, notre capital individuel va réagir à 100% au bain d'empreintes maternelles elles même fortement modelée par les empreintes paternelle et/ou environnementale. Ces messages transgenerationnels et épi génétiques vont interagir sur notre propre identité pour atteindre une charge personnalisée d'amour et de bien être qui servira de base et de sol à l'édification de notre vie.
Durant la petite enfance jusqu'à la 1iere dent définitive de 6-7 ans, nous sommes censé recevoir 75% d'amour parental en échange de 25 que nous leur offrons dans une innocence qui généralement les comble. Cet amour très charnel, fusionnel et tendre que les grec désigné de "pornoe" ou peau-à-peau par la prédominance de son caractère sensoriel fonde notre sentiment de sécurité pour être capable de s'individualiser afin d'échanger nos différences dans un lien commun à notre humanité fondé par la tendresse parentale chargeant l'enfant d'amour comme une véritable pile pour le restant de sa vie.
Par la suite, les rapport changent et si l'enfant cherche un échange 50-50 d'affection jusqu'à la phase hormonale de l'adolescence ou le rapport bascule vers un don de soi à 75% pour développer des relation d'amitié durable, c'est à l'âge adulte qu'il pourra atteindre un 100% de don de soi et de son amour qui lui servira à fonder sa vie amoureuse, familiale et servir les autres et le monde.
Cependant nombre de ces étapes peuvent avoir été sous-estimées et nécessitent notre attention pour les finaliser afin d'atteindre l'expression de notre plein potentiel du rayonnement de la vie qui nous traverse et nous anime.
Depuis la revolution culturelle, l'arrivee de l'hygiène à eu la dramatique conséquence de séparer médicalement les mamans des enfants par un subterfuge de renforcement négatif que leur trop grande proximité aller créer de futurs dépendants affectifs!!
La neurologie à prouvé depuis des années que c'est totalement le contraire!
Boris cyrulnik l'a prouvé mainte fois en récupérant les enfances volés par la reconstruction d'un milieu intensément plein d'amour, capable de retisser cette intimité inconnue dans ces enfances de terreur jusqu'à en rebondir par l'accès restauré à ses pleins potentiels.
Or, si il est maintenant clairement établit que la charge d'amour préconceptionnelle, prénatale et durant la petite enfance est la base de sa capacité à aimer par une profond sentiment de sécurité imprégné dans ses cellules, il n'en reste pas moins que nos civilisations continuent d'entretenir ces fausses conceptions si nuisible d'une distance à créer entre le nourrisson, l'enfant et les parents pour soit disant en faire un adulte fort!!!!
Une hérésie maintenant scientifique qui a des conséquences sociétaire majeure!
En effet, le féminin privé de la charge de tendresse qu'il mérite construit des futures dépendantes affectives qui ne chercherons qu'à renforcer leur pouvoir de séduction pour attirer à tout prix l'étreinte sécurisante légitime et trop souvent absente durant l'enfance.
Le masculin privé de cet amour pur et innocent se pervertira dans la recherche incontrôlable de cette peau maternelle qui lui a manqué par l'organe de prédilection assurant sa survie: la vision, corrompue en quête i saturable de peau, de "pornoe" qui deviendra pornographique!
Que de luttes, d'incompréhension et de drames suivent cette déformation adulte de besoins infantiles les plus naturels frustrés au nom d'une découverte salutaire de l'hygiène malheureusement pervertie en usage malsain de nos rapports avec la petite enfance sous couvert d'une psychologie erronée méconnaissante des lois neurologiques les plus importantes!
La bonne nouvelle est que ce processus est partiellement réversible par la ré-imprégnation sensorielle manquante par une force pure, aimante, maternante et paternante qu'il est important pour tout adulte de redécouvrir.
Cette force peut venir d'un amour humain où l'autre possède cette autonomie très rare d'un enfant totalement chargé en amour et capable de se donner à 100% avec cette tendresse bouleversante de type "parentale"
Mais la rareté de cette situation incliné plutôt à chercher du côté de notre " Mère Nature" qui gardede manière inaltérable sa beauté, fraîcheur, senteur, magnanimité et constante poésie capable de combler les sens affamés de tendresse de tout ceux qui comprendront l'importance de s'y ouvrir et de s'y abandonner régulièrement jusqu'a avoir refait ses niveaux de bases permettant de recharger nos potentiel en amour et de les mettre en mouvement créateur.
Pour aller vers ce bel avenir, c'est tout une nouvelle éducation de considération de la nature pour mieux d'y ouvrir qu'il conviens de développer.
De cette sacralisation de la nature va dépendre la guérison de ces frustrations corporelles qui nous permettrons de réhabiter enfin nos corps et nos vies pour y laisser couler les source d'amour qui président à leur donner sens.
Que vous utilisiez le sport, le loisir, la cuisine, le jardinage ou les arts, toute approche solennelle de notre Mère Terre et de sa fille la nature saura combler les carences amoureuses qui sont la trame de notre chair et le support de toute vie savoureuse et intense.
jeudi, 20 août 2009
Luxation du genou
Le genou parle de performance. Précisément, par sa pathologie il te donne la solution exacte de ce qu'il faut faire pour bien performer dans tes projets:
1. sa douleur attire ton attention sur le fait qu'il faut performer
2. en se déboitant par exemple, il t'invite à sortir des sentier battus, du classique, à faire une entorse aux règles de performance classique
3. il t'invite à performer par la souplesse, la fluidité, la diminution de rigidité en cessant de forcer, en étant plus fluide, plus "taï-chi"
4. en t'empéchant d'avancer, il t'invite à approfondir les pas déjà fait là où tu es et cesser de courir partout
5. il t'invite à performer par l'art de la communication en étirant tes ligaments, tes liens, bref en faisant du PR depuis la maison!!!
Pour le renforcer, il faut faire de la proprioception consistant à renforcer les petits muscle courts et directeurs qui maintiennent l'articulation en place. Pour cela, il suffit de:
1. tenir sur ta jambe droit comme un flammand rose une minute, puis 2, et de plus en plus longtemps sans douleur
2. puis de tenir quelques secondes sur la pointe des pieds
3. puis de tenir en déséquilibre sur le bord d'une marche ou un manche à balais au sol
4. puis sur une petite balle déséquilibrante
5. et idem en fléchissant progressivement sans douleur et graduellement.
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mercredi, 14 janvier 2009
La quête du pardon
Le long processus de véritable PAR - DON pour se libérer des traumatisme, ces fameux apprentissages douloureux, passe par un processus qui doit donner des preuves pour éviter de se baser sur la fausse croyance d'avoir pardonner.
Et que pardonner ?
Doit-on pardonner la violence, la méchanceté, la bêtise et la souillure?
Quelle erreur ce serait! Si on la subit, c'est bien pour ne plus l'accepter tout d'abord! Or bien des agressés deviendront agresseurs pour la simple raison qu'ils n'ont pas finaliser le processus de pardon de leur traumatisme. Ils auront pardonné l'agression qui devrait rester impardonnable et ne se pardonneront jamais de l'avoir vécu! Voici le meilleur moyen de devenir un futur agresseur.
Il y a donc 3 bonnes étapes à franchir pour atteindre ce fameux pardon de manière saine et authentique (lire "nouvelle terre" d'Eckart Tolle):
1. L'acceptation de ce qui nous est arrivé. En effet, derrière la haine de l'agresseur se cache toujours profondément la haine et le manque de respect de soi-même d'avoir subit cette humiliation, ce déni, cette insulte. Or, quand on mesure tout ce qu'une humiliation nous fait développer pour s'insurger contre cette humiliation, pour la refuser, pour la combattre, pour l'éliminer, on est forcé de comprendre combien elle nous a permis de se rendre sensible à un certain type de médiocrité pour en rechercher son contraire. C'est donc bien là une véritable école, une épreuve qui a bien pour but de nous éloigner d'une chose pour tendre vers son opposée.On deviens alors en mesure d'une écoute, une étude, une recherche et compréhension des ressources que cette épreuve nous oblige d'assimiler. Qu'il existe d'autres moyens d'apprentissage ne doit pas nous troubler, car cela ne nous appartiens pas. Il y eu des époques où on apprenait le sport, la musique, l'écriture à coup de bâton sur les doigts et il existe des époques et des écoles où on apprend en respectant le rythme, le jeu, la personnalité et le style de chacun!
2. L'appréciation arrive alors de mesurer le chemin parcouru, la sensibilité et les valeurs acquise par l'épreuve.
3. Enfin, l'enthousiasme de choisir l'opposé de notre traumatisme se traduit en un don de soi, de ses ressources acquises et mises en œuvre dans sa vie envers les autres et soi-même. On atteint réellement une capacité à donner en plus de ce que l'on nous a pris, volé, sali, ... ce qui est la vrai racine du mot par-donner! Mission accomplie!
©François Amigues, francois.amigues@gmail.com. Toute forme d'utilisation de ce texte doit obligatoirement faire référence à son auteur et être soumise à son autorisation pour une diffusion plus large.
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mercredi, 27 septembre 2006
La résilience
Extrait de Wikapédia (Boris Cyrulnik)
La résilience est un phénomène psychologique qui consiste, pour quelqu'un touché par un traumatisme, à prendre acte de son traumatisme pour ne plus vivre dans la dépression et le poison que ce traumatisme peut causer. C'est « vivre avec », dans le sens où cela fait partie de la vie de cet individu, ne le diminue pas mais au contraire lui permet de revivre. La résilience est rendue possible grâce à la réflexion, à la parole, et dans le meilleur des cas grâce à l'encadrement médical d'une thérapie, d'une analyse.
Le constat de la résilience est une observation d’exception avec l’adversité. Certains s’en sortent. La résilience est un terme pour expliquer la résistance des matériaux aux chocs, les premières publications datent de 1939-1945 (Cyrulnik avait entre deux et sept ans à l'époque)
Les travaux de Werner et Smith, deux psychologues scolaires américaines à Hawaï, travaillaient avec des enfants à risque psychopathologique, condamnés à présenter des troubles, elles les ont suivis pendant trente ans, une proportion s’en sort par eux-mêmes, sans thérapie, sans psychologue, sans rien, uniquement grâce aux qualités individuelles et aux opportunités de l’environnement. La source de la problématique était la difficulté de généraliser les faits pathogènes d’une certaine situation générale à tous les individus puisque certains s’en sortent.
En France et après John Bowlby qui avait introduit le terme dans ses écrits sur l'attachement, c'est l'éthologue Boris Cyrulnik qui développe le concept de résilience en psychologie, en partant de l'observation des survivants des camps de concentration, puis dans divers groupes d'individus, dont les enfants des orphelinats roumains et des enfants des rues boliviens. Auparavant, l'on parlait d'« invulnérabilité », mais la résistance absolue n'existe pas. Actuellement des groupes de travail l'étendent à d'autres situations difficiles comme par exemple celles que vivent les aidants des malades d'Alzheimer.
Dans le domaine de l'assistance aux collectivités en cas de catastrophe (naturelle ou causée par l'homme) on parle également de communautés résilientes. La démarche d'assistance post-immédiate aux personnes touchées par un évènement critique a généralement une dimension psychosociale.
La résilience n'est pas seulement une dimension, c'est le résultat de multiples processus qui viennent interrompre des trajectoires négatives. Elle est dynamique et parmi les Processus qui contribuent à la résilience, on a pu en repérer neuf :
1. La défense-protection
2. l'équilibre face aux tensions
3. l'engagement-défi
4. la relance
5. l'évaluation
6. la signification-valuation
7. la positivité de soi
8. la responsabilisation
9. la création.
Voir « résilience » sur le Wiktionnaire.
Michel Hanus : La résilience, à quel prix ? , Éd: Maloine, 2001, ISBN 222402729X
Boris Cyrulnik :
Les Vilains petits canards, Odile Jacob, 2001 (ISBN 2738109446),
Un merveilleux malheur, Odile Jacob, 2002 (ISBN 2738111254),
Le murmure des fantômes, Odile Jacob, 2005 (ISBN 2738116744) ;
Boris Cyrulnik et Claude Seron (dir.), La résilience ou comment renaître de sa souffrance, Fabert, coll. Penser le monde de l'enfant, 2004 (ISBN 2907164805) ;
Jacques Lecomte, Guérir de son enfance, Odile Jacob, 2004.
Jacques Lecomte et Stefan Vaninstensdael, Le bonheur est toujours possible. Construire la résilience, Bayard, coll. « Psychologie » (ISBN 2227137932) ;
Michael Rutter, L’enfant et la résilience, « Le Journal des Psychologues », 162 (1998).
« Résilience » ou la lutte pour la vie, critique du concept.
05:55 Publié dans I.B.6. Guérir des traumatismes | Lien permanent | Commentaires (0)
samedi, 18 février 2006
Un moyen d'émerger des traumatismes
http://www.thejourney.com/
Qu'est-ce que la méthode « The Journey »… et que peut-elle apporter ?
. Elle amène à identifier et à faire face aux véritables causes de nos blocages. Les réponses proviennent de soi, de l'intelligence du corps.
. En découvrant les mémoires cellulaires et les patterns qui limitent, puis, en lâchant prise, on accorde au corps la chance de s'auto guérir.
. « The Journey » libère les blocages émotionnels accumulés tout au long de la vie, et qui empêchent de se réaliser à son plein potentiel ! Peût-être ces blocages, emmagasinés comme des "mémoires fantômes" dans le corps, se sont-ils transformés en maladies d'ordre physique.
Mireille Pelletier n.d.
Praticienne Accréditée « The Journey » accredited practicioner.
Partout au Québec, Toronto, Ottawa… et ailleurs
Tél.: (819) 868-4488
Cell.: (418) 932-6815
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