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vendredi, 30 mars 2007

Les intoxications vaccinales

La vaccination est devenue un débat délicat dont il est important de recentrer les enjeux.

En premier lieux, il est important de savoir que les découvertes initiales du principe de la vaccination par un contemporain de Pasteur ont été pervertis aux profits d'enjeux financier par ce dernier. Cela permet de mieux comprendre comment tout s'est compliqué par la suite dans la compréhension de ce débat brulant.

Ce premier pas a mal commencé l'utilisation des vaccins, et leur développements ultérieur n'a fait qu'agraver l'usage que nous en faisons maintenant.
Véritable fléau du 20ième et 21ième siècle, les vaccinations sont devenus des armes chimiques puissantes qui menace l'humanité par les blouses blanches!

Initialement, le principe de la vaccination était noble et très fondé. Mais dès sa récupération frauduleuse par Louis Pasteur, son utilisation a été profondément biaisée.
Depuis, les études sérieuses sont unanimes sur la toxicité des vaccins. Les vaccins, outre les virus manipulés qu'ils contiennent ont aussi des doses bien supérieures au seuil toléré par l'organsime de poisons tels des dérivés mercuriels, des conservateurs comme le formaldéhyde, mais aussi des stimulant de l'imunité comme l'aluminium ... Il n'est donc pas faux de dire que les vaccins véhiculent des produits toxiques et il n'est pas dur de comprendre que nous ne sommes pas égaux en santé.. certains digèreront ces vaccins et d'autres vont en souffrir intensément ...
Tous les médecins savent maintenant que le vaccin de la varicelle est devenue inutile dans la plupart des cas.
L'obligation de la vaccination anti-variole a été levée en France (et le vaccin abandonné) en 1983, suite à l'éradication mondiale de la variole en 1979, et aux recommandations OMS. Cette vaccination peut être éventuellement ré-introduite, sur décision gouvernementale, en cas d'attaque bioterroriste variole.

D'autre part, la popularisation des vaccins a bénéficié de progrès simultanés de la médecine qui ont été largement dispensé à la population au même moment où les grandes épidémies de varioles, rages, tuberculoses, etc... sévissaient depuis des centaines d'années. L'histoire précise de la médecine est assez récente, mais rapporte bien comment la simultanéité de ces découvertes médicales ont profitées essentiellements aux vaccinations. Nous sommes donc en droit de nous demander si l'élimination de ces fléaux est due aux vaccins ou aux autres progrés de la médecine et de l'hygiène?

De plus, les radicalistes anti-vaccins comme les Amishes et certains groupes réactionnaires anti-médicamenteux alimente la croyance que ce sont leur manque de vaccination qui sont à l'origine de la recrudescence de maladie infectieuses graves et de déformations néonatales dans leur communautés.
En réalités ces communautés n'utilisent pas non plus l'hygiène de base et les progrés des médicaments très simples et peu offensifs comme l'aspirine, les antibiotiques à larges spectre et les anti-inflamatoires largements diffusés à l'époque de la découverte des vaccins.

Pour ce qui est des épidémies récentes, telles que la variole en bretagne dans les années 50 qui ravagea 20 % de la population, il est important de réaliser les facteurs environnementaux et la situation de santé des groupes ciblés pour mieux comprendre comment une épidémie est le résultat d'une multitudes de facteurs très spécifiques prédisposant telle ou telle type d'infection virale ou bactérienne. Dans ces cas, la vaccination règle l'urgence du déséquilibre atteint, mais elle n'est jamais une solution satisfaisante à long terme par son action fragilisante lente. Il ne faut pas confondre l'urgence en temps de guerre et le culte de l'harmonie en temps de paix! Investir dans l'armement plutôt que dans l'éducation n'est jamais un choix pacifique!

L'histoire se clarifie enfin lorsque des études deviennent enfin valables en se basant sur des groupes de personnes ayant une bonne hygiène, une saine alimentation diversifiée et utilisant au besoin les médicamentations simples précitées.
L'industrie de la vaccination n'a pas tellement encouragée de telle études et nous devons nous contenter surtout pour le moment de compte-rendus de recherches privées menées par des chercheurs autonomes.
Cependant elle démontrent unanimement que le niveau de santé de tels groupes non vaccinés, mais pratiquant un mode de vie sain et responsable est nettement supérieur à celui des populations vaccinées à court, moyen et long terme! (voir ci-aprés les sites de références).

D'autre par, les maladies d'enfances ont toutes leur utilités, car elles achèvent la fin de la maturations de systèmes qui s'affinent tout long de notre développement neuromoteur, immunitaire et hormonal. Il est donc préférable de bien encadrer et gérer la varicelle, la coqueluche, la rougeole, les oreillons.. que de les empêcher.

En conclusion pratico-pratique, il devient très important pour une santé durable que nous réaprenions à prendre en charge notre corps, non seulement par une information minimale sur les dangers de la vaccination à outrance, mais surtout par une auto-éducation des moyens de gérer les principales maladies infectieuses graves.
Ce dernier point est capital, car il ne suffit pas d'énoncer la toxicité des vaccins - qui sont tout de même un premiers pas vers la gestion d'une meilleure santé - mais de se responsabiliser sur des moyens plus raffinés, moins toxiques, donc plus évolués de régler l'apparition et la diffusion de maladies graves.


L'application d'une bonne hygiène, l'utilisation de produits médicamenteux de bases comme l'eau oxygénée contre les bactéries anaérobie, de la bétadine, du chlorure de magnésium contre le tétanos en cataplasme et en voie interne (même après cicatrisation de la plaie infectée au tétanos) ou encore de produits naturels qui font sourirent comme la propolis, l'homéopathie, les rondelles d'ognions coupés et placées sous les pieds pour faire tomber les fièvres les plus graves (source de nombreuses séquelles neurologiques), etc... sont les premiers pas de notre prise de responsabilité pour une santé durable.

Nous sommes aux prémices d'un changement de moeurs en santé sociale, allant de la décharge de son corps à des médications très lourdes souvent non justifiées et pathogènes, vers des prises de consciences que la plupart des maladies sont évitables et peuvent être prévenues par une bonne hygiène, une bonne alimentation, de l'exercice et une éducation sanitaire qui est en train de faire ses premiers pas dans le grand public pour apprendre à enrayer simplement le début de toute infection bactérienne ou virale grave, sans toxiques supplémentaires (qui en soulageant temporairement finissent par prédisposer le corps à plus de fragilités).

Notre propos est donc de vous informer que nous nous sommes habitué à assainir "les rues de nos corps à coup de tank et de bazooka", quand nous pouvons apprendre à passer le balais et la mop pour drainer les déchets toxiques que nous pouvons rencontrer et accumuler. Mais en aucun cas, le choix de ne pas vacciner son enfant ne peut se passer d'une bonne éducation théorique et pratique, seule garante d'une meilleure santé.

Les maladies infectieuses à encadrer sont donc: la coqueluche, la diphtérie, la fièvre jaune, la grippe, l'haemophilus influenza, l'hépatite A et B, les ménigocoques, la poliomyélite, la rage, la rougeole, la rubéole, le tétanos, la typhoïde, la tuberculose et la varicelle.
Cependant, attention, à tout prendre, il vaut mieux encore faire les vaccinations de bases comme la diphtérie, le tétanos et la polio plutôt que de s'indigner de leur toxicité secondaire et ne rien faire pour les gérer et bien les encadrer. Cette attitude de déni en réaction aux exagération commerciale sans éthique est catastrophique et elle ne fait qu'alimenter l'industrie qui profite des négligences parentales pour obliger de plus en plus toutes les vaccinations comme c'est le cas en France depuis deux ans.

Le Canada bénéficie encore du libre choix à la vaccination et c'est une invitation inestimable à saisir sa chance de s'éduquer et de prouver à l'industrie qu'une attitude responsable et éduquée est plus valable et économique qu'une prise en charge vaccinale.
Tous les rapports sur les enfants non-vaccinés mais bien encadrés sont élogieux de satisfaction en santé et en économie de frais de docteurs et de soins variés! Ce ne sont pas des cas isolés, mais de nombreux témoignages qui font bien réfléchir sur le virage collectif que nous avons à prendre!


*****

Pour notre culture générale de base, voila la composition de quelques vaccins extraits du Vidal, les principaux adjuvants dangereux sont l'Hydroxyde d'Aluminium et le Thiomersal - un dérivé du mercure:

ENGERIX B 10 µg/0,5 ml susp inj IM
antigène de surface recombinant du virus de l'hépatite B (adsorbé sur de l'hydroxyde d'aluminium hydraté : 0.25 mg Al 3+) 10 µg
Excipients : sodium chlorure, phosphate disodique dihydrate, phosphate monosodique dihydrate, eau ppi, thiomersal.

PENTAVAC
Excipients : néomycine, streptomycine, polymyxine B, aluminium hydroxyde, formaldéhyde, saccharose, trométamol, milieu 199 hanks sans rouge de phénol, phénoxyéthanol, sodium hydroxyde, et/ou acide acétique, eau ppi.

AVAXIM 160U Susp inj
Forme : suspension injectable par seringue

virus de l'hépatite A inactivé 160 U antigénique(s)
Excipients : aluminium (sous forme d'hydroxyde), phénoxyéthanol, formaldéhyde, milieu 199 hanks, (dont acides aminés, sels minéraux, vitamines, acide chlorhydrique, ou sodium hydroxyde, eau ppi ).

MENINVACT pdre et solv p susp inj IM
Forme : poudre et solvant p suspension injectable par injection (0,5 ml)
neisseria meningitidis gpe C 10 µg
protéine CRM-197 de Corynebacterium dyphteriae 12,5 µg à 25 µg
Excipients : mannitol, phosphate monosodique monohydrate, phosphate disodique heptahydrate.
par flacon(s) de solvant :
Excipients : aluminium hydroxyde, sodium chlorure, eau ppi.

REVAXIS susp inj SC IM
Forme : suspension injectable par seringue

anatoxine diphtérique : sup ou égal à 2 UI
anatoxine tétanique : sup ou égal à 20 UI
virus poliomyélitique inactivé type 1 40 UD
virus poliomyélitique inactivé type 2 8 UD
virus poliomyélitique inactivé type 3 32 UD
Excipients : aluminium hydroxyde, phénoxyéthanol, formaldéhyde, acide acétique, et/ou sodium hydroxyde qsp pH 6,8 - 7,0, milieu 199 hanks, (dont acides aminés, sels minéraux, vitamines, eau ppi ).

Classement pharmaco-thérapeutique VIDAL : vaccin : diphtérie, tétanos, poliomyélite


VACCIN TETANIQUE PASTEUR Susp inj
Forme : suspension injectable par seringue

anatoxine tétanique purifiée : inf ou égal à 40 UI
Excipients : aluminium hydroxyde, solution tampon (dont sodium chlorure, phosphate disodique dihydrate, phosphate monopotassique, eau ppi ).
Classement pharmaco-thérapeutique VIDAL :
Vaccin : tétanos


TETRAVAC-ACELLULAIRE susp inj IM
Forme : suspension injectable par dose 0,5 ml

anatoxine diphtérique : sup ou égal à 30 UI
anatoxine tétanique : sup ou égal à 40 UI
anatoxine de Bordetella pertussis 25 µg
hémagglutinine filamenteuse de Bordetella pertussis 25 µg
virus poliomyélitique inactivé type 1 40 UD
virus poliomyélitique inactivé type 2 8 UD
virus poliomyélitique inactivé type 3 32 UD
Excipients : aluminium hydroxyde, milieu 199 hanks, acide acétique et/ou, sodium hydroxyde qs pH 6,8 à 7,3, formaldéhyde, phénoxyéthanol, eau ppi.
Classement pharmaco-thérapeutique VIDAL :
Vaccin : coqueluche, diphtérie, tétanos, poliomyélite

Rappel sur la prévention que les vaccins visent:

. La coqueluche:
la vaccination des nourrissons contre la coqueluche a été introduite en France il y a quarante ans. Et si la couverture vaccinale chez les enfants de plus deux ans est supérieure à 90 %, cette maladie reste pourtant toujours d'actualité. On assiste même aujourd'hui à une véritable recrudescence du nombre de cas. Petite piqûre de rappel.
La vaccination contre la coqueluche n'est pas obligatoire en France mais fortement recommandée. Et pour cause : cette maladie peut se révéler très grave chez le jeune nourrisson et mettre en jeu le pronostic vital.
Le vaccin contre la coqueluche est conseillé pour les nourrissons dès l'âge de deux mois. Cette vaccination est associée à la diphtérie, au tétanos, à la poliomyélite, ainsi qu'aux infections invasives à Haemophilus influenzae b. Le vaccin coqueluche à germes entiers est alors recommandé, mais le vaccin acellulaire peut être utilisé.
Il faut savoir que ce vaccin peut être responsable de réactions locales (douleur, érythème, induration, oedème). Si des poussées de fièvres sont fréquemment observées, une température supérieure à 40°C est rare et doit être considérée comme une réaction anormale. La prescription systématique d'antipyrétiques pendant 48 heures après la vaccination devrait néanmoins permettre d'éviter cet épisode désagréable. Si votre enfant semble de ne pas supporter ce vaccin, n'hésitez pas à le signaler rapidement à votre médecin.

. La diphtérie:
Longtemps redoutée, la diphtérie est devenue extrêmement rare en France. Non pas parce qu'elle a disparu mais parce que les autorités de santé ont rendu la vaccination obligatoire depuis plus 60 ans. Cette bactérie aux conséquences redoutables reste néanmoins présente dans de nombreux pays. Une bonne raison pour continuer à s'en protéger…
Depuis 1938, la vaccination contre la diphtérie est obligatoire en France. C'est pourquoi cette maladie mortelle a disparu de l'Hexagone. Pour autant, il ne faut pas lever la garde, la diphtérie reste présente dans de nombreux pays et des épidémies resurgissent dans les républiques de l'ancien bloc soviétique.
La diphtérie est une affection extrêmement contagieuse, dont les conséquences peuvent être dramatiques. La vaccination est le seul moyen de s'en protéger. Devant l'apparition d'un cas, les médecins devront prendre des mesures urgentes pour protéger l'entourage du malade et empêcher la transmission du bacille diphtérique.

Les oreillons:
Qui n'a pas entendu parler des oreillons, maladie contagieuse mais généralement bénigne… Fièvre, perte d'appétit, gonflements des glandes salivaires sont autant de signes qui doivent mettre la puce à l'oreille des parents. A quel moment vacciner ? Cette maladie menace-t-elle systématiquement la fertilité des garçons ?
Maladie contagieuse et généralement bénigne, les oreillons affectent les enfants d'âge scolaire. Toutefois, en raison des complications qu'ils peuvent entraîner, la vaccination tend à se généraliser.
Trois millions d'enfants sont sauvés chaque année grâce à la vaccination, dont un million grâce à la seule vaccination contre la rougeole. C'est beaucoup plus que l'action des médicaments sur la réduction de la mortalité infantile.

La poliomyélite : une maladie bientôt éradiquée
En 1988, l'Organisation Mondiale de la Santé, lançait de nombreuses initiatives pour éradiquer la poliomyélite. Si cet objectif n'est pas totalement atteint, cette maladie a déjà fortement régressé grâce à de nombreuses campagnes de vaccination. En France, le vaccin est obligatoire depuis 1964.
Aucun cas de poliomyélite n'a été relevé en France depuis 1990 (hors un cas importé en 1995) grâce à la vaccination, obligatoire. Et l'Organisation Mondiale de la Santé s'est fixé pour objectif l'éradication du virus dans le Monde en 2005.
Si les premières vaccinations de nos enfants sont extrêmement importantes, le respect des rappels l'est tout autant. Mais il est parfois difficile de suivre à la lettre le calendrier vaccinal, pour cause de ruptures de stock… Depuis quelques mois le DTP n'est plus disponible dans les pharmacies. Pour pallier ce problème les autorités de santé viennent d'autoriser l'utilisation d'un nouveau vaccin : le Revaxis.


Quelques liens sur les effets de l'hydroxide l'Aluminium et autres adjuvants:

http://www.e-monsite.com/aluminium [...] 99144.html
http://biogassendi.ifrance.com/alualz.htm#IV.
http://www.alain-scohy.com/SCOHY_poison_alu.htm
http://www.medecines-douces.com/im [...] tite-b.htm
http://www.amessi.asso.fr/Vaccins-et-mercure
même une Publication de l'OMS: http://www.who.int/docstore/wer/pdf/1999/wer7441.pdf
autre lecture intéressante Autisme et vaccins: http://www.amessi.asso.fr/Nouvelle-forme-d-autisme-et


Pour en savoir sur les vaccinations:

Lire et écouter le très convaincant documentaire sur l'hépatite B: http://www.revahb.org/

http://www.biosfaire.com/www.covivia.com/index.html
http://forums.france5.fr/lesmaternelles/santedeveloppement-suivimedical/Vaccins/revolter-vaccin-ror-sujet_9_1.htm

(F.A. printemps 2007)

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3 articlles extraits de: http://fr.blog.360.yahoo.com/blog-pOPigj0yc6lZjyeYldbrnyzHbQ--?tag=vaccin

Alzheimer, Parkinson, ALS ... un neurologue canadien accuse les vaccins
" Si la vingtaine de souris sacrifiées de l'université de Colombie-Britannique pouvaient raconter les circonstances de leur mort, les gouvernements de la planète se retrouveraient avec un sacré procès sur les bras. Les recherches inédites menées par le neurologue de Vancouver Chris Shaz établissent un lien entre l'hydroxyde d'aluminium utilisé dans les vaccins et les symptômes associés à la maladie de Parkinson, la sclérose latérale amyotrophique (ALS ou maladie de Charcot) et la maladie d'Alzheimer.

Shaw est très surpris que ce type de recherches n'aient pas été menées auparavant. Cela fait tout de même 80 ans que les médecins injectent à leurs patients de l'hydroxyde d'aluminium, un adjuvant stimulant la réponse immunitaire.

" C'est suspect, déslare Chris Shaw. Soit ce lien est connu de l'industrie et n'a jamais été rendu public, soit l'industrie n'a jamais été obligée par le ministère de la Santé canadien de faire ces recherches. Je ne sais pas quelle hypothèse est la plus effrayante. "

Afin d'éprouver sa théorie, Shaw et son équipe composée de quatre scientifiques des universités de Colombie-Britannique et de Louisiane sont injecté à des souris le vaccin de l'anthrax développé pour la première guerre du Golfe. Comme l'a expliqué Shaw, étant donné que le syndrome de la guerre du Golfe ressemble beaucoup à l'ALS, les chercheurs tenaient là l'occasion d'isoler une cause possible. Tous les soldats moblisés ont été vaccinés avec un composé d'hydroxyde d'aluminium. Selon Shaw, ceux qui n'ont pas été envoyés dans le Golfe ont développé des symptômes semblables à un taux similaire.

Après vingt semaines d'études sur les souris, l'équipe a mis en évidence des augmentations importantes de l'anxiété (38 %), de déficits de mémoire (41 fois plus d'erreurs que dans le groupe témoin) et d'allergies de la peau (20%). Des prélèvements de tissus effectués sur les souris "sacrifiées" ont montré des cellules nerveuses nécrosées. Dans la zone contrôlant le mouvement, 35 % des cellules étaient détruites.

"Aucun membre de mon équipe ne veut se faire vacciner, commente Shaw. Ces résultats nous ont donné la chair de poule".

L'étude de Shaw établit que des adjuvants similaires sont utilisées dans les vaccins pour l'hépatite A et B ainsi que dans le cocktail pentavalent contre la diphtérie, la coqueluche, le tétanos, la polio et une sorte de méningite.

Selon le neurologue, il existe environ 10 000 études démontrant l'innocuité de l'hydroxyde d'aluminium dans les injections. Mais il n'a pu en trouver une seule qui ait été conduite au-delà des premières semaines suivant l'injection. Il invite ceux qui détiendraient une étude aux résultats différents de la présenter. "Ca, c'est une démarche scientifique ", conclut-il."

Source : The Georgia Straight, 23 mars 2006

http://www.straight.com/content.cfm?id=16717

lundi, 2 avril 2007 - 23:12 (CEST)

Vaccin Gardasil : toutes les raisons d'attendre
"Développé par Sanofi, Pasteur MSD et Merck, le premier vaccin contre le cancer de l'utérus, appelé Gardasil, est commercialisé dans treize pays européens. En France, il a été lancé le 23 novembre 2006 "sans attendre les recommandations des pouvoirs publics", regrette la direction générale de la Santé (DGS), et sans que soit mis en place son remboursement. Il faut savoir que le montant de la vaccination complète (Trois doses) s'élève à 360 € ! Le prix de la sérénité ? Pas si sûr.

Aux Etats-Unis, le Gardasil a fait l'objet d'une campagne de marketing intense recommandant vivement aux parents de vacciner leur fille entre 9 ans et 26 ans. Ce vaccin est censé protéger contre les papillomavirus humains (HPV) de type 6, 11, 16 et 18, suspectés d'être à l'origine d'environ 70 % des cancers du col de l'utérus. En réalité, le virus HPV est très répandu et se retrouve dans environ 80 % des individus, hommes aussi bien que femmes. A un moment ou un autre, la plupart d'entre nous avons contracté ce virus, sans pour autant développer un cancer du col de l'utérus ! En réalité, seulement 1 % des femmes subit cette forme de cancer. De plus, l'Institut National du Cancer des Etats-Unis affirme qu'une causalité directe n'est pas prouvée. Dans une étude contrôlée de femmes par groupe d'âge, 67 % de celles atteintes de cette frome de cancer et 43 % de celles non atteintes, étaient séropositives au HPV. Ces cancers n'étaient observés en moyenne que vingt à cinquante ans après infection par le virus. Dans ces conditions, peut-on déduire qu'il est vraiment la cause du cancer du col de l'utérus ?

Selon Peter Duesberg et Jody Schawartz, biologistes moléculaires à l'université de Californie à Berkeley cités par Nicholas Regush dans son livre Vaccine Madness (Psychose vaccinale), "les cancérigènes pourraient être les principaux inducteurs d'une prolifération anormale des cellules, plutôt que le virus HPV. (...) Puisque les cellules proliférantes semblent être plus sensibles aux infections que les cellules normales, les virus ne seraient rien de plus que les indicateurs, et non les causes d'une prolifération anormale."

On serait en droit de penser que le Gardasil a été correctement testé et qu'il est inoffensif de l'injecter à des enfants. Mais selon l'Alliance pour la Protection humaine dans les recherches (AHRP), ce n'est pas le cas. L'AHRP affirme que l'innocuité et l'efficacité du vaccin n'ont pas été prouvées par des essais cliniques. En fait, le ministère américain de l'alimentation et des médicaments (FDA) a permis à Merck l'utilisation d'un placebo contenant de l'aluminium, potentiellement réactif, à titre de contrôle pour la plupart des participants aux essais, plutôt qu'une solution placebo saline et non-réactive. Or, ce placebo à base d'aluminium est employé parce qu'il augmente artificiellement l'apparente innocuité d'un médicament ou d'un vaccin expérimental lors d'un essai clinique. D'autre part, le Gardasil contient 225µg d'aluminium, et nous savons que les adjuvants à base d'aluminium dans les vaccins peuvent se fixer dans le cerveau et provoquer une inflammation sur le lieu de l'injection, entraînant des douleurs chroniques dans les articulations et les muscles. Environ 60 % des sujets ayant reçu le vaccin Gardasil ou le placebo à base d'aluminium ont souffert d'effets secondaires (maux de tête, gastro-entérites, appendicites, maladies inflammatoires pelviennes, asthme broncho-spasmes, et arthrites).

Ainsi, alors que le lien entre le virus papillomavirus et le cancer du col de l'utérus n'est pas certain, que le vaccin contient de l'hydroxyde d'aluminium, reconnu toxique, que les essais cliniques peuvent paraître insuffisants, des milliers, voire des millions de jeunes filles (et de jeunes garçons, puisqu'ils sont susceptibles de transmettre le virus) vont recevoir des injections de Gardasil. On estime à 2 milliards de dollars les revenus que ce nouveau vaccin devrait rapporter à Merck. Une ressource financière très appréciée après le scandale du Vioxx (lancé avec un battage publicitaire énorme puis retiré en raison d'effets secondaires) qui représentait 10 % des ventes de Merck et dont l'arrêt a fait chuter l'action de 40 % ...

source : via Helen Lobato, hlobato@dodo.co.au

http://www.informyourself.com.au

http://ahrp.or/cms/content/view/263/28

dimanche, 25 mars 2007 - 22:58 (CEST)

Les dangers des vaccins
Ce texte résume tous les articles que j'ai pu parcourir sur les vaccins. Soyez alertés des dangers très réels liés à l'une des plus grandes escroqueries (le terme n'est vraiment pas assez fort) liées à la médecine.

Les vaccins sont dangereux car ils contiennent de l'aluminium et du mercure (50 à 80 fois supérieur aux doses admises par les instances européennes). Ils le sont surtout envers les nourissons et les enfants : graves lésions neurologiques (tics, retards dans l'expression et le langage, éventuels troubles déficitaires de l'attention), psychomoteurs (autisme, ...). Les symptômes, présentés par les bébés victimes du SBS (syndrôme du bébé secoué), évoquent le scorbut, avec notamment des fractures, des hémorragies et un profond dérèglement du système immunitaire qui surviennent après la vaccination. Pour de plus en plus de chercheurs, la plupart des décès par SBS ne seraient pas dus au secouage, mais aux vaccins, déclencheurs d'un dérèglement de tous les systèmes du corps. Les vaccins peuvent aussi déclencher la mort subite du nourrison.

Chez les adultes, les vaccins peuvent déclencher la maladie d'Alzheimer, sclérose en plaque, démence voir décès chez les personnes dialysées. L'aluminium a des effets nocifs sur le cortex, se lie à l'ADN.

Le calcium et le magnésium ralentissent les effets nocifs de ces adjuvants.

On peut trouver l'aluminium dans :

1. l'eau du robinet (alun, sulfate d'aluminium, chlorure de polyaluminium pour rendre l'eau potable)

2. Dans les additifs alimentaires : colorants (E173, ... ) ; anticoagulants E520, E521, E522, E523 ; E 541 (génoiseries) ; E 554,E 555, E556, E559 (denrées séchées en poudre telles que potages, purée, laits en poudres ...)

3. Dans les ustensiles et modes de cuisson

4. Cosmétiques

5. Médicaments (le Maalox en contient une forte dose)

Cet article n'a pour seul ambition que de vous informer. Si vous désirez en savoir plus, n'hésitez pas à me laisser votre e-mail, je vous enverrai les articles en question. Vous serez plus à même de juger la pertinence de ces informations. Ceci dit, je me porte entièrement garante des articles que j'ai lus.

Sachez aussi que les instances gouvernementales européennes et américaines et les grandes compagnies pharmaceutique sont parfaitement au courant de ces effets nocifs. Elles ne disent rien en raison des profits considérables liés à la vente de ces vaccins.
Mercredi, 21 mars 2007 - 16:04 (CET)

Le ministère de la santé condamné à indemniser une victime
"La cour administrative d'appel de Marseille a rendu une décision inattendue dans une affaire opposant une victime du vaccin contre l'hépatite B, atteinte de sclérose en plaques, et le ministère de la Santé. Le 7 septembre dernier, la cour a condamné l'Etat à payer 165 000 euros à la victime, arguant de la responsabilité du ministère de la Santé dans la vaccination obligatoire de cette employée d'une maison de retraite. Le tribunal a en outre confirmé un jugement précédent du tribunal administratif imposant le versement d'une rente annuelle de 16 245 euros pour l'emploi d'une aide à domicile. Depuis le 1er janvier 2006, l'office national d'indemnisation des accidents médicaux peut dédommager, en théorie, toutes les personnes vaccinées depuis ... 2001. Une date qui n'a pas été choisie au hasard, l'écrasante majorité des plaignants à l'égard du vaccin contre l'hépatite B l'ont été dans les années 90. Résultat, les "victimes' n'ont d'autre solution que de porter l'affaire devant les tribunaux. "

Source : Le Parisien, 25 septembre 2006

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