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jeudi, 17 mars 2011

"L'ostéopathie périnatale", Article sur l’approche embryologique 15 mars 2011

Article de présentation de la conférence et de l'ateliers donnés au symposium ostéopathique international de l'université de neurologie de St Petersbourg par Francois Amigues, DO (Canada), diplômé en ostéopathie au Collège d’Étude Ostéopathiques de Montréal (CEO) QC, Canada, , récipiandaire du prix de thèse "Andrew Taylor Still" en 2001 pour sa thèse "Science, art et philosophie de l'ostéopathie dans la transmission de la santé à travers les généraions, assistant au cours de pédiatrie du College d’Étude Ostéopathique de Vancouver, BC, Canada, président de l’Institut de recherché en santé et périnatalité “Amour Parent Naissance”, organisateur des symposiums internationaux en santé et périnatalité de Montréal de 2001 à 2005, membre de gestion de l’Institut de Développement en Education Art et Loisir (IDEAL) participant à des missions humanitaires pour les Nations-Unies et directeur du Ideal Wellness Center dans les rocheuses canadiennes.

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Ces 50 dernières années ont vu éclore le monde de la périnatalité comme une science à part entière. Cette nouvelle-née n’en finit plus de nous étonner par ses applications pratiques en santé préventives, et par les solutions fondamentales qu’elle suggère pour résoudre les grands problèmes que nous posent le vaste domaine de la santé sociale.

En effet, après avoir affirmé que tout se jouait avant 6 ans, puis 3 ans, puis à la naissance, on se rend compte maintenant que c’est au niveau du « terrain parental préconceptionnel » que se détermine en fait la santé du futur individu.

Si il est devenu plus clair que les fondations de la santé de l’enfant se préparent avant même la conception, c’est cependant durant l’embryo et l’organogénèse - qui se finalise bien après la naissance - que nombre d’influences environnementales induites par la mère, le couple et leur environnement direct et indirect auront un impact décisif sur l’encodage génétique qui dominera la santé de l’individu. Il existe donc toute période « sensible » d’imprégnation environnant la génétique parentale préconceptionnelle, l’œuf, l’embryon, le fœtus et le nouveau-né où se fondent et s’enracine la santé potentielle de l’être humain. La véritable éducation de l’enfant ne semble pouvoir se faire que par une attention toute particulière des parents, et notamment de la mère, portée à la vie prénatale. Après la naissance, tout est en place et les efforts éducatifs ne peuvent que tendre à « dresser des comportements sociaux » selon le support constitutionnel de l’enfant qui les intégrera de façon naturelle ou forcée.

 

Les travaux de thomas Vernis sont précurseurs dans la démonstration de l’importance de cette vie prénatale. L’enfant se forme dans la nuit utérine selon un ensemble de stimuli maternel œuvrant sur son développement embryonnaire selon des forces morphogénétiques chère à David Bohm et Rupert Sheldrake.

Ces derniers ayant été les premiers à remettre en cause le déterminisme génétique en mettant en évidence l’existence d’une véritable plasticité génétique « sensori-modelante » pouvant modifier le génome initial tout au long de la grossesse !

C’est alors que les découvertes de Bruce Lipton sur la plasticité protéique de l’ADN viennent définitivement bouleverser toutes les théories génétiques préalables, en venant confirmer les observations cliniques ayant amené la supposition d’une plasticité génétique interactive entre la mère et le fœtus.

Ces découvertes venaient résolument de faire basculer l’approche de la vie prénatale vers des perspectives inestimables pour envisager des mesures de santé sociale durables !

Ces découvertes de l’épigénétique ont pris plus de 30 ans d’études et d’approfondissements pour être corroborées par d’autres chercheurs et pour percer le milieu universitaire qui découvre tout récemment l’amplitudes des applications que l’épigénétique peut apporter au monde.

 

Il reste cependant tout à faire pour tirer profit de la découverte des lois de l’épigénétique autant en médecine qu’en ostéopathie contemporaines.

Les grandes lois de l’épigénétique : une vraie révolution médicale

Encore trop méconnue, l’épigénétique amène pour la 1ière fois la perspective de lois fiables en médecine.

En effet, la découverte de « mutations déterminées des ponts protéiques codant les séquences d’adn » selon des radiations précises, soulève l’espoir d’établir une charte de correspondances systématiques entre influences environnementales et déterminisme génétique.

 

Cependant la latitude des influences environnementales à étudier est tellement large que le décodage de leur « carte d’identité vibratoire » est un champ d’étude gigantesque qui mériterait à lui seul d’ouvrir une nouvelle spécialité médicale.

Les progrès en psychiatrie et en neurologie cognitive sont définitivement les plus avancés dans cette approche des correspondances entre influences environnementales et mutations génétiques.

 

Par influences environnementales, il est important de dissocier l’environnement externe et interne au corps.

Influences environnementales externes 

Nourritures, géologie, langage, sons, odeurs, formes, radiations cosmiques, radiations psychiques humaines environnantes, textures, tissus, habitat, mode de vie sont autant d’influences « transposables en champs électromagnétiques » dont la carte d’identité interagit sur l’encodage génétique déjà présent dans le corps.

Influences environnementales interne

« Nous avons la biologie de notre biographie » dira Carolyn Miss. En effet, le terrain biologique acquis selon notre historique entretient un environnement interne. Ce dernier maintient de manière durable le codage génétique qui est établie en soi qu’il soit pathogénique ou sain pour le corps.

Par exemple, une cicatrice non traitée est un tissu à tendance rétractile avec le temps qui génère des tensions sur une zone. Cet état tissulaire pathologique finira par influencer toute une région, puis tout le corps jusqu’à générer des états émotionnel et psychique de mal-être dont la nature dépendra des zones mises en lésion (proche du foie, cela donnera un sentiment d’inassouvissement en rapport avec les fonction de stockage en graisse ou en glucose). Ces lésions et leurs champs électromagnétiques correspondant seront alors capables de recoder la génétique de ce corps pour à la fois l’entretenir et s’adapter à endurer cet état acquis. Toute nouvelle information reçue par cet organisme sera ensuite perçue à travers les lunettes de cet état interne acquis, expliquant des réponses différentes au même stimulus pour 2 organismes de même type.

La neurologie cognitive, une porte ouverte sur l’épigénétique

Les chaires de neurologie cognitives qui ont vu le jours un peu partout dans les universités du monde sont le fruit des recherches étonnantes de la psychiatrie qui est la 1ière à avoir révélé un champs de correspondances à double sens entre l’état du corps et celui des humeurs et du psychisme (somato-psychisme et psychosomatique). De là, toutes ces chaires universitaires ont investit dans de nombreuses recherches pour établir des correspondances, et ceci à renfort d’autres approches complémentaires comme l’éthologie. Cette dernière, appliquée avec brio par Boris Cyrulnik par exemple, a démontré des résultats étonnant pour récupérer le retard de développement psycho-sensori-moteur des enfants attachés toute leur jeunesse dans les orphelinats de Roumanie : « Observant des enfants abandonnés en Roumanie, très dégradés du point de vue du développement physique et psychique, B. Cyrulnik eut l'idée de faire passer des scanners qui montrèrent une atrophie proche de patients lobotomisés. Pourtant, placés dans des familles d'accueil, ces enfants montraient une disparition de l'atrophie neuro-limbique en moins d'un an ! Si on modifie le milieu, on modifie non seulement la manière dont fonctionne le cerveau, mais même le support biologique sur lequel s’appuie les fonctionnements cognitifs. On sait donc que les stimulations affectives, tout à fait banales, sont vitales pour structurer l'affectif, montrer qu'on ne peut pas tout se permettre, apprendre à se freiner, à s'intéresser au monde mental des autres. »

 

Là encore, que ce soit dans les prémices des recherches cliniques de George Groddeck ou plus moderne dans les travaux d’Arthur Janov et nombreux autres, il émerge inévitablement le même constat d’une « réponse du vivant au milieu qui l’entoure pour s’y adapter ». Et cela selon des stress négatifs ou positifs qui détermineront une vie allant de la survie extrême à l’épanouissement des plus hauts degrés de manifestations de la vie, tels que la fraternisation et le service des uns aux autres.

C’est sans aucun doute Daniel Goleman qui a le mieux démontré cette réalité par la découverte majeure de ces fameux neurones miroirs qui reflètent l’environnement pour le ressentir et développer l’empathie, mais aussi comme moyen essentiel d’apprentissage et d’adaptation à l’environnement.  

Mais quels sont ces facteurs motivant de telles mutations comportementales ?

Invariablement, l’ambiance irradiante d’un milieu interne et externe capable d’engendrer des mutations génétique du vivant, le prédisposent à des attitudes similaires à cette ambiance proposée.

En d’autres mots et sur le plan pratique, un état soutenue de guerre engendre une mutation des mécanismes de défense les mieux adaptés à la survie par la fuite, la simulation ou le combat ; et à l’inverse un état sécurisant soutenue de paix profonde basé sur l’empathie reçut envers soi-même et envers ce que ressent l’autre permet l’expression des plus nobles valeurs d’humanité, de service et de sacrifice envers tout ce qui est vivant.

 

Si cette observation pointait déjà son nez depuis la fin du 19ième siècle sous de nombreuses théories spirituelles telle que le mesmérisme, qui a tellement influencé le fondateur de l’ostéopathie Andrew Taylor Still, elle n’a pris son sens critique et scientifique, au sens propre, que par la découverte de l’épigénétique qui l’a démontré de manière irréfutable.

Conséquences thérapeutiques de l’épigénétique

La découverte du « pouvoir d’imprégnation d’un milieu sur un autre milieu selon des lois de résonnances » Ont été mit en évidence par Hanneman, père de l’homéopathie, Théodore Schwenk, hydodynamicien,… et plus récemment Jacques Benvéniste et Masaru Émoto avec la mémoire de l’eau. Cette découverte ouvre la voie à la capacité de relier par « analogie vibratoire » certains minéraux, plantes, huiles, nourritures, animaux ou substances animales, certaines formes, couleurs, sons, musiques,  mais aussi, et c’est le plus étonnant, certaines lettres, mots, verbes, arts, pratiques, rites, habitudes, gestes, postures, etc… avec des « états vibratoire de santé ou de maladie » agissant par affinité de façon rigoureusement spécifique sur certains tissus, organes ou systèmes fonctionnels tout à fait déterminés dans le corps humain.

 

Ce constat est la véritable révolution médicale du 21ième siècle qui relie chaque chose les unes aux autres par cet outil de l’avenir qu’est « l’analogie », capable enfin d’expliquer les phénomènes de résonnance entre des identités vibratoires similaires.

Cette dernière réconcilie la variété des approches alternatives et traditionnelles dans le soin des maladies, pour y apporter une précision qui devrait, à terme, devenir invariable dans son efficacité - ceci une fois ces codes clairement établis entre tous les règnes et leurs expression et la santé humaine.

 

Cette notion d’invariabilité, le Pr Reerk G. Hamer l’a mis en évidence dans ses recherches sous imageries médicales de types de stress subis qu’il a appelé « conflits » et de lieux précis où se biologisent ces stress au niveau du cerveau et dans le corps, selon une récurrence vérifiée à plus de 97% sous scanner sur des milliers de cas dans le cadre d’une vaste recherche universitaire.

 

Que ce soit la méthode TIPI de Luc Nicon, comme celle des Holodynes du Dr Vernon Wolf ou du mindpower de John Kehoe, du Ho’oponopono du Dr Len, de l’Hypnose Éricksonienne, de la PNL, de la merveilleuse Bioanalogie de Jean-Philippe Brébion, de la Biologie totale, mais aussi de la Naturopathie, la Chromothérapie, la Musichothérapie, Lithothérapie… parmis les centaines de méthodes thérapeutiques ayant émergées ces dernières années, elles utilisent toutes la mise en œuvre d’un états vibratoire plus élevé en correspondance à la santé d’une structure ou fonction déterminée pour la libérer et lui permettre l’expression de son potentiel de santé.

L’Harmonisation Ostéopathique Épigénétique

Le Dr Still nous a offert l’outil extraordinaire des fulcrum, des point d’appuis, de repos applicables à tout ce qui vit. Ces fulcrum sont capables d’engendrer des « still points » ou points de paix, de silence, de non action, d’une puissance thérapeutique hors du commun !

Chacun de ses « points thérapeutiques » peuvent s’adapter à la structure ou à la fonction perturbée grâce à une présence soutenue de l’ostéopathe par un ajustement sans limites pour y restituer cette force embryonnaire, cette vibration d’excellence, de santé dont chaque cellule garde la mémoire de façon durable tout au long de la vie. Cet ajustement déclenche des forces d’auto guérison agissant même après le traitement jusqu’à restauration totale du pouvoir d’expression de la santé que porte le tissu traité.

 

Ainsi sans connaître les correspondances analogiques complexes des naturopathes et autres thérapeutiques utilisant les plantes, minéraux, médicaments… l’ostéopathe à ce privilège d’entrer en résonnance avec la santé spécifique de chaque tissu. De plus il peut l’adapter à l’état tissulaire forgé par la biographie biologique de ce dernier, que l’ostéopathe perçoit par une qualité tissulaire et son lots d’impressions associées.

C’est donc en offrant cet état vibratoire empathique de paix au corps que l’ostéopathe interpelle sa propre puissance de santé pour qu’il puisse se guérir selon le 4ième principe d’auto guérison de l’organisme.

 

Cette découverte de génie du « Still point » du Dr Still a été cartographié dans ses applications au système nerveux avec grandes subtilités par le Dr Sutherland, le Dr Magoun - et réellement intégré et transmis dans toute sa beauté et sa puissance thérapeutique par le Dr Becker ; puis enseigné de par le monde par de nombreux serviteurs de l’ostéopathie sous le nom de Biodynamie par Tom Dummer, Suzan Turner ou James Jealous, sous celui de Spasme endocrâniens par Philippe Druelle, sous Techniques somato-émotionnelles par John Upledger, sous le nom de Techniques ostéopathique d’équilibre et d’échanges réciproques par Jacques Andreva Duval ou encore strains psychiques, kystes émotionnels et j’en oublie.

Il m’a semblé plus fédérateur de parler « d’harmonisation ostéopathique » basée sur les découvertes « épigénétiques », pour leurs rendre honneur, et surtout pour faire évoluer notre profession en l’inscrivant dans la pratique médicale d’avant garde qu’est la neurologie cognitive.

 

La conférence

 

C’est sur cette proposition que je vous propose d’aborder lors de ma conférence les notions de « stress évolutionnels ou d’apprentissage » en rapport avec les lésions ostéopathiques que le corps nous révèle, selon une lecture se référant aux origines embryologiques tridermiques des tissus distribués dans le corps et le cerveau.

En effet, tout stress porte en lui-même un caractère instructif, informationnel visant à faire évoluer l’être humain. Cet axiome est la base de la pédagogie des grands philosophes orientaux et Grecs, largement intérrogé par les neuro-sciences et expérimentés par des chercheurs comme Jean-Philippe Brébion, Arthur Janov ou le Dr Len.

Alors se pose la question suivante : « à quel défis d’expression humaine nous renvoient la moindre dysfonction notable et palpable dans le corps humain ? »

La capacité de lire corporellement et de nommer consciemment un stress imprimés dans le corps comme un défi d’apprentissage lui donne déjà tout un sens.

Ce sens active à lui seul - par une reconnaissance empathique manuelle et cognitive - des forces d’évolution, de guérison et de mutation hors du commun invitant le patient et l’ostéopathe à accueillir et comprendre un message derrière l’événement pour y répondre et devenir co-créateur de son épanouissement.

Pour aborder ce vaste sujet lors de la conférence, je vous inviterai à le visiter sous l’angle spatial, temporel et « impermanent » pour en mesurer les mécanismes d’empilement à décoder et à dégager successivement, afin de retrouver l’état originel de « santé impermanente » propre à chacun.

Ce mécanisme d’empilement, à l’instar de l’ontogénie, répond à la prédominance du vécu neuro-hormonal qui adapte toujours la structure et la physiologie des autres systèmes corporels.

Cette approche spatio-temporelle permet d’accéder à une trame événementielle qui dépasse le vécu de la personne et permet de comprendre l’apparition « apparemment arbitraire » de certaines pathologies en les reliant aux empreintes prénatales et trans-générationnelles dont le corps conserve la trace sous forme de densités caractéristiques.

Le workshop

De cette lecture ostéopathique regroupant les liens neurologiques et les groupes tissulaires correspondants, il deviendra plus aisé d’aborder, lors de notre workshop, la multidimensionalité de l’empilement bio-tensif des empreintes épigénétiques subis lors de la vie du nourrisson, lors de l’accouchement, des 3 trimestres de la grossesse; et cela en association avec les empreintes préconceptionnelles transmises par les stress significatifs parentaux et sociaux.

C’est cette trame constitutionnelle innée de base qui représente notre réelle éducation, cette éducation inconsciente qui érige notre identité profonde. Nous pouvons la découvrir par le recoupement de nos perceptions ostéopathiques avec l’anamnèse spécifique des informations prénatales.

C’est sur cette identité profonde d’informations inscrites dans les tissus, que vont se sur-empiler les stress et traumatismes que nous rencontrerons tout au long de notre vie. Ces derniers « stress acquis » ne seront alors que des « facteurs déclenchant » entrants ou non en résonnance avec les apprentissages déjà biologiquement inscrits lors de « l’éducation ontogénique de l’être humain ».

Selon que cette éducation ontogénétique a été empathique et saine ou lésionnelle, les stress importants du vécu auront ou n’auront pas une emprise pour déclencher les maladies et malaises révélés par le reste de l’anamnèse ou qui seront la raison de la consultation.

 

Pour guider cette lecture thérapeutique je vous proposerais « la méthode du chat », chère à Tom Dummer, permettant de suivre l’ordre et la méthode ostéopathique demandée par le corps lui-même, par la qualité des tissus retenant notre attention.

 

L’ « harmonisation ostéopathique épigénétique » procède d’un ajustement empathique à ces informations spécifiques, jusqu’à l’établissement d’un Still point correspondant à l’essence de ces informations.

C’est « la profondeur du niveau de Still point » atteint par le praticien et « permise » par les tissus du patient, qui déterminera le niveau des puissances thérapeutiques que le corps acceptera de déclencher.

L’atteinte de ce niveau de profondeur est le résultat d’une synthèse entre la perception de la biographie des tissus et la perception spirituelle de la vie qui les animent.

Comme l’a démontré la physique quantique, c’est l’orientation du témoignage qui influence la réalité. Ici c’est la recherche d’un contact avec l’impermanence des forces de santé qui les déclenchent pour restaurer la santé.

 

Ce contact empathique tissulaire une fois établis et activé, dictera ensuite les techniques correspondantes de « désimprégnation, désimpaction, décompression, réalignement… » des structures cranio-sacrées, myo-fasciales, circulatoires, viscérales ou ostéo-articulaires.

 

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jeudi, 10 mars 2011

Bienvenue pour 2 journées en périnatalité et découverte de soi


Cristallin Toullec.jpeg"La Préconception où comment créer l'avenir de notre enfant" - Vendredi soir 25 mars 

L'Institut de Recherche en Préconception s'attèle à élaborer des outils psychologiques pour les individus et les futurs parents afin de les préparer de manière optimale afin d'aider à travers eux, au bon développement de l'enfant à venir. 

" Découverte de soi par la symbolique de l'Astrologie" - Jeudi soir 24 mars

Esuivant le vieil adage: “les astres inclinent mais ne déterminent pas”, l’astrologie peut-être un moyen unique d’apprendre à connaître ses tendances, son caractère, et comment nous pouvons apprendre à utiliser consciemment ces énergies célestes dans notre vie.

Tous les rensiegnements sur ces 2 magnifiques ateliers donnés en soirée par Cristallin Toullec, ostéopathe, coach en PNL et Astrologue sur http://www.anamaya.ca/Christalin_Toullec.html

8 mythes sur l'Amour avec un grand A!

Par Isabelle Roy, MSN Style de vie, 8 février 2011
8 mythes sur le grand amour
Déçu de votre relation actuelle, vous accumulez les échecs amoureux ou pensez ne pas avoir besoin de vivre en couple? Voici 8 mythes sur l'amour avec un grand A.

1. L'âme sœur m'attend toujours

Qui ne rêve pas de rencontrer son alter ego? L'histoire de Cendrillon, les films à l'eau de rose et l'imaginaire collectif alimentent ce mythe. Or dans la réalité, l'amour n'est pas à l'image de soi. «Les hommes et les femmes n'ont pas tout à fait le même cerveau, les hommes produisent de la testostérone en quantité et les femmes de la progestérone, indique Yvon Dallaire, psychologue, sexologue et auteur d'ouvrages sur les relations amoureuses. Ils ne reçoivent également pas la même éducation et chaque personne possède un tempérament différent.» «Aucun amour n'est possible sans le respect de l'autre dans son identité, renchérit-il. Toute tentative d'améliorer son partenaire est l'expression d'un espoir illusoire que l'autre finira un jour par ressembler à l'être idéal fantasmé.» Mieux vaut donc trouver un partenaire qu'on admire ayant des valeurs et objectifs de vie similaires aux nôtres ainsi que des défauts avec lesquels on peut vivre!

En général, la quête d'un seul grand amour inconditionnel et éternel est illusoire. «De nos jours, nous rencontrons des partenaires avec lesquels on peut partager des parcours de vie courts et longs, indique Cynthia Pouliot, sexologue clinicienne et psychothérapeute. Puisque chaque individu évolue différemment au cours d'une existence, il peut néanmoins arriver que les chemins se séparent. Si tel est le cas, il est recommandé d'effectuer un bilan à propos de la dernière relation vécue, ajoute-t-elle. Cet exercice permettra de mieux cerner ses besoins actuels. Il est aussi important de savoir qu'un jour une nouvelle relation se présentera à nous et qu'elle sera différente de celle vécue avec son ou ses anciens compagnons amoureux. »

3. Aimer c'est comme une drogue

Il y a une différence entre la passion et l'amour véritable qui se développe au fil du temps. En fait, ce sont les phéromones qui donnent l'impression d'être drogué(e) par l'autre. «C'est plus précisément la phényléthylamine, une amphétamine naturelle produite par notre cerveau qui est responsable de sensations euphoriques, explique Yvon Dallaire. La personne, objet de la réaction passionnelle, dégage une odeur qui agit sur une partie du cortex cérébrale primitif. Nous croyons être amoureux alors que nous ne sommes que le jouet de nos hormones!» L'amour véritable requiert intention et attention. Pour qu'il prenne forme et perdure, on doit le nourrir et le laisser grandir.

4. Le sexe est la base de l'amour

Dans notre société, amour rythme souvent avec sexualité. Sur son blogue Les femmes vintage (Les Éditions de l'Homme), la sexologue Jocelyne Robert écrit : «Un couple dont la complicité et le lien érotiques sont solides bénéficie certes d'un atout non négligeable dans leur dynamique relationnelle, leur projet de vie et leur intention de se fabriquer une histoire qui traverse le temps. Mais attention, on peut vivre des trips sexuels époustouflants qui ne mènent jamais au projet amoureux, au projet de couple ! Inversement, il y a des couples qui durent, et s'épanouissent, malgré une chimie érotique déficiente ou faiblarde.» Rappelons-le, dans toute relation, c'est l'attrait de la nouveauté qui déclenche le désir sexuel. Mais ce sentiment ne représente pas l'amour durable. «Celui-ci est plutôt le résultat d'une réflexion basée sur la connaissance de l'autre et de projets compatibles en commun», souligne Yvon Dallaire. «Il y a différents types de relations amoureuses, en fonction de nos besoins, indique pour sa part Cynthia Pouliot. Et on fait le choix de vivre en duo ou pas, d'avoir un aimant ou une maîtresse strictement.»

5. Je n'ai pas besoin d'aimer une autre personne

Dans notre société, nous sommes souvent fiers de démontrer notre indépendance. Mais la sexologue clinicienne remarque que certaines personnes consultent pour régler une difficulté d'engagement envers les autres. «Il est faux de croire que les individus n'ont pas besoin des autres pour s'épanouir», souligne-t-elle. En effet, les résultats d'études indiquent que, pour rester en santé, nous en avons besoin. «L'amour constitue une source de résilience émotionnelle et physique, explique-t-elle. Notre corps est conçu pour se pelotonner contre celui d'un autre. C'est un besoin physiologique.»

6. Tomber en amour va me permettre d'être heureux

À l'inverse, rechercher l'âme sœur à tout prix afin d'être heureux est un autre leurre. «Une personne célibataire peut s'avérer épanouie, dit Yvon Dallaire. Si elle forme un couple avec un partenaire heureux, ils ont des chances de continuer à l'être. Et inversement.» Cynthia Pouliot mentionne pour sa part que l'autre n'est pas mis sur notre route pour combler nos besoins. «Nous sommes les seuls responsables de notre bonheur, dit-elle. C'est un travail qui nécessite un retour et un travail sur soi.» Pour aspirer au véritable amour, il faut que chacun des membres du couple s'aime soi-même. C'est la condition sine qua non!

7. La jalousie est une preuve d'amour

Si votre chéri(e) ou vous-même vérifiez toujours vos moindres faits et gestes, vous accusez à torts et à travers et ne vous laissez jamais la possibilité de rencontrer d'autres personnes, il y a peut-être un problème de jalousie à l'horizon. «Une relation de couple épanouie se base sur la confiance et la liberté mutuelle, explique Cynthia Pouliot. La jalousie peut s'être incrustée dans l'enfance d'un individu comme un programme qu'il joue et rejoue dans des situations où il se sent menacé. Dans un tel cas, il doit travailler sur lui-même avant d'accuser l'autre.»

8. Se chicaner c'est se séparer

Dites-vous qu'un long fleuve tranquille, c'est menaçant! Il est également normal que la personne aimée soit celle nous énervant le plus. Puisque nous partageons notre intimité avec elle, nous connaissons tous ses défauts. Au contraire, les partenaires qui ne se disputent jamais risquent de s'éloigner l'un de l'autre. On ne se chicane généralement pas avec une personne qui nous laisse indifférent(e). De plus, il peut arriver que l'un des deux compagnons refoule son mécontentement. Or un jour, il risque de l'exprimer maladroitement et même demander le divorce, ce qui n'est guère mieux! «Le succès d'une relation qui perdure dépend beaucoup de la capacité de l'homme et de la femme à ouvrir la communication, mais surtout d'en arriver à un consensus lors de différends», conclut Yvon Dallaire.

Pour en savoir plus :Qui sont ces couples heureux ?, Qui sont ces femmes heureuses ?, Qui sont ces hommes heureux ? Yvon Dallaire, Option Santé.

mardi, 08 mars 2011

cours prénatal complet, sur DVD vidéo et CD audio, conçu pour le couple et basé sur la sophrologie

 

Chers et chères ami(e)s ;

Vous connaissez l’intérêt que je porte à la conscience périnatale. Je voudrais partager avec vous l’existence d’une innovation qui va surement vous intéresser.

Cette nouveauté participe à mes yeux à l’évolution de l’humanité de demain.

Il s’agit d’un cours prénatal complet, sur DVD vidéo et CD audio, conçu pour le couple et basé sur la sophrologie, (visualisation et relaxation) pour se préparer chez soi dans le confort du foyer, en toute sérénité à un accouchement d’une quiétude sans pareille.

Ce cours est proposé par Sylvie Guilbault fondatrice de Douce-naissance.

C’est un magnifique cadeau à s’offrir ou à offrir à de futurs parents.

Cette méthode théorique et pratique non seulement décrit et explique les étapes de la mise au monde, afin que vous et votre conjoint y soyez prêts, en toute connaissance de cause, mais elle vous prépare sans peur, pour laisser votre corps accoucher comme l’a prévu la nature.

Avec la participation de votre conjoint, vous apprendrez simplement à être en onde alpha, c’est l’état de bien-être qui ressemble à ce que vous éprouvez lorsque vous êtes « dans la lune ».

C’est ainsi que vous donnerez naissance à votre bébé.

Vous comprenez que ces conditions privilégiées d’accouchement, permettent une harmonie familiale unique et prépare le bébé à être un adulte pleinement vivant, serein et épanoui.

Visitez le site www.douce-naissance.com

 

, pour plus d’informations.

 

 

Si vous souhaitez acquérir ce coffret, utiliser le code W38.9M-G63S.FR9N pour obtenir une réduction de 10%.

 

De tout cœur

Jean-Philippe Brébion.

Auteur de l’Empreinte de naissance.

(Editions Quintessence)